Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


MASSIVE ATTACK
MEZZANINE


Le 17 Février 2018 par ERONE


Massive Attack prend un virage nettement plus sombre dans cet album. Le côté soul se dissipe totalement, ce qui créera des tensions au sein du groupe.

On se retrouve donc avec un album bipolaire, entre des atmosphères noires et étouffantes comme celles de Risingson, où le flow désabusé de 3D prend tout son sens (qui m'a fait beaucoup penser à celui de Damon Albarn sur le 1er album de Gorillaz ?) et des moments de pure grâce, comme le magnifique Teardrop. La chanson Black Milk arrive à faire le juste milieu, entre voix aérienne et quelques bips menaçants nous rappelant le décor global.

Beaucoup de spleen en général dans l'album, renforcé par le sampling de plus en plus relégué en fond, au profit des claviers et autres instruments (on sent que Archive et Portishead sont passés par là).

Même si la Face A est excellente, l'attaque massive perd en force vers la fin. Dommage.





Eddy MITCHELL
SEUL


Le 17 Février 2018 par SGT JAKKU


Super chronique ! Une seule petite remarque : je suis surpris de votre avis sur le son des albums 60's d'Eddy. Je vous trouve un peu dur. La plupart de ces albums ont bénéficié d'une production très soignée, pêchue et généreuse en fréquences et sont encore très appréciables à écouter. La basse et la grosse caisse sont bien mises en valeur, chose assez rare à l'époque. Et il y a ce son charmant et typique des années 60. Il y a cette fameuse saturation de la bande tant recherchée de nos jours et qu'on recrée de façon numérique, histoire de vieillir le son et de lui donner un cachet. Si on se remet dans le contexte des ces années-là, les albums d'Eddy figuraient haut la main parmi les meilleurs en terme de son (et artistiquement aussi).





PORCUPINE TREE
DEADWING


Le 15 Février 2018 par MR TINKERTRAIN


Merci Finishthem pour ce commentaire qui résume parfaitement ma pensée. Porcupine Tree signe ici son 3e chef d'oeuvre. Et j'irais encore plus loin en disant que ce groupe est LE groupe de Rock des années 2000, en plus d'être le meilleur groupe de Rock Prog de ces 20 dernières années.





PORCUPINE TREE
DEADWING


Le 15 Février 2018 par FINISHERFRANKY


A lire les commentaires mitigés, les amis, je trouve que certains se comportent comme des enfants gâtés. Pratiquement tout confine au merveilleux dans cet album. Je me demande où ils trouvent ces mélodies mélancoliques belles à pleurer (Shesmovedon, Arriving Somewherre...). C'est à se damner. Mais Lazarus et Glass Arm Shattering, plus légers ou méditatifs nous permettent de sécher nos larmes.





SLADE
BEGINNINGS (AMBROSE SLADE)


Le 14 Février 2018 par ERIC


Salut, un grand merci pour cette chronique discographique de Slade. J'étais fan de ce groupe à mon adolescence, j'achetais tous leurs disques à leur sortie, 45T compris, jusqu'en 74. Ensuite je suis parti vers d'autres découvertes (il faut avouer qu'à cette époque les bons disques étaient nombreux). C'est donc en lisant toutes tes chroniques avec un grand intérêt, que j'ai appris la suite de leur carrière. Merci. Eric





Jeremy SOULE
THE ELDER SCROLLS IV: OBLIVION


Le 14 Février 2018 par MORMEGIL


"Chef d'oeuvre", "référénce", ouais c'est vite dit tout ça quand même. Bon déjà, le jeu : un excellent similateur de randonnée pour un très mauvais RPG (aucun Role play, système de combat catastrophique, quête principale fade). Il y 'a eu tellement mieux avant et après ce jeu. Il parvient à capter à l'intention car graphiquement c'est vraiment du très haut niveau, très détaillé, oui c'est une vraie invitation au voyage pedestre. Mais ça ne suffit pas à en faire un bon RPG. Cela dit, effectivement, la musique est une de ses forces, qui contribue à l'immersion dans cet univers, c'est très vrai.

