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GOLDMAN JEAN-JACQUES
EN PASSANT


Le 04 Juillet 2015 par MARCO STIVELL

Merci Mr Larsen et Jeff Kanji (et Gegers !) pour vos commentaires détaillés et chaleureux.
On ne dira jamais assez de bien de ce disque, et ça change vraiment de l'anti-Goldmanisme primaire, "variétoche" bla bla... :)
Pour le dernier, ce sera encore une autre histoire.





YES
THE YES ALBUM


Le 04 Juillet 2015 par THIERRY


J'ai appris par hasard le décès de Chris Squire sur un site étranger. Membre fondateur du groupe, un bassiste hors-pair qui en a influencé plus d'un. Je réécoute en ce moment même cet excellent "the yes album" (mon préféré).

Ce qui me fout en rogne c'est qu'en France je n'ai rien vu, rien lu sur cette triste nouvelle dans les médias. Le membre essentiel d'un des pilier du rock progressif vient de disparaître et pas un mot. C'est hallucinant, les médias français sont vraiment en dessous de tout. Qu'on aime ou qu'on aime pas le rock progressif, qu'on adore ou qu'on déteste la musique de YES, la moindre des choses est d'informer les gens. Je suis certains que beaucoup d'amateurs de YES ne sont pas au courant. Pour finir je ne félicite pas la presse musicale hexagonale qui n'a eu de cesse de taper sur ce groupe malgré la sortie de disques emblématiques d'une époque, un énorme tube dans les 80, cette histoire du punk qui aurait sauvé le Rock, tout ça c'est des conneries pour faire vendre du papier. Ce qui ne veut pas dire que YES n'a pas le droit d'être critiqué bien au contraire, mais voilà je préfère penser à ce qui était génial chez eux surtout aujourd'hui.

YES est mort avec Chris Squire probablement.


Par Forces Parallèles

On aura bien saisi que ta critique à l'égard des médias ne nous visait pas particulièrement. Mais nous nous permettrons de repréciser tout de même, au cas où, que Forces Parallèles n'est pas un site de news musicales. Le décès de Chris Squire n'a donc pas plus fait l'objet d'un article que ceux de Framboisier, Andraé Crouch, Elena Obrastsova, Demis Roussos, Also Ciccolini, Andriy Kuzmenko, Percy Sledge, Richard Anthony, Christopher Lee, Patachou, Ben E. king, B.B. King, Ornette Coleman et James Horner.

En espérant que cette liste ne s'allonge pas trop d'ici la fin de l'année.





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY PRAY


Le 03 Juillet 2015 par CHIPSTOUILLE

C'était bien la marche turque, et ma confusion est en réalité avec le premier mouvement de la même sonate... La fantaisie n°3 est sans rapport. Si ce n'est qu'elle se trouve sur le même disque...
Je vous épargne les détails, mais merci Apple !





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 02 Juillet 2015 par KOTAVE


Genesis suit une trajectoire ascendante - progressive pourrait-on dire - depuis Nursery Cryme, et qui trouve ici sans aucun doute son aboutissement. Peu étonnant que ce soit donc aussi la d'une glorieuse époque, avec le départ de Peter Gabriel.

On est en présence du premier double-album de Genesis, un ambitieux disque dont le récit est sûrement aussi intéressante que la musique, sans prendre le pas sur elle, et qui se trouve aussi être porteur de nombreuses ruptures. Le thème est ici bien éloigné du folklore anglais, les sonorités participant à ce changement, comme dans le fameux Back in N.Y.C.

Le premier disque nous offre à la suite tout ce que le groupe fait de mieux, et s'amuse à accumuler les contrastes, en enchaînant le tendu Fly on a Windshield et le lourd Broadway melody of 1974, le léger Cuckoo Cocoon et l'angoissant In the cage, ou en intercalant avec une facilité incroyable le salace Counting out time entre le mélancolique Hairless Heart et le joyau pur qu'est Carpet Crawlers. Cette dernière chanson est en effet ce que Genesis a fait de mieux dans toute sa discographie, et dépasse allègrement en qualité Firth of fifth et The musical box réunis.

