Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 ...>...>>... 1129
Comment poster un commentaire ?


ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 24 Juillet 2024 par MASTERFAN

@Nono. Concernant Bowie, LODGER n'a jamais été considéré comme une merde, ce qui est par contre souvent le cas de NEVER LET ME DOWN ou encore TONIGHT. Je reprendrai l'intégrale de BOWIE un de ces jours et on en reparlera à ce moment-là. On s'est écarté très loin de VOULEZ-VOUS pour le coup.





MARILLION
BRAVE


Le 24 Juillet 2024 par MASTERFAN


Marillion a longtemps hésité - ce qui n’est visiblement plus trop le cas depuis quelques années - entre ses racines, le Prog, et son attirance pour une pop-rock plus classique. Après un HOLIDAYS IN EDEN d’une pop très accessible mais à la profondeur limitée, son septième album BRAVE de 1994 est une œuvre plus riche et plus complexe.

Comme tout album prog, BRAVE a besoin de beaucoup d’écoutes pour être apprécié pleinement. C’est bien connu, la force des amateurs du genre est la patience… De fait, impossible pour cet album de se fier aux premières écoutes. On n’est pas ici dans un trip classique couplet / couplet / refrain / couplet / refrain / pont / refrain pour lequel on arrive relativement rapidement à discerner les forces et les faiblesses d’un morceau.

L’intro «Bridge» me rappelle plus Eric Serra et « le Grand bleu » et ne vaut pas « Pseudo silk kimono » tout en restant un début idéal pour cette œuvre. «Living with the big lie » confirme que Steve Hogarth ne va pas faire que chanter sur cet album, il va camper sur les terres de Fish en susurrant, en causant, en s’énervant comme le faisait avant lui le géant grimé. On passe donc classiquement du calme à la tempête, Steve Rothery met sa guitare au diapason : ça faisait quelque temps que Marillion n’avait plus officié de la sorte sur ce type d’exercice.

« Runaway » est bien abouti, tout le monde est au diapason, ça joue finement. Vient ensuite «Goodbye to all of that» et ses cinq parties, la plus longue pièce prog de l’album. Début prometteur et ça semble partir dans tous les sens mais ce n’est qu’une impression. La longue plage du milieu est trop soporifique pour moi et il faut (quelle surprise!) attendre la fin du morceau pour que le groupe se réveille, et ce n’est en plus au final que pour faire une intro valable à un « Hard as love » autrement plus convaincant. On sent H complètement habité sur ce morceau.

« The hollow man » calme encore l’ambiance, ne dévoilant son charme subtil qu’au fil des réécoutes. « Alone again in the lap of luxury/Now wash your hand » est une pièce plus accessible qui dévoile néanmoins lui aussi son lot de petites finesses au cours du temps. A l’inverse, « Paper lies » est peut-être moins lourdeau qu’il n’y paraît au premier abord. « Brave » est une pièce onirique qui exige plus que jamais des conditions d’écoute feutrées et concentrées pour pouvoir être appréciée pleinement. L’album se termine avec les belles ambiances de « The great escape » et l’apaisement de « Made again ».

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Hard as love, Living with the big lie, Runaway, The hollow man, Alone again in the lap of Luxury/Now wash your hands, The Great escape. PLAISANT (3,5) : Bridge, Paper lies, Brave, Made again. INTERESSANT (3) : Goodbye to all that. Bilan 3,72 et Top 5 à 4 : BRAVE cote pour moi 3,86 soit 15,44 /20.

Si BRAVE ne m’a pas encore complètement happé, les écoutes progressives (pas fait exprès), à défaut de me donner l’illumination, me font mieux comprendre aujourd’hui la dévotion de certains pour cette œuvre atypique. Le Prog ayant cette spécificité que l’espace entre la chiantitude et la subtilité est parfois ténu, je comprends aussi parfaitement, à l’inverse, tous ceux qui n’ont pas la patience de creuser d’avantage cet album.





