Le 03 Avril 2018 par DARKPOET

Absolument nul de bout en bout
"Learning to fly" sauve un peu cette grosse arnaque
C'est lourd, pathétique, bling bling…

Le 03 Avril 2018 par DARKPOET

Je trouve ce concept album absolument dément personnellement.
Gilmour n'a jamais aussi bien joué ; le son, la prod. pour l'époque est incroyable
Après il y a les "pro Darkside of the moon" et les "pro The Wall"
Histoire de sensibilité. C'est vrai que cet album est contemplatif et négatif.
Mon préféré avec "Animals"

Le 03 Avril 2018 par DARKPOET

Tu es dur Léo…
Franchement tout est histoire de sensibilité.
Moi j'aime bien. Oui c'est du neoprog et l'influence de Marillion est évidente
mais de beaux moments nostalgiques et un excellent guitariste (John Mitchell)
Enfin je me réfère surtout à l'album "the visitor" qui est vraiment bon.
"Immortal" et "Pepper's Ghost" ne sont pas "degueu…" non plus

Le 03 Avril 2018 par LORDI2

c'est facile comme comparaison on dirai du Michael Jackson dans ses meilleures jours ! King of Pop 5/5!

Le 03 Avril 2018 par PILGRIMWEN

Il est vrai que cet album, à sa sortie, se démarquait du lot Hard Rock et Metal.

Du disque "Opus Eponymous", je retiens surtout la chanson "Elizabeth". Elle est envoûtante !

Le 03 Avril 2018 par NONO

"Bruce Hornsby & The Range" est un peu au carrefour musical entre Bruce Springsteen et Huey Lewis & The News (dont le chanteur a d'ailleurs contribué à la production de cet album !), le tout mettant un accent spécifique sur le piano de Bruce Hornsby. C'est un peu de la West-Coast à tendance légèrement countrysante (ce qui "rafraîchit" le son)et même cajun par certains endroits. J'adore cet album. Dommage que la carrière du groupe fut si éphémère !

Le 03 Avril 2018 par BAAZBAAZ

Intéressant.
J'essaie de me mettre dans la peau de quelqu'un qui aurait acheté et apprécié ce disque à sa sortie en 1995.
Le Grunge est encore triomphant, la Britpop explose, on redécouvre les KINKS ou THE JAM, Paul Weller redevient à la mode, Le Metal indus et la Goa se fraient un chemin vers le grand public...
Dès lors existe-t-il quelque chose de plus improbable et de plus anachronique qu'ARENA ?
Quelques années plus tard, avec le retour du Metal épique et mélodique, je ne dis pas... Mais au milieu des 90s c'est presque un acte d'anti-conformisme d'une radicalité inouïe.

Je serais par ailleurs bien incapable d'évaluer cette musique. Je n'ai rien contre a priori. Mais pour le fan de GENESIS que je suis, le chant est insupportable.

Le 02 Avril 2018 par NONO

Album vraiment très médiocre, exceptés "Rubberband Girl" ainsi que la chanson-titre, absolument excellents. Le reste : rideau... malheureusement.

Le 01 Avril 2018 par BAKER

J'ai une petite anecdote personnelle au sujet de "Valley of the Kings" : lorsque je l'ai écoutée pour la première fois, c'était donc en 1995, je commençais à m'épanouir musicalement mais me cherchais encore un peu.

Lorsque j'ai écouté les 15 premières secondes de ce titre, je me suis exclamé dans la bagnole, tout haut : "putain, voilà ! voilà, c'est CA que j'aime, ce son, cette ambiance !".

C'était à la sortie 12 Ponthierry / Pringy de l'A6 un jeudi à 15h, alors hein eh oh on m'la fait pas ^^ Véridique évidemment, mais le plus curieux est qu'après avoir écouté l'album XXXXX fois, Valley est peut-être la chanson que j'aime le moins (je parle des "vraies" chansons, pas des segues) mais cette intro me fait toujours le même effet.

