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GOLDMAN JEAN-JACQUES
EN PASSANT


Le 01 Février 2022 par FAYTE83


Il m'a fallu du temps pour l'apprécier celui-là. Après la claque que Rouge m'avait mise, je ne m'attendais pas à retrouver J-J.G en solo et, de surcroît, avec un album aussi dépouillé et intimiste.
Et puis, petit à petit, la magie a opéré ; les titres que je ne supportais pas ("Quand tu danses") se sont ouverts à moi.
Je lui reproche, comme souvent avec J-J.G, quelques soucis de production et des choix que je ne comprendrai jamais (les fameuses boîtes à rythmes), ainsi qu'un ou deux morceaux qui ne s'intègrent pas dans l'ensemble, comme "Natacha" ou "Juste quelques hommes".

4/5 pour le dernier très bon album de cet immense auteur-compositeur.





CRADLE OF FILTH
EXISTENCE IS FUTILE


Le 01 Février 2022 par RED CLOUD


Il y a une petite trentaine d’années, je n’aimais pas C.O.F. Mais après, j’ai fini par apprécier ”Dusk...And her embrace” , ainsi que les deux albums suivants. Ceux qui vinrent ensuite ne présentaient que peu d’intérêt.

J’ai donc écouté cette sortie sans en attendre grand-chose. Erreur! Pas de titres faibles, des riffs, des mélodies, des orchestrations, des soli. Tout m’a convaincu. Même le chant du vampire en chef m’a séduit.

Pour ce qui est de l’illustration, la référence évidente est ”Le Jardin des délices” de Jérôme Bosch.





IRON MAIDEN
NO PRAYER FOR THE DYING


Le 01 Février 2022 par THORPEDO


L'album que j'aime le moins d'IRON MAIDEN, juste après "Virtual XI".
Je ne sauve pas grand-chose, même les tubes ("Bring Your Daughter...", "Holy Smoke" et "Tailgunner") ne sont que des titres moyens pour la vierge de fer.
Deux ans après l'énorme "Seventh Son...", il fait tâche, je trouve.
Sans pitié pour un groupe que j'aime pourtant beaucoup : 1/5.





STING
IF ON A WINTER'S NIGHT


Le 01 Février 2022 par POPOLOUTCHO


Voilà un très bel album, qui ne me semble pas être un disque de Noël (?) mais plutôt un ensemble de morceaux dont la thématique est … L’Hiver. Ce qui est différent. Ici, pas de guirlandes, de grelots de joujoux et de beaux sapins, mais des chansons traditionnelles avec parfois des résonances celtiques, pas mal de morceaux de compositeurs classiques (F. Schubert, H. Purcell, J.S. Bach…) et aussi deux chansons de l’artiste mais qui restent tout de même dans l’esprit de l’album. Le tout est superbement joué par des musiciens hors pairs. Et ma foi, je ne vois pas comment ça pourrait être mauvais.
Après l’excellent « Songs From The Labyrinth » en 2006 (qui a surpris mais qui a été très bien accueilli), Sting a donc poursuivi son pas de côté sur le même label de musique classique, « Deutsche Grammophon ».
« If on a Winter’s Night… est un album très doux, très feutré, caressant comme une flamme, avec quand même quelques passages qui crépitent légèrement. C’est vrai que Sting aborde parfois certains de ces morceaux avec une voix différente, très placée. Mais elle convient tout à fait à ce répertoire. Donc rien de choquant, je dirais au contraire que cela montre le profond respect de l’artiste pour ces œuvres et la manière dont elles doivent être interprétées.
Cet album mérite en tout cas qu’on lui accorde plusieurs écoutes. Il se révèlera alors à l’amateur de belle et grande musique qui pourra en saisir toutes les saveurs.
À sa sortie en 2009, pas "d’énormes ventes", mais je me souviens qu’il a quand même été bien accueilli.





IRON MAIDEN
A MATTER OF LIFE AND DEATH


Le 31 Janvier 2022 par THORPEDO


Ah bin moi je l'aime bien celui-là, un de mes préférés de la période post-reformation avec "Brave New World". Je les préfère même à certains classiques...
"Comment? Hein? Ho ! C'est pas possible!"
Je vous entends adeptes du "IRON MAIDEN est mort depuis Seventh Son Of A Seventh Son", les adeptes du "IRON MAIDEN, c'est mort depuis Killers" eux rient "punkement" dans leur coin.
Bin oui, c'est possible !