BON JOVI
FOREVER


Le 23 Juillet 2024 par SWISSIDOL


Vous allez rire mais, quand BON JOVI sort un album, j'ai encore tendance à le chercher au rayon Hard Rock des magasins ! Pourtant, je sais bien que le groupe n'a plus rien de hard depuis longtemps. Il n'est qu'à écouter "Hollow Man" ou "I Wrote You A Song" pour s'en persuader. Après, ce disque n'est pas désagréable, et même bien meilleur que "2020". Dommage que Jon préfère s'acoquiner avec Ed Sheeran plutôt que de rappeler Richie Sambora qui manque terriblement.





Lenny KRAVITZ
LET LOVE RULE


Le 23 Juillet 2024 par SWISSIDOL


Je n'avais plus écouté cet album depuis longtemps et je l'ai ressorti récemment. Ce qui m'a marqué en premier lieu, c'est la mollesse. Dieu que tout cela est lent ! Je n'ai pas dit mauvais mais vraiment pas dynamique. C'est avec un vrai soulagement qu'on entend "Mr Cab Driver" arriver, à peu près le seul titre un peu pêchu. J'aime aussi beaucoup "I Build This Garden" ou "Let Love Rule". De bons débuts, globalement.





Lenny KRAVITZ
LET LOVE RULE


Le 23 Juillet 2024 par FOUDROCK


Quelques classiques, mais le meilleur reste à venir. Le pire aussi, d'ailleurs.





Claude NOUGARO
TU VERRAS


Le 23 Juillet 2024 par FOUDROCK


"Tu Verras", la chanson, est une merveille, une des meilleures chansons de Nougaro, mais je n'ai jamais été très fan du reste de l'album. Lequel est ceci dit nettement meilleur que ce que Nougaro nous offrira avec ses trois albums suivants, "Assez !", "Chansons Nettes" et "Ami Chemin". Mais l'Âge d'Or est révolu, hélas.





ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 23 Juillet 2024 par NONO

@Masterfan : ce que tu décris comme "l'inverse", c'est à dire aimer une oeuvre que la plupart conchient, m'arrive aussi. C'est le cas pour l'album LODGER de Bowie, qui pourtant m'avait rebuté à première écoute. Cet album, franchement difficile d'accès, se révèle peu à peu, et maintenant c'est réellement un de mes préférés de lui. Mais ce phénomène est rare, surtout quand c'est un revirement à ce point (dans le sens positif).
Il y a aussi le cas d'une déception pénible, pour un album comportant un tube extrêmement connu et quelques autres singles de qualité et en plus bénéficiant d'une grosse promo, qui pourtant s'avère être mauvais album dans son ensemble. La plupart du temps on se dit "forcément l'album est bon", et là parfois tu déchantes. L'exemple le plus évident, pour moi, est l'album "In the army now" de Status Quo. Toutes les planètes étaient alignées : leur "grand retour", un énorme tube, une énorme campagne promotionnelle, etc. Et pourtant, l'album est, honnêtement, un ratage. 3 bons titres sur 11 c'est peu. Et la plupart sont d'accord concernant cet album !





Terence TRENT D'ARBY
INTRODUCING THE HARDLINE ACCORDING TO TTDA


Le 22 Juillet 2024 par BLUEMASK


Il se fait appeller Sananda Maitreya desormais dans un acte cretin de renaissance inspiré de Prince… Prince auprès duquel il reste le vassal, alors que finalement il avait tout pour faire plus.
Ce premier album est un essentiel de soul-rock mainstream, et ses deux singles excellents ne doivent pas masquer la qualité de l’ensemble





ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 22 Juillet 2024 par MASTERFAN

@ Nono. Je t’accorde que le refrain de « Voulez-vous » est vraiment faible, j’ai mis 2,5 pour le travail mélodique réalisé sur le couplet. Pour la pop ou le rock, en général je ne descendrai pas en dessous de 2, je ne ressens rien, tant pis. Je réserve ce créneau à la musique qui m’agresse, comme par exemple 90 % de ce qui se fait en rap.

Mais je te comprends et connais moi-même ce sentiment exaspérant, quand tout le monde te dit que c’est génial et que toi-même tu ne ressens absolument rien, même après avoir essayé, essayé et essayé. Quelques morceaux me font ce effet : "Fame" de Bowie par exemple et même des albums complets tels TROUT MASK REPLICA de Captain Beefheart...

