Le 22 Novembre 2014 par KIWICHOU

J'ai écouté Run Run Run, le premier single qui est sorti. J'étais restée sur ma faim : c'était pas mal mais ça ne décollait pas, la chanson était très platonique avec aucune envolée. Mais je me suis dis : pourquoi pas ?

Puis j'ai écouté le reste...

Dommage.

Le 22 Novembre 2014 par EL PACHENKA

Groupe découvert lors de la B.O. (et dans le film) de The Crow d'Alex Proyas en 1994 avec une version de "Time Baby".

Il me tarde à découvrir Medicine personnellement !

Le 22 Novembre 2014 par CROQUIGNOL

Sur le papier, ça à l'air très appétissant, mais les reprises ressemblent trop aux originaux, à mon avis. Et c'est dommage, car il y a de quoi faire. Pour exemples, l'ep Brass Sabbath de groupe afro-beat Jungle by Night, voire le dernier et excellent disque des Budos Band, Burnt Offering, aux influences sabbathiennes évidentes.

Le 22 Novembre 2014 par MR TINKERTRAIN

Il y a eu Michael Jackson, Il y a eu Madonna, Depeche Mode... Aujourd'hui, il y a non pas Beyoncé ou J.Lo, mais plutôt Sia. Lentement elle s'est faite une place en partant du Trip Hop de Zero 7, pour arriver à ce chef-d'oeuvre de Pop. Oui mais de Pop intelligente et très construite, avec un single qui déchire.

Le 22 Novembre 2014 par PHILIPS GOYA ROYAL

Cet album est très intéressant. Au début il m'avait l'air fort bordelique et limite énervant à écouter, mais il est vrai que contrairement à l'album suivant, cet album est plus difficile d'accès. C'est le type d'album à écouter plusieurs fois avant de comprendre les subtilités.

Le 21 Novembre 2014 par TERRY

J'ai toujours adoré cet album, acheté à sa sortie (la vision du groupe, sur Canal +, en train de jouer "Electricity" à Nulle Part Ailleurs, m'a donné envie d'acheter l'album, je ne l'ai pas regretté). Peut-être pas le sommet du groupe ou de la britpop, et en effet "Dog Man Star" est meilleur (et, là aussi en effet, "Elephant Man" est nulle...), mais c'est un disque trop sous-estimé !

Le 21 Novembre 2014 par IEN

Incroyable mais effectivement ce disque de faces B est bien meilleur que de nombreux double-albums parus officiellement.
Aucun titre ne vient servir de bouche-trou, comme c'est souvent le cas dans ce genre d'album.

Le 21 Novembre 2014 par GNOU

Petite précision : Cet album fut pas le premier album à être commercialisé en CD, ni le premier album non classique en CD, mais le premier album en digital (appelé "ddd" comme on voit encore mentionné sur les anciennes édition CD). Donc en gros le premier à avoir un peu plus d’intérêt à être acheté en CD.
Certains anciens catalogues ou anciennes pubs prouvent bien qu'avant 1985 il y avait déjà tout une série d'albums rock édités également en CD. Mais comme toute chose nouvelle, à l'époque c'était destiné plutôt aux accros de la hifi qui avaient acheté un appareil bien cher (pour un résultat encore loin d'être a point).

Le 19 Novembre 2014 par MAYOU

Super album encore une fois, de notre ami Devin. Bonne chronique de Erwin, toutefois ce n'est pas Anneke qui occupe le rôle de War Princess, mais Dominique Lenore Persi, chanteuse du groupe STOLEN BABIES. Anneke n'est par ailleurs présente que sur le premier CD de l'album double, "Sky Blue".

Le 19 Novembre 2014 par AIGLE BLANC

Ô combien tu as raison Seijitsu! Dead Can Dance a été à son époque une offrande divine aux pauvres pêcheurs que nous sommes. Au cours d'une décennie qui a mis à mal dame Musique en raison d'une mainmise des maisons de disques sur les artistes, Dead Can Dance a offert sa vision du monde dans une ascèse qui ira grandissant au fil des albums jusqu'à l'épure que représente à mes yeux leur dernier bon album Spiritchaser. Combien de groupes goth auraient souhaité posséder ne serait-ce que le dixième du talent de Brendan Perry? Je précise bien Brendan Perry, et non Lisa Gerrard, car le musicien irlandais était bien la tête pensante du groupe, le compositeur le plus investi. Lisa Gerrard le reconnaît humblement. La musique de Dead Can Dance, c'est Brendan Perry.
Tout le monde a acclamé l'incandescence du chant hanté de Lisa Gerrard et Hollywood lui a ouvert ses portes. Elle l'a mérité, certes. Et Brendan Perry est tombé dans l'oubli après la dissolution de Dead Can Dance. Avez-vous écouté les disques solo de Lisa Gerrard? Ne trouvez-vous pas qu'il leur manque le talent d'un vrai compositeur? Sans la structure musicale exigeante de Brendan Perry, les prouesses vocales de Lisa Gerrard sont condamnées à demeurer une formule qu'elle rabat à satiété. J'adore Lisa Gerrard, mais elle s'est trop laissé aller à la facilité ces dernières années en sortant des albums monotones où la gravité solennelle de son art résonne à vide.
Je vous en prie, faites un détour du côté des deux albums solo de Brendan Perry. Venez y goûter une voix dont l'élégance ne dissimule pas la gravité.

Le 19 Novembre 2014 par ONCLESTEKACHé

C'est vrai que le chant pour les PF n'est parfois pas ce qu'il y a de plus important dans leur musique mais de là à faire tout un album instrumental c'est un peu déroutant. PF ne nous avait pas habitué à ça.
J'ai d'abord été intrigué par la mention "ambient" ici, et après l'avoir écouté, en effet c'est de l'ambient.
On est loin de Division Bell et des précédents évidement.
Une batterie hyper discrete (pas inhabituel pour les PF tout le monde le sait), des nappes de synthé et, et uneguitare omniprésente ...
L'album est pas mal en sois mais pour celui qui s'attendait à au moins un deuxieme Division Bell c'est pas la peine de foncer chez le marchand de disque.

Le 18 Novembre 2014 par TRAMROLL

Très bon album. En effet trop sous-estimé. Il faut pas oublier qu'on était qu'en 1968 et que pour l'époque avoir un son comme ça était très innovant.
Ca n'a rien avoir mais j'ai trouvé une photo ou on montre l'album dans un catalogue de chaine hifi ne 1978 de Pathe Marconi http://wegavision.pytalhost.com/Pathe/Pathe78/PM_08a.jpg
Enfin juste pour dire que cet album est pas passé si inapercu que ça.

Le 17 Novembre 2014 par TERRY

4/5, mais en fait, je penche plutôt pour 4,5/5, voire même, one of these days, 5/5.
Un disque à part, dédié aux fans du groupe plutôt qu'aux néophytes ; pas conseillé pour découvrir le Floyd, quoi. Une seule chanson (mais quelle chanson, aussi !), et 17 plages instrumentales souvent courtes (sur les 18 titres, 9 font moins de 2 minutes !), et dans l'ensemble, marquantes. Un sublime disque d'ambient à la Eno des grands jours, et une belle manière de se dire au revoir, et de dire au revoir à Rick Wright, très présent ici. Mort en 2008, il n'aura jamais (ou presque) été aussi touchant que là.
J'adore ce disque, mais je peux comprendre qu'on ne l'apprécie pas, c'est quand même un album particulier pour le groupe.

Le 17 Novembre 2014 par PIERRE MERVEILLEUX

Après 2 écoutes, je reconnais que ce 'dernier' disque de Pink Floyd est une bonne surprise. "The Endless River" ne dépasse pas les classiques du groupe. Mais c'est une belle façon de dire 'adieu' au public.

De prime abord, j'avais peur que ce disque instrumental* soit ennuyant, longuet. En fait, non. Ca se laisse écouter avec plaisir. Quand on est fan, on repère les références à d'anciens titres.

La pochette est ma-gni-fique. Je la trouve sublime, d'abord au niveau de la qualité du dessin, mais surtout par rapport à l'imaginaire qu'elle génère.

Ca fait plaisir de voir Pink Floyd à nouveau dans l'actualité.


*seule la dernière piste contient des paroles chantées.

Le 16 Novembre 2014 par THIERRY RAOULT

Je réagis à la chronique de KID66.

-Comment peut-on écrire que "China White" (82, album "Blackout") est d'une faiblesse relative?
-Je suis très surpris de lire que "Crossfire" est prenant, et que "The Same Thrill" est une speederie jouissive de grande volée.

Cet album est très bon, mais les 2 titres cités ci-avant sont faibles. Le reste est très bon ou exceptionnel.

Le 16 Novembre 2014 par AIGLE BLANC

Il est bon je crois de préciser que les Cosmic Jokers n'ont jamais été un groupe revendiqué par ses membres et que Rolf-Ulrich Keiser n'a pas attendu ce dernier album pour escroquer ses artistes. Les sessions d'enregistrement des 3 premiers Cosmic Jokers n'étaient pas plus honnêtes dans la mesure où leur publication par Keiser s'est faite sans l'accord des artistes concernés. Cela était bien pratique car permettait à Keiser de ne pas rémunérer les royalties à Schulze, Dollase, Göttsching, Grol3kopf. Que les musiciens aient porté plainte contre lui, les obligeant lui et sa femme à s'enfuir et à disparaître de la circulation, est somme toute tout à fait compréhensible. Je ne pense pas qu'il faille chercher une autre explication au désaccord de Schulze. Même Edgar Froese a porté plainte contre Keiser pour lui avoir volé l'expression Kosmische Musik.

Le 16 Novembre 2014 par DAVID

J'ai plutôt compris le contraire : Sparkle In The Rain est sorti avant The Unforgetable Fire.
D'ailleurs, Bono à l'époque a déclaré avoir été influencé par Simple Minds sur Unforgetable Fire, puisque Sparke In The Rain était sorti juste avant.
Mais la façon de chanter de Bono et Jim Kerr à cette époque était comparable, assez similaire.
Mais musicalement, U2 et Simple Minds n'avaient rien à voir, U2 avait une base très rock (guitare-basse-batterie), tandis que Simple Minds était nettement plus orienté synthés.
Sparkle In The Rain est à classer dans la pop, ce n'est plus vraiment de la new-wave sur ce disque. New Gold Dream avait encore des éléments new-wave, tout en démarrant une une incursion pop, à mi-chemin entre les 2 styles.

Le 16 Novembre 2014 par ↰ ↱ V

Dans cet album, le groupe veux faire du U2. Bon, on était en 84, U2 venait juste de sortir Unforgetable Fire, maintenant tout le monde sais que Simple Minds n'a rien avoir avec U2, peut être à l'époque pouvaient ils prétendre naivement de se mesurer à eux mais les années suivante on se rend bien compte qu'en fait c'était pas le cas du tout. On parle pas actuellent de Simple Minds de la même manière qu'on parlerai de U2.
Maintenant si on écarte le sujet de la vague copie du style de U2 de l'époque, l'album en soit est pas inintéresant, peut être même bien supérieur au suivant, et d'un tout autre style que le précédent. Pour moi il est tout aussi bon mais incomparable.

Le 16 Novembre 2014 par NONO

En fait, je suis assez d'accord, "SGT JAKKU", sur pas mal de points concernant cet album.
Notamment sur "The lady lies". Pour ce titre en question, mon avis a changé, je l'aime mieux maintenant qu'avant. Mais il y a un truc qi ne passe toujours pas pour CE titre en particulier: c'est le son du synthé en intro et qui revient en cours de route). Cela m'a d'ailleurs souvent surpris: Tony Banks, excellent mélomane et claviériste, a souvent utilisé des sons de synthés tout pourris à cette époque, des horreurs de bruits qu'on dirait du "Bontempi" qui marche à piles, vous voyez le truc ! Parfois, les synthés au Père Tony sont parfaits, magnifiques, parfois c'est absolument horrible (écoutez les parties synthés de l'album Abacab par exemple, notamment sur la chanson-titre et "Keep it dark"! vous m'en direz des nouvelles !)
Quant à "Say it's alright Joe", oui en effet c'est pas enthousiasmant, loin de là, mais malgré tout, ça reste attachant, sympa, mais certainement pas inécoutable !
Bref, après tout ce qu'on a pu en dire de mal, j'ai quand même été agréablement surpris par "And then they were 3" que j'imaginais bien pire que cela. La production n'est oas terrible, mais les mélodies sont vraiment très belles. Je maintiens mon 4/5.

Le 15 Novembre 2014 par GUILLAUME THE ELDER

KISS a fait fort avec ce disque! L'album, comme tout le monde l'a dit, est trop sucré. Dans cette veine Hard FM et Hard US80', Simmons & Co arrivent loin derrière de jeunes Groupes plus inspirés (RATT et MÖTLEY CRÜE en tête).

Néanmoins, c'est album fut un grand succès et est important dans la disco. du Groupe, Dieu seul sait pourquoi... Une raison tout de même peut-être : en 1987, le Groupe est très soudé, sûr de son fait et avance à marche forcée.

"Crazy Nights" est un album plutôt faible réalisé par un KISS au Top de sa forme!