Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 837 838 839 840 841 842 843 844 845 846 847 848 ...>...>>... 1003
Comment poster un commentaire ?


KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 17 Août 2009 par LEO


C'est justement cette approche plus 'pop' ou moins extrémistes si l'on peut dire, qui me plaît dans la version '80s' de King Crimson (ma période préférée dans la carrière du groupe) !

Effectivement, ici la musique lorgne pas mal du côté de chez Talking Heads, mais rien d'étonnant puisque qu'à l'époque, Fripp est un grand fan du groupe (qu'il écoute beaucoup) et que lui et Belew ont collaboré avec eux (le premier sur "Fear Of Music" et le second sur "Remain In Light" puis sur la tournée qui suivit).

La voix et l'intonation d'Adrian Belew sont également très proches de celles de David Byrne. Mais quoiqu'il en soits même si la musique a pris des accents rythmiques et est plus "radio friendly" que par le passé (enfin... "radio friendly" est un bien grand mot !), il n'en reste pas moins que l'expérimentation est toujours bien au rendez-vous, mais de manière moins rebutante qu'auparavant dirons-nous !
Même le bien nommé 'Indiscipline' est barré juste ce qu'il faut, mais est bien moins abrupt qu'ont pu l'être des morceaux comme 'Providence', 'The Mincer' ou 'Starless and Bible Black'!

Bref, j'adore ce King Crimson-là !





KING CRIMSON
DISCIPLINE


Le 17 Août 2009 par TERRY


Un disque exemplaire, leur dernier bon album. Mais il ne vaut quand même pas les précédents albums ! Le ton résolument pop me gêne pas mal.





Amon TOBIN
PERMUTATION


Le 14 Août 2009 par MR TINKERTRAIN


Fan d'electro, de dub, de jazz, de metal, bref très éclectique, eh bien je trouve cet album assez... comment dire... chiant. Ok c'est surement bien composé pour de l'électro, on sent la recherche sonore. Mais les mélodies sont absentes quasi tout du long ! Dommage j'étais motivé et ça ne donne pas du tout envie de découvrir la fameuse trilogie, ni le reste d'ailleurs.





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
COSMO'S FACTORY


Le 14 Août 2009 par TERRY


Rhâââ, "Run through the jungle"... leur second meilleur album.


Par Forces Parallèles

Salut,

J'ai validé tes commentaires sur Creedence Clearwater Revival, mais normalement, un commentaire est censé être un peu plus étoffé pour être validé. Un peu comme celui portant sur Innervisions de Stevie WONDER ! 8p

Saskatchewan





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
WILLY AND THE POOR BOYS


Le 14 Août 2009 par TERRY


Leur meilleur album, tout simplement. Rien que pour "Fortunate Son".





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL


Le 14 Août 2009 par TERRY


Trop court, mais ce disque, le préféré de Fogerty, est sensationnel.





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
BAYOU COUNTRY


Le 14 Août 2009 par TERRY


Album grandiose.

Faites chier, de virer les chroniques !





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 09 Août 2009 par MENELDUR


Malgré la note, un peu sévère à mon goût (mais au fond, ça ne veut rien dire), j'aime beaucoup cette chronique d'Oncle Viande, qui parvient en peu de paragraphes à porter un regard fort lucide et intéressant sur le travail du critique, l'entité Pink Floyd et son sujet, l'album en lui-même.

Musicalement, The Final Cut est dans l'ensemble affligeant, et les bons vieux gimmicks (l'effet holophonique sur « Get Your Filthy Hands... ») ne cachent plus la misère comme ils le faisaient sur The Wall. Les paroles pourront laisser de marbre, surtout lorsqu'elles sombrent dans l'auto-apitoiement le plus ridicule (fin de la chanson-titre), mais Waters reste capable d'envolées terribles (début de la chanson-titre, « The Gunner's Dream »). Je garde une tendresse particulière pour cet album, pour des raisons personnelles peu intéressantes, mais j'admets qu'il me serait difficile de le conseiller à qui que ce soit.





KING CRIMSON
STARLESS AND BIBLE BLACK


Le 09 Août 2009 par TERRY


Cet album s'infiltre comme de la gangrène, en effet, et le précédent commentateur, Kingstalker, en a parlé avec brio. "SABB", j'ai d'abord commencé par ne pas l'aimer, mais désormais, franchement, je l'aime énormément. Un disque étrange, putride, décousu et franchement grandiose !





MAGNUM
INTO THE VALLEY OF THE MOONKING


Le 09 Août 2009 par TOTOF


Album excellent, pochette superbe !Sur ce disque, il y a une petite touche de Deep Purple/Rainbow très intéressante, en atteste le titre Moonking qui a le feeling du titre de Ritchie Blackmore's Rainbow : Catch the Rainbow.
Certes, cet album n'est pas révolutionnaire, mais il fait passer de très bon moments.





Serge GAINSBOURG
HISTOIRE DE MELODY NELSON


Le 09 Août 2009 par ELVIS PRESLEY

Ce disque qui fut un bide à sa sortie est sans doute l'un des albums les plus intéressants qui soient dans la carrière de Gainsbourg. C'est un album concept aux teintes de musique progressive où Gainsbourg nous conte son accident avec Melody dans une ambiance assez particulière que je trouve très feutrée et quelque peu psychédélique, mais sans jamais en faire trop : l'album ne fait même pas 30 minutes ; tout est relativement bien dosé et Gainsbourg va a l'essentiel.

Quelques années plus tard, Gainsbourg sortira un autre album concept "L'homme à tête de choux" qui même s'il reste très bon ne possède pas l'ambiance de celui-ci.





SERGE GAINSBOURG
LOVE ON THE BEAT


Le 09 Août 2009 par ELVIS PRESLEY

"Love on te beat" et "You're under arrest" les deux derniers albums studio de Gainsbourg ont la même structure musicale, tout repose sur la même formule : un beat et une mélodie très répétitive sur lesquels Gainsbourg pose sa voix.

La méthode employée peu paraître facile et forcément casse-gueule, mais ce n'est pas le cas ; la musique est de qualité et Gainsbourg déverse ses paroles comme personne ne peu le faire. C'est avec le recul que l'on se rend compte qu'un tel exercice n'est vraiment pas à la portée de n'importe qui. Dans le genre, je pense qu'à l'heure actuelle personne ne lui arrive à la cheville en ce qui concerne les chanteurs francophones. Gainsbourg est inimitable et incomparable dans son genre ; il a toujours su se renouveler.

Peu importe le style employé tout au long de sa carrière, que ce soit du jazz, du classique, des percus, de la pop ou de la funk, on écoute du Gainsbourg avant tout et tout ce qu'il touche il le fait sien. Avec un tel talent, Gainsbourg ne pouvait donc pas se contenter de faire des albums à la "Melody Nelson" toute sa vie. Ce dernier fut d'ailleurs un bide commercial à sa sortie, comme la plupart des premiers albums de Gainsbourg, depuis il a repris ses lettre de noblesses, heureusement.

Pour revenir dans le contexte, à 50 balais passés et au début des années 80 sortir un album tel que "Love one the beat" avec ses paroles sulfureuses et son son moderne n'a pas été le signe d'une stagnation musicale mais d'une avancée et d'un modernisme certain qui à l'époque n'avaient rien à envier au reste des productions musicales. Aujourd'hui encore un tel disque conserve une aura et un statut indémodable alors que bien d'autres de l'époque ont bien mal vieilli.

Love on the beat est donc un album commercial, accessible, au son moderne, très funk, où Gainsbourg croone comme jamais il ne l'avait fait auparavant. On pourra lui reprocher une approche minimaliste dans la forme, mais c'est tellement bien fait que ça reste a mon avis irréprochable, donc a l'image de l'artiste, Gainsbourg ne faisant pas de déchets (ou très peu).





Amon TOBIN
CHAOS THEORY


Le 08 Août 2009 par JUVé


J'ai un peu de mal avec cette BO, sans doute le moins bon album d'Amon Tobin. J'ai l'impression que tous les titres se ressemblent et je me lasse assez facilement avant la fin. Bon, il y a quand même quelques moments super, comme The lightouse, Theme for battery et The clean up, mais globalement, j'ai du mal à rentrer dans cet album. 3/5 rien que pour les trois titres cités.





Amon TOBIN
SUPERMODIFIED


Le 08 Août 2009 par JUVé


Pour moi, le meilleur album d'Amon Tobin. Aucun titre à jeter, un son époustouflant et des rythmes de malade ! Le début du CD est particulièrement génial, l'enchaînement Get your snack on, Four ton Mantis, Slowly, Marine Machines est sans doute le sommet de l'artiste. Un chef d'oeuvre de l'électro à découvrir !





David BOWIE
THE RISE AND FALL OF ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS


Le 06 Août 2009 par DONCHA


Ah ! Juste avant de partir en vacances, j'ai acheté cet album.
J'en avais entendu parler, mais jusqu'alors j'étais pas trop tenté.
Eh bien, je suis bien content de mon achat !
Cet album est génial, je retiens tout particulièrement "Moonage Daydream", "Starman" & "Rock & Roll Suicide".
Seules "It Ain't Easy" et "Hang On To Yourself" me déplaisent, et "Sufragette City", bien que superbe, joue un peu les répétitions, à la fin.

En fin de compte, cet album me donne terriblement envie d'en posséder d'autres ! Et en lisant les nombreuses chroniques et commentaires associés, je ne sais où donner de la tête.
(Je retiens particulièrement Hunky Dory :) ).

Un grand album, j'en redemande !





The FUTURE SOUND OF LONDON
DEAD CITIES


Le 02 Août 2009 par DDTL


Tout a été dit... Un très bon disque ! D'ailleurs je m'en vais le réécouter !





QUEEN
SHEER HEART ATTACK


Le 29 Juillet 2009 par CéDRIC


Excellent album qui montre le côté plus hard rock de Queen. J'ai une préférence pour "Now I'm here", "Killer queen", "Brighton rock" et le très heavy "Stone cold crazy".





QUEEN
QUEEN ON FIRE - LIVE AT THE BOWL


Le 28 Juillet 2009 par FRANCK


Si vous voulez passer un grand moment live avec Queen, voici LE live !
J'y étais ! C'était à Milton Keanes et ce fut grand, très grand !
La set-list fait rêver, elle nous fait oublier l'album sorti quelques semaines avant ce joli concert (Hot Space).
Puis 4 ans après, les derniers témoignages du groupe sur scène : Live at Wembley.
Bordel, que ce groupe nous manque...





KING CRIMSON
EARTHBOUND


Le 24 Juillet 2009 par TERRY


En 1971, King Crimson sort l'album Islands, un disque assez sous-estimé, considéré comme mineur, mais vraiment réussi et envoûtant. En 1972, le groupe sort cet album, Earthbound, encore moins bien estimé des fans. Il s'agit d'un album live enregistré dans des conditions épouvantables (la qualité sonore est pourrie, on croirait entendre un enregistrement pirate), mais contenant 5 titres excellents. Le line-up du groupe, en 1972, était le même que pour l'album Islands : Robert Fripp à la guitare, Boz Burrell à la basse et au chant, Mel Collins au mellotron, flûte et saxophone, et Ian Wallace à la batterie. Peu après la sortie de Earthbound, le groupe se séparera (encore), et c'est une nouvelle mouture de Crimso qui fera l'album suivant, le monumental Lark's Tongues In Aspic (1973).
Avec sa pochette aussi sobre que moche, et sa qualité sonore médiocre, Earthbound est un disque méconnu et sous-estimé, qui ne fut pas disponible en CD pendant de longues années (c'est le cas désormais) et deviendra donc un disque assez convoité dans son format vinyle. L'album démarre par une version live époustouflante du classique 21st Century Schizoid Man, issue d'un concert fait à Willmington, Delaware (USA), en février 1972. La qualité sonore discutable sert assez bien le morceau, en ce qui concerne la voix de Boz Burrell, monstrueusement amplifiée par un modulateur vocal. La qualité pourrie rend le morceau encore plus effrayant et oppressant qu'il ne l'est en réalité. Peoria est une improvisation instrumentale qui porte le nom du lieu du concert d'où est issu de morceau (Peoria, mars 1972), tandis que The Sailor's Tale (initialement sur Islands), provenant d'un show fait à Jacksonville (Floride) en février 1972, est remarquable.

Earthbound est une autre improvisation instrumentale inédite issue d'un autre concert floridien (Orlando), février 1972, et est encore plus réussie que Peoria. Les 15 minutes de Groon, enregistré lors du même concert que 21st Century Schizoid Man, achèvent l'auditeur sur un déluge électronique insensé. Groon, à la base, était la face B du single Cat Food (1970), et ne se trouvait sur aucun album de Crimso.

Certes, la qualité sonore n'est vraiment pas bonne? Certes, seulement 5 titres (pour environ 45 minutes), c'est peu. Mais bon, ce premier album live du Roi Cramoisi est quand même très bon, et est un objet de culte pour les fans du groupe. Earthbound, à défaut d'être un immense album live, est un très bon cru !





Stevie WONDER
INNERVISIONS


Le 24 Juillet 2009 par TERRY


C'est un authentique chef d'oeuvre que Stevie Wonder sort en 1973. Innervisions est le second d'une série de 4 albums parus entre 1972 et 1976, 4 albums anthologiques, les meilleurs de sa carrière (Talking Book est le premier, puis Innervisions, puis Fulfillingness's First Finale, puis le double Songs In The Key Of Life, qui est LE sommet de Wonder). En 9 titres d'une pureté totale, Stevie propose une musique funky, douce et tribale, parfois politisée, toujours sincère.

Too High est la parfaite introduction funky (basse incroyable, choeurs trippants, ambiance dansante), rythmique élastique, voix parfaite de Stevie Wonder, choeurs soul/funk, une chanson totalement représentative du son Tamla/Motown, le gros son afro-américain des années 70, tandis que Visions est une merveille dans lequel Stevie, aveugle de naissance comme on le sait, prouve par A+B que la vision des yeux n'est rien, strictement rien par rapport à celle de l'esprit. Chanson douce, vraiment enivrante, sur laquelle Stevie chante comme rarement il le fera par la suite et comme rarement il l'avait fait auparavant. Paroles superbes (Do we have to find our wings and fly away/To the visions in our minds ?). Ma préférée du disque.

Puis on passe au gros morceau de l'album, le dantesque Living For The City, dans lequel Stevie Wonder nous narre, avec effets sonores à l'appui, la vie new-yorkaise dans tout ce qu'elle à de plus dangereux, une vraie jungle urbaine, dans laquelle règne la loi du plus fort. On sait que pendant la promotion de l'album, l'artiste emmènera quelques journalistes avec lui pour faire, en bus, le tour de New York, les yeux bandés, afin qu'ils découvrent la Grosse Pomme comme Stevie la vivait quotidiennement. Ce morceau est a écouter les yeux fermés. 7 minutes intenses de funk torride et politisé. Golden Lady achève la première face sur une note apaisante et douce. On tient ici une vraie chanson d'amour, d'une beauté totale (refrain magnifique, Golden lady, gooolden lady, I'd like to go there). 5 minutes de bonheur, mais à ce niveau de l'album, c'est tout simplement la face entière qui est synonyme de bonheur. Une chanson emblématique de Stevie Wonder.

La seconde face s'ouvrait sur une chanson qui sera par la suite reprise (et massacrée) par les Red Hot Chili Peppers, Higher Ground, vraie pièce maîtresse du son funky Motown, un titre diaboliquement efficace, du genre à vous faire remuer le popotin, tout en proposant des paroles assez politisées et engagées (Stevie, on le sait, a toujours été engagé), comme Powers keep on lyin'/While your people keep on dyin'. Jesus Children Of America est la chanson suivante. Chanson d'amour fraternelle, douce comme une brise, qui fait vraiment beaucoup de bien à celui ou à celle qui l'écoutera, c'est une des plus belles de Innervisions, et musicalement, elle est franchement de toute beauté. Comment argumenter dessus ?

Puis on passe au sublime All In Love Is Fair, qui se paie le luxe et le mérite de faire passer la chanson précédente pour du hard-rock, tellement elle est apaisante, proche en cela du Visions de la face précédente. En même pas 4 minutes, Stevie nous explique patiemment, et on adore l'écouter nous le prouver, que tout est superbe, en amour. All In Love Is Fair le montre en chanteur de charme absolument remarquable. Don't You Worry 'Bout A Thing est une petite merveille funky et même totalement africaine, une chanson sur laquelle Stevie joue de tous les instruments (aussi le cas de Too High, Visions, Living For The City et He's Misstra Know-It-All). Une vraie prouesse qui fait sourire, qui redonne du baume au coeur après la mélancolie du morceau précédent. Et enfin, l'album se terminait sur He's Misstra Know-It-All, chanson très engagée politiquement, dans laquelle, sur fond de gospel soul et funky, Stevie fait une critique sévère du gouvernement de Richard Nixon, le monsieur Je-sais-tout du titre. Manière très particulière de finir un album, et assez risquée aussi, mais le pari est magistralement gagné par Stevie, avec cette chanson parfaite.

Voilà, 9 chansons absolument grandioses, qui forment l'intégralité de l'album. Un album mythique, renversant, souvent triste, mais n'oubliant cependant pas sa fonction première de disque de soul/funk, même si l'ambiance est plus à l'engagement et à la mélancolie qu'au remuage de popotins.
Innervisions est un sommet qui sera juste surpassé par, en 1976, le double album anthologique Songs In The Key Of Life.
Mais beaucoup de fans de Stevie considèrent Innervisions comme son sommet absolu, et comment leur en vouloir ?







Commentaires :  1 ...<<...<... 837 838 839 840 841 842 843 844 845 846 847 848 ...>...>>... 1003






1999 - 2024 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod