Le 24 Mai 2008 par A.T.N.

Chaque morceau est un single en puissance. Casablancas développe un songwriting digne de Ray Davies. Accroche, mélodie, rythme, il faut un talent fou pour pondre 11 titres qui semblent simples, évidents, qu'on avait presque l'impression d'attendre. C'est canaille, voyou, élégant, les deux guitares ne se chevauchent jamais et créent le parfait équilibre pour des gimmicks tueurs. Chapeau.

Le 24 Mai 2008 par SERGIO

Pour bien juger cette compilation, il faut tenir compte du contexte de l'époque et se souvenir qu'il était plus difficile et plus cher de se procurer inédits et faces B, donc je me souviens d'une grande joie en achetant ce disque car j' allais découvrir des morceaux que je ne connaissais pas. Aujourd'hui, au moment de noter ce disque avec le recul, en se concentrant juste sur le matériel, force est de reconnaître que trois étoiles suffisent. Mais quelle jubilation en 1988, en découvrant Cinderella Search, Tux On, Freaks, Lady Nina ou Margaret. Market Square Heroes et Grendel aussi, car je n'avais pas le mini-album paru avant Script For A Jester' s Tear. Je suis aussi de l'avis que Charting The Single et Three Boats Down From The Candy ont pris un coup de vieux, mais faisaient de bonnes faces B. Et le final de Three Boats... est tout simplement fantastique. Il est intéressant aussi de noter que les faces B ont suivi l'évolution musicale des albums de Marillion, passant du rock prog pur à des titres plus proches de Misplaced Childhood ou Clutching At Straws.

Le 24 Mai 2008 par JL

Délirant de la première à la dernière note de l'album, impossible d'être totalement fan de ce type, on trouvera toujours quelque chose de bizarre.

Le 24 Mai 2008 par BARZ

Salut à toi,
Le prochain album est prévu pour septembre prochain...
Toutes les infos sur leur site officiel mansfieldtya.com ou sur leur myspace.com/mansfieldtya
A bientôt,

Le 24 Mai 2008 par GEORGE LXIX

C'est un super album, c'est le plus riche musicalement pour Jimi Hendrix, mais aussi beaucoup (comme tout les doubles albums du rock) de petites chansons bouche-trous.
Aussi pour certaines chansons le son est vraiment désastreux, contrairement aux albums précédents où la qualité était excellente pour 1967.
Et il n'est pas homogène du tout.

Le 24 Mai 2008 par ZITA

C'est tout simple et pourtant ça remue profondément.
J'ai aimé.
A quand le prochain CD ?

Le 22 Mai 2008 par LEO

Marillion ne m'a jamais franchement emballé, mis à part quelques titres piochés de-ci de-là. en revanche ce "Fugazi" est pour moi leur meilleur album, car le plus homogène et comme l'a souligné David, le plus noir aussi (doublement d'accord avec toi David, la prod très froide accentue la noirceur générale des morceaux !). J'adore aussi l'oubliée 'Punch & Judy' qui est certainement un des mes titres favoris du groupe (je ne sais pourquoi, mais je trouve qu'il y a un petit côté Simple Minds dans les claviers !).
Globalement, "Fugazi" est moins évident que le reste de la disco du groupe (avec Fish, tout du moins !), mais perso, c'est pour moi leur plus réussi.
Seul petit bémol en ce qui me concerne, la voix de Fish, vraiment très appuyée que ça en devient presque du maniérisme par moments !

Le 22 Mai 2008 par SERGIO

Lorsque j'ai vu la note, j'ai eu peur de lire la critique d'Oncle Viande, mais, même si je ne suis pas forcément d'accord avec lui, force est de reconnaitre qu'elle est argumentée et impartiale, sans désir de casser le groupe. Pour ma part, je pense que Fugazi est le digne héritier de Script... et Marillion est allé aussi loin que possible dans ce registre musical. Assassing ou Fugazi sont des classiques, Punch And Judy a la patate, She Chameleon, Emerald Lies, Incubus et Jigsaw sont des montagnes russes desquelles on croit tomber à de multiples reprises et qui finissent par nous raccrocher in extremis. On peut reprocher à ce disque sa production peut-être un peu trop luxuriante, mais c'est le prix à payer quand on cherche à envoûter l'auditeur. D'ailleurs, le groupe y a remédié dès l'album suivant, mais c'est une autre histoire. Il n'en demeure pas moins que Fugazi propose un beau voyage avec des moments d'une beauté rare et parvient souvent à nous ensorceler et le but est largement atteint.