Mais il n'y a pas à s'en faire, c’est pareil en peinture, tu trouveras toujours des gens qui bandent devant des trucs tout blanc de Robert Ryman, des trucs simplistes de Mark Rothko ou d’autres machins unicolores style Yves Klein, faut pas chercher à comprendre.

Mais l’inverse pose question aussi. Des chefs d’oeuvre peu connus. Par exemple je ne suis pas sûr que beaucoup de gens connaissent l’existence du « In a broken dream » chanté par Rod Stewart en 1969 (avec Python Lee Jackson), ou de « In the groove again » de OUT OF MY HAIR en 1996. Heureusement ce type de morceaux a souvent une seconde chance dans les films ou dans les pubs, ce qui provoque alors un soudain réveil généralisé. Je ne sais pas si on doit en pleurer ou s’en réjouir.





ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 21 Juillet 2024 par NONO

@Masterfan : C'est marrant je te trouve vraiment généreux pour la chanson-titre ! Moi je l'aurais mise dans la catégorie "ultra-chiante" ! lol... Franchement ce titre est insipide au possible, une disco au kilomètre, même pas mélodique pour un pouce... Je ne COMPRENDS PAS pourquoi beaucoup semblent apprécier ce titre, c'est un mystère pour moi.





The CURE
THE HEAD ON THE DOOR


Le 21 Juillet 2024 par MASTERFAN


Difficile lorsqu’on était ado en 1985 et que l’on s’intéressait à la pop-rock anglo-saxonne, de ne pas posséder ce 33 tours THE HEAD ON THE DOOR, le 6ème opus des Cure. Et cela reste compliqué, presque 40 ans plus tard, de ne pas, à chaque écoute, considérer cette œuvre comme un classique absolu des années 80, et de l’histoire aussi, me concernant. Un des rares albums à pouvoir prétendre discuter le rang de meilleur album de Cure à PORNOGRAPHY.

Cet album sent bon les 80’s, la nostalgie et tout le toutim, alors que ces années-là, à l’inverse des 70’s, ont été peu tendres avec la pop-rock d’une manière générale. Aucune lourdeur, aucun morceau long à n’en plus finir... Un équilibre subtil, un vrai trip. Je crois que je kiffe tout ici... Bizarrement, c’est peut-être « Close to me » qui a peut-être le plus mal vieilli aujourd’hui, et que j’ai tendance à ne plus trop écouter…

Il se confirme que le passage chez Siouxsie and the Banshees a fait un bien fou à Robert Smith. Bon je sais, la fin cuivrée de l’exceptionnel « A night like this », ça fait assez mauvaise farce, mais est-ce suffisant pour leur en vouloir ? Je ne le pense pas et d’ailleurs curieusement, ça passe pas si mal finalement. Le seul truc énervant ici, c’est peut-être finalement l’ordre des morceaux qui se termine en couille sur la pochette, bravo le contrôle qualité…

Indispensable album, parfait pour les jeunes qui souhaitent entamer leur quête de Cure (que je conseille de compléter d’abord par BOYS DON’T CRY et PORNOGRAPHY avant d’attaquer les glaçons style SEVENTEEN SECONDS, FAITH ou DISINTEGRATION).

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : In between days. DELECTABLE (4,5) : A night like this, Push, Kyoto song, The blood, Six different ways, Sinking. SEDUISANT(4) : Close to me, The baby screams, Screw. PLAISANT (3,5): Néant. INTERESSANT (3) : Néant. EMOTION LIMITEE (2,5) : Néant. AUCUNE EMOTION (2) : Néant. CHIANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 4,40 et Top 5 à 4,60 : THE HEAD ON THE DOOR cote pour moi 4,50 soit 18 / 20.

Concernant les morceaux de la session non retenus sur l’album, on retrouve aussi de bonnes choses : « The exploding boy » (4) est un cousin éloigné de « In between days » et l’obsédant « New day » (3,5) un retour au Cure torturé. « A few hours after this... » (3,5), « Stop dead » (3) ou « A man inside my mouth » (3) conservent l’esprit déjanté de THE TOP ou JAPANESE WHISPERS.





ABBA
VOULEZ-VOUS


Le 21 Juillet 2024 par MASTERFAN


A la fin des 70’s, les rythmes dance de l’époque viennent titiller le nez des Suédois qui vont s’engouffrer dans la brèche. Cela commence plutôt bien avec en prélude, en 1978, un entraînant « Summer night city » (4) pas encore totalement disco, creusé dans le même sillon que les premiers essais des Bee Gees sur ce style dès 1975. Même réussite en 1979 avec le blockbuster « Gimme ! Gimme ! Gimme ! » (4).

Entre les deux titres sort le 33 tours VOULEZ-VOUS, qui n’inclura ni l’un, ni l’autre. Privé de ces deux piliers, que reste-t-il à cet album ? Pas grand-chose en fait.

Le premier morceau « As good as new » annonce la couleur, dansant comme il faut pour les adeptes, pas mal foutu, sûrement plus intéressant qu’un paquet de titres disco de l’époque du fait de la griffe « Abba », mais l’intérêt reste limité. Sur le second titre éponyme, inversion des habitudes : couplet intéressant laissant présager le meilleur, et au moment où on se prépare à décoller, aïe, le refrain « Voulez-vous » coince et ça reste bien compliqué de rattraper le truc derrière.

« I have a dream » présente une structure classique beaucoup plus simple : la mélodie est belle, dommage que la guimauve l’emporte au final sur l’efficacité. Le début d’« Angeleyes » laisse entrevoir quelque chose d’intéressant qui n’arrive hélas jamais. « The king has lost in crown » a pour lui un beau pont vocal d’une dizaine de seconde avant le refrain et c’est à peu près tout... Quelques rares et courtes fulgurances, surtout sur les couplets, voilà comment on pourrait résumer cette décevante première face.

« Does your mother know » reprend plutôt bien en début de face B. Il s’agit là d’un complet retour en arrière, le titre chanté en lead par Björn aurait pu figurer six ans plutôt sur RING RING. « If it wasn’t for the night » est pour le coup du véritable disco pur et dur qui reste jouable pour moi en soirée, on va dire après le sixième verre.

Vient ensuite le second morceau traditionnel, « Chiquitita », pas désagréable même si ça ne me viendrait plus du tout à l’idée de le passer sur une platine aujourd’hui. On enchaîne avec « Lovers », là aussi ça peut le faire en fin de soirée, disons après encore deux verres de plus. Enfin  « Kisses of fire » me paraît un des morceaux les plus creux jamais composés par Björn et Benny, toutes périodes confondues.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Néant. PLAISANT (3,5) : Does your mother know. INTERESSANT (3) : I have a dream, Chiquitita. EMOTION LIMITEE (2,5) : Angeleyes, As good as new, Voulez-vous, If it wasn’t for the night, The king has lost his crown. AUCUNE EMOTION (2) : Lovers, Kisses of fire. CHIANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) Néant. Bilan 2,60 et Top 5 à 2,90 : VOULEZ-VOUS cote pour moi 2,75 soit 11/20.

Excepté pour les sympathisants disco, VOULEZ-VOUS est certainement l’album d’Abba qui a le plus mal vieilli. «Lovelight » (2,5) et « Dreamworld » (2), de la même époque, confirment la baisse de forme. La version Deluxe avec « Summer night city » et « Gimme gimme gimme » rehausse toutefois la crédibilité de cette période.





ALCEST
LES CHANTS DE L'AURORE


Le 21 Juillet 2024 par RICHARD

Merci pour ces très beaux mots K-Zen pour notre collègue Éric. Le mot passion semble avoir été créé pour lui.





The BEACH BOYS
CARL AND HIS PASSIONS - SO TOUGH


Le 20 Juillet 2024 par SGT JAKKU


Très content de voir de nouvelles chroniques des garçons de plage apparaître ici ! Merci !
Bon disque mais assez éloigné de la formule habituelle du groupe mais à cette époque, Brian n'était plus vraiment présent et actif, d'où cet album un peu passe-partout qui aurait pu être celui d'un autre groupe de rock.
Quelques titres prouvent néanmoins que les Beach en sont les auteurs tel le superbe "All This Is That".
"Marcella" est bien meilleure sur le double live de 73.

Note : 3,5





U2
THE JOSHUA TREE


Le 20 Juillet 2024 par VIEUX CON-AISSEUR


Where the.... possède la meilleure intro rock entendue. Et j'ai 35 ans de Rock et métal au compteur. L'album est ultime, hormis Gods country. Le vieux con-aisseur a parlé...





ROCKETS
GALAXY


Le 20 Juillet 2024 par LEO

@ NANAR:

Hormis quelques titres chantés en solo par Gerard L'Her et Alain Maratrat, de 1975 à 1982 j'ai toujours eu le sentiment que le chant principal était assuré par Christian Le Bartz.
Concernant fantôme Alienation, c'est bien la première fois que j'entends parler de cet album!
Je ne connais que deux demos provenant d'un hypothétique album avorté nommé 'Ghost Album'. Des Rockets pour l'année 81, je ne connais que l'album π 3,14.





ROCKETS
GALAXY


Le 20 Juillet 2024 par NANAR

Les crédits, et même les informations que j’ai pu glaner sur Internet, sont effectivement peu clairs à propos des crédits de chant chez le groupe. Il me semble que la participation de Christian Le Bartz s’amoindrit à partir de 1979/80 − il est d’ailleurs absent de l’album fantôme Alienation (1981). Je suis preneur pour toute précision à ce sujet.





ROCKETS
PLASTEROïD


Le 19 Juillet 2024 par CHRISNAKE


J'ai découvert ce groupe en été 1979 sur RTL (TV) dans l'émission "Juke Box" animée par André Torrent avec le clip "Electric Delight". j'ai acheté ensuite cet album, c'était un peu les KISS français version électro-disco. Ils étaient aussi passé chez Collaro "Collaro Show". Toujours étonné du carton réalisé en Italie contrairement à la France (Nul n'est prophète en son pays). Par contre on entendait "Galactica" à la Télévision car c'est le générique d'une série. Par contre j'ai du mal à situer le Line-up car je pensais que Christian LEBARTZ était le chanteur principal du groupe comme on voit dans les clips mais je vois que c'est le bassiste Gérard L'HER qui est crédité en tant que tel... Pour info le guitariste Alain MARATRAT sera le producteur de JORDY "Dur dur d'être un bébé"...





The KINKS
SOMETHING ELSE BY THE KINKS


Le 19 Juillet 2024 par BLUEMASK


Les Kinks est le prototype de groupe à single. Les Beatles l’étaient aussi, finalement, mais ont su faire des albums qui ont marqué. Peu de personnes peuvent donner le nom des albums des Kinks. Je ne parle même pas d’ordre, pour les Beatles, ne pas savoir donner l’ordre est reservé aux amateurs de Kenjic Girac, de Supertramp, de Dream Theater, ou de Frederic Francois, ce sont les mêmes de toutes façons.
Pourtant, les Kinks etaient bien meilleurs que les Beatles, moins aventureux, mais meilleurs dans l’orfèvrerie pop, et ils ont su faire de grands disques. Dont celui-ci, qui est le premier à ne pas ressembler à un collage de singles avec du remplissage.
"Waterloo Sunset" est la plus grande chanson du monde. Du moins, aujourd’hui.





SHAKA PONK
SHAKA PONK


Le 18 Juillet 2024 par ALBATOR


Album médiocre, bien en deça de leurs productions récentes et à des années lumières de ce que le groupe a pu sortir à ses débuts.

La conscience écolo/anti-système, pas de problème, je salue même le courage d'en parler tant c'est passé sous silence le reste du temps.

Mais alors les paroles antivaxx ou bien qui chargent les profs, qu'est-ce qui vous arrive les Shaka ?

Quant à la musique, on sait que le groupe est en baisse progressive d'inspiration mais alors là, du gros rock passe partout, pas grand chose à retenir.
Si, "Dad' Algorythm" qui est simple mais très efficace et n'aurait pas juré sur l'album "Black Pixel Ape".
Et puis aussi "J'aime pas les gens" même si l'instru a été largement reprise à "Sex Ball".

Voilà, moins bon album de leur disco et de loin.

Dommage de terminer là dessus.







Commentaires :  1 ...<<...<... 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 ...>...>>... 1129






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod