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BLACKFOOT
SIOGO


Le 22 Novembre 2012 par ERNST BARR II

Pour être tout à fait complet, je dirais que l'album précédent (Marauder) ouvrait déjà , par certains aspects, la voie à ce virage musical plus Heavy Rock FM.

En effet, on peut considérer que des titres tels "Diary of a workingman", "Fire of the dragon" et surtout "Searching" (avec son refrain et ses choeurs très-très FM) abordaient déjà les rivages d'une musique d'un style moins "sudiste".

Il ne s'agit donc pas à mon sens d'un virage à 180° sur ce Siogo, d'autant plus que le groupe ne se coupe pas non plus de toute influence sudiste (" White man's land").

Donc, pour moi, il n'y a aucun état d'âme à l'écoute de ce Siogo.






Par Forces Parallèles

Hello,
C'est étrange, je trouve au contraire à "Searchin" une profonde identité amérindienne, pas du tout FM... Le solo de guitare y est fabuleusement épique... Pour moi un symbole du southern rock. Mais ton opinion est toute aussi valable que la mienne.
Reste fidèle car le reste de la disco arrive, Bayou et moi même comptons bien croquer tous les groupes majeurs de sudiste: DOC HOLIDAY, 38 SPECIAL sont notamment prévus au programme, il faut continuer les OUTLAWS, POINT BLANK, le MTB, la MULE, finir LYNYRD et les ALLMAN. Chuoette programme!
Bien à toi
Erwin





BLACKFOOT
SIOGO


Le 21 Novembre 2012 par ERNST BARR II


Un album de très, très grande classe. J'adore !
Ce n'est certes plus du Southern Rock, mais on s'en fout. De toute manière BLACKFOOT était déjà le plus Hard-Heavy des groupes de Rock Sudiste, en plus d'être le plus talentueux, à mon goût (même devant LYNYRD !). Ce n'est pas pour rien qu'il avait fait la 1ère partie d'IRON MAIDEN en lui volant souvent la vedette.
Cette évolution plus "Heavy Rock FM" est donc logique et finalement salutaire. Elle permet de surcroit au groupe d'expérimenter et de sortir du carcan en nous proposant un sacré bon album de Heavy Rock souvent FM, certes, mais d'où son agressivité naturelle est loin d'être absente, ce qui lui évite quand même très largement de tomber dans la guimauve. A ce titre, "We're going down" sonne d'ailleurs très DEEP PURPLE.
De plus, comme je l'ai déjà dit, la classe naturelle de la bande de Medlocke éclabousse tout sur son passage, c'est un régal de tous les instants.
A noter, Erwin, que "Heart's growing cold" est une (très bonne) reprise de NAZARETH (Malice in wonderland).





LED ZEPPELIN
CELEBRATION DAY


Le 21 Novembre 2012 par BAYOU

Red One me fait à juste titre remarquer que Jon Lord avait quitté le groupe en 2002.
C'est Don Airey qui était aux claviers.

Mea culpa et merci à Red One de sa sagacité.






John LENNON
IMAGINE


Le 21 Novembre 2012 par SELMA


C'est un des plus grands chanteurs de l'Histoire.
J'aime beaucoup le sens des paroles.





BLACKFOOT
SIOGO


Le 21 Novembre 2012 par BAYOU


Excellente analyse, hélas l’arrivée de Hensley entraîne le groupe vers une autre direction musicale, plus hard rock, en gommant le côté sudiste.
Dans l’absolu le CD n’est pas mauvais, mais le groupe nous avait habitué à tellement mieux !
Et cet album signe le commencement de la fin du groupe !
Reste en effet une poignée de bonnes compositions.





LED ZEPPELIN
CELEBRATION DAY


Le 21 Novembre 2012 par BAYOU

Très intéressant cet exposé mon cher Aurel

Pour Phil Collins, c’est son jeu avec Led Zep que je qualifie d’horrible, il gâche complètement ce grand moment du Live Aid. Collins est peut être dans son élément avec Genesis, mais il est totalement incapable de jouer avec Led Zeppelin

En ce qui concerne le passage sur Deep Purple et Black Sabbath, je considère que Led Zep a eu le courage de se dissoudre après la mort de Bonham ce qui n’a pas été le cas des deux autres groupes qui continuent de tourner.
Je me souviens d’un show de Deep Purple au Zénith à Paris, le 31/05/2003, en seconde partie de Lynyrd Skynyrd, mis à part Steve Morses excellent à la guitare, je m’étais ennuyé et j’avais trouvé Glover, Lord et Gillan pathétiques.

« Petite grandeur » oui je compare à Led Zep, pour moi ils ne jouent pas dans la même catégorie.

Pour les batteurs, Bonham cognait fort, mais ce n’était pas un « bourrin ». Si on compare avec des batteurs de jazz par exemple, (Tony Williams me vient à l’esprit mais il en existe d’autres) son jeu est plus brutal, moins subtil, moins en nuances sur les cymbales, mais il avait un impact puissant sur le son du groupe.

Enfin, mon but n’est pas d’être « objectif » déjà parce que en musique l’objectivité ne peut pas exister et que dans une chronique je ne fais que passer mes impressions sans prétendre détenir la vérité.








LED ZEPPELIN
CELEBRATION DAY


Le 21 Novembre 2012 par AUREL


Je ne vais pas y aller par quatre chemins: je vais être constructif, précis, je n'utiliserai pas le langage SMS et je soignerai mon orthographe et mon style.
Et je vais écrire un commentaire, non sur l'album (ou peut-être un tout petit peu), mais sur quelques points de cette chronique.

Ce qui me choque en premier, c'est le manque d'objectivité à certains passages, notamment ici:

- "avec l’horrible Phil Collins aux baguettes (mais bon sang qui a eu cette idée débile ?)"
Déjà, en quoi est-il horrible ? Je ne suis pas un de ses fans, mais je reconnais que ce batteur est extrêmement polyvalent (ou du moins l'était) et que son travail avec Genesis n'est pas à négliger.
Il y avait des batteurs bien plus adaptés à l'époque, mais c'était le meilleur parmi ceux qui se sont proposés.

Et ici:

- "Black Purple ou Deep Sabbath qui offrent un pitoyable souvenir de leur petite grandeur passée."
Ce qui me gène, c'est le "petite" ! Là, c'est sans aucun rapport avec Led Zeppelin (ou peut-être que "petite" était sensé les comparer avec le dirigeable ? Dans ce cas je n'ai rien compris et le paragraphe ci n'est pas à prendre en compte.) et je cherche la petite bête.
Si la comparaison n'était pas voulue, je ne vois pas en quoi leur grandeur était petite: Deep Purple et Black Sabbath ont comme Led Zeppelin ouvert les portes de nombreux styles musicaux, dans le métal notamment. Ils sont pour ma part sur le même pied d'égalité que le dirigeable de plomb. Les différencier amène à donner un jugement subjectif.
Ensuite, déclarer les prestations récentes de Violet Profond de pitoyables est, je trouve, plutôt violent. De mon point de vue, elles n'ont certes pas l'énergie d'antan, mais répondent aux attentes qu'un public a de 5 musiciens de plus de 60 ans.
Quant à Black Sabbath, ils ont perdu leur valeur dés lors qu'Ozzy Osbourne est parti. Un peu dans le même cas de Led Zeppelin, ils sont amputés du membre qui les a différencié des autres groupes.

Deuxièmement, bien moins grave, mais je précise quelques notes afin rajuster des fausses idées.
"[...] qui dans le rock peut cogner aussi fort [...] "
Cogner comme John Bonham n'est pas compliqué, et la première brute croisée dans la rue en est capable.
Peut-être qu'il faut être batteur pour le comprendre, mais la force physique transmise dans les coups n'amène à rien d'autre que percer les peaux (c'était le cas de Bonzo à ses débuts). Son son gigantesque, il le doit surtout à ses gestes, et également à Page. (cf. When The Levee Breaks, l'idée de mettre la batterie dans le hall de leur manoir vient de Page)
Voilà, correction faite.

Pour ce qui est du reste de la chronique, je ne peux qu'être d'accord. Je suis allé le voir au cinéma, donc j'ai également profité d'une qualité irréprochable, tant au son qu'à l'image;
Cela dit, j'ai trouvé ce live médiocre du fait que la force du dirigeable en concert n'était pas présente (et ça vous l'avez relevé): aucune improvisation, ni même sur Whole Lotta Love.
Pour conclure totalement subjectivement, se procurer Celebration Day relève plutôt du besoin de posséder tout Led Zeppelin, que celui de l'écouter lorsque l'envie s'y prête. Car pour écouter du Led Zeppelin, c'est à la source qu'il faut le prendre.

Merci pour votre lecture, monsieur BAYOU.
A bientôt.





LED ZEPPELIN
CELEBRATION DAY


Le 20 Novembre 2012 par TERRY


Tuerie !!!





Vanessa CARLTON
RABBITS ON THE RUN


Le 20 Novembre 2012 par CHIPSTOUILLE


La tâche de chroniqueur est dure, je suis bien placé pour le savoir. Donc je voudrais juste dire merci pour m'avoir fait découvrir ce disque.

J'en étais resté à "A thousand miles" en tant qu'auditeur non volontaire, un de ces cas rarissime qui fait mouche, sans que je me donne la peine, comme bien souvent dans de tels cas, de vérifier s'il s'agissait d'un exploit solo ou du digne représentant d'une discothèque solide.

Et Vanessa Cartlon grâce à toi et aux commentaires qui suivent, de ne pas subir le triste sort de toutes les chanteuses ou groupes à chanteuse un peu énergique mais propulsées trop vite trop haut et qui ont suivi les Breeders avec Canonball ou les Cranberries avec Zombies... deux faits marquant négativement mon adolescence pour cause d'albums bien trop mièvres et sentant la colchique, pas celle des prés mais bien une référence au rouleau de papier rose. Choses qui m'ont à l'époque définitivement convaincu de suivre mes instincts virils et de faire du métal mon principal cheval de bataille musical.

Ce n'est pas parfait, n'est pas Anneke qui veut non plus, mais qu'est ce que ça fait plaisir.





The PRETENDERS
LOOSE SCREW


Le 19 Novembre 2012 par L'ANGLICHE

"Loose screw" signifie "vis dessérrée", et non pas "tournevis perdu".
"Tournevis perdu", ça se dit "lost screwdriver". Ca n'a absolument rien à voir.

Au plaisir.