Le deuxième disque est, comme souvent dans ces cas-là, plus expérimental, en particulier dans The waiting room, rebutant dans un premier temps mais révélant bien vite tout le potentiel de son final. Anyway et the Lamia (inspiré d'un poème de Keats) sont aussi d'une beauté confondante, Tony Banks nous y offrant certains de ses plus beaux airs.
La dernière face est sûrement la plus difficile à digérer complètement, mais il faut que l'auditeur se souvienne qu'elle termine une heure et demie d'une longue traversée des enfers, de plus en plus inquiétante et étrange. Dans cette optique, elle joue son rôle parfaitement, à l'instar de l'interlude Ravine. Le tout se termine de manière surprenante par le mystérieux It., honnête dans son rôle conclusif.

Malgré quelques imperfections que sa longueur ne pouvait éviter, The Lamb Lies Down On Broadway reste un des plus albums les plus réussis et aboutis sur lesquels mon oreille a pu se pencher.





PINK FLOYD
ANIMALS


Le 02 Juillet 2015 par KOTAVE


La discographie de Pink Floyd relève majoritairement du divin, beaucoup en conviendront, mais la qualité irrégulière des chansons à l'intérieur même des albums me frustrera toujours. Meddle sans sa face A aurait été parfait, tout comme Wish you were here sans Have a cigar. Atom Heart Mother et the Dark Side of the Moon sont tous les deux d'une grande qualité et sans réels mauvais morceaux, mais le premier est encore un peu immature, tandis que le second semble trop lisse sous certains aspects.

Reste Animals. Certes, Dogs est moi époustouflant qu'Echoes, mais la guitare implacable et lancinante qui l'introduit a peu à envier à la première note de son rival. Ses solos rageurs sont autant de présents inestimables à la culture rock, et ne valent pourtant même pas celui qui achève la jouissive litanie de Pigs. Quant à Sheep, sa conclusion est tout aussi apocalyptique, et sa latence tout au long du morceau ne rend son arrivée finale que plus extatique. Les claviers de Wright ne sont pas en reste, en particulier dans l'introduction de ce morceau, ni les fûts de Mason, qu'il ne semble jamais aussi bien maîtriser que sur cet album.

L'ensemble revêt une ambiance très sombre, et semble en fait parachever l'évolution du Floyd depuis the Dark Side. Brain Damage avait fait la transition entre l'empathie de Breathe et l'élégie de Shine on, qui lui-même mena à un extraversion radicale et au déversement d'une critique acerbe de la société sur Animals. The Wall montrera un Waters beaucoup plus nombriliste, et ce ne sera hélas pas toujours pour le meilleur.
Mon album préféré, définitivement.





TRI YANN
LES INCONTOURNABLES 1970 - 2015


Le 01 Juillet 2015 par ERIC BASSET

Bonjour,

Je tenais à vous féliciter pour cette chronique d'une grande pertinence et qui montre une réelle connaissance de l'histoire du groupe.
Depuis 1993 je suis le "producteur" de Tri Yann, disons plus justement qu'avec Jean, c'est moi qui m'occupe de l'intendance, et de faire en sorte que les albums existent.
Comme vous le dites fort justement il ne s'agit pas d'une compil' concoctée par un stagiaire anonyme, et le choix des titres a réellement été cornélien et a suscité bien des débats entre nous...

A l'écoute , il me semble qu'on arrive à quelque chose de vraiment bien et qui rend bien compte de l'importance de Tri Yann dans le panorama musical français.
On a assez souvent privilégié des versions live, notamment issues des 2 enregistrements avec l'ONPL, tout d'abord parce qu'elles sont remarquables, mais aussi et surtout car Tri Yann est aussi et surtout un groupe de scène.
Effectivement nous aurions dû mettre "La Découverte ou l'ignorance", oubli, j'espère, pardonnable !

A bientôt et merci.


Par Forces Parallèles

Merci pour votre intervention Eric, et félicitations pour votre travail !
L'oubli de "La Découverte ou l'Ignorance" est, bien sûr, pardonné ;-)
Gegers





Yasunori MITSUDA
CHRONO CROSS OST


Le 01 Juillet 2015 par RICHTER


Ah quelle OST ! Je me souviens encore de cette cinématique d'intro avec "Scars of Time", bon dieu quelle claque ! A pleurer de beauté, d'énergie, de magie !

