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PAIN OF SALVATION
IN THE PASSING LIGHT OF DAY


Le 25 Juin 2024 par SWISSIDOL


Un bon album, évidemment, mais qui n'approche pas la classe des grandes oeuvres de POS. Il y a plein de bonnes idées et j'aime l'apport de Zolberg mais... Il manque quelque chose, je ne sais pas, des passages plus marquants.
Je tiens néanmoins à dire que la chanson-titre, à la fin, est fantastique. Je la verrais très bien dans une B.O de film genre "Into The Wild".





Giorgio MORODER
On The Groove Train Volume 1 : 1975-1993


Le 25 Juin 2024 par BAKER


O_° mais c'est QUOI CE TRUC ???

Je ne connais pas par coeur tout Moroder mais une chose est certaine : les extraits de l'album de Keith Forsey n'ont rien à faire ici car Moroder a été producteur EXECUTIF (je traduis : celui qui dépense les sousous. ...Et qui rapporte les sousous).

Mais musicalement, "Dynamite" n'a pas un atome de Moroder, ni dans le son ni dans le style ni dans la simple présence dans le studio !!!

Sérieux mais qu'est-ce qui est arrivé à Moroder après l'album de 90 ? Une dépression post-adolescente qui dure depuis maintenant 35 ans ???





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 25 Juin 2024 par SLAKER


Indochine fait du Indochine, à nouveau sans grand génie, c'est clair.
Mais Indochine fait du Indochine de la même manière que AC/DC fait du AC/DC. La même rengaine depuis des décennies. Le second ne mérite pas spécialement plus de complaisance que le premier d'ailleurs.
Mais à mon avis il ne faut pas y voir de complot particulier. Il y a des artistes qui aiment se renouveler et d'autres qui restent dans leur confortable routine qui apparemment leur apporte suffisamment de plaisir, et également aux fans. Une pizza quatre fromages, toujours faite de la même manière et qui est bonne, pas besoin de la changer.
Sauf que là, c'est plutôt une pizza à l'ananas. Il y en a qui aiment... Moi c'est bof bof, et pourtant j'ai été fan du groupe également, mais si cette situation convient au groupe et aux nombreux fans qui le sont restés... Alors soit.





DEF LEPPARD
HYSTERIA


Le 24 Juin 2024 par ELK

@Fightitback
C’est déjà corrigé pour les 12 titres 😉
Je dois avouer que je ne connais pas bien les derniers disques de Def Lep, mon intérêt pour le groupe s’étant évanoui après « Adrenalize » ersatz en moins bien de « Hysteria » . Ce dernier, quel que soit le regard qu’on porte dessus aujourd’hui, reste un monument même si je lui préfère très largement « Pyromania » et même « High’n’dry ».





ABBA
RING RING


Le 24 Juin 2024 par NONO

@Masterfan : Moi j'ai toujours eu une relation singulière avec la musique d'Abba. C'est à la fois un de mes groupes absolument favoris mais également un groupe que je n'arrive pas à mélanger à d'autres... pas forcément parce qu'Abba est 'meilleur', mais car ce groupe est TOTALEMENT à part, absolument insoluble dans le bain des autres groupes de musique.
C'est aussi pour moi à la fois un groupe de génie mais aussi un groupe insupportable par d'autres aspects. Bref : pour moi, Abba c'est, comme tu dis : clivant, ça varie vraiment du 'on adore' à 'on déteste". Pas de demi-mesures avec eux !
Je t'explique en détail le pourquoi du comment de mon avis tranché sur le groupe :
Je l'adore car :
1) ses mélodies et arrangements sont vraiment de qualité supérieure
2) Très rares sont les groupes arrivant à sortir AUTANT de titres aussi excellents les uns que les autres.
3) Le point "3" rejoint le "2" car il n'y a pas que ses compilations à être pleines d'excellents titres, mais la majorité de ses albums sont très bons d'un bout à l'autre (tubes ou non-tubes), ce qui est assez rare aussi.
4) Ses 2 derniers grands albums (je ne compte pas "VOYAGE"), VISITORS et SUPER TROUPER sont de véritables oeuvres d'art que je ne me lasse jamais d'écouter.
Mais... les points que je ne supporte pas chez eux :
1) Leur côté 'merchandising / produits dérivés' qui a toujours pris le pas sur leur musique, et les englue dans une époque donnée (début 70) alors qu'ils ont évolué, et pour le meilleur.
2) Que tout le monde les étiquette comme groupe 'disco' alors que ce n'est qu'une petite partie de leur répertoire... hélas beaucoup de gens ne fredonnent que 3 titres : "Dancing Queen" , "Gimme gimme" et "Mama Mia", alors qu'ils ont fait DES TONNES de titres peu ou pas connus bien plus intéressants !
3) Pour résumer, ce qui m'agace le plus n'est pas vraiment de leur faute, mais de les étiqueter constamment pour leurs paillettes / pattes d'éph plutôt que pour la qualité de leur musique.