Bon, je vous laisse admirateurs et allergiques confondus, je dois m'atteler à la kro du second album, qui sera plus délicate comme les fans s'en doutent :)

Le 01 Avril 2018 par BALDRICK

A elle seule, la chanson épique "Valley of the Kings" justifie l'achat de ce disque qui, sans être exceptionnel, m'a donné beaucoup de plaisir. Le jeu de Mick Pointer ne me dérange pas outre mesure et John Carson a le mérite de ne pas être un énième clone de Peter Gabriel.

Le 01 Avril 2018 par CLANSMAN57

Je me dois de laisser un commentaire sur un album d'Axel Bauer.
En toute honnêteté, je ne connais aucun de ses albums, mais il y a quelques années de ça, j'ai pu assister à un concert gratuit de ce monsieur dans le cadre de la Fête de la Musique, qui a eu lieu dans une petite ville alsacienne (eh ouais, il s'en passe des choses dans les petites villes ou villages par chez moi).
Niederbronn pour être plus précis.

Quelques années auparavant, dans une ville voisine de celle-ci, Calogero était passé pour la même occasion, si je me trompe pas.
Bon, il n'était pas seul à l'affiche, c'était non payant également, mais je me suis senti arnaqué tout de même...
Il a joué 2 ou 3 chansons puis il s'est barré, tandis que le Bauer s'est donné à fond pendant 1h30 (voire plus).
Il s'est même pris le temps de faire monter une demoiselle du public sur scène pour chanter avec lui!

Merci pour ce concert mémorable, Mr Bauer!
C'était super de pouvoir constater que le mec n'avait pas un égo surdimensionné.

Le 31 Mars 2018 par LEO

Je partage l'avis de GG et j'irai encore plus loin, je n'aime pas ARENA ni la plupart des groupes de la vague neo-prog style Pallas, Pendragon, Shadowland & Co.
Sans parler des compos inintéressantes, le jeu des musiciens (Mick Pointer en premier lieu) et la voix du chanteur est rigide et sans âme. c'est du réchauffé et on est vraiment très loin du rock progressif originel ou la plupart des formations du genre avaient un style bien distinct.
Bien que pas vraiment amateur de Marillion, je reconnais qu'un album comme Fugazi a un truc bien à lui et a au moins le mérite d'être vivant dans son interprétation, ce qui n'est pas le cas ici ou tout est joué d'une façon robotique et sans swing (je n'invente rien, BAKER l'a écrit lui-même dans sa chronique !).
En fin de compte, de tout le courant neo-prog il n'y a que la musique de IQ qui trouve grâce à mes oreilles, et ce-malgré ses influences un peu trop prononcées, mais les compos sont tellement bien ficelées et le jeu des musiciens ressenti que j'arrive à passer au dessus de ces petits défauts.
J'arrive à comprendre pourquoi Steven Wilson ne souhaitait pas que l'on associe Porcupine Tree avec la scène progressive des années 90, car franchement lorsque l'on écoute ARENA et Porcupine Tree, il n'y a pas photo, c'est bel et bien tout un monde qui sépare ces 2 formations.
Porcupine Tree a transcendé un genre musical là où ARENA n'a même pas réussi à égaler ceux de ces prestigieux aînés.

Le 31 Mars 2018 par CLANSMAN57

J'ai passé un bon moment en écoutant cet album, le premier que je me fais de Pierpoljak.
Je ne pensais pas que la musique de cet artiste puisse être aussi agréable à mes oreilles.

Bonne chronique en passant, pas trop longue avec ce qu'il faut dedans pour donner envie d'y jeter une oreille.

Le 31 Mars 2018 par GG

5/5 ! Excessif non ? Arena c'est sympa mais on est très loin d'un chef d'oeuvre du prog ... Mick Pointer "viré pour incompétence", qui le défendra ? Dix ans plus tard, son jeu n'a pas changé !