Si vous aimez les OST, je pense que vous connaissez, alors foncez ! D'autant qu'une réédition a été faite et on la trouve aisément sur la boutique de Square Enix.

Note réelle 4,5 / 5 pour quelques titres un chouia "fillers", mais sur la quantité, c'est vraiment pas grave.





TOTO
IV


Le 01 Juillet 2015 par NONO

Tout à fait, et il ne faut pas oublier à quel point Toto est impliqué dans de nombreux projets musicaux réunissant tout le gratin des zikos de l'époque. C'est en cette même année 82 que sortent, à la fois : Toto IV, Thriller, Chicago 16, le tube "Ladt Love Me" de George Benson... Tous ces albums et titres impliquant fortement les musiciens de Toto pour les sessions d'enregistrement.

Les années 82/83/84 furent vraiment les années Toto.
Et, comme toi Sgt Jakku, j'adore cette période entre 1978 et 1983 grosso-modo, où les synthés avaient leur place mais sans être envahissants. Leurs sons, analogiques, étaient exploités en tant que nappes sonores, et pas en tant que musique robotique comme ça sera le cas à partir de 1984, année charnière selon moi. On parle des "années 80", mais curieusement, c'est une décennie très variée, et musicalement le début n'a rien à voir avec la fin. D'autres décennies étaient musicalement plus homogènes comme les années 90 par exemple.





The WHO
QUADROPHENIA


Le 01 Juillet 2015 par JERRY OX


"Quadrophenia" est pour moi également (avec" Who's next") le chef-d'oeuvre des Who ! Un album concept symphonique d'une très grande qualité ! J'adore tout particulièrement "I'm One" mais aussi "5:15" sans oublier "The Real Me" et le grandiose "The Punk and the Godfather". Peter Townshend prouve ci qu'il est un grand compositeur ! Un maestro et Keith Moon fait des merveilles avec sa batterie ! Tu as raison de préciser que c'est un disque peu facile d'accès (les synthés trop présents sans doute) et qu'il faut l'aborder avec patience mais... une fois cette étape passée, quel bonheur !





The WHO
WHO'S NEXT


Le 01 Juillet 2015 par JERRY OX


Un must absolu ! Ne serait-ce que pour l'intro prenante de "Baba O'Riley", et le tout aussi célèbre "Won't Get Fooled Again" qui nous entraîne dans un tourbillon mélodique assez incroyable ! Un disque à posséder d'urgence dans sa discothèque et, si possible, en vinyle !





Francis CABREL
IN EXTREMIS


Le 01 Juillet 2015 par JERRY OX


Oh ! Pour l'avoir écouté à la Fnac (avant de faire éventuellement un achat) j'ai eu la même surprise que toi, je suis resté sur ma faim, un peu déçu et frustré. Pourtant, avec le premier single extrait (déjà un tube) qui tourne actuellement sur les ondes, je m'attendais à quelque chose de grand mais non... un disque mi-figue mi-raisin, ni bon, ni mauvais quoi. Plutôt anecdotique et passable. J'ai trouvé que l'album était du niveau d'Hors-Saison (où Francis Cabrel se répétait dans les sujets) et des Beaux Dégâts, où Cabrel était dans une sorte de minimalisme un peu fourre-tout. J'avais tellement aimé (et j’aime encore) son précédent opus de 2008, Des Roses & des Orties, qui était du niveau de Sarbacane et de son sublime Samedi soir sur la terre, que la déception n'en est que plus grande. On se consolera en le voyant sur scène, pas vrai.





RENAUD
MARCHAND DE CAILLOUX


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Pas franchement son meilleur album selon moi, bien qu'il soit fort bien produit (contrairement à son opus précédent "Putain de camion" trop synthétique et marqué 80). Un disque concept qui contient trois tubes qui figureront au TOP 50 : "Marchand de cailloux", "P'tit voleur" (on se souvient du clip avec Emmanuelle Béart) et la très réussie "Ballade nord-irlandaise". Mention plus à "Dans ton sac" et "500 connards sur la ligne de départ", pour le reste, je suis moins fan...