VARIOUS ARTISTS
JUNE 1, 1974


Le 24 Juin 2024 par FOUDROCK


J'avais mal vu, moi qui pensais que cet album était absent du site... Un live mythique, pas très démocratique (Kevin Ayers a l'intégralité de la face B, tandis que le trois autres se partagent la A), enregistré au Rainbow Theatre de Londres le 1er juin 1974, un concert promotionnel du label Island en faveur de quatre de leurs artistes. Une prestation globalement remarquable (Ayers, Cale, notamment, y brillent de mille feux : un "Heartbreak Hotel" dévasté, au bord du précipice par un vent de terre de force 10, pour Cale) pour un sommet d'art-rock.
Il paraît que quelques heures avant le show (et la séance photo de la pochette recto), Cale aurait grillé Ayers au lit avec sa femme (la femme de Cale, pas d'Ayers, évidemment, sinon c'est moins drôle), ce qui expliquerait le regard quelque peu, disons, désabusé que Cale lance à Ayers et l'expression un peu co-conne, gênée, de ce dernier. Un an plus tard, sur le morceau "Guts" sur son album "Slow Dazzle", Cale chantera "the bugger in the short sleeves fucked my wife". Il a apparemment mal pris la chose, l'ex-Velvet.





DEF LEPPARD
SLANG


Le 24 Juin 2024 par SWISSIDOL


Avec cet album DEF LEPP' a pris conscience qu'il n'était pas obligé de surcharger ses disques d'effets sonores et de les surproduire comme à l'époque "Hysteria"/ "Adrenalize". Il en ressort quelques bons titres au son plus brut ("Turn To Dust", "Gift Of Flesh"). Les ballades sont jolies ("Breathe A Sigh", par exemple) et, si deux, trois morceaux sont moins passionnants ("Pearl Of Euphoria"), l'ensemble sonne plus authentique.





DEF LEPPARD
HYSTERIA


Le 24 Juin 2024 par FIGHTITBACK


@ELK 12 titres et non 10 ! ;) alors encore 1 fois pas d'accord avec toi ! les gens critiquent beaucoup DEF LEP depuis X années (c'est la "mode" !) mais adulent cet "Hysteria" paru il y a 36 (!) ans, il leur faudrait le réécouter je crois ! Perso je préfère leur dernier (de 2022) ou j'adore 8 des 15 titres qui le composent ! alors ils font de la soupe maintenant ! ah bon? et "Rocket" & "Excitable" ça n'en est pas?! sauf qu'en '88, si tu n'avais pas cet album (ou ne l'aimais pas) tu n'étais pas dans "le coup"! (MDR comme disent les "djeuns" qui commencent à ne plus l'être à leur tour !) Bref, pour moi 5 titres sur 12 (1, 3, 4, 10 & 12, le reste...bof voire au secours) et pour moi "Adrenalize" n'est ni mieux ni pire ! Encore 1 fois (comme avec le "Black" des METS) les gens parlent du son, ok mais la musique?! (et tout le monde serait-il donc ingé-son ou producteur?!) P.S. allez, 2,5 car DEF LEP reste 1 de mes groupes favoris à ce jour (surtout "Pyromania"!)





DEF LEPPARD
PYROMANIA


Le 24 Juin 2024 par SWISSIDOL


Une merveille ! Superbe équilibre entre Hard énergique et mélodie. Les grands moments sont innombrables, à commencer par "Photograph", "Rock of Ages" ou "Too Late For Love". DEF LEPPARD à son sommet.





DEF LEPPARD
HIGH'N''DRY


Le 24 Juin 2024 par SWISSIDOL


Très bon album des jeunes Anglais, tellement plus hargneux qu'un "Hysteria". Aucun titre faible, quelques riffs presque typés AC/DC et une belle énergie.





