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JETHRO TULL
A PASSION PLAY


Le 16 Mars 2012 par TARTE


Je rejoins totalement ARP2600. A Passion Play est le contrepoint de Thick as a Brick, il a perdu en humour ce qu’il a gagné en étrangeté. C’est une œuvre extravagante et cérébrale. Le Tull se montre sous un nouveau jour, moins construit, donc plus fou ; comme un témoignage du sentiment d’urgence que l’on ressent lors d’une improvisation. A Passion Play est un sentier tortueux, difficile, mais passionnant à parcourir. L’apparente anarchie regorge de véritables instants de grâce, des passages incroyables d’ingéniosité. Fruit d’un enregistrement désastreux (le groupe venait de perdre la quasi-intégralité du matériel du projet original), l’œuvre est loin d’être parfaite, mais sa consistance inhabituelle le rend attachant. En réalité, c’est bien ses tares qui font son tout charme. A Passion Play, c’est la peur, l’incertitude, la frénésie, la hâte et finalement, la joie que l’on a en montant sur scène. Une masterpièce à la mesure de sa polémique.





David BOWIE
LET'S DANCE


Le 15 Mars 2012 par ANGEL D


Let's dance un album soi-disant pourri! J'en rigole encore ...
Pretexte que Bowie ait chercher ici à faire du hit sur fond de paroles bidons... et alors ? ça sonne, c'est bien foutu et c'est bien l'essentiel!

Les mélodies sont efficaces, c'est propre et accrocheur et surtout ça remue encore (ce qui ne sera pas le cas de l'album "tonight", mou du genou).

Le talent est bien là, que ce soit Bowie ou les musiciens (stevie ray vaughan,Nile Rodgers...).
Quand à la production, le son est rond et agréable.
Normal pour un disque qui combine le pop rock et le disco funk.

Pour les vieux fans intégristes, ils devraient réécouter un titre comme "Ricochet" dans une veine rock-funky.
Plus sombre dans ses paroles sur ce morceau, difficile de résister à son groove.
Titre lent et obsédant, la ligne de basse est énorme, Bowie la joue sobre et impecable avec les cuivres sur la fin et la guitare: excellent.
Sans cette production 80's, il aurait eu sa place dans un disque comme diamonds dogs voire station to station.

Quand à "cat people" c'est surement un des meilleurs rock que Bowie à pondu.
Classieux et au petit oignons, la tension monte crescendo dans ce festival de feeling : stevie ray vaughan apporte une touche unique au milieu de ce groove imparable.
L'intro, les choeurs et les variation au niveau du rythme sont particulièrement bandante!

"Modern love" nous ramène dans un rock n roll à l'ancienne avec un coté très dancefloor.
L'efficacité est bien là!, idéal pour ouvrir un album!

"China girl" soi-disant fade alors que derrière cette pop song se cache encore ce groove moelleux, le chant sexuel archi maitrisé par Bowie et de délicieuses partie de guitares un poil bluesy.

"let's dance" le title track : inutile de revenir la dessus.La débauche de cuivres au début est énorme et comme dit le chroniqueur, le beat dévastateur fera le reste.
Bowie est toujours dans un chant sensuel et envoûtant.

Il y a aussi le simpliste "criminal world" qui me botte bien.
Un rock groovy gentillet mais là encore une fois avec une bonne ligne de basse et un stevie ray vaughan imparable.

Bon il reste que le remuant "shake it" et le tranquillou " without you".
Moins fort que le reste du disque, c'est deux titre bouche trous mais sans grande prétention et plutôt agréable.

Pour conclure, on sait que Bowie à déja beaucoup innové dans son matériel précédent.
L'idée de faire un bon album commerciale pour bouger ("let's dance") bien ficelé ne mérite pas une critique à charge contre ce disque.

C'est après que Bowie va perdre en efficacité et en inspiration mais dans l'ensemble ce "let's dance" possède toute les qualités que doit avoir ce genre d'album.

