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YES
90125


Le 11 Février 2019 par SGT JAKKU


Je pense qu'on tient sans doute là le meilleur album de Rock FM/Arena Rock de la décennie voire du genre tout simplement.
Incroyable disque pop/rock avec un tube absolument génial : Trevor Horn à la console, Jon de retour, l'autre Trevor le jeune prodige, Mr Squire à la basse, Tony Kaye revenu d'entre les morts (je soupçonne que les claviers ont en réalité été pris en charge en grande partie par les 2 Trevor en studio), la frappe lourde et rapide d'Alan White, un son énorme et innovant pour l'époque, aucun temps mort, un des 3 meilleurs albums de 83 (d'accord avec WalterSmoke), j'arrête là cette longue phrase.
Il est clair qu'ici, Yes emprunte beaucoup à Police mais c'est de bonne guerre car si on se penche sur l'album solo de Squire, plus Tormato, les petit gars de Police ont eux aussi longuement écouté Yes.
Certes, a-t-on affaire à un disque de prog voire de Yes tout court ? Oui, si on le considère dans le contexte de l'époque (l'album est très sophistiqué et assez technique pour du Rock FM) et si on tient compte de l'historique du groupe et de ses membres. Oui, c'est du Yes et 90125 est en totale cohérence avec ces années 80 si difficiles à appréhender (surtout pour les groupes dinosaures). C'est sans doute la meilleure réponse qu'ils pouvaient apporter. N'en déplaise aux rageux, 90125 est un classique, un album adopté par le jeune public de l'époque (j'ai découvert Yes avec 90125), une superbe bande son de la décennie jaune fluo (et rose fluo !). Oui, j'adore ce disque car il me replonge dans la vision que j'aime des années 80. Oui, certains sons et effets ont vieilli, comme tous les disques de Yes si on va par là mais ça continue à sonner encore aujourd'hui tellement bien sur la chaîne hifi !





ANTIMATTER
BLACK MARKET ENLIGHTENMENT


Le 11 Février 2019 par MR G


Quel plaisir de voir le nouvel Antimatter chroniqué sur le site! Il le mérite d ailleurs car c est encore une fois un superbe album pour ce groupe et pour son leader Mick Moss qui nous délivre a chaque fois une bonne dose de mélancolie planante! Ce groupe prends aux tripes en partie grace a la voix vibrante de son leader chanteur qui n est pas en reste à la guitare, nous délivrant de superbes parties de 6 cordes! Les morceaux de cet album invitent a l introspection et les textes touchent a ce qu il y a de plus caché au fond de nous! Tout est bon dans cet album , mais j avoue avoir un coup de coeur pour "Sanctification"! Bon ben, il va falloir chroniquer les autres albums du groupe car il y a de l excellence a découvrir pour ceux qui ne connaissent pas!





GRAND FUNK RAILROAD
SURVIVAL


Le 11 Février 2019 par CLAVIER ECRAN WEBCAM


Petit passage à vide du Grand Funk, un échec comme il peut en arriver à tout le monde, heureusement qu'ils sont redressé la barre avec leur très sympa E Pluribus Funk juste après.





TOTO
THE SEVENTH ONE


Le 11 Février 2019 par NONO


Clairement un des meilleurs Toto. Même la production, souvent critiquée pour cet album, je la trouve très agréable à écouter : à la fois planante, et très "solide" pour les titres rock.
J'aime tout dans cet album, à l'exception de "Stay away" et "You got me".





YES
HEAVEN & EARTH


Le 09 Février 2019 par RISK666


A moitié étonné de voir ce disque se faire copieusement arroser par le Grand Jury... Je me ferai donc son avocat (eh oui il en faut forcément un!), et pour être honnête, je n'ai pas eu à me forcer, même la bouse a ses amateurs.
Je n'avancerai pas l'argument de l'âge des musiciens ou du copieux CV de ces derniers ("c'était mieux avant ..."). Non, j'aime ce disque en tant que tel, à l'image du monstrueux Light of the Ages que personne n'a daigné mentionner, en bien ou en mal d'ailleurs. Ce morceau n'est ni plus ni moins qu'un de mes morceaux de choix, tout style confondu avec un riff de guitare touchant au divin. Difficile de croire qu'il soit passé à travers les radars, à moins qu'il ne s'agisse d'un très rare morceau bonus issu de quelque obscure version import nord-coréenne.
A partir de là, impossible de ne pas réagir à la vue des notes et commentaires lapidaires.
Bonne journée à toute l'équipe, je vous adore quand même ; )







GOTTHARD
DIAL HARD


Le 09 Février 2019 par MR G


Après un premier album réussi, Gotthard revient avec un album mordant et proposant des morceaux un peu plus heavy encore a l image de ce brulot qu est "Here Comes The Heat", morceau lorgnant vers du Accept je trouve! La suite n est pas en reste, de "Higher" a "I'm On My Way", les morceaux s enchainent et font mouche a chaque fois, il y a toujours dans chaque morceau une raison de prendre un orgasme auditif! La reprise de "Come Together" est absolument bien ficelée et la ballade qui cloture ce brulot prouve encore une fois que Steve Lee est un chanteur qui donne de l émotion a chaque mot chanté! Un de leur meilleurs albums et un des meilleurs albums du style!





Steve HACKETT
AT THE EDGE OF LIGHT


Le 09 Février 2019 par JERRY

@ LEO

Message reçu : Steve HACKETT a effectivement passé 6 ans 1/2 au sein de GENESIS, ayant quitté le groupe après "Wind and Wuthering" (sorti en Décembre 1976). Sa carrière solo a débuté en 1975, avec "Voyage of the Acolyte" (sorti en Octobre 1975), enregistré deux semaines après le dernier concert de la tournée "The Lamb Lies Down on Broadway", au terme de laquelle Peter GABRIEL quitta définitivement GENESIS.
"And Then There Were Three"...





LP
HEART TO MOUTH


Le 09 Février 2019 par RICHARD

Toujours aussi savoureuses les chroniques de Baker puisqu'elles me donnent envie d'aller écouter les titres chroniqués alors qu'initialement ils ne sont pas vraiment ma tasse de thé. Big up à Jakie !





The YOUNG GODS
T.V. SKY


Le 09 Février 2019 par VIV


Super album, qui commence fort avec "our house" ! Belle intro indus.
Au passage ça fait bizarre de tomber par hasard sur ce sample utilisé pour le générique du 19/20 dans les 90's.
L'ensemble déborde denergie et se termine en beauté avec un gros clin d'oeil au passage funky d' echoes des PF.





LP
HEART TO MOUTH


Le 09 Février 2019 par BAAZBAAZ

Pour ma part je crois que je vais m'arrêter là.
Comme pas mal de monde, j'ai écouté le précédent disque avec un mélange de plaisir (pour les tubes, la production énorme et le côté too much) et de souffrance (pour les abus vocaux et la ressemblance entre toutes les chansons).
Cette fois, je n'ai pas le courage. Ce que j'entends de l'album me laisse indifférent, si ce n'est que je ne crois pas pouvoir supporter à nouveau cette voix si particulière, très personnelle, qui m'a laissé exténué.






GRAND FUNK RAILROAD
SURVIVAL


Le 09 Février 2019 par LE KINGBEE

Excellente chronique qui restitue complètement le disque.
On signalera au passage que certains pressages se révélèrent défectueux.
Par contre, je ne serai pas aussi sévère que Columbo vs Lupin, Terry Knight a réussi à sortir quelques bonnes pièces, quand il était intéressé et créatif et pas obnubilé par l'argent.





