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PINK FLOYD
ANIMALS


Le 17 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG


C’est marrant de lire des critiques ou appréciations de disques comme celui-ci par des gens qui n’y connaissent pas grand chose mais qui font autorité, sur la base de quoi d’ailleurs ?
Ainsi, KID66 qui corrige une erreur de sa chronique par une autre erreur : sur Dogs, ce sont Gilmour, pour la première partie, et WATERS, pour la seconde, qui chantent. Ce n’est ni l’un ou l’autre mais l’un ET l’autre avec une seconde voix de Wright quand nécessaire.
Ceci étant, ça fait plus de 40 ans que j’écoute ce disque. Indubitablement celui vers lequel je reviens le plus, avec More en n2. Aucun rapport mais ce sont deux albums qui m’ont atteint au cœur par leur son et limeurs ambiances si particulières. Pour moi, Animals est un des 10 albums que je conserverais si je devais me séparer des 3990 autres de ma collection, avec, entre autres, « Arriving Somewhere... » le live de Porcupine Tree, « A curious Feeling » de Tony Banks et « Seconds Out » de Genesis.





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 16 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG


Je veux bien tout ce qu'on veut au sujet de cet album, mais je me rappelle l'avoir acheté au moment de sa sortie en 1983, l'avoir mis sur la platine et... C'est le seul disque sur lequel j'ai pleuré. La musique de "The Fletcher Memorial Home" m'a complètement bouleversé et c'est pour cela que j'ai une tendresse particulière pour ce disque.
Après, les goûts de chacun... Ca ne se discute pas.





GENESIS
SPOT THE PIGEON


Le 16 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG


Ces trois morceaux se trouvent sur le disque "Extra-tracks" du coffret 1976-1982. Et honnêtement, j'adore.





Loreena MCKENNITT
THE VISIT


Le 16 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG


1992 : je me rends au Zénith de Paris pour voir Mike Oldfield présenter son Tubular Bells II. En première partie, une chanteuse que j'avais déjà entendue dans une cassette promotionnelle 5 titres présentant l'album "The Visit". J'étais particulièrement content d'entendre en vrai live une voix qui m'avait profondément marqué, de ce type de voix qu'on n'oublie pas.
Loreena se présente sur scène. Seule avec sa harpe. Pas de fioriture, la voix, rien que la voix.
Et là, bronca. Une partie du public se met à siffler, de ces abrutis qui ne comprenaient pas l'émotion qui se dégageait de ce moment. Tant bien que mal, Loreena tentait de maintenir le cap. Mais rien n'y faisait. Les sifflets ne faiblissaient pas, les huées s'ajoutant aux huées.
A peine 5 morceaux joués, et la voilà qui s'en va, à la grande satisfaction de certains qui ne voulaient QUE voir leur héros sur scène.
Résultat : Mike Oldfield joua, avec son groupe et un pipe band écossais l'intégralité de son dernier né... et nous planta comme cela, sans rappel, rien. Une heure de musique en tout et pour tout. Une manière de faire comprendre à ce public parisien à quel point il avait été en dessous de tout, en particulier du moindre respect que l'on devait aux artistes, quand bien même fussent-ils des premières parties "inconnues" à l'époque.
C'est là que j'ai compris que certains publics sont particulièrement intolérants. Si je me suis toujours éclaté au milieu des publics de hard ou heavy metal qui sont particulièrement ouverts et qui savent mettre des ambiances bon enfant, les publics de jazz, classique et, dans certains cas, de prog, sont tellement imbus d'eux et de leurs connaissances élitistes que le plaisir et le partage n'ont plus droit de cité durant ces concerts. Et Mike Oldfield, malheureusement, rassemblait, ce jour là, ce type de fans de classique, de jazz et de prog qui sont tellement fermés qu'ils gâchent le plaisir de ceux qui aiment la surprise et la découverte.
Ce soir là, j'ai eu honte. Honte de faire partie de ce public, et triste pour Loreena McKennitt qui ne méritait vraiment pas cela.





RAGE AGAINST THE MACHINE
RAGE AGAINST THE MACHINE


Le 16 Juin 2019 par LE KINGBEE

Ah Merde! Alors j'ai jamais été djeun et j'ai de plus raté ma vie.

Ca casse un peu l'ambiance.

En plus, j'avoue j'ai même jamais écouté, ni durant les 90 ni après. -:))





RAGE AGAINST THE MACHINE
RAGE AGAINST THE MACHINE


Le 16 Juin 2019 par RICHARD


Si tu n'as jamais "pogoté" sur "Killing In The Name" dans les années 90, c'est que tu n'as jamais été jeune, voire même que tu as peut-être raté ta vie.





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 16 Juin 2019 par NONO

@Baker : le plus amusant dans ce côté "badaboum", c'est que Mr. Williams est celui qui jouera les roulements de tambours (genre "défouloir" et vraimenet "badaboum !"dans la mythique intro de "Money for nothing"; par contre le groove du titre est assuré par Omar Hakim, beaucoup plus souple et raffiné dans son jeu). Pas impossible que Knopfler ait fait ce choix exprès, spécialement pour ce titre !
Le problème avec Williams, c'est qu'il n'est pas au service de la chanson, c'est lui qui croit devoir imposer son plan "drums" à tous les autres, LOL !





MSG
TEMPLE OF ROCK


Le 15 Juin 2019 par FIGHTITBACK


Comme pour "Gipsy lady", plutôt d'accord sur la note et le choix des titres, sauf pour..."With you" que personnellement j'affectionne particulièrement ! Pour moi, meilleur album de l'ange blond depuis "Save yourself" (ou "M.S.G. '92 pour être "sympa" !) et malheureusement rien de transcendent depuis, dommage ! Oui, 4* pour ceux de 2013 & 2015, j'avoue que j'ai du mal à comprendre ! (à moins peut-être d'être + fan d'UFO que de MSG)





MSG
GIPSY LADY


Le 15 Juin 2019 par FIGHTITBACK


Ah, les goûts et les couleurs...! Perso, je trouve cet album très réussi (bien + que "In the midst of beauty" dont j'espérais beaucoup (trop?!) avec le retour de Gary BARDEN au chant. J'aime 8 titres sur 12 et difficile comme je suis, c'est...ÉNORME ! (assez d'accord sur les titres cités dans l'ensemble au passage) mais par contre, ce disque est sorti sous le nom SCHENKER / BARDEN même si je pense que pour des raisons commerciales le logo MSG y figure effectivement en "gros plan" !





PHILIPPINE & THéO
VINYLE


Le 15 Juin 2019 par BAKER


Le charisme vocal de zébus anémiés, un titre d'album mûrement réfléchi par un marketeux après 27 shots de vodka, une tracklist bien tiède et bien rétrograde, avec quelques titres solides dès le départ (Peyrac) pour faire du damage control et un titre de Gainsbourg parce que oh là là les vilains insolents, du Colgate dégoûlinant de tous les orifices, des arrangements miteux : et encore un disque de boy-scouts puceaux, après Vianney, Trois Cafés Gourmands, Boulevards des airs et autres cancers de la musique actuelle.

Le plus nul de la mode yéyé, sans les avantages.





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 15 Juin 2019 par BAKER

@Nono : marrant c'est mot pour mot ce que dit mon meilleur ami !

Je confirme que sur ce live Terry Williams est un gros pataud. Et je confirme aimer ça :) Ce côté matuvu et sans cesse badaboum fait partie du charme de ce live que j'adule. Même constat pour Chris Maitland lorsqu'il transformait No-Man "en Motorhead", de l'aveu même de Wilson.

Plaisirs coupables !





VANGELIS
NOCTURNE


Le 15 Juin 2019 par DEJAVU


On m'a offert "Nocturne" pour Noel, j'ai attendu 6 mois avant de poster un commentaire, le temps de bien assimiler l'opus, "L'apocalypse des animaux" restera à jamais mon album préféré de Vangelis, suivi de "Opéra sauvage", "Antarctica" et en 4ème position "Nocturne" pour son coté minimaliste qui évoque les albums dépouillés de "Dark Jazz Trio", de longues plages de piano pour promeneur solitaire ....





The DOORS
THE SOFT PARADE


Le 15 Juin 2019 par CLANSMAN57


Rien à voir avec les précédents, l'ambiance est plus sereine, légère.
Traversez en voiture une ville lors d'une chaude nuit d'été, une ville très illuminée et vous avez plus ou moins "The Soft Parade".
Adieu mélancolie et angoisses, bonsoir lumières artificielles, joies nocturnes et beautés suaves.
Monstres hideux du passé, présent ou futur, allez vous faire voir ailleurs.

Le groupe évolue vers une Pop cuivrée et violonisée, la voix de Jim rassure, caresse, donne le frisson.
Tout est bon, bien que la pièce titre ne soit pas la meilleure dans ce type, elle me plait pas mal.

Je suis content d'avoir redécouvert cet opus très à part dans leur discographie.
Ah, j'allais oublier: "Shaman's Blues" et il ne m'en faut pas plus pour adorer le mésestimé Robbie Krieger.
Nul besoin de virtuosité ennuyeuse et froide comme la mort.







PHILIPPINE & THéO
VINYLE


Le 15 Juin 2019 par RICHARD

Mais jusqu'à quel point une certaine industrie du disque va t'elle trouver autant d'opportunisme et de vice ?
Faire chanter à des djeuns du Groscolas ou du Peyrac ? Ce n'est pas tant la qualité des chanteurs repris que je trouve suspecte. La variété a aussi ses talents et à la différence de l'Angleterre où la chanson populaire n'est pas honteuse, notre hexagone souffre incontestablement d'une gêne certaine. C'est plus pour moi une histoire de crédibilité quant au fait de faire chanter à un duo des chansons qui doivent avoir au moins deux fois leur âge. A ce compte là, les hymnes estampillés Jean-Pierre Pernaut et feel good de Trois Cafés Gourmands vont bientôt passer pour des recherches sonores expérimentales.





The CRAMPS
SONGS THE LORD TAUGHT US


Le 15 Juin 2019 par ARTOFZAFT


Ecouter "Songs The Lord Taught Us" a toujours été pour moi une épreuve. L'album dure quoi...38 minutes à tout casser (dans sa version vinyle originelle) et j'ai toujours besoin, au minimum, de 2h30 pour arriver au bout. Impossible de faire plus rapide, tellement je suis obligé, à chaque fois, et ce depuis 30 années de tentatives avortées, de revenir plusieurs fois sur chacun des titres de cet album que je n'hésiterai pas à qualifier de plus qrande arnaque temporelle de l'histoire du rock. En plus, je suis obligé de rester là debout, juste à côté de la platine, pour pouvoir user de ma main libre (l'autre étant généralement asservie à un verre de vin lorsque j'écoute ce disque) de façon à bondir juste avant la fin du dernier microsillon de chaque titre pour le remettre au plus vite au début, et sans trembler, comme il se doit. Pire, je deviens vieux, et je dois surveiller mon poul, ce qui n'est pas toujours compatible quand on doit tour à tour imiter le tempo tribal du batteurissime Nick Knox (à jamais regretté, snif), les rhytmiques deltabruitistes du maître voodoo Bryan Gregory (à jamais regretté, snif), les riffs solodestructeurs de la Venimeuse en chef, et les vociférations éthylhallucinées du maître-es rockandfuck Lux Interior (à jamais regretté, sniff). Ma chérie me regarde un brin compatissante (elle aime beaucoup, elle aussi, sinon on serait tous les deux dans des univers parallèles et je ne la mentionnerait pas), mais l'amour est bizzarement mis en scène dans un album qui débute par ces mots : "Oh baby, I see you in my TV set / Yeah baby, I see you in my TV set / I cut your head off and put it in my TV set / I use your eyeballs for dials on my TV set / I watch TV / I watch TV / Since I put you in my TV set" Pourtant d'amour il est bien question ici. D'intégrité et de folie aussi. Trois concepts qui se marient bien je trouve. Ce "Songs The Lord Taught Us" sera le seul album auquel aura participé Bryan Gregory. On le retrouve ensuite sur certains titres d'une compilation que je trouve, sinon supérieure, au-moins égale à cet album : "Off the Bone" est sorti en 1983, avec une pochette 3D et des lunettes comme pour aller voir "The Creature of the Black Lagoon" ("Bad Music for Bad People", paru en 1982 était à peu près identique, avec en plus un TV Set, qu'on a déjà sur STLTU et Uranium Rock pas indispensable à mon sens, mais plein de titres en moins, et pas des moindres). Bref, pour ceux et celles qui ont aimé ce "Songs...", il est primordial, non, essentiel, voire vital, de se ruer sur Off the Bone, où on croise des stars comme Roy Orbison ou les Trashmen et des Ovnis comme les "Novas" ou le Très Grand Hasil Adkins. Bryan étant parti mourir sous un champignon mexicain, les trois Cramps ont piqué le Kid Congo aux Gun-Club (sous les yeux envapés mais pleins de bonheur de Jeffrey Lee Pierce) pour un "Psychedelic Jungle" et un "Smell of Female" parfaits. La suite s'avérera plus erratique je trouve. Mais je vous laisse juger. Stay Sick étant, à mon humble avis de connaisseur fanatique adorateur suprème acquis à la cause, leur dernier grand (mais vraiment vraiment grand album), avec une Poison Ivy au Top of the Rock. La suite est tritounette je trouve et je préfère ne pas en parler en l'absence de ma psychiatre... attendez, je vais la chercher dans mon Frigidaire! (Oh baby, I see you in my Frigidaire / Yeah baby, I see you in my Frigidaire / Behind the mayonnaise, way in the back / I'm gonna see you tonight for a midnight snack / But though it's cold / You won't get old / 'Cause you're well preserved in my Frigidaire... Yeah!).