4.5/5





The Jimi HENDRIX EXPERIENCE
ELECTRIC LADYLAND


Le 15 Mars 2012 par ANGEL D


Encore une fois, peu de commentaire sur un artiste et un album pourtant mythique.
Hendrix ici est à son maximum, sa guitare déborde de feeling et défriche l'inimaginable.Ni blues, ni rock, ni hard, ni psyché, ni soul, ni jazz, ni funk mais un mélange de tout ça.

Son rock psychédélique à muri et s'est enrichi à vitesse grand V depuis le pourtant très bon "are you experienced".

L'album s'écoute comme on lit un livre, cohérent et solide.

Qu'un titre ici soit énorme ou juste bon (rien est médiocre dans ce disque ) Hendrix apporte un feeling et une interprétation magique qui trenscende le tout.

Meme si le reste y est aussi pour quelques chose... quand meme (la souplesse à la batterie de Mitchell, les nombreux invités comme buddy miles, steve winwood...).

Electric Ladyland c'est l'apaisement et l'invitation au voyage d'abord ("and the gods..."; "have you ever been").

L'orgie sonore après (le direct et hard "crosstown trafic"; le blues rock "voodoo" chile" ou l'orgue et la guitare bouillone à en faire frémir plus d'un.)

Et ensuite, au fil de l'album , tout les ingrédients et les genres se mélange définitivement: feeling , groove, psychédélisme sur fond de rock au sens large du terme. En un mot : c'est magique.

Je ne peux meme pas écrire tellement que c'est énorme.
L'homme explore, va plus loin et trenscende mieu que les autres.

Comment essayer de parler d'un titre comme "1983.." ou "burning of the midnight lamp".
C'est une musique planente (pyché) qui vous transporte avec des mélodies magique.
Pink floyd, avec leur délires, passe réellement pour des rigolos de kermess à coté.

il y a aussi l'énorme "all along the watchtower" :riff de fou, feeling à gogo, solo virevoltant
.Un rock puissant et mélodique qui synthétise ce qu'hendrix sait faire et que la masse retiendra.

Le sautillant. "gypsy eyes" titre bien gaulé avec un riff recopié par uli jon roth par la suite et tant d'autrs.

Jazzy et groovy sur l'excellant " rainy day dream away", on à un titre plus "funk" qui annonce le Band of Gypsies.

"Come on" est un rock bluesy bouillonent et jamais emmerdant.
"little miss strange" est son rock 60's passe comme une lettre à la poste.

"voodoo child (slight return") annonce le heavy métal tant les riff assez cru nous botte la gueule pour l'époque (1968!)

Bref je me dit qu'il est en fait difficile d'écrire sur un tel disque tant la qualité et l'oeuvre me parait intouchable!
C'est peut ètre ce qui explique le peu de commentaire ?







The ROLLING STONES
BRIDGES TO BABYLON


Le 15 Mars 2012 par ANGEL D


Selon les soit disant "spécialistes" les rolling stones seraient "a chier" depuis exile on main street .Pourtant il sont toujours au dessus de la moyenne musicale et c'est pas un fanatique du groupe qui vous le dit.Il y a peut ètre un peu trop de titre sur ce disque et l'ensemble est pas exceptionnel.Mais globalement l'album reste bon, avec une bonne production et beaucoup d'idée.

Ce qui sort du lot : "flip the switch" et "lowdown" sont deux titre très rock à l'ancienne bien catchy avec des riff de haut niveau.Le martelé "gunface" enfonce le clou à tous ça en apportant un feeling bien funk.

Plus moderne "out of control" et "sait of me" conjugue comme il faut mélodie pop et riff rock stonien.De qualité!
Tout comme "anybody seen my baby", avec un coté plus densant, son refrain mélodique et son passage "rap" peut ètre anecdotique mais honnete.

Le reste oscille entre le bon et le moins bon mais rien est à chier.Bon "might as well get juiced" sorte d'électro country sous lexomil avec les dust brothers à de l'idée mais ne trenscende pas.Le rock "too tight" semble anecdotique."already over me" est une bonne ballade.

La fin de l'album se traine un peu avec ses deux ballades ("thief in the night" et "how can i stop").

