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MUSE
ORIGIN OF SYMMETRY


Le 28 Avril 2008 par LESOMBRE


Un peu étonné des commentaires précédents, cet album est un paroxysme de beauté et d'originalité. La plupart des titres arrachent complètement : mention spéciale au superbe Space dementia. Sans conteste le meilleur album de Muse coincé entre un Showbiz très rock indé et un Absolution qui amorce la dérive commerciale du groupe. S'il n'en faut qu'un, c'est celui-là.





APHEX TWIN
SELECTED AMBIENT WORKS 85-92


Le 28 Avril 2008 par SMOUTHY


J'ai découvert Aphex Twin grâce à cet album, et je dois avouer qu'à l'origine, j'étais (très) réticent à tout ce qui touchait à l'électro, que j'assimilais à de la techno (quand on connait pas, on compare toujours ce que l'on dira par la suite incomparable).
Malgré cela, l'album en lui-même est vraiment très agréable à écouter, ses sonorités douces et calmes arrivant même à me bercer, et, contrairement à ce qu'en dit le chroniqueur, je trouve que les deux dernières chansons collent très bien avec l'atmosphère recherchée par Aphex Twin tout au long de cet album. En bref, un excellent album pour découvrir l'electro/ambient d'Aphoux Twin comme on le nomme par chez moi ...





MUSE
SHOWBIZ


Le 28 Avril 2008 par HENRY


Personnellement je préfère cet album au suivant (Origin Of Symmetry) qui est certes plus puissant, mais, une chose dont j'ai horreur chez Muse, qui regorge de démonstrations vocales trop longues et lourdes du chanteur dans certains chansons (qu'il n'y avait pas encore dans cet album-ci).





VAN HALEN
1984


Le 28 Avril 2008 par DADOUU


Ça équivaut +/- à "Brothers In Arms" de Dire Straits. Le meilleur mais aussi le plus "travaillé" en studio.





RADIOHEAD
IN RAINBOWS


Le 28 Avril 2008 par CHIPSTOUILLE

Je souhaiterais tordre le coup à une idée reçue. La qualité sonore d'un produit n'a pas directement de rapport avec la quantité de mémoire numérique utilisée pour le stocker.

En d'autres termes, mieux vaut mille fois un titre de Jean-Michel Jarre correctement retranscrit en midi et tenant en une poignée d'octets qu'un CD complet de Darkthrone phagociteur de taille mémoire dopé à la saturation et au bruit blanc.

Le CD audio en lui-même est déjà la résultante d'une première compression et d'une altération de la donnée analogique, contre laquelle on pourrait déjà militer. Il est également parfaitement possible de compresser les données d'un CD audio sans en altérer la qualité (il existe d'autres formats de compression sonore - voir compression tout court - que le mp3). Enfin, la perte due à la compression en mp3 n'est pas systématique, elle dépend avant tout de ce que l'on compresse.

En outre, la qualité des mp3 d'In Rainbows est plus qu'honorable, quand bien même elle ne vaudrait pas tout à fait celle du CD. Mais pour "tester" gratuitement le produit sonore en question, cela suffit largement. Et pour les amoureux du CD ou du Vinyle, ils sont également disponibles tous les deux, de quoi se plaint-on au juste?





Sébastien TELLIER
SEXUALITY


Le 28 Avril 2008 par ROMEOSEXYBOY


Je suis tout à fait d'accord avec la chronique de POSSOPO sur pas mal de points (hors ce qui concerne le goût: pour moi Justin Timberlake est très présent, mais dans Roche qu'ailleurs), surtout sur sa conclusion: un disque à la "durée de vie" quasi nulle. Si on peut dire. Parce que pour moi, ça se traduit par "suivant", quand un disque n'accroche pas mon oreille par de premières profondeurs, puis secondes profondeurs, etc... Et pourtant Sebastien Tellier fait partie de mes trois artistes préférés de tous les temps (Jeff Buckley, Vincent Gallo et lui).