Il a bien quelques longueurs (mais qui ne me dérangent pas) mais je l'aime beaucoup.
Je crois même que c'est le plus conceptuel de leurs albums.
En effet, quand on y pense, y a beau avoir la pochette japonaise, égyptienne, maya, etc. il n'y avait guère plus qu'une ou deux chansons abordant réellement le sujet, celui-ci me semble le plus en adéquation avec sa pochette.

Gros coup de coeur pour "Brighter Than A Thousand Suns", "The Reincarnation Of Benjamin Breeg" et "For The Greater Good Of God".

Note réelle 4.5/5





The KINKS
FACE TO FACE


Le 31 Janvier 2022 par DERWIJES


Pourquoi les KINKS ne sont-ils jamais devenus aussi grands que les WHO ou les BEATLES ? Parce qu'ils gardaient leurs meilleures chansons pour les singles et ne les mettaient pas sur leurs albums. Chez eux, il faut jouer à remplacer le remplissage par les perles : au-revoir "Party Line" et "Rosie Won't You Please Come Home", ce n'est pas mieux de frapper fort et d'ouvrir directement avec "I'm Not Like Everybody Else" et "Dead End Street" ? Si on dégageait "Too Much on My Mind" et "Session Man" pour "Mr. Reporter" et "Big Black Smoke". Et tant que nous sommes, finissons l'album sur l'instrumental "Little Women" plutôt que sur "I'll Remember", dont on ne se souvient pas de toute manière.

Voilà ! Maintenant, nous avons un album presque parfait ! Mais à défaut, il y a toujours l'édition CD de 2004 qui ajoute toutes ces B-Sides et inédits.





MEGADETH
YOUTHANASIA


Le 31 Janvier 2022 par CARLO

Chipstouille,

Non, personnellement, j'ai bien découvert MEGADETH avec un hors série "METALLICA L'intégrale Hors série 2". De mémoire, il y avait juste un bout de page qui reprenait la discographie de MEGADETH et quelques déclarations des musiciens pour illustrer la rivalité entre les groupes. Etant fan de METALLICA, ça m'a suffi pour que j'achète Youthanasia sans en avoir écouté une seule note. A l'époque, je ne connaissais pas encore grand-chose au Metal et mes sources d'infos étaient les médias généralistes. Je ne m'étais jamais posé la question de savoir qui était ce Mustaine qui apparaît dans les crédits des 1ers albums de METALLICA.

J'en profite pour te remercier pour tes chroniques actuelles sur MEGADETH et IRON MAIDEN, elles sont agréables à lire et me permettent de réécouter des albums que je connais pourtant par coeur avec un autre point de vue.


Par Forces Parallèles

Loin de moi l'idée de te contredire. Je trouvais amusant que l'on soit deux à avoir découvert MEGADETH au travers du magazine Hard Force en 1994, puis avec Youthanasia. Je n'avais pas souvenir d'une intégrale dans "mon" magazine. En cherchant, j'ai donc retrouvé. Hard Force collait METALLICA ou les GUNS en couverture d'un magazine sur 2 à l'époque, de toutes façons... :D




Olivier DERIVIERE
STREETS OF RAGE 4 OST


Le 31 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE

Yuzo KOSHIRO étant également programmeur, il a implémenté des séquences aléatoires ou semi-aléatoires dans l'OST de Streets of Rage 3. Toute retranscription sur support numérique plus usuel n'est donc qu'un échantillon, une sorte de photo ne tenant pas vraiment compte du travail effectué. Son code étant difficilement accessible pour le commun des mortels, il est complexe de s'y retrouver et donc de le commenter à sa juste valeur. Il y a de l'aléatoire, c'est certain, mais peut-être aussi des éléments qui dépendent des actions réalisées. Mes oreilles ne parviennent pas à déméler tout ça dans le boucan obtenu.

Tout n'est pas aléatoire, j'en ai un peu rajouté pour la forme. C'est sans doute l'une des B.O de jeux-vidéo les plus intéressantes de tous les temps,, du fait de ses vertus expérimentales. Donc, elle mériterait largement sa chronique.