Peut ètre un peu gourmand (62 minutes et 13 titres), le groupe aurait pu sortir un album encore plus fort si il arait conservé les 9 ou 10 meilleur titres.





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 15 Mars 2012 par LE OUISTITI

Bravo pour ces chroniques d'un BLACK SABBATH moins connu, qui jusqu'ici m'avait peu passionné¦...

Tony Martin a en effet un superbe timbre, mais que je trouve globalement insuffisamment sombre ou dramatique pour le registre du Sab'.
Cependant, il n'a jamais failli durant sa longue participation avec Iommi et mine de rien, je vais m'en remettre une couche de Headless Cross, de Tyr et autres, cette chronique fait envie!





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 14 Mars 2012 par RED ONE

@ POWERBEAUF :

Oui, il n'est pas impossible que "Cloak And Dagger" soit une chute de studio issue des sessions de The Eternal Idol, mais il s'agit bel et bien d'une version enregistrée avec le line-up de Headless Cross.

D'ailleurs, dans le même genre, la chanson n°7 de Headless Cross, "Black Moon", est également un titre composé deux ans plus tôt pendant les sessions The Eternal Idol : une version primitive de ce titre existe d'ailleurs en face B du 45 tours de la chanson "The Shining", unique single de The Eternal Idol. Elle a été incluse sur la version deluxe de The Eternal Idol, on peut donc la trouver facilement aujourd'hui. Mais la version finale de "Black Moon" sur Headless Cross a là aussi bien été enregistrée avec le line-up de 1989.

La version deluxe de Headless Cross, de même que celles de Tyr, Cross Purposes et Forbidden, sont toujours prévues selon les sources dont je dispose chez Universal Music. La seule chose qui freine encore leur publication à l'heure actuelle est le fait que comme ces disques ont initialement été publiés chez IRS Records (et non chez Universal), un nouveau contrat de réédition doit être signé par Tony Iommi pour que leur publication soit lancée. Et comme vous le savez sans doute, ce pauvre vieux Tony a actuellement d'autres crabes à fouetter que de s'occuper des rééditions des albums les moins connus de son répertoire ...

C'est ceci dit frustrant que ces rééditions soient retardées, parce que des rumeurs font état de choses assez sympa concernant leur contenu : on parle d'un coffret complet comprenant Cross Purposes + le live Cross Purposes Live en version CD et DVD, d'une version totalement revue par Tony Iommi du mix controversé de l'album Forbidden (l'intéressé l'a d'ailleurs confirmé lui-même dans une interview), et bien sûr tout plein de bootlegs intéressants ...

Personnellement j'aimerai bien que les bonus de la version deluxe de Headless Cross soient les enregistrements intégraux du live à Moscou de 1989, un concert fabuleux avec un son de folie, des solos dantesques et des réinterprétations de vieux classiques fabuleuses ... On verra bien !







BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par FEELGOOD


Headless Cross, c'est une évidence universellement partagée, constitue l'une des pièces maîtresses de Black Sabbath, et même l'une des pierres angulaires du Metal, au même titre que Paranoid, Master Of Reality et Heaven And Hell.
Digne successeur des chefs-d'oeuvre d'antan, il relança brillamment la carrière du groupe et lui permit d'aborder la nouvelle décennie avec toute la sérénité requise. Surtout, il réinstalla le Sab' au sommet, sur le trône qu'il n'aurait jamais dû quitter.
Un accueil critique dithyrambique et un affolant succès commercial écrasèrent irrémédiablement la misérable concurrence. La triomphale tournée américaine qui suivit enfonça majestueusement le clou.
Quant à Tony Martin, il demeurera pour beaucoup le chanteur ultime du Sabbath Noir, le seul d'ailleurs à pouvoir ressusciter sans ridicule aucun aussi bien les titres de la première période que ceux des années Dio, faisant par là la démonstration incontestable de son éclatante supériorité...