Tony IOMMI
IOMMI


Le 18 Novembre 2012 par FEELGOOD


Cet album solo de Tony Iommi constitue une indéniable réussite, malgré les quelques petits défauts mis en avant par le chroniqueur.
Si le guitariste donne parfois l'impression de recycler certains riffs, son jeu se révèle ici, pour la première fois depuis bien longtemps, efficace et agressif.
Les quelques sonorités electro ne gênent pas et confèrent un petit cachet actuel à certaines compositions, je pense en particulier au superbe et imparable Goodbye Lament, interprété par Dave Grohl.
L'album sonne la plupart du temps résolument "vintage" et réveille le fantôme du grand Sabbath des seventies, en particulier durant les huit minutes du fiévreux Black Oblivion, transcendé par un Billy Corgan habité et un Iommi grandiose, au jeu inspiré et intemporel.
Ce retour aux fondamentaux et aux seventies, à l'esprit Sabbath, est évident à l'écoute du glauque Time Is Mine, enregistré avec Phil Anselmo, qui n'est pas sans évoquer le classique Sweet Leaf. Quant au riff de Patterns, chanson sur laquelle figure l'excellent Serj Tankian, il me rappelle celui du mythique Iron Man. On n'omettra pas de citer la prestation de Ian Astbury sur le chantant Flame On, et celle de feu Peter Steele sur le très sombre et gothique Just Say No To Love...
Into The Night nous offre une prestation pleine de vigueur de l'excellent Billy Idol, un Billy loin d'être ridicule, tandis que l'inquiétant Who's Fooling Who va encore plus loin dans la résurrection de l'esprit du Sabbath Noir, en mettant en vedette Ozzy et sa voix de spectre...
Deux morceaux, bizarrement placés en début de CD, se démarquent cependant du reste... Ce Laughing Man introducteur, titre plus enlevé que le reste à défaut d'être le meilleur, avait peut-être pour vocation d'accrocher le jeune public, censé apprécier le neo metal alors en vogue. On en retiendra le chant malsain de Henry Rollins et un solo virulent de Iommi. Et Meat, caractérisée par une prestation remarquable de la chanteuse Skin, n'est pas vraiment dans l'esprit du disque, sa présence en deuxième position tendant, à mon sens, à déséquilibrer l'album.
Quoi qu'il en soit, ce retour du père Iommi au metal maléfique qui a fait sa gloire s'avère des plus positifs et il s'agit de son album le plus excitant depuis Born Again.
Note réelle : 3,5 / 5.





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 18 Novembre 2012 par BAYOU

Pour OH MERCY je m'en occupe.

Sur l'approche de TEMPEST nous sommes assez en phase





WISHBONE ASH
ARGUS


Le 17 Novembre 2012 par EL DIABLO


Pourquoi j'ai détesté cet album et que trente ans plus tard je le trouve génial. A cause de la presse musicale de l'époque. Non Wishbone Ash n'est pas un groupe de hard rock, non Wishbone Ash ce n'est pas des duels de guitares comme Thin Lizzy ou Iron Maiden. C'est du rock progressif.





The BEATLES
THE BEATLES


Le 17 Novembre 2012 par BABAR


Des 8 très bons albums studios des Beatles (de "Help" à la fin), il n'y en a qu'un qui m'est resté longtemps inaccessible. "Help" c'était de la pop efficace, "Rubber Soul" était dans la même veine, "Revolver" marquait un premier pas dans le psyché et s'est vite imposé à mes yeux comme un pur chef d'oeuvre, de même pour "Sgt Peppers", "Magical Mystery Tour" est l'un de mes inexplicables (un album que personne n'ose considéré comme un chef d'oeuvre mais qui fait partie de mes préférés), "Abbey Road" m'a foudroyé par sa qualité inégalable et "Let It Be" bien que moins bon est toujours plaisant.

Donc, l'Album Blanc est la seule exception. Le seul à ne pas être évident. Non, je ne suis pas un inconditionnel de cet album. Trop long. Beaucoup trop long. Comme le disait GUEHLYNOIS il y a près de 3 ans, dans son commentaire trois fois trop critiques (de mon point de vu) il n'y a aucune unité. On se perd dans un dédale de musiques inégales. Certes des "Back in The USSR", "While My Guitare Gently Weeps" ou autres "Cry Baby Cry" sont géniales, mais à côté il y a des pures pertes de temps (avec Vous-Savez-Quoi notamment).

Faire un album sans la moindre unité ça se tient si on a la bonne idée de n'y mettre que des très bonnes musiques, il aurait donc fallut retirer la moitié des titres de ce double disques pour avoir un superbe album.

Bref, 4/5 bien que je ne retire en rien sa qualité "d'album historique" à ce double blanc.





