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SIMPLE MINDS
SONS AND FACINATION / SISTER FEELINGS CALL


Le 06 Novembre 2014 par PANASSONIC


Pour moi la partie "Sons And Facination" est quand même plus intéressante que la suite, après Seeing Out The Angle. Plus de rebond, plus de punch, plus de régularité, c'est là ou il y eu les meilleures idées pour moi, après, à part The American restant dans le même esprit que Sons And Facination, le reste est en dessous.
Tout comme certains albums bizarrement plus longs, un tri n'aurait pas été une mauvaise idée.





MADNESS
ONE STEP BEYOND


Le 06 Novembre 2014 par THIERRY RAOULT


Le seul album de Madness que je connaisse. Mes parents me l'avaient offert à l'époque. J'étais fan. Je l'ai beaucoup écouté. C'est plein de morceaux rapides, joyeux, dynamiques. Ça donne la banane.
Je trouve qu'il vieillit bien.





SIMPLE MINDS
NEW GOLD DREAM (81-82-83-84)


Le 05 Novembre 2014 par SINUDYNE


Cet album marque un énorme contraste avec le précédent. Le précédent était plus énergique, répétitif, parfois même lassant à écouter tellement l'intensité restait constante, mais ici c'est tout l'opposé, on rêve d'un rebondissement, d'un morceau plus vif, mais tout est mou, très bien conçu mais certain passages sont limite soporifiques.





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 05 Novembre 2014 par MULKONTHEBEACH


Excellent album Erwin c'est vrai... J'avais bien aimé le précédent avec ce "Scream" de folie, mais il lui manquait ce petit côté Pop propre à lui. Sur celui-là il revient à ce qu'il sait faire de mieux: du Rock énergique et enjoué, propre mais suffisamment agressif pour satisfaire le fan de la première heure que je suis. Billy, viens en France, j'ai besoin d'être "rebelyéllé" !





JUDAS PRIEST
SIN AFTER SIN


Le 04 Novembre 2014 par TONIO


Cet album marque réellement l'entrée de JUDAS PRIEST dans le monde du heavy metal. Ce n'est pas perceptible sur tous les morceaux du disque, car certains conservent un aspect hard rock évidents et les 2 balades sont plus sucrées qu'une tartine de Lune De Miel (sans être mauvaises, loin de là).

Oui, ce disque est très bon dans l'ensemble, même si perso je fais l'impasse à chaque écoute sur 2 ou 3 titres qui me saoulent un chouilla. Premier point fort, la prod', très bien équilibrée et plutôt léchée qui met parfaitement en valeur les moments les plus sensibles du disque. Deuxième gros point fort, les parties de batterie de Simons. Pleines de finesses, énergiques et très subtiles, elles apportent un plus évidents aux compos qui auraient été largement plombées par un poum tchac basique genre AC/DC. L'osmose est tellement palpable qu'on jurerait que Simons fait partie du groupe depuis des années !

J'ai découverts ce disque sur le tard et j'ai été d'ailleurs plutôt surpris de découvrir que en 1976/1977 certains batteurs magnaient déjà la double grosse caisse avec autant d'aplomb !

Impossible pour moi de parler de Sin After Sin sans évoquer LE morceau du disque, un de ce que je place au panthéon du heavy et du métal en géneral, le tonitruant "Dissident Aggressor". Bien que plutôt lent, ce titre est d'une puissance et d'une profondeur incroyable pour l'époque. SLAYER ne s'y trompera pas et le reprendra de façon convaincante dans les années 90...
1977, mais quel riff hypnotisant, quel rythme vicieux, et ce solo qui fait disparaitre toute trace de mélodie. Je suis convaincu qu'à l'époque cette chanson a du traumatiser plus d'un apprenti gratteux !

Au final les qualités de ce cette réalisation l'emportent très largement sur ses défauts (certaines lourdeurs dans la composition), et font de Sin After Sin un excellent disque qui n'hésite pas à se montrer bien plus aventureux qu'il n'y paraît...





Wolfgang Amadeus MOZART
SYMPHONIE N°33 (HARNONCOURT)


Le 04 Novembre 2014 par KASEI

pour les symphonies de Mozart je recommande chaudement les versions de Charles Mackerras avec le Scottish Chamber Orchestra, qui regroupe les toutes derniers symphonies (les meilleurs) avec une qualité d'enregistrement en SACD époustouflante.





SIMPLE MINDS
NEW GOLD DREAM (81-82-83-84)


Le 04 Novembre 2014 par AIGLE BLANC


Et si New Gold Dream était le meilleur album de la new wave de la première moitié des 80' ! Les Simple Minds alignent ici 9 titres tous aussi réussis les uns que les autres, sans un seul faux pas, sans un seul passage faible : le plaisir total. Le chant de Jim Kerr réussit le pari d'être efficace sans se départir de ses velléités de crooner. Quelle classe ! La batterie impose à chaque titre une force de frappe extrêmement entraînante avec une richesse des tempos fort rare dans le domaine de la new wave. Les mélodies accrocheuses ne tombent jamais dans le piège de la facilité et de la rengaine. Elles soutiennent les compositions sans les réduire à un gimmick. Du très très beau travail !!
Il est de bon ton aujourd'hui de mépriser un groupe comme Simple Mind, mais à leur époque de gloire, ils étaient nettement au-dessus de la mêlée.