RENAUD
MORGANE DE TOI


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Exact ! Son meilleur disque (encore que le suivant paru fin 1985 Mistral gagnant, un peu plus sombre et enregistré également en Californie est une belle réussite). Un disque qui marque une rupture dans le look et les propos dès sa parution en septembre 1983 : on est loin de l'époque de "Laisse béton " et "Dans mon HLM". Le blouson de cuir a été troqué contre un blouson en jean et le ton du disque est plus familial, écolo et apaisé. Un vrai réservoir à tubes (jolie expression !) que cet album qui en compte 5 : "Dès que le vent soufflera" (numéro 1 en décembre 1983), "En cloque", "Ma chanson leur a pas plu", "Doudou s'en fout" (un des tubes de l'été 1984) et "Morgane de toi" pour finir à l'automne 1984. J'adore aussi ce disque pour son enregistrement impeccable et les chansons tendres et drôles qui le constituent. En effet, "Déserteur" a connu son petit succès dans sa version remaniée (peu diffusée en radio par contre mais adorée des fans). Un must !





RENAUD
MISTRAL GAGNANT


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Oui ! Il s'agit là sans conteste de son plus bel album (à égalité selon moi avec Morgane de toi). Enregistré comme le précédent à Los Angeles (on ne change pas une équipe qui gagne, n'est ce pas ?). Opus qui paraîtra en décembre 1985. Triomphe absolu avec 1 300 000 exemplaires vendus. Remember : en 1986, le chanteur à la chetron sauvage était au sommet de sa carrière, il triomphait en début d'année au Zénith avec un joli spectacle parfaitement réalisé qu'il entraînera aux quatre coins de la France avec succès.

Au début de cette année 1986 c'est surtout sa chanson "Miss Maggie " qui fit beaucoup de bruit et ce... jusqu'en Angleterre où nos amis n'apprécièrent que très modérément les couplets de notre titi parisien
au sujet de Margaret Thatcher (alors Premier ministre). Du même coup, il rafla la mise avec une chanson au parfum de scandale dont le succès lui permit de consolider sa réputation de chanteur un tantinet provocateur et insolent.

Quelques mois après c'est une autre chanson qui déboula sur les ondes pour ne plus quitter le coeur et les oreilles du public, une chanson tendre comme Renaud sait les faire. Avec "Mistral gagnant" c'est un morceau de nostalgie de l'enfance qui, tout à coup pénètre directement dans l'inconscient collectif, chacun revoit sa propre enfance et se souvient des carambars enfouis dans les bacs à sable, des roudoudous et autres mistrals gagnants. Portée par une musique que Renaud composera sans trop y croire, "Mistral gagnant" connut un énorme succès à l'époque et, depuis, cette chanson est devenue un incontournable de son répertoire.





RENAUD
PUTAIN DE CAMION


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Certes, cet album paru en avril 1988 (quasi sans promotion pendant les 6 premiers mois qui suivront sa sortie : fait rare dans sa carrière) est très daté '80s avec ses multiples synthés et échantillonnages de boîtes à rythmes... mais c'est un album honnête et sincère (comme tu le précises très justement).

Un disque grave qui paraît au moment où Renaud est au sommet de sa carrière après avoir franchi le million d'exemplaires vendus par deux fois (Morgane de toi paru en septembre 1983, 1 500 000 exemplaires, et Mistral gagnant de décembre 1985, 1 300 000 exemplaires vendus). Le chanteur est un peu blasé par la promotion intensive qu'il réalise depuis 13 ans déjà et opte pour un boycott de l'ensemble des émissions télés et radios... ce qui entraînera une chute des ventes pour Putain de camion et la fin de la grande époque pour Renaud (d'autant que, comme tu le précises dans d'autres chroniques : ses deux prochains albums de 1991 et 1994 seront moins bons).

Malgré tout, Putain de camion reste un disque vraiment convenable et il possède comme à l'accoutumée, quelques tubes FM imparables : "Jonathan", "La Mère à Titi" ou encore "Me jette pas". Un must !





