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SHEILA
QUEL TEMPERAMENT DE FEU


Le 26 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


Période de fêtes, je ressors ce L.P de Sheila sur lequel on retrouve sa seule reprise d'un standard de Noël gravée sur vinyle, "Glory Alleluia", passée totalement inaperçue, en dehors des fans, puisque restée chez nous simple morceau d'album sans promo télé. Le fait que Nicoletta en ait sorti une version single à succès l'année précédente ne doit pas y être étranger. Il n'empêche que celle de Sheila reste magnifique. Elle interprète élégamment ce vibrant appel au rassemblement - "tant de choses nous séparent, cette étoile nous unit" - autour du nouveau né... et sa voix belle et juste est extrêmement bien captée comme sur l'ensemble du disque (superbe travail de l'ingénieur du son, Bernard Estardy).

1975, c'est une grande année "Sheila" ! Elle devient maman, on ne cesse de parler d'elle et elle va ajouter 3 tubes à son prestigieux palmarès déjà unique pour une chanteuse de sa génération. Après les excellentes perfs des originaux de l'année précédente, "Tu es le soleil" et "Ne fais pas tanguer le bateau" intégrés en complément sur cette galette 75, la voilà qui propose 3 adaptations très réussies et couronnées de succès.
Durant l'été, est sorti "Aimer avant de mourir", cover d'une mélodie italienne "Aria", slow 70' par excellence, intro grave et solennelle, paroles zen, montée crescendo vers le précepte qui donne son titre au morceau et répété comme une sirène d'alarme jusqu'à la fin car oui, "la vérité c'est d'aimer avant de mourir". Si on aime les timbres clairs, c'est somptueux. Grosse côte chez les inconditionnels de l'idole qui elle-même plébiscite ce titre lui rappelant ses premiers mois de maternité.
Mais la Sheila qui marque cette année-là, c'est surtout celle qui se lance avec gloire dans ses premières adaptations "disco" sans le nommer (avant Dalida !!!). Gros succès pour "C'est le coeur" au printemps, cover sympa et enlevée du "Doctor's orders" de Carol Douglas enregistrée dans un fauteuil, les jambes surélevées alors que Sheila était en fin de grossesse. Et carton tout aussi mérité en fin d'année pour "Quel tempérament de feu" ("I'm on fire") à l'intro suspectement proche de celle de "Black is black" en accéléré. Si à partir de 68, Sheila était surnommée "la petite fille des français moyens", dans la seconde moitié des seventies, elle deviendra aux yeux de beaucoup "la femme au tempérament de feu", tellement le texte et le rythme collent à la personnalité et à la nouvelle image de la star. Sans la sortie concomitante de l'album (qui s'est bien vendu), on peut raisonnablement supposer une fois de plus que ce single aurait avoisiné les plus gros scores historiques de Sheila en France ("L'École est finie", "Les Rois mages", "Les Gondoles à Venise", "Love me Baby"). Décidément, comme le pense Yann Moix, Sheila était faite pour le disco. Et on regrette d'autant plus que la dernière adaptation du disque, "Personne d'autre que toi" ("Nobody loves me like you do "), soit parue uniquement sur album ou en face B (excepté au Canada) et n'ait jamais été défendue en télé. C'est probablement ce que Sheila a réalisé de plus disco en français et c'est peut-être aussi le meilleur morceau de l'album où on retrouve également un titre encore plus rare, l'efficace "Aucune montagne, aucune rivière", au thème finalement assez proche du "Long sera l'hiver" de 68 mais sans rapport sur le plan musical ou la façon de chanter.

Coup de coeur depuis toujours pour la jolie balade "Laisse-toi rêver"; quand on a "les yeux tristes et le coeur incertain", quoi de mieux que de s'abandonner au tendre réconfort prodigué par une alliée aussi précieuse que Sheila dans ce "monde fou" où "les gens sont durs". Une bien douce pépite. Enfin, après "Mélancolie", Katherine Pancol s'essaie à nouveau à l'écriture de paroles pour notre chanteuse sur "Le Bonheur file et roule entre nos doigts", trop anodin pour se distinguer dans cette cuvée de titres pour la plupart imparables.

4,5/5 (5 s'il y avait eu 2 inédits supplémentaires de l'acabit moyen des pistes de cet album)





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 26 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE

Absolument d'accord, Erwin. La version du "Petit Papa Noël" de Tino est un chef-d'oeuvre inaltérable que l'on garde en soi jusqu'à la fin de sa vie et qui, à chaque période des fêtes, fait furtivement ressurgir la petite fille ou le petit garçon qu'on n'a quelque part jamais cessé d'être.

En dehors de ça, surpris que sur ce L.P, il n'y ait pas "Minuit Chrétiens", ma chanson de Noël préférée avec "Noël Blanc".





The DARKNESS
MOTORHEART


Le 25 Décembre 2021 par PHNEUTRE


Mais, le principal .... joyeux noël à toute et tous !
Et comme le dit (presque.. ) the DARKNESS : Rock'n'roll DON'T deserve to die





The DARKNESS
MOTORHEART


Le 25 Décembre 2021 par PHNEUTRE


J'attendais la chronique de l'album depuis des semaines.
Mais, décidément, les goûts et les couleurs, je ne suis pas, mais alors pas du tout, d'accord avec cette Kro.
Pour moi, le seul énorme défaut, c'est le peu de longueur. J'ai la version Deluxe qui, pour 1 fois, est intéressante; les 3 titres ne sont pas parfaits, mais très bon, surtout le dernier, "So long".
Mais çà reste trop court. Sinon, je trouve que "Speed of the nite time" sort du cadre et est très bien fait. Il est original.
J'ai adoré "jussy's girl", "it's love jim" et, à part "esatbound" où je n'accroche pas, le reste est très bon.

J'ai toujours suivi le groupe depuis 2003. Il y a eu des haut et des bas, surtout Pinewood Smile.
Mais, pour le reste, il n'y a pas un album sans au moins la moitié des titres très bons, ça en fait, d'excellents titres !

Tous les plus 'grands groupes' ne peuvent en dire autant.





BAND AID
DO THEY KNOW IT'S CHRISTMAS?


Le 25 Décembre 2021 par RICHARD


Toute l'ambiguïté de ce type de projet est bien posée par Marco. Il n´en demeure pas moins effectivement que ce titre reste terriblement efficace.





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 25 Décembre 2021 par ERWIN


C'est vraiment la madeleine de Proust, Petit papa noël de Tino ROSSI.
Je me rappelle les VISITEURS de NOËL et toutes ces émissions de fin 1979/ 80 / 81.
Et bien sûr, notre Tino, invité sur tous les plateaux télé de l’époque.
Ça me manque tellement.





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 24 Décembre 2021 par JUAN

Bonjour,
En ce 24 décembre (n'est-ce pas un jour adéquat pour ça ?), je souhaite très simplement mais aussi très sincèrement exprimer tous mes remerciements à l'équipe de Forces Parallèles. C'est un vrai plaisir de vous lire quasiment tous les jours et un vrai bonheur de découvrir de nouvelles choses autant que des avis différents.

Merci et bonne continuation,
Cordialement,





MOTÖRHEAD
LEMMY : THE MOVIE


Le 24 Décembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Il aurait eu 76 ans aujourd'hui le Monsieur décédé le 28 Décembre 2015 juste après son 70 ème anniversaire.





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 24 Décembre 2021 par MR LARSEN


Je rejoins ce concert de louanges pour dire qu'Amadeus est un grand film, que les acteurs sont fabuleux (Tom Hulce aurait mérité l'Oscar avec F. Murray Abraham) et que la musique est une des grandes protagonistes de l'histoire. A ce titre, le passage sur le lit de mort sur fond de "Requiem" est splendide ! Rien à jeter dans cette oeuvre qui en plus vieillit très bien ! Un grand must !





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 23 Décembre 2021 par SUCRéSALIé


Un chef-d'oeuvre dont on ne se remet tout simplement pas.