PJ HARVEY
TO BRING YOU MY LOVE


Le 15 Juin 2019 par FRANçOIS


Sauf erreur, la production ici n'est pas d'Albini mais de Flood (Mark Ellis), John Parish et PJ elle-même. Albini a produit le précédent ("Rid of me"). Et effectivement, cela se ressent (non que ce soit mieux ou pire mais juste différent).
Cet album ne me semble pas si difficile d'accès que ça. Je lui préfère son "petit frère" et successeur "Dance hall at louse point" (non chroniqué sur le site pour l'instant), toujours avec Parish mais avec un côté moins "commercial".





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 14 Juin 2019 par NONO


Est-ce moi, où est-ce que Terry Williams est honnêtement un des pires batteurs au monde ?
J'ai réécouté tout récemment l'album après une vingtaine d'années, et grand dieux, ce que j'ai déchanté ! Est-ce que c'est parceque je vieillis ? où que je n'avais pas d'oreille assez affutée étant ado ? J'ai l'impression, en clair, que Terry Williams gâche littéralement les trois-quarts des morceaux ici : jeu lourdingue et trop démonstratif, coups de cymbales à tout bout de champ, et même, cerise sur le gâteau : rythme décalé par rapport au reste, "pas dans les temps" du tout. Le comble !
J'ai l'impression que Williams est bon uniquement dans les rocks et les rock and rolls "carrés" (ce qu'on appelle du "pif-paf-pif-paf"), mais dès qu'il faut faire des effets de style, quelques démonstrations (breaks, etc.), il se banane complètement.
Pour moi, c'est une évidence-même quand je réécoute l'album (que j'encensais pourtant auparavant...)





KOHANN
DON


Le 14 Juin 2019 par MR TINKERTRAIN


Merci à Marco pour cette belle découverte car, à part 2 titres moyens, c'est vraiment un groupe original quand on aime l'electro et qu'on n'a rien découvert en Trip Hop depuis Mathusalem. Et pourtant je ne connais RIEN mais vraiment rien à cette belle langue bretonne! Je vais donc vite, très vite, me procurer leur précédente offrande, nom de Zeus!





Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 14 Juin 2019 par NONO

@Marco Stivell : Tout à fait ! C'est aussi cela qui fait la différence, par exemple, entre d'un côté les auditeurs aimant un artiste pour ce qu'il représente (son style, son apparence, son aspect célébrité et star), et d'un autre côté les auditeurs musiciens qui écoutent attentivement sa musique en tant qu'oeuvre d'art, se disant par exemple : "Ah, là pour l'album "2-low-4-0" on sent qu'Elton revient avec son groupe d'origine, le son est proche des 70's tout en étant modernisé par la nouvelle technologie 80's", etc.
Personnellement je fais partie de la seconde catégorie, et de plus, ironiquement, les méga-tubes d'Elton ne sont la plupart du temps clairement pas mes préférés ! (Je trouve par exemple Benny & The Jets, Crocodile Rock, The bitch is back ou Kiss the bride absolument affreux).
Voici, en vrac, parmi mes titres préférés (et pas forcément connus) du grand Reg Dwight :
Holiday Inn, Border song, It's me that you need, Tiny dancer, Curtains, Tower of Babel, Someone saved my life tonight, Crazy water, Tonight, Funeral for a friend/love lies bleeding, Elton's song, Chasing the crown, Too low for zero, Cold as christmas, Nikita, Shoot down the moon, Japanese hands, Stones thrown from hurting, Whispers, The north, ....





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 14 Juin 2019 par RICHARD

@ Nono. Oui pour rebondir sur ton propos, je me souviens de différentes interviews de Thom Yorke de Radiohead ou Brian Molko de Placebo qui expliquaient qu'ils furent tellement traumatisés par le Phil Collins des années 80 que ce fut entre autres une des raisons qui fit qu'ils créèrent leur groupe.
Concernant cette galette, le côté purement mercantile semble évident. Il y a encore de la marge avec Mylène Farmer par exemple pour ce qui est de délester de quelques euros les fans, mais ce type de sortie peut avoir quand même un peu d’intérêt.
Je pense par exemple (pour ce que je "maîtrise" plus) aux rééditions des albums de The Cure ou Siouxsie and the Banshees où avec l'album original sont couplées les démos d'époque. C'est instructif (je concède que ceci s'adresse aux grands fans), car on est pleinement imprégné du processus créatif. Après, on peut être fans et reconnaître qu'artistiquement, ce type de disques n'est pas nécessairement primordial.







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