Mais, de fait, le résultat est très bruitiste. Perso, c'est le mal de crâne assuré au bout de 15 minutes :) Beaucoup ont boudé le jeu en particulier pour cette raison à l'époque (le versus fighting avait également largement éclipsé le genre du Beat Them Up...). Il y avait également quelques choix de design graphique un peu malheureux. Mais d'un point de vue GamePlay, c'est du solide. On peut même regretter que le 4ème épisode ait fait l'impasse sur quelques améliorations notables de cet épisode, comme le fait de pouvoir courir de haut en bas...





SHEILA
TOUS LES DEUX


Le 31 Janvier 2022 par MARCO STIVELL

Martin, après ce nouveau plaisir d'éplucher ton érudition habituelle, et pas qu'une fois, je ne me permettrai de ne mentionner que deux points :

-je ferai en sorte de réécouter l'album avec un nouveau regard, possiblement !
-ce n'est pas tant dit de source sûre qu'un adulte ne peut pas fredonner du DOROTHEE, contrairement à un enfant... ^^

Bien à toi !





Olivier DERIVIERE
STREETS OF RAGE 4 OST


Le 30 Janvier 2022 par BAKER

C'est me faire bien trop d'honneur très cher.

Ceci dit j'ai donc loupé une marche : le troisième volet, que je ne connais pas, va donc trop loin dans le barbarisme sonore par rapport à l'équilibre des deux premiers ?





MEGADETH
YOUTHANASIA


Le 30 Janvier 2022 par CARLO


J'ai découvert l'existence de MEGADETH dans un hors-série du magazine Hard Force sur METALLICA publié en 1994. En conséquence, Youthanasia est le 1er album du groupe que j'ai écouté.
J'aime le Thrash mais ça réussit bien au groupe de se faire plus mélodique tout en restant bien heavy. Les compositions sont toutes excellentes et j'aime particulièrement les textes. Celui de Family Tree est marquant.
Je n'ai jamais pris la peine de faire un classement de mes albums préférés, mais il ferait assurément partie de mon top 10.


Par Forces Parallèles

Je pense pour ma part, après vérification, qu'il s'agissait du numéro 23 (Juillet-Aout 1994). Pas loin :)

Chipstouille





GRYPHON
RED QUEEN TO GRYPHON THREE


Le 30 Janvier 2022 par TARTE


Une certaine forme de malchance m'a fait passer entre les gouttes, me privant de plusieurs références incontournables du paysage prog, et le hasard n'a pas manqué de me faire quelques cours de rattrapage. Pour mon plus grand bonheur.
Mes goûts en la matière ont tout à voir avec Gryphon, il n'est donc pas étonnant que je sois immédiatement conquis par la Reine Rouge. Un album débordant de générosité, aux parfums enivrants de leur dimensions épique et chevaleresque.
Le grand écart entre le bestiaire d'instruments que l'on dira "classiques" avec les différents claviers typiques 70' était un pari osé, mais parfaitement réussi.
Les schémas harmoniques qui semblent se broder de dentelles irrégulières mais soigneuses et sophistiquées, ornant royalement la rythmique savante.
Servez le tout avec une production aux petits oignons, que demande le peuple?
Bisous les potos!





IRON MAIDEN
A MATTER OF LIFE AND DEATH


Le 29 Janvier 2022 par BAKER

Je l'avais trouvé pas mal du tout mais réellement trop long...

Mais surtout, je ne peux pas le vérifier tout de suite mais ce qui m'avait frappé c'est que, de mémoire, TOUTES les chansons commencent en mi mineur. Je sais que c'est l'accord le plus utilisé à la guitare et la basse, mais TOUTES, ma foi, à un moment le côté répétitif prend le dessus.





NO ONE IS INNOCENT
ENNEMIS


Le 29 Janvier 2022 par MAGNU


Comme leurs potes de Mass Hysteria, ils s'offrent une belle "seconde" carrière. "Ennemis" me parait même un chouilla supérieur aux 2 précédents.





COLEMAN HAWKINS
BODY AND SOUL


Le 29 Janvier 2022 par DERWIJES

@le kingbee et Jean Bon d'Auvergne: merci pour vos commentaires, ils m'ont fait très plaisir !