La musique, le jeu d'acteur, les décors, ... Tout est puissant, il y systématiquement une touche de spectaculaire, même dans les scènes les plus intimes, comme si le film était un grand Opéra en soi.

Comment ne pas être d'accord avec l'auteur. Au sommet du 7ème art, assurément.





SHEILA
LONG SERA L'HIVER


Le 22 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


Encouragé par notre Marco, je poursuis... ;)

Une fois de plus qu'on a déploré l'absence d'inédits inhérente à l'agaçante politique à l'économie du producteur, on a là 12 titres extrêmement variés tant dans leur thématique que dans leur ton ou leur genre : tango, slow, jerk, valse. Il s'agit d'un des rares albums de Sheila qui ne compte, à mes oreilles, aucun morceau déméritant. Bon, il y en a 1 ou 2 comme "Au milieu des nuages" ou "En maillot de bain" auxquels je n'accorde que la toute petite moyenne de par la ténuité de leur sujet, même si ça reste agréable et très évocateur musicalement des sixties finissantes.
Ce qui frappe en cet hiver 68, c'est l'assez nette supériorité des paroles à celles de la cuvée 67. À commencer par cette "Petite fille de Français Moyen", plus gros tube de l'année pour Sheila et sans aucun doute sa chanson la plus "à texte" depuis ses débuts et peut-être encore jusqu'en 2021. On ne lui avait jamais fait chanter des paroles aussi satiriques - "grave est le problème avant qu'elles se maquillent, en moins de 3h, faut prendre un bain et s'faire les mains"- ou encore - "mais ne leur parlez surtout pas littérature car elles savent tout du dernier livre qu'elles n'ont pas lu" -. On a beaucoup tapé sur cette Sheila "réac" qui, en s'autoproclamant "petite fille de Français moyen" avec cette gouaille enjouée et volontairement criarde, affichait avec fierté ses origines popu, sa confiance en la valeur du travail, son amour authentique pour un garçon "sans prétention" et son ignorance d'une culture élitiste prisée par une certaine jeunesse bourgeoise. Et pourtant, quelle réponse cinglante et saine à tous ceux, et encore plus celles, qui la méprisaient ostensiblement depuis "L'École est finie" ! Finalement, 38 ans plus tard, "Les Bobos" de Renaud n'est qu'une variation contemporaine du tube de Sheila mais cette fois-ci avec l'aval masochiste des cibles désignées, on a la carte ou pas.

Changement de ton avec "La Vamp" où Sheila, 23 ans, déclare d'entrée que si on la croit "pudibonde", ce n'est qu'apparence car, comme elle va le démontrer dans la chanson, elle semble désormais maîtriser les codes féminins de séduction pour rendre son homme fou d'elle. Il faut dire qu'après 6 années médiatiques de sagesse forcée comme une Miss France interdite de petit ami, on entre dans les années où Sheila va enfin s'afficher au bras viril d'un heureux élu, puis d'un autre. C'est délicieux, kitsch à souhait, et soutenu par une chorégraphie télévisuelle du meilleur effet avec costume de scène approprié (illustrant la pochette).
Dans le très nerveux "Oui c'est l'amour" aux arrangements les plus "pop" du répertoire 60' de la chanteuse, elle vante clairement l'addiction au plaisir charnel - "c'est ce que j'attends impatiemment tous les jours... avec toi j'irai jusqu'au point de non-retour..." - Reste à déterminer si elle s'adresse toujours au même monsieur puisque dans le refrain, elle clame - "une rencontre AU HASARD, un mot gentil, un regard, on vole, on plane, c'est l'amouuuuuuuuuuuur..." -
En début d'année, elle se faisait pourtant narratrice de conte biblique pour enfants sur l'enjoué et très mignon "L'Âne, le boeuf et le petit mouton" à la morale convenue mais optimiste "tout ce qui vit sur terre a une tâche à remplir, nous avons tous un rôle à tenir" si l'on occulte la base clairement religieuse de l'historiette. Sur le même 45-tours, "Le Grand défilé" (cover) la projette au petit matin après répétition de show avec toute son équipe prête à la détente avant le repos. Une ritournelle très sympa à fredonner quand on connaît bien les paroles avec notamment l'énumération finale des rôles essentiels de tous les membres du staff technico-artistique.
Mais ce sont 2 chansons sentimentales qui avaient surtout été mises en avant sur le premier EP' 68 : "Dalila", adaptation de "Delilah" créée par Tom JONES (qui, chose rare, connaîtra encore plus de succès, chez nous, avec sa V.O que la V.F de Sheila); mélodie de valse classieuse (avec pont musical de toute beauté) sur laquelle Sheila se fait confidente rassurante d'une amie ayant perdu l'espoir que son amoureux lui revienne.
Alors que sur "Quand une fille aime un garçon", c'est Sheila elle-même qui se retrouve dans la position de la délaissée amoureuse et pleine de regrets. Très joli pont encore mais cette fois-ci chanté - "Oui, j'aurais dû mon amour, courir après toi..." -. 2 réussites dans le genre.
Pour "Isabelle", extrait du 45-tours estival, on semble carrément entrer dans l'univers de Jacques Demy pour cette autre valse cette fois extrêmement guillerette sur laquelle Sheila nous décrit la journée d'une jeune femme, de son réveil jusqu'aux retrouvailles avec son petit ami à la sortie du taf. C'est vif, élégant, articulé parfaitement malgré la cadence effrénée du texte et de la mélodie, j'adore !

Mais mes 2 titres préférés sont plus graves. "Long sera l'hiver", qui donne son nom à l'album, à l'orchestration superbe (même si grandement inspirée du "My year is a day" des Irrésistibles qui venait de cartonner à l'été 68) nous plonge dans une atmosphère glaciale et austère, difficile à situer - "un ciel vide sans aucun chant d'oiseau". "ici où tout est sombre et désert" - à moins que l'on ne soit tout simplement dans le coeur et l'esprit "sibériques" d'une Sheila en manque absolu de la chaleur de son bien-aimé, probablement étranger ("my love") qu'elle fera tout pour rejoindre - "là-bas où tout danse dans la lumière" - dès le "premier soleil". Dommage qu'on ne réalisait encore que des scopitones médiocres à l'époque, cette chanson aurait pu faire l'objet d'un clip très cinématographique.
Mon autre favorite, "La Petite église", morceau encore plus mélodramatique, nous entraîne dans une chapelle, spectateurs indiscrets d'une attendrissante scène de mariage, invités par Sheila qui n'en est elle-même que la témoin a priori fortuite. C'est tout simple et tellement beau ! La voix fragile et empreinte d'émotion (ou de tristesse ?) de Sheila nous décrit le déroulement de la cérémonie jusqu'au baiser des mariés. Il est manifeste alors que l'interprète envie tellement la jeune épouse et n'espère qu'une chose, en s'adressant soudain à son amoureux absent, être prochainement à sa place, à moins qu'elle ait surtout besoin de s'en convaincre et que ce n'est pas si sûr que ça.

4/5 et pas la note optimale parce qu'il me semble que la production, elle, ne l'est pas toujours.





David BOWIE
DIAMOND DOGS


Le 22 Décembre 2021 par BANE


Et si c'était lui, en fait, le meilleur album de BOWIE ?
Ziggy n'a qu'à bien se tenir...





IRON MAIDEN
SENJUTSU


Le 22 Décembre 2021 par AXEL LABRIQUE

Bonjour Chipstouille

Il me semble, en effet, qu'on a tous droit à mieux que ça dans la vie. Finalement, on en arrive à tout diviser : il y a ceux qui aiment et ceux qui n'aiment pas, puis il y a ceux qui aiment dire qu'ils ont aimé ou pas, et d'autre qui n'aiment pas lire ce qu'ils ne pensent pas, et finalement on en arrive à défendre la liberté de penser face à des gens qu'on perçoit comme défenseurs de la pensée unique (et si possible la leur).
Et tout ça pour quoi finalement? Un album qui est finalement exactement ce à quoi on s'attendait à peu près tous. Un album conçu à partir d'un cahier des charges sans risques mais sans surpises, sans gaspillage dans les coûts; dans la continuité de ce à quoi on s'est habitués pour ne pas perdre davantage de fans.

Mais dans le fond, on s'en fout un peu, tout de meme, non? Iron maiden n'a plus besoin que leur dernier album soit eu goût de certains et pas à d'autres, tant qu'on parle du groupe, non? Y en a qui aiment? Tant mieux. D'autres pas? Pareil. Certains qui se battent pour que leur avis soit plus important? Bah qu'ils se battent, on est de toute façon assez grand pour se faire sa propre opinion, même si on ne dit rien.

Mais que personne ne vienne jamais dire à une autre comment il doit penser, et c'est valable pour tout le monde!


Par Forces Parallèles

Je me permets d'ajouter un commentaire non pas pour nourrir la polémique autour du dernier album de Maiden, que je n'ai pas encore écouté d'ailleurs, mais pour livrer un constat amer sur la pratique actuelle du débat d'idées ou d'opinions.
J'ai relu tous les commentaires au sujet de Senjutsu et je n'y ai lu que l'expression par leurs auteurs de leurs avis ou impressions qui sont inévitablement le fruit de leur subjectivité. Pourquoi est-ce si difficile de nos jours à certains de lire ou d'entendre l'avis d'une tierce personne ? Pourquoi un débat devrait-il obligatoirement se terminer par la réconciliation de ses diverses parties ?
L'histoire l'a maintes fois démontré : il est exceptionnel qu'un débat convainque les parties opposées, les débats politiques nous le rappellent depuis des décennies.

Ce qui me navre aujourd'hui, ce n'est pas la division des opinions sur telou tel sujet, c'est l'incapacité semble-t-il de certain(e)s critiques à 'admettre' la légitimité de l'opinion ou de l'avis adverse. Notre confrère Chipstouille a livré un avis très négatif sur Senjutsu, cela n'est pas la première fois à Forces Parallèles qu'un album 'se ramasse une volée de bois vert.' D'ailleurs il existe les chroniques express comme moyen éventuellement de contrer un avis par une critique contradictoire.
Avec les commentaires, nous avons tous la liberté également d'exprimer nos accords ou désaccords, mais à condition de cibler l'argument contre lequel nous ne sommes pas d'accord avec le-la chroniqueur-euse.
Clamer que Chipstouille se fait plaisir à descendre en flèche Maiden et que c'est la seule raison de sa chronique, c'est refuser de lui accorder le droit à la sincérité.
A Forces parallèles, nous sommes des passionné(e)s avec tout ce que cela implique de 'mauvaise foi' par instants, mais nous ne suivons d'autres modes que la nôtre.
Quand un commentaire ne convainc pas un(e) autre commentateur-trice, il devient inutile de poursuivre un débat qui, quel que soit le nombre de commentaires alignés, ne débouchera sur nulle réconciliation. Chaque partie alors repart de son côté avec son avis sous le bras... et tant pis si l'accord n'est pas conclu. Le monde ne va pas s'écouler, Maiden continuera à sortir des disques au grand dam des fans déçus et à la plus grande joie des fans encore et toujours admiratifs.

Il me semble que ce sont les réseaux sociaux qui ont exacerbé le mécontentement de certain(e)s quand ils ne trouvent pas d'auditoire conquis par leurs opinions. Ils(elles) le vivent alors comme une injustice, du moins comme un échec personnel. Sur les réseaux sociaux, chacun voudrait sur son seul nom asseoir son autorité à coups de 'like' censés flatter son ego. L'écran d'ordinateur, derrière lequel chacun(e) se protège, nous donne droit à exprimer des jugements moraux dès qu'un commentaire nous déplaît.
C'est bien dommage, et à Forces Parallèles, nous nous efforçons de maintenir une tenue la meilleure possible, évitant autant que possible la censure comme la liberté absolue de 'dire tout et n'importe quoi' qui ne mène en général à rien de valable ni de noble au sens humain du terme. Nous faisons parfois des erreurs, mais elles semblent inévitables. Nous ne sommes pas des robots et les commentaires passent par le filtre des validateurs-trices.

Merci à toutes et à tous d'animer notre forum de vos commentaires majorittairement respectueux, intelligents et sensibles.





Jimmy SMITH
CHRISTMAS COOKIN


Le 21 Décembre 2021 par LE KINGBEE

@François

Jimmy SMITH a enregistré plus de 30 disques pour Blue Note, label ayant édité une vingtaine de compilations du bonhomme. Je ne connais pas toute sa discographie, mais je connais le disque dont vous parlez avec un Little Red Rooster et un dalmatien.
'Christmas Cookin' est, comme l'annoncent son titre et sa pochette, un disque de Noël avec tout ce que cela suppose.
On ne peut que conseiller un autre album pour les amateurs d'Hammond qui voudraient aborder l'Incredible Jimmy Smith.

Là, Noël sert de prétexte pour faire figurer cet organiste réputé sur le site, l'occasion faisant le larron.





COCTEAU TWINS
LULLABIES


Le 21 Décembre 2021 par RICHARD


C'est incroyable de constater que les Ecossais se sont séparés il y a maintenant 25 ans et de voir que dans la scène underground (et pas que d'ailleurs) leur influence est encore bien plus qu'intacte.
Comme le souligne encore une fois avec pertinence Aigle Blanc, Cocteau Twin est assurément "un groupe hors-du-commun". C'est vrai qu'il est pourtant difficile à l'écoute de ces 3 titres rêches d'imaginer la suite rêveuse. Il y a pour moi la même ambiguïté que celle contenue dans Garlands. On ne peut penser qu'à SIOUXSIE (par paresse ?) et pourtant ceci ne sonne pas tout à fait comme la Londonienne. C'est assurément l'un des attraits du début de carrière du trio.





Jimmy SMITH
CHRISTMAS COOKIN


Le 21 Décembre 2021 par FRANçOIS

J'ai un disque de ce gars-là, "Back At The Chicken Shack" (où sur la pochette, on croirait voir Snoop Dogg... Heureusement, musicalement, il n'en est rien), un Blue Note avec Turrentine au sax et toujours Burrell à la guitare. Celui-ci ne fait guère envie...





CAN
SOUNDTRACKS


Le 21 Décembre 2021 par CORNELIUS


Aussi bon que Monster Movie. C'est à dire indispensable.

"Mother Sky" renverse évidemment tout sur son passage - peut-être le titre le plus définitif de ce groupe unique.





CAMEL
BREATHLESS


Le 20 Décembre 2021 par CLANSMAN57


Ouch! Quelle dégringolade! Camel vire pop, mais ce n'est pas de la bonne.
Beaucoup de mélodies insipides, grotesques, peu charmeuses.
Bien entendu, Latimer nous livre quelques envolées avec sa guitare, mais elles sont trop rares et il a fait bien mieux.
Les deux morceaux progressifs ne sont pas exceptionnels à mes oreilles, "The Sleeper" étant la pire.

Moment préféré : la dernière partie de "Summer Lightning".
Le plus mauvais Camel que j'ai pu entendre.





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 20 Décembre 2021 par BAKER


Très belle kro, j'ajoute, en tant que fan du film, que je conseille la version cinéma, bien qu'elle devienne difficile à trouver. La version director's cut est à mon sens déséquilibrée et perd beaucoup du charme, les non-dits et suggestions disparaissant.





DEEP PURPLE
PURPENDICULAR


Le 20 Décembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Cet excellent disque signe l'arrivée de Steve Morse qui sut se fondre à merveille dans l'univers du groupe.

Des compos excellentes, un album cohérent, frais, agréable. On sent que les musiciens s'éclatent (un côté fun disparu avec Blackmore réapparaît soudain). Les titres se valent tous, difficile d'en sortir un du lot.

Hélas, à mon goût, c'est le seul album de qualité après l'arrivée du Six-cordiste génial. D.P reste quand même le bébé magique de Blackmore, et son génie fera grandement défaut dans le futur (surtout en terme de qualité discographique), le groupe semblant ronronner et profiter de son aura légendaire. Dommage !







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