GRAND FUNK RAILROAD
SURVIVAL


Le 09 Février 2019 par COLUMBO VS LUPIN


C'est vrai que ça choque cet album. Grave erreur que le groupe a fait. Brewer adepte du rim-shot, commencer à mettre des serviette sur la peau et jouer comme un batteur sortit tout droit des sixties mersey beats, tout ça parce que le batteur (très moyen) des Grand Beatles l'avait fait ça fait un peu con sur les bords, il va même jusqu'à adapter son jeu pour imiter celui de Ringo. Cette idolatrie des Beatles au début des années 70 çà fait nu peu dépassé, Knight en plus d'être complètement nul comme producteur était aussi en retard d'une guerre.

Si ce n'était que ça, ça serai pas un problème, un album plus calme pourquoi pas ... si seulement les compos valaient la peine. A la limite Country Road passe encore bien, mais la daube soporifique qui vient après, avec un long passage à vide, ou rien se passe, c'est nul à chier. Mais il y a pire : Comfort Me ... alors là j'ai rien compris, ces lamentations du chanteur en mid-tempo, mais c'est quoi ce truc ? On dirait que ça a été écrit par un enfant débile.
La reprise de Traffic reste limite sympa, c'est pas leur style habituel mais passons. Le reste de l'album j'entends le son mais j'arrive pas à écouter, bizarre.

GFR est un groupe victime de son producteur, il a fallu 5 albums pour qu'ils comprennent que ça serait mieux sans lui. La preuve est surement leur chef d'oeuvre qui est 5 niveaux au dessus des autres : We're an American Band, celà dit ici on en est encore loin.





The YOUNG GODS
T.V. SKY


Le 09 Février 2019 par MAGNU


La Suisse a fait émerger des groupes hors du commun comme Celtic Frost, et les Young Gods ne font pas exception à la règle. Une sorte d'indus psychédélique mêlant les influences Doorsiennes et Floydiennes, mais pas que ça, effectivement comme le souligne bien la chronique. J'espère bien lire d'autres chroniques du groupe.





Steve HACKETT
AT THE EDGE OF LIGHT


Le 09 Février 2019 par LEO

@ JERRY

Juste une petite précision. STEVE HACKETT est resté chez GENESIS bien plus longtemps que ce que tu as écris (71-75).
En réalité, son séjour chez GENESIS a duré de Janvier 1971 jusqu'à Juillet 1977, soit 6 ans et demi.





Steve HACKETT
AT THE EDGE OF LIGHT


Le 09 Février 2019 par MAGNU


La chronique m'a bien fait rire, la note moins ou encore plus ;)

Pour l'avoir écouté déjà une un bonne dizaine de fois, je peux affirmer que cet album me plait vraiment beaucoup et m'a fait ressortir Night Siren et Wolflight, par la même occasion. Belle trilogie !

Je n'ai pas l'envie et le courage d'argumenter (sinon, j'écrirais des chroniques) et je n'en ai ni le temps ni le talent. Je préfère les lire, en écoutant le CD de préférence. J'aime cet album, et cela suffit à mon bonheur, et peu importe que certains ne partage pas mon avis.

Mais quel bel album quand même...;)





The YOUNG GODS
T.V. SKY


Le 09 Février 2019 par ARTOFZAFT


Pourquoi commencer à causer de The Young Gods par TV Sky? Pourquoi pas... Alors soit, mais du coup il faut relativiser. Ok, tout ce que tu écris à propos de cet album est très juste, mais à mon avis, ils ont perdu un machin depuis "L'Eau Rouge". Un truc difficile à palper, dont il reste des fragments c'est certain, mais ce truc c'est l'originalité débridée qui les caractérisait jusqu'alors. Ok pour balancer un truc sur les Doors, mais avant, quand justement des Doors il n'était pas question, The Young Gods titubaient sur les trottoirs mal éclairés, sales, des décombres des villes qui ne sont plus que labyrinthes angoissants. Les voir en concert en 89 dans une friche industrielle, franchement on était loin loin de Venice Beach, on caillait, on avait la fumée qui sortait de la bouche, et dans les lumières ocres, ils ressemblaient à une tribu de demain venus là pour nous signifier que notre heure allait venir vite. Ils ne chantaient pas en français, mais en ogre. Si bien qu'on avait envie de se serrer dans le public, pour se tenir chaud, pour se donner du courage. C'était bon, comme écouter un film d'horreur qui va crescendo mais dont la scène finale, la boucherie, le massacre, n'arrive jamais. Le suspens, c'est ce qui fait frissonner meilleur ("Ville Nôtre", c'est un saphir, noir et brillant...) Sur TV Sky, fini les textes en français, l'ogre a pris des cours et il est devenu un ogre sage, qui est rentré dans le rang. Même s'il n'a pas été pris dans une grande école, il a compris qu'il pouvait monter le son, et que ça ferait illusion un temps. Gazoline Man aurait fait un super single, imparable, je l'ai écouté des centaines de fois et je ne m'en suis jamais lassé, mais on est en 92 et tout le monde a monté le son. Alors pouruoi écouter TV Sky quand on s'est pris en pleine poire "Pure" de Godflesh l'année précédente et "Psaulm 69" de Ministry pas longtemps après? Parce que la Suisse c'est joli, qu'on aimerait rouler en Mustang cabriolet sue les routes de montagne et pique niquer au bord d'un lac? Non, ça colle pas. TV Sky est quelconque, du coup. Bien foutu, mais un cran en dessous de ce qui se faisait dans le genre qu'ils ont visé avec TV Sky... Alors je me dis que j'aurais aimé qu'ils continuent à remuer l'Eau Rouge, parce qu'il y avait de la matière, forcément, au fond de la rivière.





TOTO
THE SEVENTH ONE


Le 08 Février 2019 par METALPROG84


Très bon album de Toto, assez varié et avec peu de déchets (si, "You got me" n'est pas terrible). Sinon, tous les autres titres tiennent la route, même si c'est évidemment typé très FM. Même les ballades sont bonnes (surtout "Mushanga" et "A thousand years"), ce qui n'est pas toujours le cas chez Toto. Mes 2 titres préférés: "Only the children" et "Home of the brave". Je trouve cet album meilleur que le "IV" par exemple.





Steve HACKETT
AT THE EDGE OF LIGHT


Le 08 Février 2019 par JERRY


Je ne sais pas si j'ai bien lu entre les lignes, mais les dialogues teintés d'ironie (entre les ex-membres de GENESIS) ne dressent pas un tableau très élogieux du dernier album en date de Steve HACKETT. "The Night Siren" avait déjà eu droit à un enterrement de première classe il y a 2 ans, et "At The Edge Of Light" n'est pas loin de subir le même sort.
Faut-il rappeler ici que l'ami Steve n'est demeuré que 4 maigres années (1971 1975) au sein de GENESIS, et que son parcours "solo" est digne d'éloges ("Voyage of the Acolyte", "Spectral Mornings", "Defector" et "Guitar Noir" constituent des sommets incontestés de sa discographie) et qu'il a su toujours porter haut la flamme du Rock Progressif, même pendant la quinzaine d'années (1995 2010) où il n'a pas connu les "affres" (?) du succès et de la célébrité...
Ses tournées "GENESIS Revisited" rencontrant un certain succès, il est revenu "progressivement" (!) sur le devant de la scène et connait, depuis "Wolflight", un regain d'intérêt et d'estime que peu lui contestent... et qu'il parvient, lui, à se remettre en question. Je n'en dirai pas autant de Mike RUTHERFORD et de ses "Mechanics" qui nous resservent album après album la même rengaine (limite "variétôche"), de Peter GABRIEL qui n'a rien pondu d'enthousiasmant depuis une éternité et se contente de gérer son fonds de catalogue (commerce ?) à grands coups de "Scratch My Back" et autres "New Blood" (générateurs d'ennui poli, il faut bien le reconnaître). Quant au sieur COLLINS, je ne m'étendrai pas sur le sujet...
Mais revenons au sujet qui nous intéresse, en l'occurence à ce "At The Edge Of Light". Force est de constater que l'ami Steve poursuit dans le sillon entamé avec "The Night Siren", poursuivant dans son approche "universaliste" des musiques du monde (il y a même un didgeridoo sur "Under the Eye of the Sun"), ses chorus de guitare ravissant toujours bien des tympans, bien aidé aussi par un Roger KING inspiré dont les arrangements orchestraux embellissent "Beasts in Our Time", "These Golden Wings" et "Conflict" (qui sonne un peu, ok, comme de la "musique de film"... et alors ?), couvrant ainsi une large gamme de styles en les "réinventant" à l'aune d'un Rock Progressif encore bien vivant (cf. Steven WILSON, Neal MORSE Band et autres MARILLION, et j'en passe...).
Steve va fêter ses 69 printemps, ce 12 Février 2019, et demeure toujours une force majeure de ce courant musical qui parvient avec bonheur à se remettre en question au fil du temps...n'en déplaise à certains. So long, folks !!!






YES
DRAMA


Le 07 Février 2019 par SGT JAKKU


Un super disque ! Tout suggérait qu'on allait être très déçu de l'absence de Jon et de cette étonnante collaboration avec les créateurs de "Video Killed The Radio Star"et quelle surprise de constater le contraire ! Drama fonctionne à merveille malgré un "Run Through The Light (une bonne chanson soit dit mais pas très Yes friendly). "Does It Really Happen" titre ultra Rock Arena et disco inspire un Chris Squire devenu pour le coup ultra groovy^^ Qui l'eut cru ? "Machine Messiah" force Steve Howe à une "darkitude" inédite. Trevor Horn fait un chanteur tout à fait honorable. On sent clairement le plaisir qu'ont eu les gars à faire ce disque ensemble et ils nous le font très bien partager. Note réelle : 4,5.





Léo FERRE
PANAME


Le 07 Février 2019 par CLANSMAN57


Mazette, j'adore ce mec...
C'était un véritable poète, ses textes se dévoilent toujours un peu plus à chaque lecture supplémentaire.
L'utilisation de mots choquants (ou vulgaires), pas non plus systématique, ne déforme en rien la poésie du Maître, au contraire, elle intensifie son pendant révolté.

Sur "Paname", je ne connais pas les deux derniers titres, "Les Poètes" est sans doute ma préférée du lot.
"Ils marchent dans l'azur, la tête dans les villes/Et savent s'arrêter pour bénir les chevaux/Ils marchent dans l'horreur, la tête dans des îles/Où n'abordent jamais les âmes des bourreaux".
Ce chant on ne peut plus poétique accompagné par cette belle harpe, c'est du nectar divin pour mes oreilles.

Tout comme Le Baron, "Comme à Ostende" me fiche une sacrée claque...
Le travail sur les arrangements, signé Jean-Michel Defaye, est superbe.
Comme souvent avec ses chansons, un instrument semble prendre le second rôle, le premier étant bien évidemment attribué au chant de Léo Ferré, en plus de l'orchestre qui les soutient tous deux.
Une fois ça sera la harpe donc, une autre fois, une clarinette, ou encore un accordéon (tellement français cet instrument magnifique, écoutez le splendide "Quartier latin"), un choeur féminin, un saxophone, voire un ensemble de cuivres etc...

Richesse instrumentale pas indigeste pour un sou + divers registres abordés + textes captivants = zéro lassitude.

Et quand je vois ce qu'on a aujourd'hui, ça me fait tout drôle... je sais, ça fait vieux con d'écrire ça, mais franchement... il n'y a même pas de comparaison possible en fin de compte, ça serait injurieux, rien que de les nommer ici.

"La Musique. Fini, la Musique en l'an 2000, plus d'Musique!
Et pourtant, c'était beau... Jean Sébastian Bach? Tu connais?"















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