Pour l'instant je n'ai pas prévu de revenir à Coleman HAWKINS mais je garde en tête son duo avec Duke ELLINGTON et les albums proposés ! Sa discographie est effectivement un beau fouillis, c'est un problème commun aux musiciens de cette époque, il faut dépatouiller les best-of des compilations de 78-tours/45-tours en 33-tours des "vrais" albums...





IRON MAIDEN
A MATTER OF LIFE AND DEATH


Le 29 Janvier 2022 par CLANSMAN57


Encore "un album de plus" à mes oreilles, le niveau ne s'élève plus vraiment.
"The Pilgrim", "Lord Of Light" et "The Legacy" sont carrément de trop.
Les autres se laissent plus ou moins écouter, mais la grandeur de ce groupe parait tellement lointaine à présent! Aucun véritable classique au compteur.
Les quelques touches plus agressives n'apportent pas grand chose à l'affaire, ces dernières amenées par les riffs sont plutôt moches et sonnent forcées de mon point de vue.
Iron Maiden n'arrive plus à sortir des disques passionnants et n'arrive pas à s'arrêter. Discographiquement et pendant les chansons.

Peut-être qu'un remaniement au niveau du line-up s'imposait, après le semi-échec de 2003? Soit sur le présent album ou sur le suivant.
Stratovarius l'a fait. Le problème venait du leader qui n'était plus inspiré: on l'a viré, on a pris deux jeunes qui en veulent, qui sont bons et qui ont de bonnes idées pour les compositions.
Résultat: ça a fonctionné, ils s'offraient une seconde vie, délestés d'un gros boulet.
M'enfin, on dirait qu'ils s'en fichent ou alors ils sont persuadés d'être encore over the top.
Et puisqu'ils ont sorti deux doubles consécutivement plus tard, j'opte pour la seconde théorie.

Ecoutable, mais sans réelle excitation.






Huey LEWIS AND THE NEWS
SPORTS


Le 29 Janvier 2022 par SGT JAKKU


@NONO : comme toi, je l'ai découvert après FORE et je n'avais pas accroché plus que ça. Sauf qu'avec le temps, je l'apprécie de plus en plus comme du bon vin. Album Pop/Rock très agréable, varié, pêchu et qui sonne bon les 80's. Un excellent choix pour le vendredi soir.





NO ONE IS INNOCENT
ENNEMIS


Le 29 Janvier 2022 par SPI


De toutes les façons, que ce soit celui-là ou un autre, [No One Is Innocent] c'est toujours super.





OZEAN
OZEAN


Le 28 Janvier 2022 par MR LARSEN


Je ne connaissais pas ce groupe. La comparaison avec SLOWDIVE a tout lieu d'être effectivement. La Dream Pop de ces Californiens m'apparaît toutefois plus "ensoleillée" que celle, plus "nuageuse", des Britanniques. Il y a aussi un feeling très CURE je trouve dans l'ensemble (surtout sur le titre "Scenic"), même si avec trois titres c'est un peu difficile de se faire un avis définitif. Dommage qu'ils n'aient pas persévéré. Merci pour la découverte en tout cas.





SHEILA
TOUS LES DEUX


Le 27 Janvier 2022 par MARTIN LA BOTTE


Chronique de Marco très complète et informative (Merci pour la marimba que je n'aurais bien sûr pas su reconnaître)

