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JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 21 Mars 2018 par THORWALD


"Le meilleur album de Judas Priest depuis Painkiller". C'est un peu ce qu'on a tendance à lire partout en ce moment. La grande majorité des fans semble comblée par cette dernière livraison, le groupe bat des records dans les charts...

Hum mais non.

Déjà, ce qui m'énerve, c'est que chaque nouvel album du groupe depuis 1990 est condamné à être comparé à Painkiller. Chef d'oeuvre certes, mais qui n'est pas représentatif de la carrière du PRIEST. Il serait plus juste de la jauger à l'aune d'un "Screaming For Vengeance" à mon sens. Mais bon ce n'est pas bien grave.

En ce qui me concerne, pour ce qui est de la période post-2000, on est très loin du niveau de "Angel of Retribution". Rien dans Firepower n'est de la trempe d'un "Judas Rising", "Hellrider" ou "Lochness". Et je ne parle même pas de "Nostradamus", magnifique album qui a permis d'apprécier le groupe sous un nouvel angle. Un opus certes un peu long, mais qui comporte les derniers grands solos du PRIEST et des mélodies très fortes sublimées par un Rob Halford au sommet.

Je ne sais pas si "Firepower" est réellement plus punchy que "Redeemer of Souls". Certes le retour à une production digne du groupe booste les compos mais ça n'est pas vraiment un argument. Une bonne prod' peut-être un cache-misère et je pense que c'est un peu le cas ici. C'est bien fait, il y a du savoir-faire, c'est très homogène mais du coup aucun titre ne ressort réellement pour espérer devenir un classique, contrairement à "Halls Of Valhalla" sur Redeemer. Les riffs ne sont globalement pas assez inspirés et exploitent pauvrement la gamme mineure, les solos sont peu marquants et trop concis et pas mal de refrains sont aux fraises ("Children of The Sun", "Never The Heroes", "Lone Wolf"). L'intro de Traitors Gate me fait quant à elle beaucoup penser à celle de "Battle Hymn" de vous-savez-qui, ce qui m'agace.

Par contre Rob est vraiment en forme et ses interventions dans les aigus sont beaucoup plus réussies que sur l'album précédent.

Au final, je retiens 6 titres: l'éponyme, Lightning Strike, Evil Never Dies, Rising From Ruins, Spectre et surtout "No Surrender" qui a tout d'un petit tube. Le reste oscille entre le passable et le mauvais.

Allez je suis gentil je mets 3/5 parce que c'est mon groupe préféré mais je ne pense pas que cela mérite plus, ni que les autres écoutes à venir viendront altérer mon opinion.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 20 Mars 2018 par NEOW


Selon ma propre expérience, je considère généralement qu'on est en droit d'être moins exigeant sur qualité d'un album passé un certain âge. Les dinosaures du heavy metal accouchent rarement de grands albums passé leur âge d'or. Oh, évidemment, il y en a toujours des bons, parfois de très bons, mais très souvent aussi des disques moyens, voire mauvais. En revanche, des albums qui seront cités en référence dans leur discographie, c'est rare. Pour tout dire, j'ai l'impression que chaque vénérable groupe de heavy a eu son album fulgurant durant/après les années 2000. Inferno pour Motorhead, The Inner Sanctum pour Saxon, Blood of the Nations pour Accept, ou bien sûr Brave New World pour Iron Maiden... Et Firepower pour Judas Priest.

Je suis un gros fan de Judas Priest et malgré tout je n'attendais rien suite à un Redeemer of Souls bien trop fatigué. Puis les titres diffusés m'ont intrigué, enchanté, conquis. Deux semaines que j'écoute Firepower en boucle, et j'y trouve plus que ce que j'avais espéré. Toutes les chansons sont bonnes (à la limite, j'aime moins Lone Wolf), la prod est énorme, le groupe a retrouvé la hargne et l'envie d'en découdre. Ce n'est peut-être pas très original, mais c'est carré, bien exécuté et ça fout la patate. Et puis Rob quoi. Le Metal God, le seul et l'unique. Même à 66 ans, il s'adapte, il sublime les compos.

Comparativement, l'album est plus constant qu'Angel of Retribution, évite les longueurs de Nostradamus et est supérieur en tous points (absolument tous) à Redeemer of Souls. Les deux albums avec Ripper, je n'en parle même pas (et pourtant je l'aime bien le brave le Tim). Pour moi, Firepower est le meilleur album de Judas Priest depuis Painkiller. Et s'il ne pourra jamais rivaliser avec les plus grands moments de la carrière du Priest (rien qu'au niveau affectif, c'est trop tard), il n'en est pas moins un album que je trouve réellement enthousiasmant et qui au final n'a pas à rougir face à ses illustres grands frères.

Ca vaudrait plus 4 que 5, mais j'y vais pour le 5 car The Priest is Back !





Kate BUSH
THE KICK INSIDE


Le 20 Mars 2018 par NONO

@ Azer : Ah, toi aussi tu en es amoureux de la Miss Bush ? Et moi donc ! Quoi que je me dois de raisonner un peu "au passé", elle a pris en quelques dizaines d'années un nombre impressionnant de kilos... mais ça c'est une autre histoire....





Eddy MITCHELL
ZIG-ZAG


Le 20 Mars 2018 par SGT JAKKU


Je n'ai jamais su quel était le délire derrière la pochette qui pastiche la marque du papier à rouler Zig-Zag à moins qu'Eddy roulait ses clopes à l'époque avec la fameuse marque française^^
Je fais partie des fans inconditionnels de Zig-Zag (j'ai même acheté le re-pressage du vinyle).
J'aime cet album pour sa production, son esthétique de l'époque, sa "kitcherie" et les quelques titres très mélodiques et cools qui le parsèment. Zig-Zag est clairement une curiosité dans la discographie d'Eddy et fait partie d'une tétralogie (Mitchellville-Rock'nRoll, Zig-Zag et Dieu bénisse le Rock'n'Roll) vraiment à part car pas très représentative du style Mitchellien.
Morceaux préférés : C'est facile, Cash, En revenant vers toi, La nuit des maudits (il est super ce morceau, pas du tout d'accord avec la critique !), Personne, Stop (avec Magma j'adore !), Tout est dit, Je quitte la ville...Cet album est génial ! 4,5/5





PORCUPINE TREE
ARRIVING SOMEWHERE (DVD)


Le 20 Mars 2018 par CLANSMAN57


Je visionne rarement plusieurs fois les DVD's musicaux, j'ai dû le regarder 2 ou 3 fois celui-là.
De souvenir, j'ai passé un plutôt bon moment, malgré une set list qui zappe effectivement pas mal de petites perles.
Il est vrai que l'image n'est pas au top, bien vu.
Et c'est bizarre de commencer avec la très moyenne "Open Car".

C'est bien, mais j'ai vraiment un problème avec les "produits concerts", je préfère définitivement les albums en studio.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 20 Mars 2018 par VALANDRYL


La note de 3/5 me paraît un peu surréaliste, tant les critiques du monde entier rivalisent de superlatifs sur cet album, c'est plutôt difficile de juger que l'avis ici est que ce "Firepower" est "correct", du même niveau que "Redeemer Of Souls" ou "Jugulator", et inférieur à un "Sin After Sin". Bien sûr une chronique est subjective, mais tout de même, là c'est vraiment difficile à justifier.

Alors, peut être la faute à une fin d'album mal organisée avec deux titres médiocres en fermeture de disque, ce qui fausse l'avis après l'écoute. Je ne sais pas. Mais je suis vraiment dubitatif par rapport à une chronique blasée et sévère d'un disque pourtant encensé dans le monde entier.


Par Forces Parallèles

Salut,

"Les critiques du monde entier rivalisent de superlatifs" ? C'est bien possible, je m'en contrefiche totalement, je n'ai pas pour habitude de suivre les opinions générales.
Je n'ai pas dit que Firepower était correct, j'ai dit "une super moyenne" et je note à 3.5. Je ne l'ai jamais comparé à "Redeemer", "Jugulator" ou "Sin", mais si je devais le faire, je dirai qu'il est plutôt au dessus de ces trois albums, je n'ai jamais été fan de sin after sin, dont le son est vraiment trop passé pour moi. Judas débute à mon goût dans le lourd avec Unleashed in the east.

Ma kro n'est pas blasée pour 2 sous, elle est juste objective. Les gars ont tous un bel âge, Glenn va faire 71 ans... Rien d'étonnant à ce que le niveau s'émousse. Simplement je ne vois aucun classique dans cette livraison, pas de "Lovebites" de "Victim of changes" ou de "Breaking the law" pour en prendre 3 au hasard. L'album est donc agréable, mais sans réelle surprise. Qui plus est, j'en préfère la fin. Tu vois que les goûts et les couleurs...

Je pense que la critique mondiale provoque cette impression - illusion- générale d'excellence. C'est très bien foutu, mais je parie que pas un seul des titres ici présent ne s'alignera dans 20 ans face aux grands classiques du PRIEST, le dernier grand morceau proposé par le Priest est pour moi sur Angel of retribution, il s'agit de "Loch ness"... Dont acte. 3.5, bien payé.

Bien à toi
Erwin





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 19 Mars 2018 par MARTOS

En réponse à Aigle Blanc (désolé, un peu HS par rapport à la chronique, n'ayant pas écouté l'album) : je ne sais pas si on doit baisser son niveau d'exigence en se disant que la probabilité qu'un groupe sorte un chef d'oeuvre, après autant d'années de carrière, est quasiment nulle. je prends un exemple qui vous parlera (dans un autre genre) : Steve Roach. De 1988 à 2015, on trouve dans sa discographie de très nombreux chefs d'oeuvre - ou tout du moins d'excellents albums - : Dreamtime Return, The Magnificent Voïd, Serpent's Lair, Les Mystic Chords, New Life Dreaming, Nada Terma, Sigh of Ages, Skeleton Keys...

Il y a d'autres artistes: Lustmord avec Word As Power, Irfan (peu d'albums on est d'accord), Killing Joke...

Ainsi, concernant Judas Priest, l'auditeur est en droit quelque part d'attendre un nouvel album de la trempe d'un Defenders of the Faith ou Painkiller. En outre, l'art devrait je pense être une discipline dont l'objectif est de se dépasser constamment.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 19 Mars 2018 par AIGLE BLANC

La lecture de cette chronique me renvoie à une question fondamentale à laquelle tout fan d'un artiste se trouve confronté au cours des années qui défilent. Chacun de nous attend de son groupe fétiche qu'il soit capable de nous pondre un nouveau chef-d'oeuvre au bout de 35 ans de carrière... Et avouons-le ici sans ambages : cela ne se produit quasiment jamais. Non que nos artistes favoris aient perdu tout leur talent en vieillissant (quoique cela arrive aussi malheureusement), mais non seulement nos artistes sont le fruit de l'époque qui les a vu naître, mais de plus nous-mêmes sommes le fruit de l'époque au cours de laquelle nous les avons écoutés avec tant de passion. Nos attentes sont rendues exigeantes par les années d'écoute et l'expérience accumulées. Judas Priest ne peut plus contenter ses fans les plus hard-core car l'époque actuelle n'a plus aucun rapport avec celle qui l'a vu éclore au début des années 80. La motivation n'est plus la même. C'est l'urgence qui fait défaut à un groupe ayant plus de 30 ans de carrière au compteur. Tous les artistes en sont frappés, c'est la vie... et les fans que nous sommes ne cessons de nous lamenter à chaque sortie d'opus car nous espérons toujours voir renaître le miracle... Mais un miracle par définition reste une exception. C'est malheureux mais c'est ainsi.
Le fait que Judas Pries soit capable de sortir un album semble-t-il honnête au vu des avis émis par ses fans est déjà en soi une source de contentement et de réussite.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 19 Mars 2018 par LONG JOHN SILVER


"Quel guitariste n'a jamais piqué un plan à Glenn et KK ?"
Bah moi...
J'ai jamais essayé, peut-être une question de capacité, me direz-vous ?
Que vous êtes méchants !
Les soli de JP ne m'ont jamais trop marqué, c'est l'ensemble, le tout, la compacité du groupe, qui me parlent. Redeemers était sacrément mou alors forcément Firepower sonne bien meilleur.
Donc Clansman57, nous voilà trois. :)
Un bon skeud de HM que cet opus, ni plus ni moins : du solide, du carré avec de la niaque et c'est déjà très bien.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 19 Mars 2018 par CLANSMAN57


C'est fou le nombre de notes maximales attribuées à ce dernier Priest, sur divers webzines.
Et en lisant Erwin, je me sens moins seul.
C'est effectivement bien fait, le tout s'écoute de A à Z, mais il n'y a rien qui puisse se hisser au niveau des nombreux classiques du groupe comme il l'écrit.

J'ai aussi ce sentiment d'un petit quelque chose qui manque.
Peut-être que le tout est trop générique?
Les riffs sont bons, les solos aussi, mais lesquels rentreront au Panthéon du Metal, dont les portes semblent pratiquement closes?

Ceci étant, ça fait quand même plaisir de pouvoir réentendre un ancien qui retrouve un peu de sa superbe, malgré le problème de santé de Glenn.









JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 19 Mars 2018 par IRONGE_MAIDENT


Comment aimer ''Redeemer..'' et lui coller 3 étoiles?
Tandis que celui-ci possède le son, les compos, bref tout, dans un seul et même paquet.
J'ai adoré la chanson "Evil Never Dies" qui est géniale de bout en bout.
Chaque chanson fait son effet, et des plus réussis.
Si on pouvait dire que la batterie était linéaire sur Angel Of Retribution, ici Scott Travis signe un beau boulot.
Tout le monde fait son job et correctement, (écouter encore Redeemer..).
Ma chanson favorite de Firepower est "Traitors Gate" qui est géniale, une dose de violence parfaite.

Halford vieillit, on vieillit tous, sauf que le groupe n'est pas prêt à en découdre, et c'est tant mieux.

4.5/5





The BYRDS
FIFTH DIMENSION


Le 19 Mars 2018 par KID66


Définitivement le BYRDS de la grande époque le moins marquant, avec un groupe épuisé, tâtonnant depuis le départ de Gene Clark et le cul entre deux chaises.

Les reprises et ré-interprétations sont comme toujours belles et bien foutues mais manquent de saveur et de spontanéité. Certains morceaux montrent en revanche une volonté d'évoluer au travers du psychédélisme, avec notamment le fameux "Eight Miles High" (légué par Clark), classique un brin surestimé. Dans cette même veine on trouve du bon ("What's Happening ?!?!" et le superbe "Fifth Dimension") et du plus dispensable ("I See You"). Ajoutons à ce disque déjà assez déséquilibré quelques fillers ("Captain Soul", la dernière plage) et on reste au final sur une impression un peu mitigée.

Mais patience, Crosby et Hillman nous émerveilleront avec l'album suivant.





The FUTURE SOUND OF LONDON
ISDN


Le 18 Mars 2018 par MARTOS


Cet album de The Future Sound of London est un excellent cru.

Outre son ambiance cinématographique particulièrement réussie (l'album pourrait presque constituer à lui tout seul une BO alternative au film Blade Runner), ce disque fusionne judicieusement différents courants électroniques avec d'autres styles musicaux. Ainsi, on trouve au sein de ISDN une majorité de morceaux typés électro-ambient (comme le premier titre), mais aussi des titres électro-jazz (cf la seconde plage), des morceaux trip hop, expérimentaux, voire world music (l'exemple le plus marquant étant le titre Egypt). Cette diversité musicale n'empêche pas à l'album d'être homogène en termes de qualité : toutes les compositions sont remarquablement construites et percutantes (mention spéciale tout de même à l'excellent Dirty Shadows).

En outre, le disque comporte un invité de marque en la personne de Robert Fripp (selon le livret, les textures de guitares utilisées par le duo de FSOL seraient en effet issues d'un live auquel auraient participé les trois protagonistes, et qui a été diffusé à la Radio 1 FM le 14 mai 1994). Toutefois, bien que crédité sur l'album, la présence du leader de King Crimson est difficilement discernable : je ne soupçonnais pas qu'il participait au titre Dirty Shadows par exemple. Un autre morceau de l'album fait malgré tout penser très fortement à l'univers "frippien". Il s'agit de la fin du titre Tired, dont les discrètes parties de guitare évoquent certains passages de l'album Masque du Projekct Three (ce dernier étant sorti 6 ans après la parution du présent disque).

Pour conclure, ISDN, bien qu'assez peu connu, est pour ma part le meilleur disque de FSOL, devant Dead Cities et Lifeforms.





MOONSPELL
1755


Le 18 Mars 2018 par DINICED


Quelle surprise que ce 1755... je ne m'attendais pas du tout à ça ! Je regrette carrément de ne pas comprendre le portugais, la musique a tellement l'art de coller au thème, ça sent le Cataclysme Divin dans chaque note ! Quel bel hommage à Lisbonne.
Dommage que le chanteur n'utilise pas son chant clair qu'il maîtrise à la perfection.
Inclinaison maximum du buste en signe de respect pour l'illustrateur (version vinyle en particulier, muito lindo !), l'artwork est sublime.
Un hors-série qui fait bien plaisir.





Ted NUGENT
INTENSITIES IN 10 CITIES


Le 17 Mars 2018 par LEO


Ces 10 compos jamais enregistrées en studio et captées en concert à la fin de l'année 1980 sont un peu la suite logique de l'album Scream Dream. c'est à dire qu'il s'agit d'une enfilade de riffs basiques pas très inspirés et plus propice au défoulement qu'à autre chose. celà dit, la guitare et le chant déchaîné de TED NUGENT (ainsi que celui de Charlie Huhn) est beaucoup plus supportable dans cet enregistrement en public que sur l'album studio précédent dans lequel les aigus et les médiums prédominaient, sans parler de la voix sursaturée sur la majorité des morceaux qui me rendait la chose quasi-inécoutable !
Je retiens essentiellement les trois premiers titres: "Put Up Or Shut-Up", "Spontaneous Combustion" et "My Love Is Like A Tire Iron". pas besoin d'aller au delà, les riffs étant interchangeables pour la plupart.
Voilà, en ce qui me concerne TED aura fait trois albums excellents (Ted Nugent, Cat Scratch Fever et State Of Shock) et trois albums moyens mais contenant malgré tout de bons moments (Free-For-All, Double Live Gonzo! et Weekend Warriors). pour moi ça part gravement en sucette à partir de Scream Dream et de ce live qui montrent un guitariste en panne d'inspiration et en perte de vitesse. la suite de sa carrière ne fera que le confirmer.
Intensities In 10 Cities est clairement la fin d'une époque pour le père NUGENT.





DISCHARGE
HEAR NOTHING, SEE NOTHING, SAY NOTHING


Le 17 Mars 2018 par ARTHOFZAFT


Une bombe de destruction terrible!
Qui brûle quand on ferme les yeux, et qui gratte longtemps après.
The Nightmare continues!
Protest & Survive!!!
Et cette pochette.
Non Monsieur je ne vous cèderai pas la place. Plutôt crever, tous ensemble. Dans un bain de sang.
Si on doit causer musique, j'ai lu des commentaires qui citent Metallica, Slayer, je sais pas quoi...
Peut-être, je sais pas, je me souviens que j'avais un poster de Metallica... Hetfield et Hammet portaient des T-Shirts Discharge.
Mais j'ai cramé ma tronche sur Hear Nothing à la première écoute. Avant Kill'em All.
J'ai jamais écouté un autre de leurs albums, et j'aime que le premier Metallica.
Drunk with power!





SONS OF APOLLO
PSYCHOTIC SYMPHONY


Le 16 Mars 2018 par ANAXANDRE


En tant qu'amateur du Dream Theater première période toujours à l'affût des nouveautés auxquelles Portnoy participe, je me suis bien évidemment jeté dès sa sortie sur ce 'Psychotic Symphony', espérant trouver - enfin ! - une suite digne du travail commencé avec DT, avec plus de maturité artistique, et Labrie en moins (!)...
Déception... Oui, déception... Et ça me fait presque mal de l'avouer ! Pourtant je me suis forcé : multipliant les écoutes, essayant d'accrocher à tel ou tel titre, tel ou tel passage; rien n'y a fait. Il ne me reste en gros rien en mémoire de ce disque.
Un conseil : écoutez plutôt le dernier The Neal Morse Band : 'The similitude of a Dream', qui lui vaut largement le détour (alors que j'avais été assez déçu par les dernières productions de la désormais fameuse paire Morse / Portnoy).
Donc juste deux petites étoiles pour moi parce qu'on attend quand même bien mieux de la part de ces gars-là.





The DOORS
FULL CIRCLE


Le 16 Mars 2018 par SPI


Après "Other Voices", on pensait qu'ils avaient touché le fond et qu'ils ne recommenceraient plus. Hélas, ce "Full Circle" arrive. Les 3 d'origine restent de bons musiciens mais l'âme du groupe s'en est allée (vous voyez de qui je parle, non ?). Consternant !





SONS OF APOLLO
PSYCHOTIC SYMPHONY


Le 15 Mars 2018 par NIBARDROCK

Belle chronique, fun et écrite avec talent!! Elle confirme aussi mon avis basé sur trois titres que j'avais pu entendre aux hasards de mes pérégrinations youtubesques. Bah moi non plus je note pas hein, j'ai pas écouté l'album en entier et j'ai pas envie.





DEAD CAN DANCE
WITHIN THE REALM OF A DYING SUN


Le 15 Mars 2018 par MARTOS


Within The Realm of a Dying Sun est, sans conteste, l'un des meilleurs albums de Dead Can Dance, si ce n'est le meilleur.

Certes, Lisa Gerrard et Brendan Perry n'ont pas encore développé la totalité de leur potentiel vocal (La chanteuse passera encore un cap sur l'album suivant). Certes, la durée de l'album est relativement courte. Toutefois, ces défauts (si on peut parler véritablement de défauts) sont mineurs au regard des qualités exceptionnelles de cet opus.

Ainsi, "Anywhere Out of this World", la première plage du disque, plonge l'auditeur dans une atmosphère extrêmement sombre et prenante. Le second titre, un excellent instrumental, reste dans la même veine que la piste précédente. "In the Wake of Adversity" jouit d'une superbe mélodie, qui a vraisemblablement inspiré Alain Bashung pour "Madame Rêve". "Xavier" est peut être le meilleur morceau du disque : introduit par le chant lyrique et aérien de Lisa Gerrard, il monte progressivement en puissance pour atteindre son paroxysme sur le magnifique refrain chanté par Brendan Perry. "Dawn of the Iconoclast", malgré sa durée limitée, est l'occasion pour l'artiste australienne de délivrer une performance de toute beauté, et démontre (si cela restait encore à prouver) que cette dernière domine d'une tête l'ensemble des chanteuses affiliées au genre heavenly voices. "Cantara", quant à elle, est une chanson plus rythmée, limite orientale, au climat des plus énigmatiques. Arrive ensuite le deuxième chef d'oeuvre de l'album, "Summoning of the Muse", à l'ambiance mortifère particulièrement réussie. L'album se conclut par un très bon morceau intitulé "Persephone", dont l'entame évoque la musique d'introduction du film Shining.

Within the Realm of a Dying Sun est donc l'un des disques les plus marquants du duo et du style gothique (avec The Divine Punishment & Saint Of The Pit de Diamanda Galas), souvent imité, mais jamais égalé.







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