Là où je ne suis pas l'avis de POSSOPO (mais mon but est surtout de parler du disque), c'est sur l'interprétation du phénomène médiatique (et le sens qu'assument les artistes en question), aussi bien pour Sébastien Tellier que pour Philippe Katerine.
Ce sont mes artistes français préférés, et comme par hasard, ils se "vendent". Je ne crois pas au hasard à ce point. Par contre, quand je les vois s'afficher en fauves imprévisibles sur les plateaux TV, à se vautrer dans la boue avec autant de panache, je comprends carrément leur acte : s'ils y allaient, comme tous les autres, à reculons, ils n'auraient pas la liberté de mouvement qu'ils ont en paraissant aimer ça. D'ailleurs, ils ne sont pas considérés, l'un comme l'autre, comme inoffensifs ou prévisibles, on sait bien qu'il se passera quelque chose, qu'ils seront extravagants voire scandaleux. Les présentateurs font mine de ne pas entendre les horreurs qu'ils racontent. De ce fait, grâce à Katerine et Tellier, le téléspectateur alerte se rend compte que les animateurs se moquent bien de ce qui se dit dans les émissions, qu'ils prennent les téléspectateurs pour des ânes qui marchent toujours quand le débit de parole est constant (comme sur pas mal de forums sur internet, d'ailleurs, (sans parler du votre que je ne connais pas)).

Bref, la raison pour laquelle je n'en veux pas à Tellier d'avoir fait un album que je n'écouterai pas, c'est que grâce à cet album il aura pu faire l'eurovision et venir crier à la face de l'Europe que la France est si débordante de sperme frelaté qu'elle en fait son symbole. C'est très contemporain, puisque ça sent le Sarkozy, tête chaude et sexe en main à côté du portefeuille croco. Mais pour être moins téléologique (Tellier ne savait peut-être pas que son album allait avoir une telle résonance), je crois que cet album est généralement une nouvelle pierre à l'édifice de Tellier qui consiste à rendre sensible les choses sociales qui demeuraient enmurrés dans la raison.
Comme il l'a dit, il a d'abord cru que la Famille était le plus important. "L'incroyable vérité" a donc servi à donner du relief à cette thématique, en particulier pour la position de la femme ou en se mettant dans la perspective du chien. Et ce qui est drôle c'est que cet album, je l'ai surtout écouté seul à l'écart de mes parents, dans ma chambre, comme si l'album me permettait soit de faire le deuil de ma famille, soit m'en donnait une nouvelle, de remplacement (je ne porte pas ma famille dans mon coeur).
Ensuite, comme il l'a dit aussi à la télé (comme quoi, il ne raconte pas que des conneries), la seconde chose, encore plus importante, lui a semblé être la politique. D'où son second album, "Politics". Celui-ci tournait d'abord en ridicule la propagande, donnait du relief à cette forme de manipulation (Wonder Africa, League Chicanos). D'autre part, il était aussi un album positif (avec "la ritournelle", l'amour devient un geste politique: "nothing's gonna change my love for you, I want to spend my life with you")), mais également un album pervers particulièrement révélateur (Ketchup versus Genocide). Je ne me prononcerai pas sur le sens des autres chansons, n'ayant trouvé les paroles nulle part (évidemment, cela n'empêche pas que j'ai écouté l'album au moins cent fois pour sa signification directe, intuitive, ce qui est toujours le cas de toute façon).

Donc aujourd'hui, c'est la sexualité "qui est plus importante que la politique, qui était elle-même plus importante que la famille". Je ne m'aventurerai pas à interpréter en détail un album que j'ai peine à écouter pour son manque de profondeur. Ou bien peut-être est-ce dû à mon éducation puritaine qui me rend inapte à explorer les affres réelles de la sexualité, que Tellier devrait explorer s'il était fidèle aux qualités de ses anciens opus. En tous cas, force est de constater que si on veut parler de la Domination, la carrière de Tellier semble reprendre en accéléré, contrairement à ce qu'il disait (je suis très lent, ironisait-il à la télévision), l'histoire contemporaine des relations de pouvoir au sein du peuple: par les axiomes de la famille jusqu'au début du XXème siècle, puis par le biais de la politique (l'engagement politique, jusqu'en 68 pour la France, mais 45 pour l'Allemagne de l'ouest) et enfin par le biais du sexualité/libido qui domine le monde depuis.

Enfin bon, disons que c'est plus l'occasion d'en parler qu'autre chose. Je recommande à tous et toutes d'écouter les trois albums (surtout les deux premiers) de Sébastien Tellier.





David BOWIE
ALADDIN SANE


Le 27 Avril 2008 par TERRY


Un des meilleurs albums de Bowie, un de mes préférés aussi. J'adore, surtout la chanson-titre (au solo de piano totalement free, bravo Mick Garson !), "Time", "Panic In Detroit" et "Lady Grinning Soul".
Et sublime pochette, aussi.





David BOWIE
ALADDIN SANE


Le 27 Avril 2008 par LOTTY


Ce disque est un de mes préférés de Bowie. Tout me semble bien, de la pochette aux paroles et à la musique. Une fois de plus Bowie nous sort un disque efficace sur sa lancée Hunky Dory & The rise and fall of Ziggy Stardust and the spiders from Mars. Les chansons "Drive in Saturday" et "Cracked Actor" sont parfaites à mon goût ainsi que la chanson phare de l'album, c'est a dire Aladdin Sane. Un excellent album en somme.





YES
GOING FOR THE ONE


Le 26 Avril 2008 par JL


Je comparerais bien cet album avec le "Wind and Wutherings" de Genesis, car il est sorti à peu près à la même époque, c'est-à-dire en plein déclin du rock progressif.
Aussi c'est leur dernier album quasiment progressif (comme le W and W de Genesis) pour après adopter un style beaucoup plus "accessible" et commercial.
Ce qui est étonnant aussi c'est que ces 2 albums nous laissent dans la même atmosphère planante de la première note à la dernière.





The BLACK CROWES
WARPAINTS


Le 25 Avril 2008 par SISCO


Un album plutôt rassurant pour les Crowes. Après une absence aussi longue il aurait été incroyable de produire un nouveau Shake your moneymaker mais l'essentiel est là : une voix rock'n'roll à souhait et de chaudes parties de guitares. Goodbye daughters... enquille un beau refrain, We who see the deep sent bon les Stones, l'intro de Movin' on down pourrait aussi faire penser aux Doors, bref il y a toujours des maîtres à penser mais on peut trouver pire comme référence. Certes il n'y a pas de morceaux pêchus (quoique Wounded bird sur scène...) mais l'ensemble est vraiment efficace, comme une tranche d'histoires américaines. Un retour apprécié.





RADIOHEAD
IN RAINBOWS


Le 25 Avril 2008 par HENRY


Beaucoup plus accessible que certains autres (Kid A, OK Computer, etc.) mais toujours aussi complexe.
Ça donne un tout autre style.





RADIOHEAD
OK COMPUTER


Le 25 Avril 2008 par HOEL


Je le trouve vraiment mélancolique par rapport aux autres, les autres ne le sont pas à ce point là.
C'est pas un album à écouter tous les jours.





MUSE
ABSOLUTION TOUR


Le 24 Avril 2008 par ALDA


Voila un petit DVD que je ne trouve pas désagréable du tout, malgré un public relativement peu expressif ( A part sur Time is running out et Plug in Baby )le trio assure techniquement et scéniquement ( J' adore les pas de canards de Matthew sur l' intro de Time Is Running Out :D )
Quand à la proximité avec le public elle apparaît effecivement moins sur le DVD mais il faut savoir que la maison de disques a coupé 2 chansons: Erased Citizens de OOS au milieu du concert, et Stockholm Syndrome d' Absolution a la fin. Décision assez incompréhensible quand on a eu la chance de voir cette dernière qui nous montre justement un groupe déchainé et proche d'un public qui le lui rend bien :)
Donc voila un live qui vaut tout de même son prix mais n' atteint malheureusement le niveau d' excellence d' Hullabaloo ou Haarp !

P.S:La version complète du concert est disponible sur les réseaux P2P et Stockholm Syndrome ET Citizen Erased ( où Matthew nous joue d' ailleurs en avant première mondiale pour l' époque l' intro de Take a Bow ) sont sur Youtube





Bob DYLAN
SELF PORTRAIT


Le 24 Avril 2008 par LITTLE POLLY


Un très très mauvais Dylan à mon avis mais étrangement toujours mieux que ce que pondent certains "artistes" ces derniers temps... Effectivement de l'easy listening pour ascenseur (quoique des fois ça ne devient plus écoutable du tout : "Alberta" 1 & 2 est un cauchemar). Je remarque aussi que, d'après ce que j'en ai vu, il a choisi un de ses tableaux les plus laids pour la couverture. Il ne fait pas les choses à moitié, le Zim. Et pour ceux qui n'aiment pas la voix de Dylan, qu'ils tremblent devant le pire : Dylan version "Living the blues" ou "Take me as I am" ; une horreur.

Une seule chose mérite l'écoute de "Self Potrait" pour les non Dylaniens à mon sens, c'est la leçon de désinvolture qu'il contient : "All the tired horses in the sun" est une merveille de je-m'en-foutisme ! Deux phrases stupides (à moins qu'il ne s'agisse d'un sens caché...)chantées sur un air niais par un cœur niais accompagné de cordes non moins tartignoles, magnifique.


Allez, on lui pardonne, il fallait bien les faire partir ces méchants journalistes !





David BOWIE
ALADDIN SANE


Le 24 Avril 2008 par JAQUE


J'aime moyennement cet album, contrairement au précédent, mais, la plage titulaire est vraiment spéciale.
Rien de délirant mais les arrangements sont tellement spéciaux que cette chanson, on dirait un ovni.
Un chant de DB qui est assez moyen, rien de spécial, avec les obstinato bizarroïde, parfois décalés, du piano.





TEN YEARS AFTER
SSSSH


Le 22 Avril 2008 par HOEL


Bon album, mais pour le son, c'est pas fameux du tout, même pour 1969. Quand on compare à d'autres albums, on dirait qu'ils ont enregistré ça dans une cave.
N'empêche que c'est du bon rythm and blues.





QUEEN
RETURN OF THE CHAMPIONS


Le 22 Avril 2008 par JEFF KANJI


Marre d'écouter Paul Rodgers se faire pourrir de la sorte. Ce mec a une voix incroyable, un charisme et une bonne humeur communicative sans oublier qu'il transmet des émotions à chacune de ses notes ce qui n'était même pas le cas de Freddie Mercury (attention, Freddie est mon Dieu)!

Et surtout il semble régner une osmose dans ce nouveau groupe : Queen + Paul Rodgers car c'est un bien à un nouveau groupe qu'on a affaire. Inutile de vouloir comparer à Queen, Bad Company, Free ou je ne sais quel ancien groupe de ses membres. Ils prennent du plaisir et franchement ça s'entend. Ce live est extra d'autant plus qu'il permet d'écouter des standards de Paul Rodgers réorchestrés par Queen et de morceaux de Queen jamais joués en live comme The Show Must Go On (même si je ne valide pas l'interprétation de Paul Rodgers sur ce coup), ou I Want It All qui cartonne. Et que dire de ces nouvelles versions de Hammer To Fall, All Right Now...

Ajoutés à cela des musiciens de scène irréprochables qui grossissent considérablement le son (bassiste, claviériste et guitariste additionnel) et une production de toute dernière génération, vous avez un live sensass qui n'a pas le panache du live à Wembley où Freddie Mercury brille de mille feux (bien que sa voix soit limite) mais qui au niveau set list, son le surpasse et la qualité d'interprétation, différente forcément est au moins autant de haute volée. Vivement l'album en septembre !





GENESIS
NURSERY CRYME


Le 22 Avril 2008 par HENRY


Je préfère nettement celui-là à Foxtrot (ayant eu plus de succès à tort).
Tout d'abord parce que il dégage une ambiance beaucoup plus conviviale, les compositions m'ont l'air meilleures et plus structurées que dans Foxtrot.





JETHRO TULL
A PASSION PLAY


Le 21 Avril 2008 par LEO


S'il y a bien un concept-album progressif, c'est bien celui là !
Out! Balayés les "Close To The Edge" & Co. "A Passion Play" va encore plus loin que "Thick As A Brick". Ce qui a dérangé le plus la critique (et dans certains cas, le public), c'est le soit disant manque d'humour par rapport au précédent disque. Faudrait-il seulement se rappeler que "Thick..." était une parodie du genre progressif !

Sur celui-ci, plus de satire, on entre de plain pied dans le conceptuel bizarre et tortueux. Personnellement, j'y vois plus quelque chose qui a trait avec la N.D.E. (Near Death Experience) qu'avec la vie après la mort, mais on peut aussi y voir un rapport avec la mort et la résurrection du Christ, et de toute façon Ian Anderson a dit lui même qu'il ne souhaitait pas révéler le véritable message de l'album et qu'il laissait le soin à chacun de faire sa propre interprétation.
Bref, que le propos ne soit pas clair ne doit pas obligatoirement rebuter l'auditeur (après tout, les non-Anglophones sont tout à fait en mesure d'apprécier le travail musical et vocal sans saisir forcément le sens du texte !).

Musicalement parlant, je trouve le contenu de "A Passion Play" beaucoup plus dense et varié que "Thick As A Brick" (qui pourtant était déjà sacrément travaillé !) et j'aime justement la proéminence du saxophone sur ce disque (c'est ce qui a pu déplaire en partie chez certaines personnes) et c'est peut-être aussi cet aspect-là qui fait que le groupe se rapproche par instants de Gentle Giant époque "Octopus" et "In A Glass House" (ce dernier enregistré en Juillet 73, au moment même "A Passion Play" apparaissait dans les bacs !).

Ce disque a une histoire vraiment particulière ! Il fut descendu par la critique en Angleterre où il atterrit à la 13ème place des classements, mais par contre aux Etats-Unis il fut propulsé directement à la 1ère place !

Jethro Tull tourna durant de longs mois pour promouvoir l'album, mais suite aux mauvaises critiques venant de la presse principalement (concernant l'album et la tournée), le management annonça (sans que le groupe n'en soit au courant !) que la formation cessait toute activité en public, ce qui fit encore plus de tort à cet album (et au Tull par conséquence !). Ian Anderson ira même jusqu'à quasiment renier ce disque en admettant que la critique, tout en étant trop virulente, n'avait pas eu tout à fait tort ! Ce qui fait qu'hormis pour la tournée suivante (celle de "War Child") où des extraits furent joués, jamais plus aucun passage de "A Passion Play" n'est apparu dans le répertoire scénique de Jethro Tull ! Dommage !





The RAMONES
TOO TOUGH TO DIE


Le 20 Avril 2008 par MANIAC BLUES

1-Peut-être, Heavy Rem, que l'initiative de former UN groupe revient à Tommy, mais Dee Dee a pris une grande part dans le fondement DU groupe Ramones. En effet, c'est lui qui a baptisé le groupe, ce qui a conduit au concept des quatre faux frères Ramones et d'ailleurs il a composé la majorité des premiers titres du groupe.

2-Quant à l'influence de Richie dans le groupe, je n'ai rien inventé : les membres du groupe eux-même la revendique dans le DVD End of Century.

3-Je ne crois vraiment pas que "Howling at the moon (Sha la la)", "Chasing the night" ou "Daytime dilemna (danger of love)" soient des chansons représentatives du style du groupe. Il est vrai que le groupe a été fortement influencé par la musique pop des sixties mais je ne retrouve pas l'esprit des Ramones dans ces chansons qui durent d'ailleurs toutes les trois plus de quatre minutes, ce qui entre en totale contradiction avec le rock minimaliste caractéristique de la musique des Ramones. En revanche, "Wart Hog", qui peut-être qualifié de "punk bruyant" incarne véritablement mieux l'esprit du groupe et rappelle les sommets que sont les quatre premiers albums.







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