Le 15 Janvier 2024 par CLANSMAN57

Encore une franche réussite de la part de Genesis!
Je lui trouve un bel équilibre au niveau de la répartition des compositions.
Deux sont signées par Collins, deux par Rutherford et deux et demi par Banks.
Le reste c'est du collectif.
Bel équilibre également entre les styles qui oscillent entre des pièces finement ciselées et d'autres qui sont plus immédiates.

Collins est vraiment géant derrière les fûts, j'adore le son qu'il a.
Et Rutherford n'est pas mauvais du tout à la guitare, dommage que ses interventions soient rares et brèves. M'enfin, c'est Banks le chef du groupe et il le fait savoir, ce n'est pas nouveau.

A ne pas surtout pas négliger.

Le 15 Janvier 2024 par RICHARD

Évidemment cher collègue et merci pour la précision 🙂
Je n'ai pas précisé que Redrum était Murder (pauvre petit Danny) à l'envers tant cette mention extraite du Shining de Stephen King est, du moins dans la sphère sombre, un classique.

Le 14 Janvier 2024 par LONG JOHN SILVER

Précision :Redrum dans le film The Shining signifie Murder, il s'agit d'une référence au film de Kubrick qui se déroule dans l'hôtel Overlook.

Le 14 Janvier 2024 par BLUEMASK

Un son reconnaissable entre tous, un putain d’album de blues. Buddy Guy a la forme sur ce disque, il ne l’avait jamais vraiment perdue. Les invités n’apportent finalement pas grand-chose, sauf Joss Stone grandiose sur un morceau grandiose.
Ca fait du bien, un disque comme ça.

Le 14 Janvier 2024 par BLUEMASK

Avec leur ´black album’, les Shaka mettent la pédale douce sur leur côté funk, soul et hip hop, sauf sur "Mock the Party’, en se recentrant sur le metal et la pop. La qualité suit toujours avec cette énergie folle, cette aptitude aux refrains catchy, et cette liberté créatrice qui fait râler les chiants et les ayathollas du rock. Quelques grand titres, comme "Come on Cama" élastique et ´The shell Maid Freak", étonnant morceau pop 60´s gonflé aux hormones. Quelques titres en-deçà, essentiellement "Yell", thrash-pop manquant finalement de folie et "Time Has Come", excellent en soi, mais trop clairement pompé sur leur tube ‘My Name is Stein".

Le 14 Janvier 2024 par LE KINGBEE

Juste pour l'anecdote, cet olibrius est le neveu des Frères Hodges qui ont tant œuvré à Memphis. Preuve que les gènes semblent avoir pris un sacré chemin de traverse.

Le 13 Janvier 2024 par CHIPSTOUILLE

Je me suis permis d'ajouter une équivalence style avec LORN bien que je ne connaisse pas encore toute la production de Forest Swords. L'abstract hip-hop urbain déjà bien distant du trap marié à de l'ambiant électro bien noir qui vomissent comme il faut une société qui n'a de cesse de décrépir, on retrouve là des marqueurs communs.
Je n'ai pas trouvé le nom du style, mais les 2 jouent clairement dans la même division.

Je partage au moins l'engoument pour le single "Crow", dont Compassion - que je n'ai écouté qu'une fois pour le moment - est semble-t-il l'album qui se rapproche le plus, et que j'ai pas mal écouté l'année dernière.

Le 12 Janvier 2024 par FOUDROCK

Un de leurs pires, et leur premier album réellement raté et à fuir (avec le Peter Criss solo, mais les albums solo de 1978 sont un cas à part quand même), tellement pire que le très décrié suivant...
Un disque presque pop sur lequel je ne sauve (et encore, pas les jours de pluie parce je suis dans ce cas d'une humeur détestable) que "Naked City" ainsi que la pochette, amusante, et assez réussie. Sinon, une vraie purge.

Le 12 Janvier 2024 par FOUDROCK

Ecouté, il y a longtemps, avec inquiétude, pensant avoir affaire à une bonne grosse m*rde musicale inaudible. Mais, au final, malgré des morceaux vraiment à côté de la plaque ("Under the rose", "Just a boy"), c'est écoutable. Le premier morceau, "The Oath", est clairement le meilleur ici.
Le concept-album n'est pas une chose pour tous les groupes. Certains s'en sortent mieux que d'autres. Kiss s'est vautré, mais cet album reste original (pour eux) et, je trouve en tout cas, nettement, mais alors nettement plus intéressant que "Unmasked".

Le 12 Janvier 2024 par FOUDROCK

Très loin d'être un album mémorable, évidemment loin d'être un des meilleurs du groupe, mais je dois reconnaître qu'à petites doses, j'aime bien. Pas autant que les albums de la période 1974/1977, ou que "Creatures of the Night", mais j'aime bien. Plaisir coupable (très !).

Le 12 Janvier 2024 par FOUDROCK

Un grand album qui mérite plusieurs écoutes et qui ne se conseille qu'aux vrais, ceux qui savent apprécier de sortir des sentiers battus de temps en temps. Plus accessible que ce que Walker fera par la suite ("Tilt", "The Drift"), cet album me fait parfois penser au "Nite Flight" des Walker Brothers, et évidemment surtout à la partie Scott de cet album ("The Electrician" notamment).
Pas forcément commercial avec ses morceaux parfois sans titre, ce "Climate of Hunter" riche en guests a eu, il me semble, droit à un de ses morceaux dans la bande-son du "Frantic" de Polanski, mais je peux me tromper...

Le 11 Janvier 2024 par BLUEMASK

Eh bien, moi, je l'adore ce live.
Certes, il s'agit d'un groupe plutôt sur la fin que sur son acmé. Il est moins rageur que le live 'From here to eternity', c'est certain aussi, mais plus décontracté, ce qui n'est pas forcement une insulte, mais un choix. C'est la captation d'un concert unique et cela me semble plus sincère et en tout cas, plus punk dans l'esprit, ça tombe bien. Il y a ainsi des titres un peu plantés ('Rock the cashba' en est un), mais une logique, un truc qui se déroule.
Mais quand même quelle set-list de grande classe pour un groupe de grande classe aussi ! Les 3 titres d'ouverture disent tout. 'London Calling', 'Police on my back' 'Guns of Brixton', merci pour tout, au revoir, même si le reste est merdique, il y a moyen de moyenner, et en fait la suite est à l'avenant. On se dit que ce disque n'est pas un 'best of live', juste un live, un soir, et que The Clash avait un putain de répertoire et une putain de façon de tenir la scène...

Le 11 Janvier 2024 par FOUDROCK

Un pur chef d'oeuvre.
Une face A remarquable qui s'ouvre en fanfare (aah, "Precious" et son "fuck off !"...), offre du lourd ("The Wait", "Up the neck") et se fiit sur une sublime reprise du "Stop your sobbing" des Kinks, dont Chrissie allait épouser le leader Ray Davies incessamment sous peu, si ce n'était alors déjà fait (sur le deuxième album aussi on a une reprise kinksienne : "I go to sleep").
Une face B juste hors de ce monde tellement elle est puissante. Que dire de ces trois longs morceaux, "Private life", "Lovers of today", et surtout de ce final, "Mystery achievement" ?
Absolument immense, cet album, leur sommet, un des meilleurs premiers albums de tous les temps.