Le 31 Mars 2018 par NONO

Comme j'ai dit dans une autre chronique, c'est vraiment la voix de Gaetan Roussel qui m'insupporte. La musique n'est pas désagréable, ce style un peu folk / tsigane est marrant et rafraîchissant. Mais la voix du chanteur, bordel ! Dans "J't'emmène au vent" ou "Léa" notamment, le mec a presque une voix d'attardé. (Oui je voudrrrrrais que tu te rrrappelles notrrr'amourrrette est pas arrrrrtificielle). Ceci dit, sa voix s'est amélioré avec le temps et en carrière solo, Rousssel a une voix beaucoup plus appréciable je trouve, ce qui est une bonne chose !

Le 31 Mars 2018 par NONO

Désolé mais la voix de Gaetan Roussel, je peux pas, non...je peux vraiment pas !

Le 29 Mars 2018 par BAAZBAAZ

Pas aussi bon que Born Under Saturn, cet album met un peu de temps à se faire apprécier. Il faut supporter une certaine monotonie et des couplets qui se ressemblent tous. Le chant de Vincent Neff est toujours aussi déroutant, avec de longues phrases élastiques à la fois originales et peu mémorisables.

Comme à chaque fois DJANGO DJANGO se révèle incapable de passionner d'un bout à l'autre, et "Tic Tac Toe" ou "Fountains" sont vraiment de l'infâme remplissage.

Mais parfois le groupe met dans le mille : "Marble Skies", "Sundials" ou "Beam Me Up" sont passionnantes et fonctionnent parfaitement.

Surtout, la phénoménale "Surface To Air" est une délicieuse boule à facettes que l'on peut d'ores et déjà classer parmi les tubes de ce début d'année.

Difficile tout de même de savoir où va DJANGO DJANGO. Chaque album est plus simple que le précédent, plus épuré et moins ambitieux. Les mêmes mélodies sont recyclées et une immense lassitude se profile à l'horizon. Alors même que MGMT vient de sortir l'un des disques de l'année et que le UNKNOWN MORTAL ORCHESTRA s'annonce tonitruant (un peu trop peut-être), on ne peut s'empêcher de penser que le groupe est en train de se faire sérieusement distancer par ses pairs.

Le 29 Mars 2018 par RICHTER

Après la déferlante de l'album éponyme, Louise Attaque sort en l'an 2000 son deuxième album. Une opération forcément casse gueule ?
Et bien pas du tout. A la différence du premier album que j'ai du mal à réécouter à force de l'avoir entendu, Comme on a dit est un album qui met plus de temps à se découvrir.
Et qui finit par deux titres qui ne semblent pas avoir été appréciés par l'auteur de la chronique alors que moi ce sont ceux que j'apprécie le plus (La ballade de basse et du nord au sud).
Par contre ils auraient dû s'arrêter là...

Le 29 Mars 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

Chapeau CHIPSTOUILLE pour ta culture musicale.

Le 28 Mars 2018 par LEO

TED NUGENT inaugure sa période chez Atlantic avec cet album inoffensif et inintéressant au possible.
Que le guitariste ait édulcoré sa musique pour plaire au plus grand nombre n'est pas un reproche en soi car franchement, malgré leur côté bien heavy, ni Scream Dream ni Intensities in 10 Cities n'étaient palpitants avec leurs riffs éculés. il était donc bien légitime que TED (bien appuyé par sa maison de disque) ait souhaité diversifier son propos, mais qu'il le fasse d'une façon aussi banale et insipide tient de la faute de goût totale.
Sincèrement, je n'arrive à rien retenir de cet album générique dans lequel toutes les compos se ressemblent et où il n'y a rien à sauver.
De mon point de vue, l'unique fois ou TED NUGENT a pleinement réussi à enjoliver son rock dur de sonorités plus radiophoniques est sur le brillant State Of Shock qui mixait savamment les 2 tendances sans que jamais l'une ne vienne prendre le pas sur l'autre. ici, on a aucun grain de folie et l'inspiration est à zéro, avec en point culminant "Tailgunner" une énième copie de "Stranglehold" qui tourne à vide.
"We're Gonna Rock Tonight" répète à l'envie le père NUGENT..... tu parles TED, c'est pas avec ça que ça va chauffer dans les chaumières !