Le 26 Décembre 2010 par ALESSANDRO

Excellente chronique !
Et pour la petite anecdote, c'est Steven Spielberg (ami de Georges Lucas) qui a proposé à Maître Georges de rencontrer John Williams ! =)

Vive eux !

Le 23 Décembre 2010 par CHERIKURY

Pauvre Joan. Elle nous ressort "Cherry Bomb", le seul tube digne de ce nom de son ex-groupe. Cela résume bien les intentions et l'inspiration. Evidemment, la version est loin de valoir l'originale. Le reste est un peu à l'avenant, pas catastrophique, pas marquant, bref... pas grand chose.

Le 23 Décembre 2010 par MACAREUX

Pas véritablement d'accord avec la chronique.
Cet album est tout simplement excellent.
Pour voir une production faite pour le grand public, essayez son troisième et plus récent album "Macadam flowers".
"Carmine meo" est une merveille de chant lyrique. Ca déroute tant cette musique est rare de nos jours mais il est tellement rare de trouver de la bonne musique en France (n'est-ce pas Zaz ?) que des artistes comme Emma mériteraient beaucoup plus de médiatisation et de reconnaissance, pas seulement une chanson dans "Le cinquième élément" (la diva), malheureusement recouverte par des bruitages exacerbants...

Le 22 Décembre 2010 par STARSHOOTER 35

Hey ! D'abord, une anecdote amusante sur cet album : j'ai commencé à écouter HUEY LEWIS & THE NEWS vers la fin de la Première, au moment où je passais mon bac L épreuves anticipées. A ces examens, j'ai eu un parfait 20/20 en maths et à côté, j'apprends dans la chronique d'Erwin que Huey Lewis était un grand matheux et qu'il a eu carton plein à ses SAT à l'époque ! Je me suis dit curieuse coïncidence, mais ces deux épreuves-là sont pas vraiment comparables, je l'accorde... Maintenant intéressons-nous à ce "Sports" (1983), disque à succès pour nos Californiens. Force est de constater déjà qu'il n'y a presque aucun temps mort sur cet album à tubes (pas moins de quatre hits au top 10 du Billboard US).

Et ça démarre au quart de tour avec "The Heart Of Rock & Roll", premier hit, très représentatif du son du groupe, avec rythmique efficace et ambiance délicieusement 50's. On enchaîne avec "Heart And Soul", second tube et plus énergique, qui contient un refrain et un riff de guitare irrésistibles. "Bad Is Bad" est plus cool, mais reste écoutable avec ses doowaps et son harmonica. Voici le troisième titre à succès : "I Want A New Drug" est peut-être le meilleur morceau de l'album, guitares et claviers en avant, paroles au couperet, solos interminables et envolées de saxophone... Un must absolu.
Encore un tube avec "Walking On A Thin Line", titre puissant, qui fait la part belle une fois de plus aux guitares et aux claviers très 80's. "Finally Found A Home" et "You Crack Me Up" sont tout aussi survitaminés. "If This Is It" (autre hit) est une ballade dans le temps, riche en doowaps et qui bénéficie de la voix suave et mélancolique de ce cher Huey Lewis. Enfin, le skeud s'achève une reprise bien sentie de Hank Williams, "Honky Tonk Blues" qui, comme son titre l'indique, sonne résolument blues et vraiment rétro à l'écoute.

Au final, "Sports" de HUEY LEWIS & THE NEWS s'impose comme l'un des meilleurs albums de rock US des 80's, car solide de bout en bout. Avec ce disque, le groupe acquiert à la reconnaissance internationale, et livrerons d'autres grands succès dans les années à venir (qui a dit Retour vers le futur ?).

Morceaux favoris : "Heart And Soul", "I Want A New Drug", "Walking On A Thin Line", "Honky Tonk Blues".

Le 22 Décembre 2010 par EL PACHENKA

C'est bien simple, cet album tourne régulièrement dans mon lecteur depuis son achat. Je suis curieux de savoir ce que donneront en concert des morceaux tels que "Tenter Le Grillage" ou "No Land's Man". Il est clair aussi que des fans des albums "TV Sky" ou "Only Heaven" risquent de rester sur leur faim en y cherchant des sensations fortes.

Des Young Gods, je garde un de mes meilleurs souvenirs live de leur tournée acoustique.

Le 20 Décembre 2010 par GUILLAUME

Oui, un très bon disque. Ever the Reason est selon moi la meilleure.
L'ensemble du disque à un quelque chose de "Change" mais c'est différent ;o)
Le Live de 2005 contient des chansons de ces 2 supers albums.

Le 20 Décembre 2010 par MR QUESTION

Quand j'ai vu le 5 étoiles et le CD en sélection du site, je me suis dit "tiens, ya des chances que ce soit encore un coup de ce bon vieux Marco ". Mais c'est normal, il adore tout ce qu'il écoute!!! Bon tant mieux pour lui, en tout cas je n'ai de cesse de condamner l'absence de sens critique quand il se fait flagrant et là... Foutre 4 aux soeurs Corrs déjà... Je sais bien que ce commentaire ne paraitra pas et c'est fort dommage car je pense ne pas être le seul à penser cela. S'il te plait Marco, fais gaffe quand même... mettre 4 ou 5 à chaque album (même Alan Stivell,que j'adore, ne mérite pas tant d'éloge sur les 3/4 des albums). Bref, FP est il le site d'un seul homme?

	Par Forces Parallèles Moyenne de Marco: 3.78 Dans la moyenne des chroniqueurs de FP. En revanche il écrit beaucoup plus que les autres et est donc plus visible et plus facilement critiquable. Il maîtrise son sujet et c'est bien là le principal.

Le 20 Décembre 2010 par ZORVOZOVROZVOROVRO

Je l'ai découvert par hasard quelques jours avant l'apparition de la chronique, c'est clair que la formule est plus qu'efficace :
- un live (bah avec une bonne du niveau de Santana en principe si les studios déménagent déjà assez fort il faut pas demander le feu qu'ils savent mettre d'office en live ...)
- quelques studios en ciblant bien ce qui est censé plaire aux fans
Et c'est dans la poche ...

En plus de ça les lives sont d'une qualité tellement bonne et les studio mixés de façon homogène aux livse qu'on ne remarque même pas la différence, on a l'impression que tout est en live, sauf le public en début et fin de chanson...

Le 20 Décembre 2010 par MONSIEUR P.

"De toute façon, il ne faut pas se voiler la face : cela faisait presque vingt ans qu’il ne nous avait plus rien proposé de convaincant. Alors ce n’est pas en nous sortant des fonds de tiroirs que l’on fera ressusciter son génie."

- 1991: Dangerous : Sans doute le meilleur album de MJ.
- 1995: HIStory : Très bon album.
- 2001: Invincible : Carrément sous estimé (mon album préféré après Dangerous).

Et je ne parles même pas de toutes les faces B et autres inédits de qualité qui sont sortis en 20 ans (et même avant).

Le 20 Décembre 2010 par ANGEL D

Tout à fait d'accord avec la chronique.
La prod et les compos sont dans l'ensemble mièvres, aseptisées et gavées d'effets de style.
C'est plat pour du Michael.

Après avoir été en état de choc à la première écoute, ça va un peu mieux au fil du temps.

Les bons titres sont, pour ma part, "I can't make it another day" avec Lenny Kravitz, un duo pop-rock pas très original mais efficace et "Behind the mask", un électro-funk entraînent qui rappelle les années 80 du King avec un vocodeur et un groove à la Daft Punk .

J'ajouterais "Hollywood tonight" avec un riff funky et de bonnes mélodies à l'ancienne.

Dans le registre moyen, on à "Monster", du déjà entendu chez Michael.
Titre énergique avec un beat qui trépide et un passage rap.
Cette fois-ci, c'est "50 cent" qui s'y colle : sans plus.
Le couplet et certains passages reste bien négociés.

"Breaking news" manque de substance mais c'est un titre correct, immédiat et énergique comme on en trouve des tas depuis l'album Dangerous.

Le reste donne dans la ballade fade (soit 5 titres : la moitié de "l'album").
De la grosse soupe indigne de Michael Jackson.
Du R'n'B américain comme on en débite au kilomètre : seule la voix de Michael ressort bien.

"Hold my hand" est un titre de seconde zone avec Akon, "Much too soon" semble trop mièvre.
"Best of joy" est surement le titre le plus indigeste.

Bref, Michael est un disque bricolé.

Avec de bons moyens et un type comme Teddy Riley aux manettes, on a du bon bricolage mais du bricolage quand même.
Une première partie trop molle, aucune cohésion dans l'enchaînement des morceaux.

C'est franchement petit tout ceci pour un disque de Michael Jackson donc il m'est impossible de mettre une note au dessus de la moyenne.

10 titres seulement dont 5 que j'aurais envie de m'écouter de temps en temps.

1/5 pour un disque de Michael Jackson
2/5 pour la note réel du produit.

Le 19 Décembre 2010 par STARSHOOTER 35

Hey ! En ce 23 avril 1971 paraît le dixième album de nos chers ROLLING STONES. Quelques temps auparavant, le groupe avait défrayé la chronique avec le film documentaire "Gimme Shelter" qui relatait la tragédie du fameux concert d'Altamont deux ans plus tôt. Par la suite, les Pierres Qui Roulent ont sorti un très bon live, "Get Yer Ya-Ya's Out!". Mais rien ne laissait présager que leur prochain disque, celui dont on va parler, allait devenir leur meilleur produit, et l'un des plus grands albums de rock 'n' roll de tous les temps !

1971 fut un très grand cru musical : "L.A. Woman" des DOORS, "Aqualung" de JETHRO TULL, "Who's Next" des WHO, "IV" de LED ZEPPELIN... Autant d'albums d'exception qui sortent cette année-là, et ce serait un sacrilège que d'oublier "Sticky Fingers" des STONES. Parce qu'il y a TOUT, sur ce disque ! Et que dire la pochette d'Andy Warhol, mythique !
Des hymnes fédérateurs tels que "Brown Sugar" donnent vraiment envie de remuer et de chanter en choeur, malgré les textes ultra-controversés de Mick Jagger (came, viol...). L'album bénéficie surtout du jeu unique de Mick Taylor, qui brille sur "Sway". Là, le grand moment... "Wild Horses" est une ballade hors du temps, avec guitares et piano qui se mêlent à la voix suave et profonde de Jagger... Rah je chiale, nom de Dieu ! Allez, on se remet sur "Can't You Hear Me Knocking", longue session riche en percussions et cuivres où Keith Richards et Mick Taylor sont à leur meilleur. Diantre, que c'est bon ! On passe des grosses guitares au vieux blues gras de "You Gotta Move", jouissif, reprise de Fred McDowell.
La face B s'ouvre sur l'agité "Bitch", autre hymne où Jagger jure comme jamais. Un titre idéal pour se venger de son ex-copine... Bon, on va se calmer un peu avec "I Got The Blues", slow langoureux où les cuivres et l'orgue de Ian Stewart se démarquent vraiment. Le maître de la slide-guitar Ry Cooder vient prêter main forte au groupe sur "Sister Morphine", morceau dédié à l'ex de Jagger, Marianne Faithfull. Cette chanson, qui débute calmement par quelques notes acoustiques pour exploser ensuite, est absolument fascinante. La country est présente sur "Dead Flowers", qui contient un refrain efficace et une session instrumentale excellente. Le disque se termine sur le somptueux "Moonlight Mile", avec son orchestre qui fait la part belle à de vraies envolées de claviers et de cordes... bref, un morceau idéal pour clôturer un chef d'oeuvre tel que "Sticky Fingers".

Un album comme ça, on n'en ressort pas indemne... "Sticky Fingers" des ROLLING STONES a redéfini le rock 'n' roll pour toujours. Jamais les membres du groupe n'ont été aussi performants que sur ce disque (mention spéciale à Mick Taylor). Pour la petite histoire, Charlie Watts affirma que ce fut la première fois que le groupe ajouta des cuivres à leur palette sonore. Le résultat tient du travail d'orfèvre, car rien est à jeter. Avec "Sticky Fingers", les ROLLING STONES s'imposeront enfin comme le groupe de rock 'n' roll le plus représentatif. Ce sera aussi leur dernier grand album, car "Exile On Main Street", le prochain, ne retrouvera pas la magie de celui-là. Mais comme je le dis souvent, ceci est une autre histoire...

Morceaux favoris : tous !

Le 19 Décembre 2010 par MISTRESS DOROTHY

On entend parfois du Bjork, du Stooges, un peu de Rock, beaucoup d'Electro. Enfin voila une artiste française qui a les "corones" de chanter en français sur la majorité des titres ! Faut dire qu'avec cette superbe voix enfantine et ces arrangements géniaux, la miss prend peu de risques ! Totale (bonne) surprise pour moi qui n'écoute pas du tout ce genre de zique pourtant...

Le 19 Décembre 2010 par HOBBYEROS

Pour ma part, je trouve que cet album reste le meilleur d'ALAN PARSONS PROJECT, ou du ERIC WOOLFSON PROJECT puisque tout prouve que l'un servait juste à donner son nom au groupe. Il suffit d'écouter "Freudian", qui est 100% Woolfson et qui reste dans la continuité du PROJECT. Cet album sert de base pour Eye in the sky, Woolfson se dévoile enfin comme un chanteur. Bref, du très bon.

Le 19 Décembre 2010 par JOVIAL

Je connais encore assez peu le Boss, mais je peux dire que celui-ci ne mérite pas plus d'une étoile !

Un album qui est vraiment pitoyable au niveau musical. Du rock NRJ, facile, sans relief, sur lequel on s'ennuie au plus haut point. Une grosse déception.

Le 18 Décembre 2010 par LOUIS TRIO

Moi aussi j'aimais faire l'amour à trois, au hasard moi, Joan et Lita ! Elles sont trop vieilles maintenant... Miss JETT fut dès les RUNAWAYS et reste avec cet album un joli produit marketing sympathique mais sans grand intérêt non plus... Le Rock est définitivement entré dans l'ère du commerce et miss JETT est lancée sur le marché comme une nouvelle marque de savonette, ou une vulgaire poupée gonflable plutôt... Tout cela sent le manque de sincérité et de spontanéité et les limites de la petite sont vite atteintes.

Le 17 Décembre 2010 par POMPOMPIDOU

Bon ! Tant qu'à y être, je me fends d'un com' sur ce disque. Que dire si ce n'est qu'il m'a immédiatement scotché à l'époque. J'étais encore un enfant et cette musique me fit une très grosse impression. 29 après, je suis encore en amour avec ce disque (comme disent les québécois, mais aussi les bretons : e karantez on g'ar bladenn-se !)... Tellement de souvenirs et une musique si efficace ! Merci TRI YANN. Un regret : ce disque est aujourd'hui quasiment introuvable, sauf un coup de chance... en même temps je m'en carre, j'ai le CD, acheté il y a vingt ans environ. Mais c'est dommage pour les jeunes générations, tout de même ! Rock, prog', folk... à niveau avec les plus grands de la musique contemporaine, ni plus ni moins ! Et oui ! La Bretagne a enfanté de bien belles choses, dont sa langue savoureuse n'est pas la moindre: Bevet Breizh ! Et on oublie pas le gallo, hein !

Le 17 Décembre 2010 par POMPOMPIDOU

Le texte en question est tiré du livre du nantais (tiens, tiens !) Morvan Lebesque, "Comment peut-on être breton (essai sur la démocratie française)" paru en 1970, qui fit, à son époque, l'effet d'une bombe (sans jeu de mot !) et constitua une référence pour toute une génération de jeunes (et moins jeunes) bretons. Même si ce livre a indubitablement vieilli, on pourra quand même en faire utilement la lecture, certains points de vue restant très pertinents voire actuels 40 ans après. Avec le "Cheval d'orgueuil" d'Hélias, il pourra constituer le début d'une bibliothèque de base sur la problématique bretonne, l'histoire et l'ethnologie de ce pays de caractère.
Cet album est bien symphatique, ma foi... Je préfère tout de même le "An heol a zo glas", mais mis à part le fait qu'il ne contienne aucun texte en langue bretonne (c'est quand même un comble !), "La découverte ou l'ignorance" constitue bel et bien un "must have" qui nous fera oublier le défaut susmentionné. Hep brezhoneg, Breizh ebet ! Pour la traduction, il existe assez de dictionnaires franco-bretons sur le marché.

Le 16 Décembre 2010 par FUGAZIZIPANPAN

Ouf ! Enfin totalement d'accord avec M. STIVELL ! Un bon, voire très bon, album de l'écossais, mais sans plus ! Ce n'est déjà pas mal. La production n'a pas très bien vieilli. A noter la aprticipation de M. GERS, actuel IRON MAIDEN.

Le 15 Décembre 2010 par FUGAZIZIPANPAN

Diable ! Je suis encore en désaccord ! Cet album est appréciable, mais... trop d'influences trop voyantes, un jeu de batterie amateur qui dessert par son manque de finesse, des compositions encore immatures. Conclusion : agréable, estimable, mais ne méritant pas plus de 3/5. Le groupe va définitivement acquérir ses galons avec un deuxième album bien plus mature et personnel.

Le 14 Décembre 2010 par FUGAZIZIPANPAN

J'ai du mal à comprendre l'avis des chroniqueurs concernant cet album. Sans animosité pour M. STIVELL, je me demande comment on peut tresser des lauriers à certains des pires artistes de variété française et ne pas apprécier ce superbe album de néo-prog à sa juste valeur. Tout ici n'est qu'harmonie et réflexion profonde sur le devenir d'un être humain, avec des musiciens inspirés et techniques. Pourquoi cette note d'un des meilleurs albums de MARILLON ? Trop de froideur peut-être ? Difficile d'entrer dans l'ambiance ? Mystère.