DEF LEPPARD
HYSTERIA


Le 24 Juin 2024 par SWISSIDOL


Ok, l'horrible accident subi par Rick Allen a poussé le groupe vers ce genre de son avec batterie électronique et tout. Pour autant, était-il obligé de pousser autant dans cette direction ? Rien ne sonne rock, rien ne sonne naturel. Tout est trafiqué, surproduit, avec un millier de bruitages usants à la longue ("Rocket"). Les compos en elles-mêmes ne sont pas mauvaises ("Pour Some Sugar On Me", "Love Bites", "Run Riot"...) mais DEF LEPPARD a bien tourné le dos à la communauté hard avec ce disque aseptisé.





BON JOVI
KEEP THE FAITH


Le 23 Juin 2024 par PILGRIMWEN

Je préfère de loin ce BON JOVI-ci, à celui tût-tût des années 80. "New Jersey" annonçait déjà la couleur. Ici, le groupe enfonce le clou. De l'excellent Hard Rock Bluesy, à une période maintes fois décrite comme "la fin de l'âge d'or du Hard Rock". Au contraire, je considère que nombre des groupes Hard Rock issus des années 70/80 n'ont jamais pondu (et brillé !) mieux qu'au début des années 90. Il fallait d'urgence qu'ils tiennent la barre pour ne pas être balayés par de nouvelles mouvances musicales dont leur pseudo-antagoniste le Grunge (merci les médias pour la manipulation d'esprit). Alors ils nous ont délivré d'excellents disques, mémorables pour certains.





The CURE
FAITH


Le 23 Juin 2024 par MASTERFAN


Second album de la trilogie froide de Cure en 1981, FAITH a lui aussi tatoué au cœur toute une génération d’ados 'différents' qui voulaient 'autre chose' que ce qui était proposé en radio, des garçons et des filles qui se recherchaient une identité, une personnalité, une sensibilité. Huit morceaux et pas un de plus, ils avaient donc intérêt à être bons.

De fait, c’est un quasi sans-faute ici. "The Holy Hour" est dans le ton de 17 SECONDS, très beau. Mais on est content que ça s’accélère un petit peu avec "Primary", méga-classique s’il en est. Vient ensuite "Other Voices" bien emmené par la basse, classieux. Dans la foulée, se pointe "All Cats Are Grey" au synthé simple mais ô combien efficace, une putain d’ambiance et encore un classique.

Sur la seconde face, on commence par pleurer à la "Funeral Party", un morceau qui prend aux tripes. Robert Smith s’énerve ensuite avec le moins coté "Doubt". Retour au calme enfin avec deux morceaux peut-être les moins évidents à apprivoiser, d’abord le lancinant "The Drowning Man" puis pour finir, le titre éponyme "Faith", pas le genre de titre qu’on met pour faire la fête. Ni l’album d’ailleurs.

Bon, on espère que personne n’a commis l’irréparable car il y a encore PORNOGRAPHY juste derrière, et ce serait bête de le louper. Une superbe réussite, belle continuité de SEVENTEEN SECONDS, gorgé une nouvelle fois de spleen et de minimalisme, mais pas forcément accessible à toutes les oreilles.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : "Primary", "All Cats Are Grey", "The Funeral Party". SEDUISANT(4) : "Other Voices", "The Drowning Man", "Faith", "The Holy Hour". PLAISANT (3,5) : "Doubt". Bilan 4,12 et Top 5 à 4,30 : FAITH cote pour moi 4,21 soit 17,05 /20 (éval réelle sur ce site : 4,5)

La version CD Deluxe reste une petite déception, même si l’atmosphérique "Carnage Visors" (3), la longue bande-son qui précédait les concerts d’alors, est la belle surprise de la fin du CD1. Un chant aurait pu être pertinent par moments. Sur le CD2, le choix est plutôt surprenant. On nous ressort principalement le gros bricolage 'work in progress' de l’album, peu intéressant, et on est même déçu de découvrir que "Primary" a eu un accouchement différé. Les inédits "Going Home Time", "The Violin Song" et "A Normal Story" sont beaucoup trop à l’état d’ébauche au niveau des paroles pour pouvoir être jugés.

Reste "Forever" (4) en version live qui pourrait à la limite justifier, pour les fans, l’acquisition de cette version. On nous gratifie aussi du grand classique "Charlotte Sometimes" (5) mais malheureusement sans sa face B, le tribal "Splintered in Her Head" (4) (qui laisse peu de doute sur l’état des musiciens), ce qui fait tache dans une version Deluxe. Pas non plus de "Descent", la face B de "Primary", mais là, pour le coup, ce n’est pas une grande perte.





ABBA
RING RING


Le 23 Juin 2024 par MASTERFAN


ABBA est l’un des groupes les plus clivants de tous les temps. La moitié de la planète les adore, l’autre se moque de celle-ci, soit en toute honnêteté, soit par refoulement et peur d’être soi-même traité de ringard. Plus de 50 ans après leurs débuts, on commence à avoir le recul suffisant pour mieux comprendre le phénomène. Comment le temps a-t-il sanctionné ou bonifié la discographie des principaux rivaux de Volvo et Ikea ? Y a t-il des trésors cachés ? Est-ce l’heure d’assumer un coming-out musical? That is the question.

Le succès d’Abba tient principalement à deux composantes. D’une part, l’alchimie existant entre les deux voix d’Agnetha (Anna pour les intimes) et de Frida, chose qu’on n’avait plus trop vue depuis la synergie Beatles John/Paul (et à moindre mesure de celle du trio Bee Gees Robin/Barry/Maurice). D’autre part, les qualités mélodistes des BB, Björn (moyen mnémotechnique, comme Borg) et Benny (comme Hill), capables à l’occasion de fulgurances dignes de leurs modèles pour valoriser aux mieux les voix de leurs épouses. Ajoutez à cela une stratégie plastique redoutable pour que la mayonnaise prenne complètement, et voilà, le tour est joué.

En réalité, tout cela fut loin d’être facile. En dépit de quelques succès locaux ou teutons, les quatre membres étaient tous déjà présents sur le circuit depuis pas mal d’années, et il leur a fallu cravacher sec. Ils se sont même fait jeter de l’Eurovision 1973 lors des sélections suédoises avec “Ring Ring”, morceau qui aurait pourtant probablement gagné aussi le concours, un an avant “Waterloo”.

RING RING est donc le premier album d’ABBA, même s’il est sorti sous le nom de “Björn Benny Agnetha Frida”. Nous sommes ici un an avant l’Eurovision de 1974. Une belle joie de vivre se dégage de la pochette, sur laquelle les filles sont encore loin d’être des sex-symbols.

“Ring Ring” le single est un chouette morceau pop, les 2 B montrant déjà ici une belle science du pont vocal. Ce titre a eu un premier petit succès, mérité, en son temps. L’intemporel “Another Town, Another Train” lorgne clairement du côté des Bee Gees pour le couplet, chanté par les garçons, le refrain laissant entrevoir le potentiel ultérieur des voix groupées.

Agnetha s’affiche ensuite pour la première fois en solo sur “Disillusion”, morceau qu’elle a elle-même composé et qui ne viellit pas si mal. Ensuite l’autre 'tube' de l’album, le “People Need Love”, atypique car garçons et filles se répondent. La fin du morceau est un appel du pied à l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse, qui fonctionnera. Le solo de garçons sur “I Saw It In a Mirror” n’est pas mémorable. Même remarque pour “Nina Pretty Ballerina”, qui vogue entre l’efficace et le niais.

Seconde face déjà avec “Love isn’t Easy”, autre échange filles-garçons avec refrain groupé. Quand les filles interviennent, on sent bien qu’il se passe un truc, qu’il y a un potentiel sous-exploité pour l’instant. “Me and Bobby and Bobby’s Brother” est teinté de la pop typique des 60-70’s, qui se laisse boire, tout comme “He’s Your Brother”, même si tout cela est loin d’être exceptionnel.

“She’s My Kind of Girl” est une compo valable des garçons datant de 1969 et qui fait un peu Bee Gees du pauvre, époque “Idea” ou “Horizontal”. Changement total de style avec les filles et “I am Just a Girl”, qui reste très mi-mi. On termine avec le surprenant “Rock’n Roll Band”, qui a en lui le charme de l'époque, bonne petite compo sans prétention qui se tient. A se stade, on pouvait le comprendre, les garçons n’avaient pas encore compris que le relai devait être passé aux filles.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : "Ring Ring", "People Need Love". PLAISANT (3,5) : "Rock’n Roll Band", "She’s My Kind of Girl". INTERESSANT (3) : "Another Town Another Train", "Disillusion", "I am Just a Girl", "Me and Bobby and Bobby’s Brother", "He is Your Brother". EMOTION LIMITEE (2,5) : "I Saw It In the Mirror", "Nina Pretty Ballerina", "Love Isn’t Easy". AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 3,12 et Top 5 à 3,60 : RING RING cote pour moi 3,36 soit un très honorable 13,44/20.

Pour les B-sides, "Merry-Go-Round" (3) est de la variété très correcte, une fois encore à forte influence Bee Gees label 60’s, et "Santa Rosa" (3) de la pop bien sentie d’inspiration Beatles période RUBBER SOUL ou Who. Il y a pire comme modèle.

