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DURAN DURAN
POP TRASH


Le 05 Février 2023 par TAKTAK


Deuxième meilleur Duran des 90 après medazzaland (oui je sais, Pop Trash est de 2000, mais son style est tellement nineties que je l'inclus dans la décennie précédente.). Que j'aime cette pochette! Cette sorte d'ambiance glam, club, electro, pop.
A noter que cette petite bombe rock qu'est last days on earth a vu sa candidature soumise pour le générique de Tomorrow Never Dies. Le film aurait gagné une paire de points avec moi si cela avait été le cas





DURAN DURAN
MEDAZZALAND


Le 05 Février 2023 par TAKTAK


Le meilleur Duran des années 90, mais victime d'un triste sort: trop diffèrent de leur son habituel pour être reconnu par les fans du groupe, trop obscur pour être reconnu par les non fans. J'ai vu quelques classements le mettre dans le top 5 de la disco de Duran, mais la plupart des fans le mettent même en dessous du tas de plastique sans gout qu'est big thing (beurk)
Dommage, les compos sont solides et la prod a des tripes.





IRON MAIDEN
SEVENTH SON OF A SEVENTH SON


Le 04 Février 2023 par GUILLAUME THE ELDER


Premier album de Maiden que j'ai vu sortir "en direct". Personnellement, j'ai totalement adhéré, et quelques semaines plus tard idem avec Somewhere In Time que j'ai adoré découvrir à postériori.... Et pourtant, mon entrée dans l'univers Maiden, c'était Killers quelques mois plus tôt...

Je comprends que les Fans qui ont connu Live les années 80-87 aient senti cette évolution comme une petite trahison au genre... Me souviens que des vieux lycéens critiquaient South Of Heaven et traitaient King et Araya de "vendus au top 50" ! J'ai personnellement eu ce sentiment en 91 avec le Black Album.

Marrantes ces années 88 - 92 quand on y repense. Des années un peu troubles pour le Fan aguerri, comme sur des sables mouvants, où le Hardos découvrait le Grunge, sentait le Hard Rock et le Thrash faiblir, voyait des trucs bizarres débarquer comme Cannibal Corpse ou Carcass...

Evolution franche voire brutale des confirmés comme Maiden, essoufflement du Thrash, éclosion d'une multitude de nouveaux genres Black, Death... Je ne parle pas des Vieux dinosaures de 40 ans des 70's, quasi oubliés... ça allait très (trop) vite. On a tout de même maintenant le temps de faire son retard puisqu'aujourd'hui tout est peu ou prou à l'arrêt et les têtes d'affiche Metal dépassent allègrement les 60 piges !








BONFIRE
DOWN TO HELL (CACUMEN)


Le 04 Février 2023 par PILGRIMWEN

J'aime ces trois disques "brouillons" de CACUMEN. Il s'en dégage une telle spontanéité !





SHELLAC
AT ACTION PARK


Le 04 Février 2023 par LE VIEUNE


Album suggéré par un disquaire qui vendait par correspondance, dans le milieu des années 1990, je n'avais pas accroché tout de suite je dois dire à At Action Park contrairement à d'autres groupes alors en découverte comme Fugazi et Black Flag. Puis au fur et à mesure, cette bombe vicieuse et cinglante d'Albini et ses deux potes réussit son effet de pénétration. Ce disque agresse, c'est une évidence. C'est très nerveux, tendu et sec. Il rendrait fou par les lignes raides et répétitives comme dans "Il Porno Star" ou "Song Of The Mineral" pour mieux faire jouir des climax délectables. On se crispe de bonheur dans "Pull The Cup" au mitraillage rythmique du batteur, Todd Trainer : ce type est fou ! "My Black Ass" et "Crow" bottent savoureusement les fesses, font secouer de la tête.

S'il existe de plus coupant que Shellac ? Il y a bien Big Black, dans les années 1980, groupe dans lequel faisait partie aussi Steve Albini.

Le meilleur album ? Oui, mais 1000 Hurts n'est pas loin derrière !





IRON MAIDEN
SEVENTH SON OF A SEVENTH SON


Le 04 Février 2023 par LE VIEUNE


Je disais donc que je n'avais pas aimé cet album pour des circonstances expliquées dans un précédent commentaire. C'était il y a presque trente ans maintenant et on peut avoir mis de l'eau dans son vin sans pour autant noyer le vin. J'ai réécouté Seventh Son Of A Seventh Son hier soir pour finalement me rendre compte que j'aime y revenir particulièrement !

J'ai remarqué que le début "The Clairvoyant" rappelle beaucoup la transition que l'on entend dans "Rime Of Ancient Mariner" dans l'album, Powerslave.

Allez, un bon 4 étoiles !






NZE NZE
ADZI AKAL


Le 04 Février 2023 par NESTOR


Une seule écoute, mais qui ne m'a pas emballée. Trop minimaliste et bruitiste à mon goût.
Je veux bien croire que dans des contextes précis, comme la bande son d'une exposition sombre et dérangeante, cela doit bien produire son effet. Mais comme oeuvre à écouter pour elle-même, cela me laisse sur ma faim. Même le côté répétitif, souvent générateur de puissance et de transe, ne m'a pas convaincu. Mais il n'y a pas à dire, c'est singulier.





Laura COX
HEAD ABOVE WATER


Le 03 Février 2023 par JONIBIGOUD


Que de complaisance pour un album qui n’est qu’une suite de plans rock/blues éculés. Ca se laisse écouter, c’est certain. Pour ceux qui souhaitent avoir en un seul disque un condensé, pas bien nerveux, du rock à papa.





ASIA
ARIA


Le 02 Février 2023 par KANART


Au rayon des tubes : Desire !
Dommage que la production soit aussi molle et linéaire sans aucun contraste.





Ennio MORRICONE
LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND


Le 02 Février 2023 par FREDIAN


Un grand bravo pour la chronique dont l'écriture est d'une justesse et d'une précision remarquables, très exhaustive par ailleurs, j'en suis presque jaloux! Un très bel hommage au génial duo Transalpin qui est ici célébré.

Leone/Morricone, c'est une révolution. La musique et les décors/paysages deviennent des protagonistes à part entière du film. Petits exemples.
1. Un simple détail d'abord. La scène qui suit celle où Tuco et Blondin, sur leur chariot, évoquent leur "séjour" au monastère du père Ramirez ("ah j'dois dire que quand on est comme moi, ben ça réconforte de savoir, qu'il pleuve ou qu'il vente, il y a toujours quelque part une bonne soupe qui vous attend" / "oui c'est sur, tiens, fume ça, ça t'fera digérer") offre un magnifique plan large sur le Rambla Del Playazo (qui débouche sur la plage de Rodalquilar), plan large que Sergio a soigneusement coupé avant que l'on ne distingue la Grande Bleue. Ou comment évoquer les grands espaces de l'Ouest Américain en quelques secondes et notes de musique avec un cadrage audacieux. Du génie!
2. Une évidence ensuite. Sad Hill. Sans "The Ecstasy Of Gold" et la pureté de la voix d'Edda Dell'Orso, Eli Wallach courrait juste en rond dans un cimetière, comme un con. Or MORRICONE et la caméra tournoyante de LEONE (et le jeu d'acteur d'Eli Wallach qui illustre si bien la fièvre de l'or ; dans une autre scène "Blondin! Les voilà les dollars!") en ont fait une scène d'anthologie. Le talent, au cube.
3. Une signature enfin. Attribuer un thème ou une variation musicale à chacun des trois protagonistes principaux du film, comme pour leur précédente collaboration ("Et Pour Quelques Dollars De Plus"), c'est une idée aussi maligne que naturelle. Ca leur donne une épaisseur supplémentaire en tout cas. L'inspiration des grands.

"Le Bon, La Brute Et Le Truand" c'est évidemment ce main title grandiose, cette suite étouffante qui met si bien en musique le chemin de croix du Bon dans ce désert de dunes de Las Amoladeras (aujourd'hui en partie disparues) et ce géant "Il Triello" final, malheureusement tronqué en version discographique. Mais comment a-t-on pu ne pas laisser la version cinématographique telle quelle avec cet ultime apex orgasmique? Moi, j'aurais même laissé le coup de feu du Bon, qui nous ramène à la réalité de l'instant, cruelle et implacable, avec toujours cette petite touche de comédie à l'italienne (Tuco qui s'agite frénétiquement sur son pistolet dépourvu de balles, ce qui va conduire à l'une des plus célèbres citations du film: "Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses!"). Même si ma citation préférée reste celle qui amène à la présentation (enfin! au bout d'une demi heure, mais c'est aussi le charme du cinéma, particulièrement de Leone, de cette époque révolue, prendre son temps ou plutôt laisser le temps au temps (l'intro de son film suivant "Il Etait Une Fois Dans L'Ouest" poussera le bouchon encore plus loin), encore que, Malick par exemple fait de la résistance) du personnage du Bon: "quelle ingratitude quand je pense au nombre de fois où j't'ai sauvé la vie !".

