Le 21 Mars 2023 par RéPLICANT

Waouu, tu n’as rien supprimé du tout, c’est moi qui m’emmêle les pinceaux.
Désolé, vraiment je suis confus.
Je retire bien entendu mes mots et j’espère que ce sera sans rancune.

pfff…c’est le con là :(

Le 21 Mars 2023 par BRADFLOYD

@ LE MERLE MOQUEUR : Vous avez raison. La chanson reflète le temps, qu'il soit social ou politique, comme vous l'écrivez. Et ceci de tous temps. "Tout va très bien madame la marquise", "Nous irons pendre notre linge sur la ligne Siegfried", "Si tu n'veux pas payer d'impôts", "J'ai deux pays" et tant d'autres en sont des exemples significatifs. En l'espèce, ce que je voulais dire, c'est que ces chansons ont été SPÉCIFIQUEMENT choisies pour leurs messages 'anti-guerre'. Ni plus, ni moins.

Le 21 Mars 2023 par BRADFLOYD

@ RéPLICANT : Certes, vous avez raison dans le choix des mots. Or, de ce que je comprends de votre premier commentaire, c'est de la musique dont vous faites mention. Par ailleurs, les paroles n'ont pas changé, seuls les arrangements l'ont été. D'où ma réflexion. Mais ce n'est qu'un détail.

Le 21 Mars 2023 par NONO

@ILGRIMWEN : Charmed LIfe est un très bon album, le seul souci est qu'il sonne trop générique / "arena rock" / AOR, pour du Billy Idol. Les compos sont excellentes dans l'ensemble mais le son est trop impersonnel. Mark Younger Smith ne parvient pas à habiller l'espace sonore comme le faisait Steve Stevens. Pour ma notation je n'ai pas changé : 4/5 (voir commentaire plus bas) mais malgré son excellence, cet album est un peu trop éloigné du Billy Idol qu'on aime.

Le 20 Mars 2023 par REPLICANT

@ BRADFLOYD. Auteur est une chose et compositeur en est une autre. N’ai-je pas bien écrit Auteur ?

Le 20 Mars 2023 par LE MERLE MOQUEUR

Si Roger WATERS ne se révolutionne plus, les "six titres ont été choisis sur la base de leurs orientations 'anti-guerre'"

Comme je l'ai déjà écrit à propos d'une demande (Marc OREGET - Autour de la Commune)
La chanson n'est pas coupée du monde social et politique. Tout est dit, je n'en rajoute pas...

Le 20 Mars 2023 par ZEJACK

Je me suis toujours demandé ce qu'avait fait le groupe après "What's up" et j'ai désormais ma réponse.
J'ai bien aimé ce single à l'époque, assez différent de ce que l'on entendait à la radio.
Et ça me rappelle un mec qui, après avoir vu le clip, me soutenait mordicus que c'était Slash à la guitare sur ce groupe...
Merci LE KINGBEE pour cet élan de nostalgie.

Le 20 Mars 2023 par CLANSMAN57

Acheté l'an dernier, écouté puis jeté.
J'ai le souvenir d'un disque qui part dans tous les sens et d'une chanteuse qui braille beaucoup. Elle aurait dû chanter dans un groupe de Hard Rock.
Pas complètement nul, mais je me fiche un peu de ce groupe.

A l'instar d'autres disques des 90's (ex: The Connells, Crash Test Dummies), c'est un album qui contient un super hit et le reste n'arrive pas à sa hauteur.

Sinon, la pochette exposée ici est jolie. J'avais droit à une vilaine photo du groupe sur le CD.

Le 20 Mars 2023 par BRADFLOYD

@ RéPLICANT : l'auteur de ce titre est David Gilmour et non Roger Waters, à la différence des autres titres de cet album. Tout du moins sa partie musicale. Il faut écouter la démo de Gilmour datant de 1978 pour se rendre compte de "l'essence" de ce titre, à l'époque sans paroles, Gilmour chantant juste en lalala. Très intéressant du point de vue de l'évolution du travail avant la version définitive.

Le 19 Mars 2023 par RéPLICANT

Un album magnifiquement écrit et diaboliquement interprété. Waters est ici au sommet de son art. Les musiciens sont également dans une maîtrise totale. Ecoutez la version live de "Amused to death" avec des parties chœurs et guitares d’un feeling absolu. Et puis Roger emmerde le monde et ses petits vaniteux qui dictent la bien pensance. C’était pas ça un peu le rock à ses debuts ?

Le 19 Mars 2023 par RéPLICANT

Le talent de Roger Waters est dans le fait, entre autres, qu’il est transporté par une intégrité qui ne s’autorise aucune concession. "Comfortably Num", titre tellement entendu qu’il en était devenu inécoutable, retrouve ici son essence, mis à nu par son auteur.
Cette nouvelle interprétation de ces titres est une démonstration que la vieillesse peut être aussi flamboyante.
4 pour la qualité et 1 pour l’audace.

Le 19 Mars 2023 par TOMMY_CALE

J'ai adoré la chronique limite troll de Baazbaaz concernant cet album. Heureusement que la kro de notre ami Michel remet un peu la church au centre du village !
Car oui, cet album empreint d'évangélisme "I'm a Pilgrim" et "The Christian Life" surtout, après une période psyche-rock a dû en choquer plus d'un à l'époque.
Hillman fan de bluegrass (+ Clarence White), Parsons lui de country. Ce virage était inévitable (comme leur union sous le Flying Burrito Bros).

Comme mes prédécesseurs, je mets la note de 3 pour les mêmes raisons :
Album agréable et bien produit mais peu d'innovation finalement et quasi constitué que de reprises. Au final, une oeuvre juste annonciatrice d'un style naissant qui sera considérable, avec plus ou moins de réussite.

Morceau préféré : "One Hundred Years From Now".

Le 19 Mars 2023 par ELK

Merci aussi Dark Beagle, je l’ai découverte en partie grâce à tes chroniques sur NIME. Les deux disques sont top, je chroniquerai le premier prochainement ainsi que PURSON.

Le 19 Mars 2023 par DARK BEAGLE

Merci de mettre cette artiste en avant Elk, elle le mérite amplement. J'ai une préférence pour l'opus précédent, mais celui-ci est vraiment très bien également. Pour les amoureux du Rock de la fin des sixties et du début des seventies.

Le 18 Mars 2023 par CéDRIC

Sans aucun doute un classique du hard rock vraiment excellent du début à la fin avec des bonnes chansons et un incontournable de ce groupe légendaire.

Le 18 Mars 2023 par CéDRIC

Album très sympa à écouter et qui nous fait passer un bon moment avec de bonnes chansons qui respirent le hard rock. Morceaux préférés
"Rock`n`Roll Damnation"
"Sin City"
"Down Payment Blues"
"Gimme a Bullet".

Le 17 Mars 2023 par LINKY439

Un album correct mais qui souffre de la comparaison avec son prédécesseur et de titres trop formatés.
L'abondance de compositeurs y est sans doute pour quelque chose, car la plupart des chansons qui brillent sur cet album sont celles composées uniquement par le groupe, notamment "Mark Chapman", "La Fine" et "Mammamia". Tout n'est pas à jeter pour autant dans les autres compos, avec notamment la bonne ouverture "Own My Mind" et le plus punk "Kool Kids".

Le reste de l'album est bon, ça joue, ça chante et ça bouge bien, mais l'attrait du groupe sur THEATRO D'ILA - VOL.1 disparaît souvent dans un rock un peu trop surproduit. Je regrette aussi le trop grand nombre de chansons en anglais, réduisant l'originalité du groupe à ce niveau.

En bref, un disque plaisant, un peu surchargé en nombre de chansons et en production. Elaguer un peu aurait permis d'avoir une oeuvre à mon sens plus réussie et plus directe. Une micro-déception tant l'album précédent (cité plus haut) réussissait à être tout ce que j'attendais d'un disque de Rock/Hard Rock et que je ne peux que recommander !
A voir la trajectoire du groupe pour la suite, ce dernier remplissant déjà des énormes salles un peu partout en tournée !

Le 17 Mars 2023 par PILGRIMWEN

S'il n'est pas aussi boudé que "Cyberpunk" (pourtant d'excellente facture !), "Charmed Life" fait office de vilain petit canard. Or, lorsque je l'écoute, je le trouve - trente ans plus tard - toujours aussi frais, acéré. Et rien que pour la reprise (ou l'hommage ?) "L.A. Woman", chanson dansante dans cette version, le disque vaut le coup d'être écouté.

Le 16 Mars 2023 par LE MERLE MOQUEUR

ERNEST BOUR, chef-d'orchestre.

Que de larmes avec cette "3ème Symphonie opus 36", dite "Symphonie des Lamentations". Elle ne laisse personne indifférent, surtout si vous l'écoutez après avoir lu le livre de Charlotte DELBO : "Aucun de nous ne reviendra".

L'interprétation de cette troisième symphonie d'Henryk GÓRECKI jouée en 1977 à Royan reste pour moi une référence absolue, menée sous la baguette du chef-d'orchestre Ernest BOUR qui était alors l'invité d'honneur de ce festival. Élève d'Hermann SCHERCHEN (de SCHERCHEN la 5ème symphonie de G. MAHLER !), BOUR fut toujours à la pointe du combat pour diffuser des oeuvres contemporaines. Au festival de musique contemporaine de la ville Donaueschingen, il crée en 1968 la version en 5 mouvements de la SINFONIA de Luciano BERIO. Il dirige aussi des oeuvres de XÉNAKIS, STOCKHAUSEN, RIHM, LIGETI.

De Stanley KUBRICK qui nous embarqua dans son "2001, l'Odyssée de l'espace", nous nous souvenons tous du "Beau Danube bleu" de Johann STRAUSS ou bien encore du poème symphonique "Ainsi parlait Zarathoustra" de Richard STRAUSS mais beaucoup d'entre nous font l'impasse sur la pièce"ATMOSPHÈRES" de György LIGETI qui figure aussi dans la bande sonore du film que dirigea E. BOUR.

Pour ceux que passionne l'histoire de la musique, je vous propose l'écoute de cette symphonie de GÖRECKI avec l'orchestre symphonique du SWF Baden-Baden dirigé par E. BOUR. La soliste est la soprano Stefania WOYTOWICZ qui excelle aussi dans "La Passion selon Saint Luc" de Krzystof PENDERECKI.

Pour la version 'chroniquée' de SASKATCHEWAN, 4 étoiles.

Le 16 Mars 2023 par PSYCHODIVER

L'œuvre majeure d'un groupe mais plus encore d'un homme qui sait son temps sur Terre bientôt écoulé et qui donne tout ce qu'il a à travers un baroud d'honneur aussi beau à en pleurer que pugnace et viscéral. "Thunder" est l'un des rares albums hard/heavy que l'ancien metalhead que je suis peut toujours écouter avec un plaisir sans cesse renouvelé ... doublé d'une sensation d'héroïsme rock lumineux, malgré le climat orageux quasi surnaturel qui règne sur chacun des titres.
Phil et son formidable charisme rayonnent comme jamais. Sykes est époustouflant de feeling et de fureur. Mais que dire de Wharton et de ses claviers magistraux ? Pas une fausse note, que ce soit sur la matérialisation du désespoir qu'est "The Sun Goes Down" ou la mésestimée et délicieusement accrocheuse "Someday She Is Going To Hit Back" (ce solo de synthés à tomber par terre bon sang !).
Quant à "The Holy War" : il s'agit du sommet ("Baby Please Don't Go" n'est pas loin derrière). Le véritable testament de Phil, ce grand gamin écorché vif, tiraillé entre ses conneries (la seringue) et ses racines catholiques. Le grand black de Dublin se cherchait encore et signe là une réflexion subtile, lucide mais teintée d'espoir sur le dogme et sa raison d'être vacillante, mais fondamentalement attaché aux hommes. Et Dieu sait que Mister Lynott en avait de l'humanité à revendre.
Définitivement un très grand disque, jusque dans son impeccable production qui refuse de prendre la moindre ride tout en demeurant en accord avec le son de la première moitié des 80's. Comprendre : la meilleure.