Le 22 Mai 2008 par SERGIO

Des musiciens qui jouent de mieux en mieux, une production plus simple de Chris Kimsey, laissant de côté les artifices pour une musique plus accessible et voici le résultat : un sommet !
Misplaced Childhood est certes plus pop que ses Script... ou Fugazi, mais alors quel bonheur que cet album cohérent de bout en bout, qui fit la preuve que Marillion était autre chose qu'un clone de Genesis et allait tracer sa propre route, sans perdre son âme et en allant tout droit vers l'émotion. Du beau travail. Jamais la cohésion du groupe n'a été aussi évidente et la cohérence de l'album en est la preuve : ces cinq gars jouaient comme un seul, au service de leur musique, faisant corps pour que celle-ci soit aboutie et sonne comme une évidence. Bravo et merci, messieurs.

Le 21 Mai 2008 par LOONEY

"Are You Experienced ?" est un album insupportable, et Hendrix est loin d'être un dieu de la musique. En plus d'avoir mal vieilli à outrance, cet opus est trop long, lent, lourd ; Ses "tubes intemporels" dépassent à peine la moyenne du genre (qui a dit que "Purple Haze" et "Hey Joe" avaient marqué leur temps ? N'importe quoi !) "Village Green Preservation Society" des Kinks, sorti l'année d'avant, a eu une influence égale (voire supérieure) et est bien plus rarement cité comme référence... Le fait est que Jimmi a eu le bonheur de découvrir la saturation et les possibilités d'un ampli "en tout premier", on l'a donc pompeusement qualifié de précurseur. Mais la vérité est ailleurs : Hendrix est chanceux, a bénéficié d'une couverture médiatique suffisante au bon moment, il a simplement su en profiter et reste à mes yeux un homme opportuniste plutôt qu'un guitariste talentueux.

Le 21 Mai 2008 par TERRY

Génialissime album, mon préféré avec "Born to run". La chanson-titre est divine, tout simplement divine.

Le 20 Mai 2008 par LOONEY

L'un des albums francophones les plus honnêtes et intègres de ces derniers temps. Un coup drôle, un coup touchant, un coup franchement émouvant. Qui porte à réflexion ("8 secondes", "En attendant", l'énorme "Plus rien") et qui évoque simplement la vie et les moments passés ("Les étoiles filantes"). Un beau portrait de la société et du monde actuel et un franc-parlé bien sympatoche, inmanquable.

Le 20 Mai 2008 par LéONOU

Sans conteste un album de très grande qualité. Les Cowboys enchaînent les compositions excellentes formées d'un mélange savoureux de textes poétiques, sincèrement engagés et de mélodies entraînantes et travaillées.

Tout commence sur un court instrumental agréable, assez calme qui est l'introduction rêvée à la chanson la plus célèbre de l'album ; "Les Etoiles Filantes" sur l'enfance, la mort et l'entre deux. L'intérêt de cette chanson réside dans le mélange entre la mélancolie qui se dégage du texte, du chant de J.F Pauzé qui évite le pathos et le rythme entraînant qui permet de facilement mémoriser les paroles. Un titre à la mélancolie sublime.

Suivent deux très bonnes chansons : "Ti-cul", sur la jeunesse et son désir de liberté, et l'écologiste "8 secondes" sur le même thème que "Plus rien".

Attention, "Plus Rien" est un chef d'oeuvre. Il s'agit clairement de l'une des plus grandes chansons de Science-Fiction qui soit. C'est le récit terrifiant d'une apocalypse possible et personne ne peut l'écouter sans frémir tant l'interprétation du groupe est juste et les paroles sont réalistes.

Ensuite "Hanna", dans la lignée des "étoiles filantes" et de "Ti-cul", sur la solitude, mais d'un niveau inférieur.
"Symphonie pour Caza", première chanson joyeuse de l'album et son Tabarnak jouissif, un hymne à la fête et à la joie de vivre. Le récit d'un 21 juin un peu arrosé ?

Retour à sujet plus grave avec le très émouvant "La reine", sur l'exclusion des plus démunis et l'entraide, et deux chansons critiques de la vie politique québecquoise (mais qui marchent très bien pour d'autres pays).

"Ces temps-ci" ressemble assez à "Hanna", sur les aléas de l'amour.
"Ma belle Sophie" est la moins bonne chanson de l'album, (mal) chantée et écrite par M-A Lépine.

"Shis Taouk" est un court intermède instrumental, délirant, qui fait la transition avec l'histoire d'amour pleine d'humour de "Camping St Germaine".

L'album se termine sur deux chansons engagées ; critiques de la société actuelle et, plus original, l'esquisse d'une nouvelle, ni utopique ni cynique. De quoi donner à réfléchir.

Au final, ce disque est un sans-faute, à l'exception de quelques difficultés de compréhension pour les non-quebecophones ("Caza", "Ces temps-ci", "St Germaine") et un accent qui peut surprendre au début. Mais l'on passe très vite au dessus de ces détails pour passer un excellent moment avec quelques musiciens attachants.

Le 20 Mai 2008 par LOUVOIR

Cet album est pour moi très particulier. En effet, il est un peu à la base de mon engagement dans la voie de la défense de l'environnement (la chanson "Plus rien" surtout). Bien sûr il n'a pas été le seul déclencheur, mais il en fait partie.

Au delà de cela, dans son ensemble l'album est excellent. Tantôt entraînant, tantôt émouvant, les cowboys s'en sortent bien dans toutes les ambiances qu'ils développent.

A découvrir, et à garder toujours à portée d'oreilles.

Le 20 Mai 2008 par FREMEN10

Dans le "trop de ... tue le ..." je vous présente Muse et les effets. Autant je les trouvais savamment dosés dans l'album précédent autant là ça me gave direct.

Ça démarrait bien avec "Take a Bow" puis vint "Starlight", morceau bien convenu et bien mollasson, de bonne facture certes, mais qui est loin de vous prendre aux tripes.
"Supermassive blackhole" et ses guitares saturées avec un chant magnifique est pas mal du tout, mais ne tient pas la distance, il semble se répéter à l'infini alors qu'il ne dure que 3:30.
"Map of the Problematique" avec son intro qu'on dirait sorti d'un morceau de trans de Robert Miles dans les années 90 (http://www.youtube.com/watch?v=VZFrFqXqc4c&feature=related) est sympathique, mais encore une fois est loin de vous emporter vers les cieux.
La ballade qui suit pourrait être sympathique dans un album plus pêchu, mais là elle déséquilibre encore plus l'album, malgré son petit côté Queen (qui n'avait pas besoin de ça).
Après "Invincible" et son côté pop hyper désagréable la seconde partie de l'album débute et est de meilleure facture.

"Assassin" et son intro à la K2000 possède un son lourd loin d'être désagréable et un rythme assez intéressant, mais ne percute malheureusement pas l'auditeur que je suis.
"Exo-Politics" se voit associé à un riff reprenant le "NO limits" de ma jeunesse (si je me risquais à dire que cet album est influencé par la fin des années 80 et le début des années 90 et la musique Dance (Aiiieuuhh tapez pas)).
"City of delusion" est enfin le premier petit bijou de l'album.
"Hoodoo" : je passe.
"Knights of cydonia" est le second petit bijou de cet album.

Cela en fait finalement un album bien en dessous de ce qu'on pouvait attendre!! Dommage!

Le 20 Mai 2008 par FREMEN10

Pour moi le summum de Muse. Une cohérence incroyable de l'album et une machine à Bombes. Les intros de chaque morceau vous prédisent le meilleur... et il arrive.
Des effets en veux-tu en voilà du piano de la rage et des mélodies envoutantes. S'il n'y en avait qu'un ce serait celui-là.
Tenez le vous pour dit!!

Le 20 Mai 2008 par FREMEN10

On progresse, on progresse. Cet album confirme tout le bien qu'on pensait de Muse. Un groupe et des compos qui évoluent, une présence scénique à l'époque de cet album qui nous disent qu'ils sont à la hauteur des éloges dont ils bénéficient.
Un album bien plus péchu qui de ce fait le place devant Showbiz.
Un petit 4,5/5 Pour ce Origin of symetry.

Le 20 Mai 2008 par FREMEN10

Voici un album qui nous arrivait tout frais et dont on avait pu voir quelques affiches dans l'armée des 12 singes.
C'était alors avec joie que je posais le CD dans ma platine et envoyais la sauce.
Les morceaux se sont enchainés alors avec une telle facilité, alternant lyrisme, douceur puis grosse énergie à la limite de la brutalité. Plus qu'un album torturé c'est un album qui nous torture nous.
Déjà dans cet album on retrouve un grain de folie, un je ne sais quoi emprunté au talent des Queen.
Cet album était la grosse révélation et sans être parfait nous laissait penser que le meilleur était à venir.

P.S: Concernant le style associé faudrait pas pousser. Dire que Muse est dans le même style que radiohead est juste impossible. Radiohead évolue dans un registre plus électro plus sombre quand Muse évolue dans un style influencé par le Metal (à tendance épique).

Le 15 Mai 2008 par DADOUU

Je pense qu'on le descend toujours trop facilement cet album.
C'est vrai, pour un fan de Queen qui n'aime que le rock, cet album est à jeter, à planquer dans le fond de son étagère.
Seulement ça change du pop-rock assez habituel qu'ils avaient attrapé au début des 80's voire fin 70's. De plus ce style de musique était à la mode à l'époque.

Le 15 Mai 2008 par IEN

Celui-ci même ma maman elle l'aime ! C'est dire la qualité de l'album ! Renaud s'est assagit (un peu) et les chansons sont variées.
A noter que je trouve la photo de la pochette superbe.
Mes chansons préférées "Deuxième Génération", "Pochtron!", "Ma chanson ...","déserteur"