Donc, s’il y a un album d’Abba ringard, ça n’est déjà pas celui-ci. C’est plus la fraîcheur et l’insouciance que je ressens ici. Et c’est une vraie surprise de constater à quel point cet album a bien vieilli.





MSG
IS IT LOUD ENOUGH ?


Le 23 Juin 2024 par FIGHTITBACK


@GEGERS que donne cette nouvelle remasterisation? perso, je trouve que celle de 2009 était énorme déjà, donc...?! à l'inverse de toi, je ne suis pas trop fan de ses 2ème et 3ème albums alors que je suis raide dingue de ceux de '80 & '83 (assez différents pourtant !). 1 bon 3,5/5 comme toi pour ces 4 albums, même si je ne juge pas ce coffret dont je n'ai pas fait l'acquisition.





Françoise HARDY
DÉCALAGES


Le 23 Juin 2024 par HUG

Je reviens à ce disque, car je le possède et l'ai bien sûr réécouté tout récemment. Adieu Françoise. Je trouve que "Arrêtons" n'est pas désagréable à écouter mais me concernant, c'est surtout "Dilettante" que je trouve trop rock et trop synthétique. Cette chanson a sans doute mal vieilli.





Rod STEWART
EVERY PICTURE TELLS A STORY


Le 23 Juin 2024 par RUDY M


Le Rod, à part du Celtic, au fond, il se foutait de tout.
Fait, de son propre aveu, 'pour vivre dans le luxe', il fut un véritable traîne patins, vagabondant sur la côte d'azur ou en Espagne, avant de devenir musicien, juste parce qu'on n'avait pas voulu de lui comme footballeur.
Mais cette voix, trempée dans du Whisky, va servir ses desseins : collectionner les belles blondes et les dollars. "Maggie May" et l'immense succès qui s'ensuivit va le propulser enfin pour ce qu'il veut être : une star.
Ce 'je-m'en-foutiste talentueux' nous sert quelques pièces maitresses ici, comme la chanson titre notamment, avant de délivrer par la suite le superbe "Never a Dull Moment" qui sera son dernier 'vrai album' avant la fuite américaine et le sirop qui s'ensuivra.
Rod a toujours évolué dans la facilité, celle d'un type passionné par tellement de choses que toute sa carrière est ainsi traversée d'éclairs, de superbes chansons, lâchées dans des albums inégaux, frôlant constamment de manière égale le génie et le ridicule.
Le brave 'pote de comptoir', façon Slade, devient vite le millionnaire excentrique à l'abri du qu'en-dira-t-on, cible des punks en 76-77, mais aussi des critiques qui ont perdu, à partir d' "Atlantic Crossing", comme un 'copain d'enfance'.
Mais ici, qu'importe : de la chanson titre à l'éternel "Maggie May" en passant par "I Know i'm Losing You" ou "Mandolin Wind", cet album fleure tellement bon les sixties du côté de la tamise.
Rod y chante merveilleusement bien, accompagné de la plupart des membres des Faces auxquels il faisait encore partie à l'époque dont bien sûr le célébre Ron Wood, fidéle parmi les fidéles.
Au final, cet album dans son genre a quand même marqué son époque, l'un des plus importants en tout cas de la carrière du Rod, à écouter sans que la lassitude vienne jamais s'insinuer, tant ces mélodies semblent à jamais résonner 'Ad-Vitam' chez tous ceux qui apprècient le 'dandy désinvolte'.





ASIA
RESONANCE


Le 22 Juin 2024 par EAD666

Je suis archi fan du groupe, mais quand on regarde la vidéo,c'est évident que le chant a été entièrement refait en studio. Triste pour ce qui est soit disant un live :(





INDOCHINE
LE CHANT DES CYGNES


Le 22 Juin 2024 par LE VIEUNE


J'ai écouté, deux fois. J'ai vu le clip, une fois. Couplets avec les mots "fiiiiiiiiiiilles" et "garçooooooooooons" ressassés. Refrain envolé archi formaté ... Pochette bien typique !

Je n'écouterai pas la radio au travail pendant une longue période à venir.







The BEACH BOYS
SURF'S UP


Le 22 Juin 2024 par FOUDROCK


Chef d'œuvre total. Rien que 'Till I Die' suffit au bonheur du fan de belles mélodies. A la rigueur, la reprise, sous un autre titre, de 'Riot in block cell 9' est légèrement accessoire.







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