Cela dit, sa note m'a un peu étonné car si ce "Tous les deux" n'est peut-être pas mon album "sixties" préféré de SHEILA, je pense néanmoins que c'est l'un des meilleurs avec peu de déchets. À ce rayon, ou plutôt à celui du "léger excessif" comme le traduit si bien Marco, je ne compte réellement que "Toujours des beaux jours" qui ne méritait pas une cover avec ses pénibles onomatopées canines ("aouh ! aouh !"), ses changements de tempo de colonies de vacances et ses nouvelles paroles fades. Sans en abuser, je lui préfère quand même "Il fait chaud" tout aussi léger-léger mais qui peut se laisser apprécier sur un madison bon enfant.
Toujours légère mais plus mignonne, "Il suffit d'un garçon" avec son intro a capella et ses petits airs de génériques de dessins animés pour jeunes filles et que DOROTHÉE aurait très bien pu s'approprier 20 ans plus tard. D'accord avec le "modérément appréciable" qualifiant l'échange entre SHEILA et la même pas étoile filante "AKIM" sur "Devant le juke box". Il n'en demeure pas moins que le titre a plutôt bien marché et marqué son temps de par le caractère emblématique de l'appareil en question et aussi parce que c'était le premier duo sur disque pour la chanteuse qui en enregistrera très peu.
La chanson qui donne son titre à l'album obtiendra un accueil très en dessous des attentes de CARRÈRE qui avait clairement misé dessus pour renouveler le gros succès du récent slow estival, "C'est toi que j'aime". Sauf que là où une douce et belle harmonie régnait sur ce dernier titre, "Tous les deux" se révèle plus cafouilleux et moins mémorable avec une tonalité pour Sheila parfois plus "sermonnante" que tendre et rassurante. Du coup, pas étonnant que le grand public et les programmateurs se soient rués sur la face B , le fameux "Folklore Américain", adaptation sympathique d'une rengaine westernienne du début du XXe : bingo pour SHEILA qui en fait son plus gros tube des années 60 après "L'École est finie". La grosse différence avec une chanson de DOROTHÉE justement, c'est ce que ce type de chansonnette enjouée aux paroles tout à fait honorables peut être entonnée par n'importe quel membre de la famille (quand il est d'humeur guillerette...)
"À la même heure" adaptation d'un Sonny sans Cher n'a pas les faveurs de Marco, alors que c'est une chanson que j'aime plutôt bien (choisie pour représenter SHEILA sur la compil "C'est chic" pour le marché britannique en 2010 et destinée à mieux faire connaître nos chanteuses yéyé). Une interprétation forcément moins nonchalante mais à la progression mélodique assez inédite pour notre chanteuse. En revanche, je n'hésite pas à préférer la version touchante de SHEILA sur " Je n'en veux pas d'autre que toi" à l'originale des SEEKERS qui me fait l'effet d'une réunion d'anciens camarades de collège autour du feu.
Contrairement à toi, Marco, je pense que ces petites histoires de querelles et de retrouvailles (ou pas) entre jeunes amoureux étaient particulièrement payantes auprès du public de SHEILA et son producteur reproduira régulièrement le schéma ("C'est toi que j'aime" donc en 65, "Quand une fille aime un garçon" en 68, "Reviens je t'aime" en 70 ou "Le Couple" en 74) avec à chaque fois des ventes loin d'être anodines.
"Je ris et je pleure (JJ.DEBOUT) ne rentre pas dans cette catégorie, non seulement parce que c'est une chanson qu'on n'avait (curieusement) pas choisie pour la course au tube mais surtout, Marco, parce que le thème est bien différent ! On a là une fille désespérée de voir le garçon dont elle est clairement amoureuse ne lui manifester aucun signe d'attirance physique parce qu'il ne la voit que comme une bonne copine (il ne peut donc pas la tromper comme tu le dis ! ;) ). C'est nerveux, bien fichu, nouveau comme approche des sentiments non partagés pour SHEILA, j'aime beaucoup ! Mais moins que "Il faut se quitter" (signé Jacques REVAUX et Michèle VENDÔME), autre morceau original, une des rares fois où la jeune femme prend l'initiative de la rupture sur un ton aussi lucide que déterminé. J'adore ! Comme j'adore "Dans la glace", adaptation très convaincante et assez irrésistible du "Sunglasses" de Skeeter DAVIS (repris presque 20 ans plus tard par Tracey ULLMAN dans une version accélérée à la sauce "RONETTES").
Enfin, Marco, je n'ai pas très bien saisi ce que tu trouvais de si "excessif" à "Enfin réunis" qui n'a vraiment rien à envier au morceau original de Gary LEWIS & The PLAYBOYS, "Count me in". Je la trouve au contraire accrocheuse et d'assez bel effet avec sa relecture habile plus récente sur scène donnant l'impression que le message avait toujours été adressé à son public.
Je rajoute, si besoin était, que Sam CLAYTON n'est qu'un pseudo de Jean CLAUDRIC.

Verdict : vraiment pas le moins intéressant regroupement de chansons de SHEILA dans les sixties : 3,5/5







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