Le 31 Décembre 2020 par PETER

Grand disque des années 90, assurément. Parfaitement en phase avec Sadistickiller. C'est bien simple, j'aime tous les titres. Et pourtant, ils ne se ressemblent pas. Entre classiques instantanés (C'mon Billy, Down by the water, Send his love to me), déflagrations sonores (Meet ze monsta, Long snake moan. Bon, avec son groupe, ne vous attendez quand même pas à des solos, rires) ou titres au charme plus "souterrain" (Working for the man, I think I'm a mother), la miss fait mouche à chaque fois.

Le 31 Décembre 2020 par JEAN-LUC MéCHANCON

La chronique n'en fait pas mention mais... "Duel" n'est autre que le décalque plus pop et doux de "Jewel" (à moins que celui-ci ne soit le rejeton hard du premier)... Ou ce sont mes oreilles ?

Le 30 Décembre 2020 par LEXTER

Oui, belle adaptation au (gros) son des 80's mais sans excès de synthés (tocs). On est limite plus proche d'un hard-FM et c'est tant mieux. Mais passé l'impeccable et terriblement efficace morceau d'ouverture, je serai nettement plus dubitatif sur les lyrics et les refrains, scandés et souvent répétitifs. Cela manque de fluidité. Ne me donne pas envie d'y revenir.

Le 29 Décembre 2020 par CLANSMAN57

La collection de hits qu'on peut entendre dans ce dessin animé!
Je me demande si les chansons des vieux Disney ne sont pas plus efficaces et plus culte.
J'adore la chanson de Baloo, celle du roi Louie est terrible aussi.
J'avais complètement oublié celle des vautours, c'est un bijou.

Magique.

Le 29 Décembre 2020 par LE FéLON MASQUé.

Les maisons de disques aiment bien promouvoir des albums de Noël pour faire tourner la machine industrielle. Le Metal et Noël, voilà deux choses différentes qui ne font pas bon ménage ensemble. Jésus s’en retournerait dans sa tombe. (Rire.) Tarja porte la musique classique dans ses racines et cela correspond bien à l’esprit de Noël. C’est sûrement l’artiste du Metal la plus crédible dans ce registre.

Le 29 Décembre 2020 par LE FéLON MASQUé.

Le Metalleux pur et dur trouvera son compte dans cet opus. Je reconnais être resté de marbre face aux troisième et quatrième albums. La raison semblait évidente : l’absence de titres marquants et cet auto-tune dégueulasse qui inonde la plupart des chansons. L’aspect très pop m’avait aussi refroidi à tel point que j’ai failli passé à côté de ce groupe en ignorant presque leur existence. Aujourd’hui, je reconnais le potentiel caché de SHAKA PONK. Une recette aboutie mais pas miraculeuse, ce qui explique ma note.

Le 29 Décembre 2020 par GRINGO

Ah, souvenirs, souvenirs... C'est ça la pop, les modes et les groupes passent et nous permettent de nous remémorer le "bon temps" (c'est-à-dire quand on était jeune). Mais je vieillis et je trouve ça quand même bien mièvre et passe-partout, sans que ce soit pour autant détestable (il faudra attendre l'inévitable "virage électro" pour cela). Inoffensif, quoi.

Le 28 Décembre 2020 par CLANSMAN57

Cette capacité à créer du hit sur 19 titres est juste incroyable.
Certaines personnes sont très douées, la mélodie qui fait mouche semble innée et non, ce n'est pas donné à tout le monde.
Le disque ne paraît même pas long lorsque l'inspiration est au rendez-vous.
Le couple a réussi à faire aussi bien que son classique "Come On Over".

Pour l'instant, je me contente de la version d'origine, c'est-à-dire la rouge (Pop-Rock).
Peut-être que la bleue (World) permettra de redécouvrir ces chansons sous un autre angle, plus exotique et rythmé.
Concernant la verte (Country), elle est disponible en téléchargement libre, mais je vais me contenter des deux autres couleurs, à titre personnel.