Après faut pas exagérer, détachée de son support d'origine (le jeu, donc), cette BO n'est que de très peu d'intérêt. On reste dans la BO Orchestrale très conventionnelle, avec des morceaux beaucoup trop courts pour permettre une immersion musicale totale (ce qui est logique car cette courte durée est adaptée au jeu, mais pas pour une oeuvre qui se suffirait à elle-même sur CD). Et les pistes s'enchainent sans grande cohérence (allez, 2 minutes de musique vaguement épiques, puis 2 min d'ambiant bucolesque parcequ'on vient de sortir du 50ème donjon elfique généré aléatoirement).
Faut dire ce qui est, quitte à en froisser : ce type de BO, c'est de la symphonie du pauvre. Quand tu as d'un côté les oeuvres de Beethoven, Holst ou Stravinski, et là en face ce Oblivion par Jeremy Soule, désolé mais je rigole. Alors oui, on peut l'écouter une fois histoire de mieux comprendre le travail intéressant fourni par le compositeur pour agrémenter le jeu vidéo, mais de là à l'écouter régulièrement comme un véritable album à part entière, euh non, quoi.






Jeremy SOULE
THE ELDER SCROLLS IV: OBLIVION


Le 13 Février 2018 par BORAHKRETH


Aucune remarque sur "Peace of Akatosh" ? Je mets un pouce rouge, cette chronique est nulle.

Blague à part, une fois encore, SOULE montre que c'est une bête à enfanter des chefs d'œuvres. Impossible de mettre une note vraiment, pour ma part. Morrowind a été mon premier TES, et je préfère le gameplay de Skyrim à celui d'Oblivion (et effectivement, Cyrodil est plus fade, en comparaison), mais je n'ai retenu aucun morceau de Skyrim en particulier (même si l'ambiance sonore est très réussie, rien à redire là-dessus).

Mais je me souviens d'avoir acheté Oblivion le jour de sa sortie en collector, de m'être rendu compte que mon PC ne le faisait pas tourner et d'avoir attendu plus de 6 mois avant de pouvoir y jouer... Dieu sait que je l'ai attendu, et qu'il m'a accompagné (lui et ses musiques) un certain temps. Et Peace of Akatosh bordel : C'est le seul morceau que j'ai retenu de cette OST, mais il s'agit d'un de mes morceaux préférés dans ce style, et même tous styles confondus.

Et d'ailleurs, tout ça m'a donné envie de le relancer... damn you Derwijes !

Allez, 5/5, mais je note à la fois le jeu et l'OST, mes souvenirs de l'OST sont trop distants pour que je sois objectif !

PS: et j'ai appris en lisant tout ça qu'il avait fait l'OST de KOTOR et participé à celle de KOTOR 2 ? Sans déconner, ce mec est incroyable !





KING GIZZARD & THE LIZARD WIZARD
FLYING MICROTONAL BANANA


Le 12 Février 2018 par DKC


Grosse claque cet album, je ne décroche pas depuis des semaines.
Les autres albums du groupe me font un petit quelque chose mais rien de comparable avec celui-ci.

Je sais que ce n'est pas très constructif mais j'ai du mal à mettre des mots sur cette baffe.

Au passage, merci pour le site (et son jumeau), que je consulte souvent même si je commente pas. De bonnes découvertes et de l’éclectisme.






Mike OLDFIELD
RETURN TO OMMADAWN


Le 12 Février 2018 par NEBEL


Depuis 1975 et Ommadawn, Mike Oldfield et nous-même avons vieilli. Avec ce retour inespéré au son d'antan, les instruments se sont assagis et la névrose du jeune barbu a laissé place à une nostalgie de vieux bougon vivant seul sur son île. C'est un retour à l'essentiel, un repli vers Hergest Ridge effectivement, une escale à Ommadawn avec quelques (et très rares) gimmicks, une incursion en territoire Amarok avec certains passages qui atteignent les cimes. L'album finit par se suffire à lui même, par se ressembler : un voyage nostalgique d'une dignité désarmante et d'une beauté qui devient imparable au fil des écoutes.





Francis CABREL
SAMEDI SOIR SUR LA TERRE


Le 12 Février 2018 par NONO


Ce album est un peu au précédent ("Sarbacane"), ce que, chez Goldman, "Entre gris clair et gris foncé" est à "Non-homologué".
"Samedi soir sur la Terre" est un chef d'oeuvre rempli de tubes historiques, certes, mais j'ignore la raison, j'ai toujours préféré "Sarbacane". Peut-être parceque pour Cabrel, ces 2 albums ont été ses 2 véritables sommets artistiques et commerciaux, et le premier album a eu un effet de surprise, alors que le second capitalise un peu sur la "lancée" créée par le disque précédent ?
De toutes façon,s outre la qualité de la musique, les souvenirs jouent un grand rôle. Et pour moi la période allant de l'automne 1989 à l'été 1990 a été fabuleuse, et il se trouve que c'était aussi l'époque de passage en boucle des tubes de l'album "Sarbacane".