Le 11 Janvier 2024 par LE MOUNGEPEDOUN

RIP Tony Clarkin

Le 10 Janvier 2024 par ARTHUR LE FANTôME

3 mois qu’il est paru ce 'nouveau Stones', bien assez pour laisser reposer l’excitation parfois fébrile que cette parution a pu générer, excitation dans les deux sens d’ailleurs, avec son lot de destructions massives écrites par de nombreux critiques 'avertis' interposées.
Pffui… mais qu’est ce qu’il s’est pris ce 'nouveau Stones'!
J’avais parfois, à la lecture de ces avis autorisés, le sentiment que le plus rapide à dégainer sa critique acerbe serait celui qui, à l’arrivée, ne paierait pas l’addition du repas trimestriel réservé aux rocks critics.
Bref, 3 mois, c’est bien assez, surtout, pour laisser "Hackney Diamonds" prendre sa place.
En effet, me concernant en tout cas, l’album a pris sa place. Source de plaisirs et d’écoutes régulières.
Je me range dans la catégorie des 'vieux' suiveurs du groupe dont j’achète les disques, en temps réel de leur parution, depuis "Exile", malgré quelques réels et très longs trous d’air dans le suivi, conséquence de la découverte régulière des disques qu’ils ont pu sortir et dont je trouvais qu’ils n’avaient aucun intérêt.
Les 80´s et les 90´s passées, je me suis raisonné à ne plus rien attendre d’eux, discographiquement en tout cas, les concerts faisant parfois plaisantes diversions, d’autres fois très mal.
Jusqu’aux 7 concerts de la dernière décennie auxquels j’ai pu assister qui m’ont emballé parce que j’y ai ressenti un truc qui me plaisait bien : ils avaient lâché l’enjeu pour le seul plaisir de l’instant à vivre.
Évidement, je ne cherche à convaincre personne de cette réalité historique ! Il s’agit juste d’un feeeling intime. Peut-être même simplement d’une illusion menée par des sentiments croisés entre leur vieillissement et le mien.
Mais ce sentiment de vivre le temps présent est aussi celui qui a accompagné et continue d’accompagner mes écoutes de "Hackney Diamonds".
Un disque court. Avec deux faces aux ambiances différentes. Un disque nerveux et non pas paresseux.
Un disque plein de défauts certainement, si on le place dans la course au chef-d’œuvre, mais un disque que j’ai ressenti comme sacrément spontané.
Sans calcul.
Porté par le plaisir qu’ont pu partager ces vieux jeunes gens à se retrouver en studio.
Un disque devenu un agréable compagnon de route, en tout cas.
Incomparable avec leur 'chefs d’œuvres' passés, bien sûr.
Mais bien plus cohérent que tout ce qu’ils pu sortir ces dernières décennies. (je place "Blue & Lonesome" à part, comme un agréable petit sentier à fréquenter, hommage touchant à leurs racines blues).
Oui, le son de "Hackney Diamonds" est surprenant au départ.
Ce côté compressé a poussé certains de mes amis ou simples potes à ranger l’album aux oubliettes. Moi aussi j’ai été quelque peu désarçonné.
Mais je lui ai laissé le temps de se poser chez moi, de trouver les instants où l’attente remplacerait l’urgence d’avoir un avis définitif.
Et ça n’est pas bien grave si tout mes potes ne sont pas du même avis.
L’unanimité, dans un sens ou dans l’autre, est ennuyeuse au possible.
Et puis on pourra continuer d’en parler, après que j’ai eu envie de partager un nouvel argument positif en ayant pris mon pied en écoutant "Angry" ou "Mess it Up", ou je ne sais quel autre des 12 titres, ou une face, ou l’album en entier. Comme une tranche de vie.
J’aurais envie de les appeler pour leur reparler de la simple notion de 'plaisir' que je peux ressentir à l’écoute de l’album. Du sourire qui vient avec à chaque fois. Luxe simplement formidable à ressentir.

Il est rangé et a disparu sous la pile de la trentaine de disques que j’ai pu acheter depuis mi-octobre. Mais force est de constater qu’il n’est pas le moins allègre à ressortir depuis.

Le 10 Janvier 2024 par SWISSIDOL

J'ai trouvé ça chiant comme la mort. Il est clair qu'ils savent jouer mais pour en faire quoi? Niveau feeling, on est proche du degré zéro. En outre, même si j'ai bien conscience qu'on n'est pas sur un spectacle comique, ils ont l'air aussi sympas que des gardiens de prison. A oublier rapidement. Et dire que d'aucuns reprochent à DREAM THEATER un manque d'humanité...

Le 10 Janvier 2024 par METALPROG84

Album aux antipodes des 2 derniers avec boîtes à rythmes et parfois de l'électronique (sur les très moyennes "Airportman" ou "Hope"). En plus, on a principalement des ballades, avec certaines peu inspirées: on s'ennuie ferme sur "You're in the air", "Why not smile" ou "Diminished" par exemple. Heureusement, on a aussi quelques très bons titres : "Lotus" (assez rock celle-là), "At my beautiful" (qui aurait pû figurer sur "Automatic for...") et les 2 derniers morceaux (même si c'est encore des ballades): "Parakeet" et surtout "Falls to climb".
Un album en demi-teinte donc qui aurait aussi gagné à être plus court. Note réelle : 2.5/5.

Le 10 Janvier 2024 par LE MOUNGEPEDOUN

Du rock'n'roll pure Stones, sans surprise, les morceaux défilent sans problème, un exploit tout de même lorsque l'on sait que les deux leaders et légendes emblématiques sont devenus octogénaires en 2023 (à jamais les premiers en somme...). Bravo !

Le 09 Janvier 2024 par NANAR

@SWISSIDOL
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Le 09 Janvier 2024 par SWISSIDOL

Ce que ça peut être agaçant ces phrases comme "le rock and roll" est mort, "le blues est mort"... C'est totalement vide de sens. Autre motif de plainte : pourquoi REPLICANT a-t-il le droit de voter deux fois pour ce disque? Il n'a pas d'autres combats plus nobles à mener que de descendre une légende du rock? Bref !
Moi, ce disque m'a agréablement surpris. Je ne suis pas un fanatique des STONES et je n'en attendais absolument rien mais je dois reconnaître que les "Mess it up", "Bite my head off" et autres "Whole wide world" ont su me plaire. Lady Gaga a l'intelligence de ne pas trop en faire sur "Sweet sounds of heaven" et, au final, il y a peu de morceaux vraiment négligeables ici. Je laisse les blasés chouiner et je retourne me délecter de cette belle surprise.