En fait, ces chansons peuvent avoir une durée de vie extrêmement longue, suivant le choix des auditeurs.
Admettons qu'on écoute les trois versions, on peut se les passer suivant les envies ou les humeurs.
Une version commence à lasser? Il est temps de passer à une autre couleur.
Envie de se faire un trip éclectique? Alors on peut se réorganiser l'album comme on le souhaite, en mélangeant les trois couleurs.

Tout ça pour le prix d'un seul disque !
Quelle générosité ! D'autres auraient vendu chaque version séparément, au prix fort chacun, pour se faire plus d'argent.

Bravo.

Le 28 Décembre 2020 par RICHARD

Placebo a énormément compté pour moi. Découvert dès 1996, j'ai de suite adhéré à cette improbable alliance Pixies- Cure emmenée par un leader vêtu d'une jupe qui exprimait avec conviction sexualité brûlante et/ou désabusée. Les concerts étaient intenses. Puis vinrent les premiers signes de patinage en 2003 et le dérapage de 2006 qui n'en finit plus. Molko a incontestablement gâché son talent. Super égo, super came et super désillusion. Placebo comme un groupe qui ne fait plus aucun effet.

Le 28 Décembre 2020 par TOMMY_CALE

Hello.

'Bouse' pour définir cet album est quand même un bien grand mot, je dirais qu'il est moyen et comme tu dis LOL, avec ces protagonistes on était en droit d'attendre à un rendu bien meilleur.

Pour moi sont à sauver 'Sea of Joy', 'Presence of the Lord' et 'Can't Find'. Le premier est un bon son bien psychédélique et son violon enivrant, j'aime bien la wah du surestimé Clapton sur le deuxième et 'Can't Find' est une belle ballade, je trouve la voix de Winwood parfaite pour ce genre de morceau.
Le reste ne me procure aucun effet, je trouve le 'Do what you like' hideux par exemple.

Le fait que le travail ne fut pas fabuleux vient encore d'une histoire d'égo (coucou Derek) et de drogue (re-coucou Derek). Le groupe fut dissous aussi vite qu'il fut fondé.

Si on parle de 'blues'-rock' et de supergroup, je préfère largement Cactus (bien que plus hard) et son premier album sorti un an plus tard.

Le 28 Décembre 2020 par SYLVESTER STALINE

Vous rigolez, Baazbaaz, il est géant ce disque ! Ce n'est pourtant pas mon genre musical de prédilection mais difficile de résister à une telle fougue et ce duo de guitaristes. Allez, hop, panier direct, je vais donc opter pour la réédition de Répertoire.

Le 27 Décembre 2020 par MAPINE LA REINE

A l'instar de Léo, j'aurais tendance à préférer ce second essai à l'opus précédent, plus ramassé (pas d'interlude ou de titre de moins de deux minutes) et plus "rock", même si moins riche en tubes.
Au moins, ils étaient rigolos, eux, et j'aimais bien le style théâtral d'Holly Johnson.

Le 27 Décembre 2020 par CLANSMAN57

Ce n'était pas évident de passer après le monumental album précédent, elle s'en sort avec les honneurs.
Nouvelle mue (c'est rare de trouver deux albums identiques chez la dame), Madonna oscille entre Cyber Pop et Pop plus mature.
"Don't Tell Me" possède même des relents sudistes, elle me rappelle "Sweet Home Alabama" de Lynyrd Skynyrd.
Grosso-modo, la première partie est plus orientée dance floor que la seconde.

Rien à jeter en ce qui me concerne, le sommet étant selon moi le très mélancolique et planant "Paradise (Not For Me)", un des plus beaux titres de la chanteuse.

Comme Jerem, je mets un bon gros 4/5 amplement mérité.

Le 27 Décembre 2020 par LOL

Musicalement, c'est une grosse bouse, cet album. Son sec et bourbeux, on dirait qu'ils ont enregistré ça dans une cave mal sonorisée ; les éternelles lamentations de Winwood que je déteste par dessus tout ; le pseudo bon batteur Ginger Berker qui tape du marteau plus qu'il ne joue d'un instrument de musique ; le sur-sacralisé Clapton dont chaque note jouée fait bander tout le monde (surestimé à mort).
Le résultat, c'est quoi ? Un sous-Traffic mixé à un sous-sous-Cream ou un sous-pseudo-hard rock-blues bourbeux (et je ne pardonne pas car au début des années 60 on trouve des choses bien mieux enregistrées, ces super-groupe ayant déjà les moyens de livrer un travail correct, ils n'étaient pas des débutants).
Franchement, pour tirer quelque chose de ce ratage, il faut se forcer ou alors être comme eux sous influence de belle poudre blanche et de pilule-miracle qui te font voir la musique.

Le 27 Décembre 2020 par CLANSMAN57

Moi non plus je n'accroche pas trop, à part avec "Overcome" qui ouvre très bien le bal.
Le reste m'est souvent pénible.
C'est une oeuvre culte du genre, d'après ce qu'on peut lire un peu partout.
Je passe mon tour.

Le 27 Décembre 2020 par MILLE HAINES

Que d'histoires pour ces... "Histoires de" ! C'est sûr qu'elle l'a bordée de nouilles, cette "poupée de cire, poupée de son", certes pas dénuée d'un petit talent (certains textes sont plutôt bien troussés, notamment "A quoi je sers..." ou "Allan", hélas absents ici) mais surtout bien aidée par ceux qui l'ont façonnée (Boutonnat bien sûr, mais aussi l'impresario Bertrand Le Page, l'ingé-son Thierry Rogen...) et par le fait d'avoir été là au bon moment : les années 80, où l'on vendait du disque par palettes (aujourd'hui elle est disque d'or avec 50000 ventes...), où montrer son "luc" (et l'autre côté) dans des clips (luxueux) était encore provoc'. Une évolution qui n'est pas "sans logique", c'est même "dans l'air" "du temps". Mais faut pas "rêver", ni avoir de "regrets", ça ne va pas aller en s'arrangeant et "à force de" tirer sur la corde, viendra "un jour ou l'autre" le moment de lui "rendre son amour". "Puisque" "l'amour n'est rien" et les "histoires de fesses" finissent mal. En général...

Le 27 Décembre 2020 par BAKER

Ce n'est pas tant l'âge du modèle qui me gêne sur cette pochette, que la hideur du résultat. La lumière, la coupe de cheveux, la pose, le découpage (OMG), la mise en scène, rien ne va.


Musicalement, c'est autre chose. Et c'est bien ce qui importe le plus.

Le 26 Décembre 2020 par GUILLAUME THE ELDER

Ok, Mylène est artistiquement rincée et cette compil n'est pas très utile ou si peu. On lui préférera "Les Mots".

Mylène Farmer fête l'an prochain ses 60 ans et bon-dieu, cela ne nous rajeunit pas, et re-bon-dieu, que cette Femme aura marqué le paysage musical français et au-delà.

Personnellement, cela remonte à loin puisque j'avais 10 piges quand l'extraterrestre "Maman a Tort" m'est apparu chez Jacky et son "Platine 45". C'était le temps très normé à la télé des Téléphone et U2 et là, devant Mylène, c'était tout bonnement un autre monde, un nouveau champs lexical. Etait-ce génial ou nullissime?? Je ne savais pas, c'était inclassable, entêtant, mystérieusement dérangeant... La suite, on la connait tous.

Re-ok, elle gère son business et je comprends le dégoût et/ou le mépris que certains peuvent éprouver aujourd'hui. C'est une preuve je crois qu'ils l'ont beaucoup aimée. Je suis moi-même nostalgique quand je revois "Live à Bercy" 1996 ; tout y est ..."Whaooo!".

De mon côté, je ne la dénigrerai pas. A mes yeux, elle reste intègre et surtout intouchable et inatteignable, en France en tout cas.

Tant que je ne la verrai pas patauger dans la fange "The Voice" et compagnie, tant que je ne verrai pas un avilissant Tribute album, je lui garderai mon brin de Vénération.

Le 26 Décembre 2020 par LEXTER

Euh, donc si elle a 14 ans (comment le sait-on ?), on flirte quand même avec la pédophilie, non ?
Donc le "coinçage" peut s'expliquer (et même s'appliquer légitimement, du coup)...

Le 26 Décembre 2020 par LE MERLE MOQUEUR

33 ans. Qui sait ce qu'il aurait encore composé ! J'aime ce Gilgameh avec l'apparition de Hug Hopper.