RENAUD
MA GONZESSE


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Un album qui ne manque pas de pépites en effet et qui avait la lourde charge de succéder au tube "Laisse béton" qui permit au grand public de découvrir Renaud en 1978. A propos des tubes que contient ce disque, outre "Ma gonzesse" et "Chanson pour Pierrot"... n'oublions pas "C'est mon dernier bal" qui fut d'ailleurs le premier 45 tours extrait de cet album et qui fut un grand succès en avril 1979 !





RENAUD
LE RETOUR DE GERARD LAMBERT


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Un opus qui paraîtra en décembre 1981. Il s'agit bien du cinquième album de Renaud. Comme tu le dis, le ton est donné et si le disque ne brille pas par son excellence, l'ambiance qui s'en dégage illico apparaît moins urbaine que les précédentes et ô combien remarquées livraisons vinyliques du troubadour. Un disque un peu plus rock pour les orchestrations et très humoristique qui reste un bon cru mais qui est loin (selon moi) d'être le meilleur opus de Renaud. Evidemment le grand public retiendra les deux tubes imparables qu'il contient : "Mon Beauf" et "Manu" : caustiques, tendres et drôles à la fois, la signature Renaud, ni plus ni moins !





RENAUD
VISAGE PALE RENCONTRER PUBLIC


Le 30 Juin 2015 par JERRY


Ce disque qui retrace sa tournée 1988/1989 et qui est paru à l'automne 1989 (avec la chanson "Socialiste" comme 45 tours de lancement) est un très bon live ! Renaud plaisante et chambre ses musiciens : le coup de la banderole et des Gyspy Queen, hilarant ! Un beau moment de partage fort bien produit sur cet opus. Les tubes sont là ("Dès que le vent soufflera", "Manu", "Morgane de toi", "La Mère à Titi", "Miss Maggie", "Mistral Gagnant") et, comme tu l'a précisé, on aurait aimé entendre des hits plus anciens (d'avant 1985) si l'on excepte "Manu", bien sûr.

Un disque vivant comme disait la pub TV qui en vantait le contenu et une réussite qui marque la fin des années Renaud, la fin des années 80 et de quelques utopies aussi.





The PRODIGY
THE DAY IS MY ENEMY


Le 29 Juin 2015 par DINICED


Difficile de tout bouffer d'un coup. Le trentenaire que je suis à dû prendre un coup de vieux mais je dois avouer que l'album est fatigant. Si je commence avec The Day Is My Ennemi le volume sur Max, j'arrive à Wall of Death sur Min. :)
Et pourtant beaucoup de morceaux me plaisent en dehors des plus connus, comme Destroy, Roadblox ou Invisible Sun. Rien ne donne envie de baisser le son, ça me rappelle l'époque WipEout sur... PS1 ! Merde alors... ch'uis vieux !





TOTO
ISOLATION


Le 29 Juin 2015 par SGTJAKKU


Difficile d’enchaîner après le IV tant ce dernier a été un exercice parfaitement réussi : accessible mais complexe et riche, un poil cheesy mais toujours de bon goût, tout ce que Isolation ne parvient pas à réaliser. Hélas, ce disque a bien mal vieilli et tombe dans le piège de la caricature du groupe rock FM des années 80...mauvais goût au rendez-vous...ce que le IV avait su si bien éviter (sorti en 1982, grande année, où la vulgarité des années 80 n'avait pas commencé). Toute la kitcherie des groupes américains des 80's se fait beaucoup ressentir en grande partie à cause d'un chant "too much over the top" qui frôle parfois le ridicule.

Mais tout cela serait pardonnable si la musique en valait la chandelle car là aussi, c'est la douche froide : refrains bidons et convenus, mélodies variétoches, grosse reverb sur la caisse claire, synthés "ultranumériques"... Seuls 4 titres sauvent l'album du naufrage complet. "Carmen", "Lion" et "Stranger In Town" sont de très bonnes chansons. Là, c'est du Toto qu'on aime ! Holyanna est une très belle surprise surtout que ce morceau vient conclure une face B bien médiocre...

Si vous aimez fermer le poing et sussurer un "In The Heat Of The Night..." (parole typique et gros cliché des années 80) et que vous aimez aussi porter chez vous un bandana sur un magnifique mulet, un jeans serré, des baskets et un débardeur, cet album est pour vous ! Foncez l'acheter ! Ma note est 2,5 en réalité.







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