Par Forces Parallèles

Tous les goûts sont dans la nature, cher ami.
Je positionne moi-même "Headless cross" au sommet de la hierarchie des disques du SAB, juste derière "Sabotage"...
Merci pour ta fidélité et ton humour.
Erwin





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par POWERBEAUF

Disons qu'au-delà du fait que l'album soit court ("Tyr" fera la même longueur, et "Forbidden" 2 malheureuses minutes de plus), c'est surtout le fait qu'il n'y ait que 22 ou 23 minutes de très bonne musique. Cela fait maigre, surtout vu la concurrence de l'époque.

Merci du tuyau pour "Cloak and Dagger". Je viens de l'écouter sur youtube. C'est un bon titre. Bizarrement, il sonne comme une chute de studio de "The Eternal Idol". A plusieurs endroits, la ressemblance avec des parties de guitares de "The Shining" et de "Glory Ride" est troublante. De même, l'ambiance est plus proche de cet album que de "Headless Cross".

En tous cas, j'attends avec impatience la réédition pour pouvoir ré-entendre ce disque sur un support original (l'édition originale est épuisée depuis longtemps et ne se trouve qu'à prix d'or en occas'). Il y a quelques semaines, je suis tombé sur un exemplaire en vinyl à un prix raisonnable dans une convention, mais l'état du 33T ne m'a pas inspiré confiance. Espérons que les bonus vaudront le coup, car le moins que l'on puisse dire, c'est que les CD bonus de cette vague de réédition sont d'intérêt très inégal...





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par RED ONE

@ POWERBEAUF :

Il est vrai que cet album est malheureusement trop court pour l'époque, je comprends la critique. Les albums de BLACK SABBATH suivants corrigeront quelque peu le tir en termes de longueur ...

Pour info, il existe une neuvième chanson issue des sessions d'Headless Cross, "Cloak And Dagger", qui n'était disponible que sur la version picture vinyle de l'album. Il n'est pas impossible qu'elle soit incluse sur la future édition deluxe de l'album, dont la sortie est toujours attendue pour l'année prochaine ...






BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par POWERBEAUF


Que n'avais-je lu d'inepties au sujet de cet album avant qu'un copain me prête ce CD, en 94 ! A se demander si les journalistes de la presse spécialisée avaient des oreilles ou un minimum d'honnêteté... Alors, certes, Tony Iommi avait tout fait pour faire fuir la presse et décrédibiliser le nom de BLACK SABBATH (notamment en allant jouer en Afrique du Sud, alors que ce pays était considéré comme infréquentable pour d'évidentes raisons, à l'époque), mais quand même !

Après une intro brève et inintéresante, on a droit à 4 titres fabuleux : l'immédiat "Headless Cross", porté par un riff d'anthologie et un superbe solo de Sir Iommi, ainsi que par la voix d'or de Tony Martin ; l'immédiat "Devil & Daughter ; le génial et épique "When Death calls" (quelle ambiance et quel solo !) ; et le mésestimé "Kill in The Spirit World", au break splendide débouchant sur un solo lumineux...

18 ans après, je reste toujours admiratif à l'écoute de cette première moitié du disque. Le problème, c'est que le reste du CD est loin d'être du même calibre. Le dernier titre, avec ses paroles répétitives et ses solos multiples, sent carrément le remplissage et la volonté d'atteindre à tout prix les 40 minutes réglementaires de musique... 40 minutes, cela passait en 1983, mais plus en 1989 : avec l'essor du CD, la durée des albums s'est allongée et des tas de groupes proposaient des albums de Hard ou de Heavy d'excellente qualité de 50 minutes et plus, à cette période. De ce fait, et malgré un net mieux par rapport aux albums précédents de BLACK SABBATH, je ne peux pas mettre plus de 4/5 à cet album. Si seulement le groupe avait pris un peu plus de temps et essayé d'écrire 2 ou 3 superbes titres de plus pour ce disque...






Alan STIVELL
RENAISSANCE DE LA HARPE CELTIQUE


Le 12 Mars 2012 par WALTER SMOKE


En voilà un album magnifique ! Il faudrait être fada pour l'ignorer ! Mon seul regret concernant cet album, c'est que, à part Chemins de terre, c'est le seul album d'Alan Stivell que je connaisse...