MUSE
THE 2ND LAW


Le 16 Novembre 2012 par SFAX


Petite précision sur le petit aparté concernant la "2e loi" ou plutôt "seconde principe".
Il s'agit bien de Thermodynamique.
L'entropie, fonction d'état, noté S est la mesure du degré de désordre d'un système dû aux échanges thermiques entre celui-ci et un milieu extérieur. L'entropie est de formule S = k.ln (omega) en Joule par Kelvin

La 2e loi dit clairement : "Delta(S) = S(transf) + S(créée) = 0"
Dans un cas idéal la variation d'entropie Delta (S) serait = 0.
Or les transformations réelles sont irréversibles d'où le fait que cette variation d'entropie augmente, le système de peut jamais revenir en arrière.

Mais après de là à dire que toute l'énergie créée par l'homme sera de plus en plus dispersée et gâchée, il y a une marge ! Il s'agit plus d'une interprétation que de la science.





Bob DYLAN
TEMPEST


Le 16 Novembre 2012 par BABAR


Voilà, j'y reviens pour un vrai com' cette fois puisque j'ai l'album maintenant.

D'abord, je ne suis pas un fan de la manière avec laquelle la Colombia gère les musiques de Dylan. Je veux dire par là que bon, interdire toute musique studio sur youtube ça craint un peu beaucoup. Mais bon, sur ce coup là, ils ont géré. Bon, ça paraît rien comme ça, mais trouver le CD dans la pochette du vinyle c'est un kiff suprême. Car ça veut dire pas d'enregistrement vinyle == MP3 et donc pas de MP3 super pourri. Et ça, c'est cool.

Bon la musique maintenant...

Le premier titre, ce Duquesne Whistle, nous fait tout de suite entrer dans le vif du sujet, Dylan a une voix plus cassée et donc plus puissante que jamais. Aaah quel pied, quelle ouverture ! Comment résister ? Soon After Midnight est plus posé, plus tranquille mais Dylan survole à nouveau de toute sa classe ce très bon titre.

Narrow Way est un peu moins bon, un blues classique au rythme rapide où, selon moi, la voix du Master est moins adaptée, moins puissante. Un titre sympa sans plus.

Sur Long And Wasted Years on retrouve à peu près la même qualité que sur les 2 premiers titres, l'instrumentale est sympathique et Dylan nous gratifie d'un chant à la limite du chanté-parlé qui sonne bien. Pay in Blood est superbe, rien d'autre à dire. Une guitare entre blues et rock, une voix toujours aussi sublime... Le pied. Suit Scarlet Town où l'ami Dylan prouve son talent sans égal pour les musiques douces. Quel panard d'écouter cette voix totalement cassée posée sur une guitare lead relativement simple mais si belle...

On change de vinyle, Early Roman Kings ne va pas chercher très loin pour son riff de base : un blues déjà vu 15 fois (minimum) mais toujours aussi efficace (et puis c'est tout le principe du blues, non ?). Un bon titre. Tin Angel est un nouvelle balade toujours aussi diablement efficace, de plus de 9 minutes (seul 3 titres font moins de 5 minutes de toute façon !) la voix façon bluesy est toujours aussi parfaite...

Bon, quiconque s'intéresse à cet album a déjà tout lu sur les deux derniers titres de ce "Tempest" alors pour faire court la musique éponyme est un long poème chanté comme Dylan en fait tant (et toujours avec la même réussite) et "Roll On John" est un poignant hommage au chanteur binoclard des Beatles. Superbes.

Bref, que faire d'autre que s'incliner devant ce sublime double album (en vinyle) qui, je confirme les propos de Bayou, fait définitivement parti des grands classiques de Dylan. Cela dit, je l’apprécierais peut-être encore plus le jour où je comprendrais toutes les paroles (pour l'instant, seules celles de Roll On John ne me sont pas étrangère). Les années passent et plutôt qu'endommager la qualité de chant de ce pur génie, elles l'améliorent. Dans la continuité de Modern Times, un poil moins jazzy peut-être...

PS: Le "Depuis Modern Times" de mon com précédent était une simple boutade pour souligner les "oublis" cités par la suite. J'espère voir prochainement plus de chroniques sur mon artiste préféré, bonne chance à vous ;)

PPS: @Bayou: j'attends "Oh Mercy" avec impatience car je n'ai honnêtement jamais compris ce qu'il avait d'extraordinaire.





RUSH
HOLD YOUR FIRE


Le 16 Novembre 2012 par POWERBEAUF


Effectivement, cet album clôt de manière décevante ce 3è cycle de l'oeuvre de RUSH. Et pourtant, les riffs, les mélodies et les arrangements sont excellents, sans parler de la production énorme signée par l'excellentissime Peter Collins (l'une de mes idoles en matière de son, avec RJ "Mutt" Lange et R. Nevison). Ce disque avait tout pour me plaire, mais plusieurs choses clochent :

1) Plusieurs titres sont assez anecdotiques (surtout les 2 derniers).

2) Autant les interventions en rythmique et en arpèges d'Alex Lifeson m'enchantent, autant je trouve que ses solos et ses parties "lead" sont ratés sur cet album.

3) Les morceaux sont trop longs : en faisant durer délibérément 1 à 2 minutes de trop des chansons aussi tubesques, celles-ci finissent par perdre de leur impact. Personnellement, sur presque toutes les chansons, j'ai le plus grand mal à m'empêcher de zapper au titre suivant une fois le solo de guitare passé !

Au final, "Hold your Fire" s'avère aussi décevant qu'un pastis excessivement allongé... Mais quelle production !

3/5 quand même.





Hans ZIMMER
PIRATES OF THE CARIBBEAN : DEAD MAN'S CHEST


Le 16 Novembre 2012 par JONATHAN ROCHAT


Chronique bien fun, même si j'apprécie cette BO malgré l'orchestration parfois horrible.

Allez néanmoins plutôt voir du côté de la BO du troisième film, "At World's End", du grand Zimmer bien plus inspiré, et avec des thèmes de qualité!

PS: Bahh, le remix final c'est de la bonne trance des années 90, c'est bête mais c'est bon quand même :D :D





KINGDOM COME
KINGDOM COME


Le 16 Novembre 2012 par JEF DE LA LUNE


Kingdom Come a sorti deux très bons albums de Hard Rock bluesy, celui-ci ( au passage, bravo pour la chronique qui réhabilite ce disque mésestimé ) et le suivant "In Your Face".Les critiques de l'époque ont été effectivement injustes, le groupe de Lenny Wolf ne plagiait pas autant Led Zeppelin que Lenny Kravitz, par exemple, qui repompe Ten Years After ou Stevie Wonder sur certains de ses albums ( le génie en moins ).Une injustice réparée.





SCORPIONS
LONESOME CROW


Le 16 Novembre 2012 par DARK SCHNEIDER


Je suis d'accord avec le commentaire de LEO : album complètement anecdotique et assez logiquement oublié. Le groupe digère encore mal ses influences : les SCORPIONS copient les groupes anglais plutôt que d'imposer un style propre. "It All depends" c'est du BLACK SABBATH tout craché (période Black Sabbath/Paranoïd), certains choeurs sont directement inspirés d'URIAH HEEP. On navigue entre une rock psychédélique et un rock occulte assez commun pour l'époque (quoiqu'underground), sans être vraiment convaincant, la faute a des morceaux trop peu structurés. Michael Schenker est très loin de son futur niveau et Klaus Meine est trop peu présent sur le disque. En fait, c'est surtout le bassiste Lothar Heimberg qui se fait remarquer sur cet album : surprenant, rarement la basse n'a été autant en avant sur un album des SCORP' et autant mélodique.
Une curiosité à réserver aux fans qui veulent tout connaitre, mais totalement dispensable : le fossé avec Fly to the Rainbow est immense.







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