Malheureusement, en tant que Français, nous devons subir des approximations/interprétations linguistiques qui gâchent la VF (*). La chronique l'a évoqué mais concernant le titre, il y a cette agaçante traduction à la fois trop littérale et interprétée. Le faux ami "il brutto" pouvant désigner en Italien à la fois "the ugly" (idem en anglais où "the ugly" peut aussi se référer à "the bad"), "le laid", "le grossier", "le rustre" et "the bad", "il cattivo", "l'homme mauvais", "le méchant" semble nous avoir conduit à une adaptation pour la sonorité plus que pour le sens premier. Ainsi "la brute" désigne Sentenza et non Tuco pour lequel nous avons "créé" le personnage du "truand". Ca peut se tenir, "la brute" pour "le méchant" est une extension logique et le "truand" pour "le rustre" une création appropriée au personnage. Mais cette traduction "au plus près" de l'original cultive une ambiguïté, agaçante. C'est le mot. Une ambiguïté qui, en outre, ne respecte pas l'ordre initial des personnages: Blondin, Tuco, Sentenza qui reflétait leur importance dans le film.

Plus grave, ruiner la fin par puritanisme benêt ou honteux aristocratisme hérité est "criminel". Nous sommes coutumiers du fait malheureusement (e.g. dans un registre différent, la traduction du "Perfect Crime" d'Hitchcock donne la fin du film). Leone avait pourtant tout tellement bien fait avec, évidemment, le concours de MORRICONE. Donc, la dernière citation du film "Hé Blondin, tu veux que j'te dise, t'es le plus grand dégueulasse que... que... que la Terre ait jamais portéééeee !"... au lieu de "Hey Blondie, you know what you are?! Just a son of a biiiiiitch" avec le cri du coyote couvrant la "grossièreté". Grossièreté pourtant tellement naturelle puisqu'exprimée par le personnage du grossier (on en revient à l'interprétation du titre) et qui plus est déjà énoncée après que Blondin a livré Tuco au shérif pour la première fois ("[...] t'es le fils de tout le monde, t'as pas un père, t'en as mille! Et ta mère... tu veux savoir? C'est une putain!"). On casse ainsi la "morale" en double sens humoristique du film. En effet, si Blondin est un "gros dégueulasse", un salaud, au même titre que ses 2 acolytes, un anti-héros LEONEsque en somme (à l'opposé des héros manichéens et caricaturaux de John FORD), il est, comme eux, un enfant de la rue, un fils de personne et de tout le monde à la fois, oui un enfant de putain à la morale aussi égocentrique (rien à faire de la guerre de Sécession, il poursuit cette fameuse caisse de dollars) que versatile (il change d'associé comme de cache-poussière), malgré quelques attentions révélant son humanité (ce cigarillo donné au jeune soldat mourant). Bref, un vrai fils de pute. Cette dernière citation était donc le point final parfait au film. Presque un condensé extrême. Le Bon n'est au final qu'un fils de p*** ah ahahah ah! wouan wouan wouan...


(*) Précisons par honnêteté que le doublage de Tuco (Claude Bertrand à l'origine) est particulièrement réussi (excepté les scènes rajoutées pour la version longue de 2003 qui sonnent... rajoutées).





IRON MAIDEN
SEVENTH SON OF A SEVENTH SON


Le 01 Février 2023 par ZEJACK

Entièrement d'accord avec Fred sur les critiques émises au sujet de SSOASS à l'époque.
Au début des 90s, au commencement de mon voyage dans le monde "hard" (ou "metal" c'est selon), je me souviens d'avoir lu, relu et rerelu un hors-série (de Hard-Rock Magazine, il me semble) qui notait les albums du groupe.
J'ai encore très clairement en vue de 1/5 pour SIT et 2/5 pour ce SSOASS.
Le temps a dû faire son œuvre, ou les avis ont changé.
Personnellement, j'ai d'emblée beaucoup aimé ce disque. Et peut-être que je l'apprécie encore davantage aujourd'hui.





JUDAS PRIEST
FIREPOWER


Le 01 Février 2023 par FREDIAN


2112 (excellent pseudo au passage): "Ceci-dit, JUDAS PRIEST n' a jamais réellement eu de style propre, le groupe s'étant toujours inspiré des différentes modes musicales selon les époques (le Hard FM marche, hop on sort 'Turbo', le Thrash est à la mode, hop on sort 'Painkiller' etc.)".

Non. Tu caricatures. "Turbo" a cédé à la vague Glam et à MTV, OK. Le seul autre album du PRIEST dans ce cas est "Demolition" qui veut être à la mode Indus/Néo-Metal sans grande conviction ni personnalité. Et à la limite "Rocka Rolla", dans l'air de son temps, n'a pas encore la signature JUDAS.

La signature JUDAS ? Sa paire de gratteux associée au chant de Rob.

Pour le reste, JUDAS a simplement toujours voulu faire évoluer sa musique et proposer quelque chose de nouveau, de différent. Ils se sont adaptés à leur époque mais bien plus en tant que leader/influenceur que suiveur, je trouve. Et au final, ils retracent plutôt bien l'évolution globale du Heavy Metal sur 4/5 décennies.

Fin 70's, quand le punk ringardise le heavy rock/metal 1ère génération, 2 groupes vont porter le renouveau : VAN HALEN (Eddie allait "inventer" le "guitar hero" en exploitant de nouvelles capacités de sa 6-cordes et en y amenant beaucoup de fun) et JUDAS. Si "Sad Wings..." ne s'émancipe pas encore totalement de ses influences (SABBATH, PURPLE, QUEEN), il pousse déjà le curseur ("Victim Of Changes") et intronise les ballades épiques ("Dreamer Deceiver") qui jalonneront leur carrière. "Sin After Sin", malgré son côté 'bilan de compétences' (c'est l'album le plus riche et varié du PRIEST), poursuit sur cette lancée ("Sinner") et innove (le proto-Speed de "Call For The Priest" côtoie le proto-thrash de "Dissident..."). Quant à l'année 78, elle voit JUDAS répondre au punk par un aboutissement et une évolution qui fera date. "Stained Class" (élu album de metal le plus influent de tous les temps par Metal Hammer) c'est le paroxysme du Heavy Metal 70's, encore teinté de lyrisme et de "complexité" héritée du Prog'. Là où "Killing Machine" simplifie le propos et mise sur l'efficacité et un certain côté carré qui seront l'apanage de la NWOBHM naissante et qui influenceront le heavy des 80's.

"British...", "Screaming...", "Defenders..." parlent pour eux-mêmes. Des albums majeurs qui sont à l'origine de la "mode musicale du moment" pour te paraphraser. Je ne vois pas de qui ils s'inspireraient. Une touche AC/DC sur "British..."? Certes. Mais anecdotique vu qu'elle ne concerne que quelques morceaux. J'y vois plus un clin d 'œil à leur tournée commune en '79.
"Point Of Entry" est un cas à part. Véritable volonté de séduire le marché US mais le groupe ne se fourvoie pas encore et propose des classiques de son répertoire, immédiatement identifiables ("Heading...", "Desert Plains", "Hot Rockin'").

"Painkiller" car le thrash est à la mode? Tu n'es pas sérieux, JUDAS PRIEST est l'une des influences majeures de tout le mouvement thrash (re cf "Dissident Agressor"). De plus "Ram It Down", bien que bancal et pourri par sa boîte à rythme, annonçait la couleur (l'éponyme, "Hard As Iron", "Heavy Metal"). Et, plus globalement, dès "Exciter" tu peux commencer la filiation qui de "Screaming..." (le morceau) à "Freewheel..." amènera logiquement à "Painkiller". Tiens, ça c'est une caractéristique constante de JUDAS, ces "ponts" inter-albums qui retracent son évolution. Même "Jugulator" est une évolution logique de "Painkiller". Pour qui a écouté le 1er album solo de Glenn Tipton avant la sortie du PRIEST cuvée 97, il ne peut y avoir de grosse surprise à l'écoute de ce pachyderme qui manque de nuances et de recul (dommage, le potentiel était là).

Enfin, la période récente avec le retour de Rob. "Angel..." est un album 'héritage' de leur propre répertoire mais qui garde quand même assez de fraicheur et montre encore et toujours cette recherche de singularité ("Lochness"). Quant à "Nostradamus", il aurait été opportuniste 10 ans plus tôt. Là, la vague était passée et je le vois plus comme un exercice de style (casse-gueule) relevé pour ma part avec les honneurs (et brio par moment) pour un groupe ayant autant d'années au compteur déjà à cette époque. En ce qui concerne les 2 derniers, à la manière de DEEP PURPLE, JUDAS campe sur ses acquis et tente de sortir des albums au moins intéressants. Globalement raté pour "Redeemer...". Globalement réussi pour "Firepower".


"Firepower". Parlons-en enfin! Huhu! Que la prod' bonifie le disque, c'est une lapalissade. Mais elle n'enlève pas le retour d'une certaine inspiration qui confère un côté frais et catchy à une grosse moitié d'album. Rien que "No Surrender", "Spectre" et "Rising From Ruins" sont des hymnes en puissance dont on reparlera dans 20 ans. "Sea Of Red" (un peu dans la lignée d'un "One Shot At Glory") est un final réjouissant, chose plutôt rare chez JUDAS, même pendant l'âge d'or. "Traitors Gate", "Never The Heroes", même le single "Lightning Strike" sont plutôt bien fichus sans être transcendants.
Bref, vouloir comparer cet album à leur âge d'or 80's n'a aucun sens. Plus la même époque, plus le même contexte, plus le même groupe, plus le même auditeur (nous aussi, nous avons vieilli) non plus. Au final, la vraie question à se poser est la suivante : si ce devait être leur dernier (ce qui ne sera pas le cas), le groupe finirait-il sur une bonne note ? Oui pour ma part !





BONFIRE
LIVE... THE BEST


Le 31 Janvier 2023 par ATOMIC PLAYBOY


Je les avais vus à Paris sur cette tournée, avec les petits jeunes de VAMP en première partie. Un des meilleurs concerts auxquels j'ai assisté. Setlist parfaite puisqu'uniquement composée de titres de leurs trois premiers albums (leurs meilleurs en ce qui me concerne), pas de solos chiants à rallonge comme c'est souvent le cas en concert et un guitariste/choriste de luxe en la personne de Michael Voss. Vraiment un concert fabuleux que ce live retranscrit parfaitement.

5 étoiles sans problème !





IRON MAIDEN
SEVENTH SON OF A SEVENTH SON


Le 31 Janvier 2023 par FRED

A la lecture de FinisherFranky, je me sentirai désormais moins seul.
Incroyable comme le poids de la doxa est pesant dans le monde balisé du "Metal" (comme ils disent maintenant, moi, je dis "Hard") : il y a des groupes et albums qu'il est interdit de ne pas aimer. Pire : il est obligatoire de les trouver géniaux !
Concernant ce SSOASS, je me souviens qu'à sa sortie, il a fait débat parmi les fans, et qu'il était loin de faire l'unanimité (euphémisme).
Désormais, c'est : "circulez, 'y a rien à voir!".
Je pense que la liberté d'expression et la tolérance ont reculé dans ce milieu.
Heureusement, cette section commentaire permet d'exprimer des opinions différentes.
Ouf, ça va mieux !





SHELLAC
TERRAFORM


Le 30 Janvier 2023 par LE VIEUNE


Si j'avais moins aimé cet album de Shellac à sa sortie, c'était parce qu'"At Action Park", bien que sorti quatre ans plus tôt, n'avait pas fini de sevrer mon esprit frontalement en quête de bruit contre l'ennui, contre toute l'aseptisation quasi généralisée de la musique des masses.

Les douze minutes de "Didn't We Deserve A Look At You The Way You Really" testent notre patience, mais c'est pour mieux apprécier ce qui va suivre, mon enfant : "This Is A Picture", "Disgrace", "Canada" ou encore "Copper". Dans le moins secouant "House Full Of Garbage", la basse nauséeuse de Bob Weston domine le morceau auquel Steve Albini ajoute des tintements de sa guitare grinçante au bout d'un moment.

Ce n'est pas mon disque préféré du groupe chicagoan, tout comme "Excellent Italian Greyhound" sorti en 2007. Mais écouter Terraform peut aider à maintenir la forme, cérébrale et physique, si je peux me permettre.





SHELLAC
DUDE INCREDIBLE


Le 29 Janvier 2023 par LE VIEUNE


Cinquième album en un peu plus d'un quart de siècle. Les désormais 'vieux' de Shellac débutent ce "Dude Incredible" avec un morceau du même nom à la rythmique qui cogne, et dont les refrains se lâchent et agressent comme des vomissures électriques sur nos trognes ! C'est bon ! Six minutes de bonheur ! Tout comme "The People's Microphone", puissamment fluide et saccadé, qui libère les fauves et module les tempos. Mes deux titres préférés de ce disque.

Dans l'ensemble, "Dude Incredible" n'est peut-être pas le meilleur album, mais il reste un bon cru d'un rock hardcore torturé et électrifié apprécié des masochistes que nous pouvons être.





SHELLAC
1000 HURTS


Le 28 Janvier 2023 par LE VIEUNE


J'ai toujours autant de plaisir de me passer 1000 Hurts, ce troisième album de Shellac. Terraform m'avait laissé sur ma faim. Ici, que du bon, hormis peut-être "Song Against Itself" un poil faiblard, moins intéressant. Le climax jubilatoire à la fin de "Mama Gina" vous cueille véhément, c'est toujours une délectation d'y arriver !





IRON MAIDEN
SEVENTH SON OF A SEVENTH SON


Le 28 Janvier 2023 par FINISHERFRANKY


Je pense ne jamais pouvoir aimer cet album. Déjà, chaque album de Maiden sorti après la période Di Anno m'avait demandé un effort d'acceptation. Somewhere In Time avait été le dernier. Car en 1988, prenant de l'âge, revendant mes vinyles à tour de bras, je ne me souviens même pas d'avoir su que cet album était sorti. Il est sorti à mon insu dans une période de ma vie marquée de changements, d'abandons, de remises en question. Il en est un jalon avec Metallica qui me déçoit avec And Justice …, Judas Priest avec Turbo et Ram it Down, et d’autres. Les périodes fastes de mes groupes fétiches sont terminées pour moi. Sale période.
Aujourd'hui, à nouveau, je fais un effort. Las, à l'écoute de "Prophecy" et, surtout, de "Seven Son" (..) je ressens ce qu'exprime bien Fred plus tôt : "Les vaillants ouvriers maîtres d'art" se sont métamorphosés en "architectes bourgeois". Que ces titre "boursoufflés" m'ennuient ! Je suis touché par "The Evil That Men Do", par "The Clairvoyant" aussi, les plus en lien avec ce que j'ai gardé de mon passé avec le groupe. Mais sur presque tous les autres titres, devenu insensible aux cavalcades incessantes de Harris, je m'ennuie sur des couplets à rallonge et sans saveur pour attendre les refrains et entendre enfin des mélodies plaisantes ("Can I Play With Madness", "Moonchild", "Only The Good" ...). Et cette horrible pochette !





SHE PAST AWAY
DISKO ANKSIYETE


Le 27 Janvier 2023 par LE VIEUNE


Un groupe, ou plutôt ici un duo, de cold wave turc, forcément, ça pousse à la curiosité lorsqu'on ne résumait jusque-là, de ce qui vient musicalement de la Turquie, généralement à toute cette variété pop à l'eau de rose dont les vidéos clips passent en permanence dans les écrans des télévisions des restaurants où l'on attend son kébab ou son köfte.

J'ai découvert She Past Away il y a une paire d'années environ, par le biais d'un autre album, Narin Yanizlik particulièrement avec le morceau extrait, "Asimilasyon".

Là, pour ce Disko Anksyete, j'avoue que c'est pas mal. C'est dansant et le chant en turc d'outre-tombe nous change de l'habituel chant en anglais, même si nous ne comprenons pas la langue, ce qui nous fait contenter d'apprécier sa sonorité.

Titres appréciés : "La Maldad" (avec du tintement Depeche Mode période Black Celebration on dirait), "Sonbahar", "Agit". J'aime un peu moins le hit "Durdu Dunya", mais sur une piste de danse, ça ne m'empêcherait pas d'entrer pour remuer.

Une bonne redécouverte de ce duo !





PORCUPINE TREE
CLOSURE/CONTINUATION


Le 27 Janvier 2023 par BRADFLOYD

@ DAKERYAS
Perso, je me fous royalement des versions digitales que l'on peut trouver à n'importe quel prix sur le net. Pour info, j'ai eu l'album gratuitement avant de l'acheter physiquement. Non, ce qui m'intéresse, c'est le DISQUE. Le vinyle tout comme le CD. Donc, je maintiens la critique que je fais à l'endroit de Steven Wilson qui, malgré toute la sympathie qu'il m'inspire et l'amour de sa musique que je ressens, se fout un peu de notre gueule avec ses partis-pris mercantiles.







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