Francis CABREL
IN EXTREMIS


Le 12 Février 2018 par NONO

Waouh !.... c'est quand même bien dommage ces querelles de "goût", qui en plus n'apportent rien ! Je pense tout simplement qu'en matière de goûts artistiques, les choses seraient plus harmonieuses si les gens disaient "JE TROUVE QUE c'est bon (ou pas bon)", plutôt que "C'EST bon, ou C'EST pas bon....", énoncés comme des vérités absolues. Ces affirmations ne peuvent que créer des tensions !





George HARRISON
ALL THINGS MUST PASS


Le 11 Février 2018 par LEO


Complètement d'accord avec BAAZBAAZ !
Les compos de GEORGE HARRISON sur ce triple album sont superbes mais au lieu de les magnifier, ce malade de Phil Spector a submergé les arrangements
dans une reverb immonde (HARRISON n'avait pas tort dans ses reproches !).
Si le procédé n'est pas trop gênant sur des titres plutôt calmes et dépouillés comme "I’d Have You Anytime", en revanche ça se gâte sur des trucs plus soutenus comme "My Sweet Lord" et c'est effectivement la catastrophe complète sur "Wah-wah" dans lequel on arrive même pas à distinguer les guitares des cuivres. quand à la batterie, elle est noyée en arrière plan (un comble pour un morceau rock sensé avoir une assise rythmique !), et je ne parle même pas des choeurs ! bref c'est une horreur.
Je préfère la 1ère version de "Isn’t It A Pity" à la seconde qui fait un peu solennelle et forcée, mais quoiqu'il en soit le morceau reste sublime dans les 2 versions.
L'entraînant "What Is Life" est de nouveau imbibé de reverb. une plaie et un véritable gâchis !
"If Not For You" est totalement imprégné de Dylan (normal me direz-vous, elle est signée de sa plume mais quand même, l'interprète s'est complètement mis dans la peau du compositeur !).
La très belle ballade country "Behind That Locked Door" est quelque chose d'assez peu entendu chez HARRISON. c'est l'un des rares morceaux de l'album où la production est clean et sans trop d'effets.
En revanche sur "Let It Down" c'est tout l'inverse ! l'intro et les refrains baignent dans la reverb alors que les couplets échappent bizarrement à ce traitement.
"Run Of The Mill", "Beware Of Darkness" et le Dylanien "Apple Scruffs" sont épargnés avec un son plus épuré.
L'excellent "Ballad Of Sir Frankie Crisp (let It Roll)" contient de la reverb mais étonnamment elle sert pour une fois plutôt bien la compo à la tonalité vaporeuse.
Par contre dans "Awaiting On You All" aux accents gospel, Spector a porté à son paroxysme son 'Wall Of Sound' (wall of shit, oui !) et c'est une fois de plus une abomination.
La belle ballade "All Things Must Pass" (que Lennon et McCartney rejetteront durant les séances de Let It Be) est heureusement exempt des bidouillages douteux du producteur.
L'étrange "I Dig Love" m'a toujours fait songer au Lennon de la même époque (j'aurais bien entendu John la chanter sur son album Imagine).
Le plus rock "Art Of Dying" est marqué de la présence du guitariste Eric Clapton.
"Hear Me Lord" (un autre des morceaux de George rejetés par Lennon et Macca en 69) referme la partie 'chansons' puisque le reste ("Out of the Blue", "It's Johnny's Birthday", "Plug Me In", "I Remember Jeep" et "Thanks for the Pepperoni") n'est constitué que de jam sessions instrumentales plus ou moins intéressantes selon les prédispositions du moment.
Seul titre réellement inédit de ces sessions d'enregistrement, "What Is Life" figure parmi les bonus de l'édition 30th Anniversary. le morceau fut capté en 1970 mais ne reste d'origine que la piste vocale principale et la partie de pedal-steel guitar auxquelles ont été ajoutés en 2000 des choeurs, de la basse, des guitares acoustiques et de la boîte à rythmes joué par George, son fils Dhani se chargeant du piano électrique et des choeurs).
Les compos de cet album valent bien 5/5 mais la production brouillonne de ce siphonné de Phil Spector est plus que limite ! (ce n'est hélas pas le seul album a avoir été amoché par sa 'patte artistique' douteuse).





George HARRISON
ALL THINGS MUST PASS


Le 11 Février 2018 par BAAZBAAZ


Oui c'est un grand disque, mais il y a un problème : Phil Spector.

On ne le dira jamais assez : à quelques exceptions près, ce type était une escroquerie. L'équivalent, en son temps, de la course inepte à la puissance sonore qui fait à présent le régal d'un sagouin comme Rick Rubin ou des auditeurs de NRJ.

C'est bien simple, dès que c'est un peu rock et qu'il y a plus de trois instruments, ça devient de la bouillie. Un mur de son ? Non, plutôt une sorte de patouille indiscernable. Ecouter une chanson comme "Wah-Wah" au casque est à pleurer de douleur. Le gâchis est à la hauteur de celui accompli des années auparavant sur "River Deep – Mountain High".

Alors, j'imagine qu'à une époque c'était subversif ou révolutionnaire, et que tout le monde s'excitait quand les enceintes crachaient du gros son. Et avec le recul, on peut certainement considérer cela comme un exercice de style artistique que chacun est libre d'évaluer à l'aune de ses propres goûts.

Mais bon sang, que c'est laid !





BODY COUNT
BLOODLUST


Le 09 Février 2018 par MICKMP


Je crois qu'il dit plutôt "that's the sound of the police" mais c'est vrai qu'on a l'impression qu'il dit "assassin de la police".
Sinon sur l'album en soi, une belle claque dans la gueule, ça réveille, ça fait du bien par où ça passe. Un bon 4/5 pour le côté jouissif





BODY COUNT
BLOODLUST


Le 09 Février 2018 par FOQIOU


Madame Ice-T c'est celle qui quand elle daigne marcher sur un trottoir, une voie réservée au simple peuple, l'aspirateur est de sorti. Cette musique, c'est du foutage de gueule de millionnaire.





BODY COUNT
BLOODLUST


Le 09 Février 2018 par JEF DE LA LUNE


RYUK, "Assassin de la police" est en fait un morceau de Cut Killer (popularisé par la B.O du mythique film "La Haine") et non de N.T.M... Sinon Ice "Mothrfuckin'"-T rules...





BODY COUNT
BLOODLUST


Le 08 Février 2018 par RYUK


La belle référence à NTM sur Black Hoodie ("assassin de la police").
Merci de m'avoir fait redécouvrir ce groupe Erwin :)





YO LA TENGO
I CAN HEAR THE HEART BEATING AS ONE


Le 08 Février 2018 par RIKKIT


Post-shoegaze ? A moins que cette appellation ne corresponde mieux au précédent. I Can Hear the Heart Beating as One, l’album nocturne par excellence.





PEARL JAM
VS.


Le 08 Février 2018 par MR LARSEN


Cet album a une force de frappe hallucinante, marqué par des brûlots comme "Go", "Animal" et bien sûr "Dissident", mon morceau préféré de la galette. J'aime aussi le charme très 90's d'"Elderly Woman" et "Indifference", qui viennent conclure l'essai de belle manière, tout en douceur. D'une manière globale, ce "Vs" se veut beaucoup plus direct que "Ten", bien que moins tubesque et moins homogène. Mais comment surpasser des chefs d'oeuvre comme "Black", "Even Flow", "Alive" ou "Jeremy" ? Un peu moins bon que son grand frère donc, mais de très peu. Sans doute le dernier très grand disque de PEARL JAM.





Justin TIMBERLAKE
FUTURESEX / LOVESOUNDS


Le 07 Février 2018 par X


Depuis l'album Justified, notre chanteur pop charismatique a vécu bien des choses. Premièrement il a créé le buzz – volontairement ou pas – à l'évènement sportif le plus regardé au monde qu'est le SuperBowl en déchirant le costume de Janet Jackson et nous dévoilant une partie de son corps qui aurait du rester cacher.

caché







Commentaires :  1 ...<<...<... 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod