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Liam GALLAGHER
AS YOU WERE


Le 27 Juin 2024 par BLUEMASK


Liam Gallager ressasse encore et toujours ses obsessions sur ce disque, Mc Cartney, Lennon, Slade, les Jams. Peut on lui en vouloir, tant d'une manière générale et malgré ce que l'on prétend, il est rare qu'un auditoire suive un artiste dans des changements de cap, qui aimerait voir Slayer se lancer dans le gospel?
Concernant l'homme aux sourcils sourcilleux, britanno-centré, il s'agit probablement également du fait qu'il ne connaisse que cela.
Une fois acté que le disque ne va pas faire avancer la cause musicale, il s'écoute avec plaisir, de temps en temps, le cheveu au vent, decontracté du gland. Pas vraiment de titres honteux, pas vraiment de titres excellents non plus, même si 'Paper Crown', 'Wall of Glass', 'Chinatown' s'en approchent, le plus gros atout du disque étant la voix, toujours parfaitement pleine de morgue.






INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 27 Juin 2024 par BAKER

@Nono : Tout à fait.

En ce qui me concerne Indochine était un excellent groupe de 87 a 99. Autrement dit les albums qui ont le moins vendu.

Provoc ? Rébellion ? Pas du tout. Mon DT préféré est Images and Words, mon Bush préféré est Hounds of Love, mon AC préféré est Back in Black, alors dans le genre rebelle, on repassera.





BLACK SABBATH
BORN AGAIN


Le 27 Juin 2024 par FOUDROCK


J'adore cet album, malgré un morceau que je trouve très raté en face B ("Hot Line").
La production est dévastée, mais elle participe à l'ambiance de totale décrépitude apocalyptique de cet album (le morceau-titre en est plus sombre encore, par exemple). Ian Gillan chante super bien, en fait parfois des tonnes (les rires hystériques, sardoniques, psychiatriques, de "Disturbing the priest", les hurlements de "Born again"), il paraît qu'en concert, il rendait le morceau "Black Sabbath" tellement flippant et dérangeant que les membres du groupe eux-mêmes ne se sentaient pas très bien en l'interprétant ! A ce sujet (la tournée du groupe), une vidéo sur YouTube sur laquelle Gillan raconte ses souvenirs de la période est franchement hilarante (le passage du nain...). Conseillée si vous pigez l'anglais.
On ne reparlera pas ici de la pochette; tout a été dit. J'avoue cependant ne pas la détester.
L'album a ses fans, j'en suis. Il possède une atmosphère des plus étranges, qui en fait un des albums les plus sabbathiens de Black Sabbath, au final. Ici, par moments ("Disturbing the priest", "Born again", "Stonehenge"), on SENT vraiment quelque chose de sinistre, glauque, malsain et absolument pas humain vous frôler pendant l'écoute.





Bob DYLAN
HIGHWAY 61 REVISITED


Le 27 Juin 2024 par BLUEMASK


Tout a été dit et écrit sur le Dylan de 65-66.
Il y a des tonnes de livres sur la façon dont Dylan a dynamité le folk des sectaires du Village, dynamité le rock encore pubère, le blues et la country enracinés dans des dogmes, pour créer la musique rock moderne.
Il y a des palettes entières de thèses universitaires pour analyser ses textes poétiques et cryptiques, jamais compris mais faisant tout de même de lui un oracle visionnaire annonçant tout et son contraire. Qui est le diplomate avec le chat siamois sur l'épaule sur 'Like a Rolling Stones', qui est Mister Jones, le mec à l'ouest auquel Dylan s'adresse avec un dédain magistral dans 'Ballad of a thin man', pourquoi dans 'Desolation Row', Cendrillon met elle ses mains dans ses poches et pourquoi le bossu de Notre-dame est il le seul à ne pas faire l'amour?
Il y a des milliers d'admirateurs, dont je fais partie,pour s'extasier sur ces chansons parfaites, sur les mélodies fabuleuses, portées par la diction révolutionnaire d'un non-chanteur capable de milles émotions, sur cette trame folk-rock débridée où brillent un harmonica tranchant, la guitare incendiaire de Bloomfiled et l'orgue lyrique de Kooper qui lance le mythique 'Like a Rolling Stones' .
Ce disque est parfait, comme le suivant, qui l'est peut être encore plus, grace à son 'son de mercure'.

Quand vient l'heure de mettre une note, vient l'heure des regrets pour avoir mis des 5 étoiles à des disques finalement anecdotiques par rapport à celui-ci, tant il dépasse le domaine seul de la musique. Il faudrait finalement compter en voie lactée, et non plus en étoile





BLACK SABBATH
FORBIDDEN


Le 27 Juin 2024 par FOUDROCK


Là, je vais être concis : c'est le pire, le pire, le PIRE, le P.I.R.E., album de BS. Dernier album avec Tony Martin, qui pense désormais, apparemment, que le groupe a voulu s'autosaborder avec ce disque produit par Body Count afin d'avoir plus d'envergure pour revenir en beauté avec Ozzy deux ans plus tard en live. Si ce n'est pas vrai, ça pourrait. Mon Dieu, quelle daube... Même la Mort, sur la pochette, semble se lamenter du désastre.





BLACK SABBATH
SABOTAGE


Le 27 Juin 2024 par FOUDROCK


On ne va pas se mentir, on n'est pas en campagne (enfin, si, mais pas pour ça, et heureusement). "Sabotage" a beau être sorti sous une des pochettes les plus dramatiquement ridicules de l'histoire de l'Humanité, il n'en demeure pas moins un joyau noir, un pur monument, sans doute le meilleur opus du groupe (même si le précédent opus est également grandiose, pour ne citer que lui).
Une claque de A à Z en passant par F et U. Rien à jeter, même l'instrumental de 50 secondes déchire car il permet une transition terrifiante entre le gros riff mortel, interrompu en plein ébat, de "Hole in the sky", et le riff doom, terriblement malsain, du proto-thrash "Symptom of the universe".





BLACK SABBATH
NEVER SAY DIE


Le 27 Juin 2024 par FOUDROCK


Considéré comme une sombre merde musicale, "Never Say Die !" est en réalité un très bon album. Pendant des années le dernier avec Ozzy, il a failli ne pas se faire avec lui, vu que le chanteur était parti, et que le groupe le remlplacera par Dave Walker, qui tiendra quelques semaines avant qu'Ozzy ne revienne et que Walker se fasse jerter, sans état d'âme, et on effacera les bandes vocales pour qu'Ozzy les refasse.
Le batteur Bill Ward chante à nouveau un morceau, "Swinging the chain". Ozzy ne voulait pas le chanter, trouvant que c'était de la merde sur bande. Il avait raison, hélas. Un autre titre, "Breakout", est instrumental, et guère mieux. Hélas, ces deux titres achèvent, bien mal, le disque. Pour cela, 4/5 seulement.
Le reste est, globalement, de compète : "Junior's eyes", le morceau-titre, "Over to you", "Johnny Blade" sont terribles. Bon, OK, "Air dance" et "A Hard road" un peu moins. On va dire que ma note sera de 3.75/5.
Comme pour le précédent opus, quand j'ai, autrefois, découvert cet album, je m'attendais à pire, bien pire, que ce que j'ai découvert. Sans doute le moins bon des BS de l'ère Ozzy, d'accord ; mais pas mal de groupes de deuxième division tueraient leurs petits frères et soeurs pour un tel album. Ou en tout cas leur volerait leur argent de poche.





BLACK SABBATH
TECHNICAL ECSTASY


Le 27 Juin 2024 par FOUDROCK


Un bon gros 5/5 bien juteux, mais en fait, mais note serait en réalité 4.5/5.
Sur ce disque, je déteste deux choses : les illustrations représentant les membres du groupe à moitié androïdisés, mais ma note ne s'en ressentira pas. Et "Rock'n'roll Doctor", ce morceau, désolé, mais je ne peux pas l'encadrer, et la demi-note en moins est de sa faute, à cet en...lé.
Le reste ? On est ici en présence d'un des meilleurs opus du groupe, enregistré dans la douleur (et la poudre, sans doute ; même si les membres du groupe diront avoir utilisé le studio juste après les Eagles, et qu'ils durent consciencieusement essuyer les consoles de mixage, qui étaient recouvertes de cocaïne ; les plus camés ne sont pas forcément les plus heavy). On passe sur la pochette représentant deux robots sur des escalators (?!?!?!?!?). La production est terrible. La grande majorité des chansons aussi : "Dirty women", "Gypsy", "All moving parts", "You won't change me", "Back street kids". Le batteur Bill Ward chante une chanson ma foi très belle, "It's alright".
La première fois que j'ai entendu ce disque, il y à longtemps, je m'attendais à un foirage, vu tout le mal que j'en avais lu sur divers sites ou magazines. Je n'ai jamais pigé tout le mauvais buzz à son sujet, en fait. Je pourrais presque dire la même chose au sujet de l'album suivant, d'ailleurs.





The CULT
SONIC TEMPLE


Le 27 Juin 2024 par JEF DE LA LUNE


Comme Erwin, j'ai découvert cet album en 1989 et du haut de mes 15 ans il m'a mis une bonne petite claque. Ça a été mon premier THE CULT et découvrir le reste de leur discographie a été un vrai bonheur tant ce groupe a souvent donné l'impression de ne jamais sortir le même disque (la marque des grands). J'ai réécouté "Sonic Temple" il y a quelques temps et ma foi j'y ai pris toujours autant de plaisir dans l'ensemble, certaines compos sont toujours aussi terribles (la première face en gros où il n'y a rien à jeter) mais il y a un petit ventre mou vers la fin de la deuxième, rien de déshonorant mais "Wake Up Time For Freedom" ou "Soldier Blue" par exemple ne sont pas indispensables. Ian Atsbury fait parfaitement son chaman morrisonnien tandis que Billy Duffy sort de sa Les Paul des riffs zeppeliniens ultra efficaces, parfois peut-être à l'influence trop voyante (le très "Kashmir": "Soul Asylum", même si ce titre reste bon). J'ai cependant un petit reproche à faire à ce disque : la production un peu trop chargée d'effets de Bob Rock qui en 2024 sonne un peu trop too much. Mais bon, qu'il est bon d'errer dans ce temple sonique...





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 27 Juin 2024 par NONO

@RICHARD : Excellente remarque, et j'avoue que je me pose la question à moi-même !
Le fait que je n'aime globalement pas le groupe ne tient pas uniquement de leur musique mais d'autres critères qui s'aditionnent :
1) Oui, parce que "Nikola Sirkis"... ...tout est dit là-dessus : le bonhomme m'insupporte et c'est tout.
2) Parce que (et je me fais l'avocat du diable), il est fréquent de vilipender ce qu'on aimait pourtant à une époque lointaine (j'avais 12 au mitan des eighties, et ... j'aimais bien leur musique). On critique souvent des trucs qui ne sont plus du tout à la mode, sans se remettre dans un contexte donné. Après, je me dis souvent "Putain, comme j'étais con d'aimer un truc pareil" !
3) La malédiction d'un artiste est quand son oeuvre la plus connue est précisément la plus ringarde (l'album "3" pour Indochine), qui malgré son énorme succès, me dévoile depuis longtemps que les "dessous" peu reluisants : toujours le même rythme, titres quasiment interchangeables, provoc à deux balles, imitation grossière "post-punk" des Cure...
ET oui je le reconnais volontiers, quand on me parle d'Indochine, je ne pense qu'à ce foutu album "3", alors qu'il était particulier, c'était un univers à lui-seul...





Elton JOHN
GOODBYE YELLOW BRICK ROAD


Le 26 Juin 2024 par BLUEMASK


Ce disque est une cathédrale pop. On peut lui préférer 'Captain Fantastic' par exemple, plus concis, moins fourre-tout, mais il impressionne par sa qualité constante et la diversité abordée. Entre les délices sortis de 'Sergent Peppers' comme 'Goodby Yellow Brick road', le reggae festif (ça fait peur un mot comme ça, on pense aux groupes de balloche français, genre Tryo...) de 'Jamaîca Jerk off', les attaques hard-rock de 'Saturday Night's Alright', les grandes ballades de crooner de 'Candle in the wind' (l'orchestration originale étant à mille lieux de la pâtisserie au miel issue des années 90 et de la mort princière), Elton John semble pouvoir tout faire, facilement, avec décontraction et avec talent.
Finalement, le seul moment un peu chiant est la longue mise en place instrumentale du long premier morceau "Funeral for a friend" sur lequel le temps a mis un bon coup de pelle dans la nuque.





The CULT
SONIC TEMPLE


Le 26 Juin 2024 par BLUEMASK


L'album mythique du CULT, mais me concernant assez surestimé.
Certes, la première moitié d'album est irréprochable, avec un enchaînement de hits fabuleux, entre les deux hymnes fédérateurs d'ouverture puis "Eddie" et "Sweet Soul" moins frontales mais trippantes. Mais la seconde moitié de l'album, tout en restant bonne, se normalise, du riff classique, des mélodies moins évidentes, on reste en pilotage automatique...
Ceci dit, il faut l'avoir écouté.





The CULT
SONIC TEMPLE


Le 26 Juin 2024 par CLANSMAN57


Très bon disque de Hard, en effet. Avec le temps, je lui enlève tout de même une étoile, à cause des deux derniers titres que j'aime pas trop. Je zappe même "Wake Up Time For Freedom" avec son refrain énervant.
La suite ne m'intéresse plus par contre... Parfois, il m'arrive de penser que c'est dommage qu'ils ne soient pas restés dans le style de "Dreamtime" et "Love" qui restent mes préférés.






The CULT
SONIC TEMPLE


Le 26 Juin 2024 par FOUDROCK


Album terrible. Les 5 premiers morceaux déchirent tout avec les dents, le reste est d'un haut niveau aussi.
Avec le précédent, c'est le meilleur du Cult. Ceci dit, j'ai une petite préférence pour le suivant, "Ceremony", moins grandiose, mais qui mérite tout de même amplement plusieurs écoutes.





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 26 Juin 2024 par RICHARD


A bien y réfléchir, je me suis toujours demandé si le puissant rejet dont fait part INDOCHINE n'est pas le plus souvent dû à Nicola SIRKIS en personne. Pour qui s'intéresse quelque peu au groupe, je parle de sa première incarnation qui est sans conteste la plus pertinente, on peut constater aisément que lorsque Dominik, Stéphane (un peu moins), Dimitri (quasiment pas) prennent la parole, il n'y a pas pour moi ce sentiment de malaise qui semble coller à la peau de Nicola. C'est un fait, il est peu à l'aise en interview (doux euphémisme) et ses phrases ont toujours eu le goût de sentences qui sonnent faux, limite tête à claques. Le problème, si ceci en est un, c'est que malheureusement, il a réussi à créer l'illusion que Sirkis est INDOCHINE et INDOCHINE est Sirkis. De là, se crée cette quasi haine qui rebondit sur la musique du groupe (première incarnation). On peut détester ce groupe, rien de plus légitime, mais il est pour moi objectivement faux de dire (à partir de 2002, c'est une autre affaire) que la musique du groupe se ressemble sur chaque titre. Si on s'arrête à la période Dominik Nicolas (qui restera à jamais le meilleur compositeur), les seuls morceaux qui pour moi se ressemblent sont "L'Aventurier" et "Miss Paramount" car pour le reste... Comment trouver des similitudes entre "Kao Bang", "Monte Cristo", "Une Maison Perdue", "More..." ou "Une Main Sur Vous". Les gimmicks étaient évoqués. Musicalement, la touche INDOCHINE, c'est le son de guitare de Dominik que l'on retrouve encore sur son album solo "La Beauté De L'Idée" (chroniqué ici). Il est peut-être difficile à l'admettre, mais dans les années 80, il y a assurément une marque INDOCHINE.





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 26 Juin 2024 par NONO

@Le vieune : D'Indochine je n'aime que quelques trucs, mais pas grand chose :

Les albums :
* Le Péril jaune
* 7000 danses

Les titres :
* L'aventurier (quoi qu'on en pense, ce titre a vraiment été une date dans l'Histoire de la variété, et c'était avant le matraquage de leur album "3")
* Même si je vomis en bloc l'album "3", j'avoue bien aimer "3ème sexe" qui est mieux que le reste (largement meilleur qu'un "3 nuits par semaines" ou qu'un "Canary Bay" je trouve)
* Certaines chansons de 7000 danses

Mais pour moi, tout n'est plus ou moins que la répétition ad-nauseam des mêmes plans.





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 25 Juin 2024 par LE VIEUNE

@Nono : Il me semble, dans les souvenirs, que Nicolas Sirkis n'a jamais employé les mots "femmes" et "hommes" dans ses textes.

Sinon, ça n'a pas loupé, j'ai entendu aujourd'hui le single au-loin sur mon lieu de travail. Le début du matraquage radiophonique commence. Rappelons-nous "Nos Célébrations".





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 25 Juin 2024 par NONO

@Le Vieune, je suis d'accord avec toi, les groupes ont leurs "gimmiks", leur signature. ET quand on entend une nouvelle chanson où les paroles sont les mots "fiiiiiiiiiiilles" et "garçooooooooooons"... pour peu que ça rime avec "très gentiiiiillles" et "avec les ch'veux "looooongs", sans oublier un groove en mode "poum... tchak tchak... poum...tchak...poum...tcha .tchak...." on ne prend pas trop de risques à deviner que c'est Indochine. Loool





PAIN OF SALVATION
IN THE PASSING LIGHT OF DAY


Le 25 Juin 2024 par SWISSIDOL


Un bon album, évidemment, mais qui n'approche pas la classe des grandes oeuvres de POS. Il y a plein de bonnes idées et j'aime l'apport de Zolberg mais... Il manque quelque chose, je ne sais pas, des passages plus marquants.
Je tiens néanmoins à dire que la chanson-titre, à la fin, est fantastique. Je la verrais très bien dans une B.O de film genre "Into The Wild".





Giorgio MORODER
On The Groove Train Volume 1 : 1975-1993


Le 25 Juin 2024 par BAKER


O_° mais c'est QUOI CE TRUC ???

Je ne connais pas par coeur tout Moroder mais une chose est certaine : les extraits de l'album de Keith Forsey n'ont rien à faire ici car Moroder a été producteur EXECUTIF (je traduis : celui qui dépense les sousous. ...Et qui rapporte les sousous).

Mais musicalement, "Dynamite" n'a pas un atome de Moroder, ni dans le son ni dans le style ni dans la simple présence dans le studio !!!

Sérieux mais qu'est-ce qui est arrivé à Moroder après l'album de 90 ? Une dépression post-adolescente qui dure depuis maintenant 35 ans ???







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