SCORPIONS
MOMENT OF GLORY


Le 12 Mars 2012 par POWERBEAUF


Cet album est décevant. Réglons d'emblée la pseudo-polémique concernant le premier groupe de Hard ou de Metal ayant collaboré avec un orchestre : DEEP PURPLE l'a fait dès 1969... RAGE l'avait également fait dans la 2è moitié des années 90.

Concernant l'album en lui-même, pas grand chose d'inoubliable. Des classiques déjà entendus des milliers de fois, un medley sympa, une assez bonne surprise ("Crossfire"), et un immense moment de niaiserie (la plage titulaire)... Les arrangements de Kolonovits sont plutôt réussis, mais au final, n'apportent pas grand chose à des titres qui restent taillés pour les murs de Marshall des stades olympiques.

La version DVD est un peu plus intéressante, car un poil plus étoffée et rehaussée par la présence visuelle de l'excellent Ray Wilson et d'une chanteuse à la tenue fort affriolante...
Malheureusement, il faut aussi se fader 2 fois la chanson-titre...





GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par JOVIAL


@SB

Merci pour ton avis, ça fait toujours plaisir.

Flying Teapot est très bon album, et personnellement je le trouve meilleur qu'Angel's Egg. Toujours aussi délirant, mais un peu moins que Camenbert Electrique, assez proche d'Angel's Egg et de You, mais à mon avis bien moins décousu.

Je me chargerai de la chronique, un jour ...





GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par SB


J'aime vraiment beaucoup cet album. Je l'ai découvert après You, que je trouvais ultime. En fin de compte je pense que j'ai une préférence pour ce Angel's Egg.
J'aime beaucoup ce mélange de styles et les passages plus planants sont jouissifs.

Bref une très bonne surprise.

Je ne connais pas encore le 1er opus "The flying Teapot", comment est-il par rapport aux deux suivants ?





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 11 Mars 2012 par FRANCK


Pas du tout d'accord avec la chronique.
Cet album est très bon et casse la baraque bien plus que bon nombre de ceux qui ont été enregistré avec Samy Hagar. Du Van Halen old school non seulement mais d'une fraicheur certaine tant David semble renaître de sa voix chaude et méga puissante sur cet album.
Je ne pense pas qu'il n'y aura que les puristes de la premières heure qui aimeront.
Jetez-vous sur " A Different Kind Of Truth " !!!





EMERSON, LAKE & PALMER
WELCOME BACK MY FRIENDS TO THE SHOW THAT NEVER ENDS


Le 11 Mars 2012 par TERRY


Long, très long, trop long, même, probablement... Mais quel live, sinon !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par ALBIRéO


Tel titre est une ressuçée, tel autre un fond de tiroir et celui-là fleure trop le big rock californien....

ET ALORS ?!

M'en tape : pour moi, la mayonnaise VH 80' sur la forme, mélodies bien senties et (surtout) plaisir procuré est carrément enthousiasmant !! Les considérations comparatives et étiquetantes m'ont toujours ennuyé.

Chaque titre possède son identité, sa surprise, son petit plus. Un jeu de guitare carrément intergalactique et un rien barré, un chant somptueux, une rythmique basse/batterie vraiment bandante et, sur le fond, des compos bien fichues, même si elles ne sont pas, c'est vrai, toutes au diapason.

Mes préférées : "You and your blues", "As is", "Stay frosty".





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
BAYOU COUNTRY


Le 10 Mars 2012 par TONTON CLEM


CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL, c'est l'essence même du vrai rock américain. Bien sûr, d'autres grands groupes de l'époque tels que les DOORS ou les STOOGES pourraient aisément rivaliser, l'un dans un style plus psychédélique et l'autre dans une approche plus punk. Mais j'accorde une affection plus particulière à ce quartette de Berkeley, faiseur d'albums devenus cultes et de tubes incontournables.

J'ai découvert ce groupe un peu sur le tard par le biais de "Bayou Country", leur deuxième album. Il fait chaud, l'atmosphère devient oppressante, la moiteur envahit la pièce lorsque les premières notes de "Born On The Bayou" se font entendre. Quand j'entends pour la première fois la voix puissante de John Fogerty, je n'en reviens pas. Moi qui craignais quelque chose de trop mâtiné de blues (car susceptible de me casser les coucougnettes), me voilà rassuré. Fogerty a un timbre de voix qui en jette véritablement. Ce riff hypnotique et cette rythmique sans relâche, bref, tout d'un futur classique. Juste énorme.

"Bootleg" qui suit n'a rien de tellement extraordinaire, on relèvera juste une session guitaristique efficace. "Graveyard Train", titre bluesy aussi long qu'une ligne de chemin de fer s'étirant sur toute la surface Est-Ouest des Etats-Unis, est une bonne dose de repos avec ses accords à 6 notes qui s'enchaînent et son petit harmonica qui fait toute la différence. On revient à du survitaminé avec une reprise jouissive de Little RICHARD ("Good Golly Miss Molly") qui donne furieusement envie de taper du pied. En plus, Fogerty nous sert des soli ébouriffants sur ce morceau.

"Penthouse Pauper", qui se veut moins rock 'n' roll que le titre précédent, demeure très sympathique. Et là, un sentiment de plénitude et de parfaite relaxation m'envahit à l'écoute de l'une de mes chansons préférées, tous styles confondus. "Proud Mary" est une composition magique, maintes fois reprise mais jamais égalée, ce grand standard à l'amour des bateaux voguant sur le Mississippi est un vrai régal car ultra-mélodique et entraînant. C'est que du bonheur. Enfin, l'énergique "Keep On Chooglin'" finit d'achever ce disque atypique en laissant place à un véritable marathon instrumental.

7 morceaux seulement, mais ce "Bayou Country" contient pléthore de tubes qu'il serait vache de laisser passer. En effet, CCR accouche là d'un album remarquable à l'ambiance très particulière, on a presque l'impression que le groupe s'est enregistré en extérieur... La pochette en témoigne, d'ailleurs je cherche toujours à reconnaître qui est qui sur cette photo zarbie. On est purement dans le Bayou, quoi !

Morceaux favoris : "Born On The Bayou", "Graveyard Train", "Good Golly Miss Molly", "Proud Mary".





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par STEF 15F


Album plutôt positif que négatif pour ma pomme !
Un disque dans la tradition et dans le style du groupe.
Le son est cependant un peu "saturé", ce qui attenue la guitare d'Eddy et l'ensemble des compos.
Un petit 4, ou un gros 3... de toute façon, à avoir dans sa collection de Van Halen !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 08 Mars 2012 par LEO


Moi je le trouve pas si mal que ça ce nouveau VAN HALEN!
Certes, il ne vaudra jamais les 4 grands premiers albums que le groupe a sorti entre 1978 et 1981, mais il est tout de même plusieurs crans au dessus du pitoyable "Diver Down" et a bien plus de pêche que le moyen "1984" (ce dernier, majoritairement englué de synthés).
Les points forts: le groupe semble avoir toujours la pèche après toutes ces décennies et a globalement choisi de repartir vers un son et des compos plus agressives et non sur la voie de la facilité pratiquée sur "Diver Down" et "1984" ou dans les albums de la période Hagar.
Les points faibles: un album qui aurait mérité d'être plus court (comme à l'époque du vinyl) en retirant certains titres plus faibles comme le peu palpitant Tattoo (bizarre d'avoir sorti ce morceau en single!) ainsi que les bouche-trou As Is et Honeybabysweetiedoll (trop bordéliques à mon goût et faisant office de remplissage!). je suis également partagé sur le final en demi-teinte, Beats Workin'. en revanche, et contrairement à GEGERS, je trouve que She's The Woman et Big River font partie des morceaux les plus réussis et accrocheurs de l'album! (et concernant ce dernier titre, je ne vois pas du tout de similitude avec Panama!!! si comparaison sonore il y avait à faire, elle aurait plus avoir avec le 1er album).
J'ai aussi le sentiment que pas mal de compos ne sont pas totalement abouties, comme si il manquait quelque chose au niveau des structures et des arrangements..... le bilan pour moi est donc mitigé mais penchant plutôt vers le positif même si je suis très loin dêtre emballé totalement!







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