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 04 Novembre 2014 par NONO

Ah, ça, je rejoins TOTALEMENT l'avis de "Mr Tickertrain" disant que Billy Idol est à des kilomètres (voire: des années lumière) devant les Stones !
La "seule" différence est que Billy Idol: il y CROIT encore, et toujours ! Et le résultat est là !
Les Stones, c'est une autre histoire: leurs albums leur servent plus d'indemnisation de retraite qu'autre chose, tout en "essayant" de re-faire re-vivre le rêve .
A vrai dire j'ai décroché après "Some girls" ...sorti en 1978 (rires).





Les ENFANTS DU TOP 50
LES ENFANTS DU TOP 50


Le 03 Novembre 2014 par AZER

SFAX, les chroniqueurs n'étant pas des machines, ils peuvent largement prendre du temps pour chroniquer ce qui leur plait, même si cela semble dénudé d'intérêt. Je suis personnellement très content de les lire lors d'une critique acerbe, ou d'un exercice de style comique sur un album de Britney SPEARS.
Surtout que ce n'est pas comme si FP faisait office de télé-achat musical...
Sinon, l'album, je ne l'ai pas écouté et ne l'apprécierai pas. En revanche, j'ai beaucoup aimé la chronique.





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 03 Novembre 2014 par MR TINKERTRAIN


Je suis prêt à mettre le maximum à cet album. En effet, il n'y a pour moi qu'un seul titre faible. Et puis comme dit Nono, on a un bel équilibre entre les sons 80's (putain cette prod de killer) et l'esprit Rock/Punk cher à l'artiste. Des putains de refrains qui déchirent ta reum. La grand mère qui éviscère le chien du voisin sur 'Postcards from the Past' etc... Ce mec est un des derniers des Mohicans du Rock avec The Cult, bien loin devant les Stones, le Sab actuel. Ave Billy.





Billy IDOL
KINGS AND QUEENS OF THE UNDERGROUND


Le 03 Novembre 2014 par NONO


J'ai écouté quelques extraits de cet album, et, oui, en effet, ça me semble carrément excellent !
Billy Idol ne sort désormais qu'un album tous les dix ans (voire plus), mais ce qu'on peut dire, c'est que l'attente en vaut la chandelle !
Des quelques extraits que j'ai entendu ("Cant break me down" et "Postcards from the past" notamment), ça me semble plus pop, moins rock "rentre-dedans" que le précédent album "Devil's Playground". Ici, on est davantage dans les réminiscences des années 80, mais sans essayer de faire un copier-coller non plus. Bref, un parfait dosage de pop et de rock.
Ce disque sera surement mon quatrième préféré de l'Idole, avec Rebel Yell, Charmed Life et Devil's Playground.
A noter: Billy Idol vient également de sortir son autobiographie intitulée "Dancing with myself". Si c'est traduit en français, je m'empresse d'acheter le bouquin !





Les ENFANTS DU TOP 50
LES ENFANTS DU TOP 50


Le 02 Novembre 2014 par SFAX


Je n'ai bien entendu pas écouté ce disque qui -je le sais d'avance- ne me plaira absolument pas du tout. En fait j'aimerai réagir sur la pertinence du contenu rédactionnelle de FP.
En effet je lis "Chroniques éclectiques" sur la bannière du site or je ne vois pas en quoi une chronique des "Enfants du Top 50" a quelque chose d'éclectique, au contraire même.

Donc bon, c'est bien mignon mais allez plutôt chroniquer du :
- VIOLENCE CONJUGALE
- FRUSTRATION
- MARVIN
- ZËRO
- BÄSTARD
- DEITY GUNS
- PAPIER TIGRE
- ELECTRIC ELECTRIC
- 37500 YENS
- TRISOMIE 21
- GUERRE FROIDE
- STRASBOURG
- SLOY
- DIABOLOGUM
- PROGRAMME
- EXPERIENCE
- PORD
- WE INSIST!
- FUNKEN
- PRESQUE MAUDIT
- PERVERS ET TRUANDS
- NOIR BOY GEORGE
- BERLINE 0.33
- FUMER TUE
- JESSICA 93

Allez un peu regarder ce que font des labels comme Teenage Menopause, Bord Bad, Et Mon Cul C'est Du TOfu?. Je ne parle que de groupes plus ou moins indépendants, encore en activité ou non mais je pense que ce serait vraiment plus intéressant de s'intéresser aux travaux de ces groupes là plutôt qu'un pauvre top 50 de variétés pop niaiseuses. Je ne dit pas que FP est devenu nul, loin de là! Je me réjouis même de voir CABARET VOLTAIRE, LAIBACH, VENETIAN SNARES, TANGERINE DREAM et MAGMA sur la page d'accueil. Après voir le Top 50-caca, METALLICA, KISS et PEARL JAM, bon...C'est pas comme si c'était très intéressant et "éclectique" (j'y reviens encore une fois....). Donc bon, je pense que ce serait plutôt sympa de s'intéresser d'avantage aux scènes indépendantes, encore plus françaises car ce n'est pas ce qui manque et de délaisser un peu les musiques de stade et des compilations best-of carrefour.

Je ne sais pas si ce commentaire sera validé ou non et s'il a sa place ici mais j'espère en tout cas que le message sera entendu par tous les chroniqueurs.





Tori AMOS
UNDER THE PINK


Le 02 Novembre 2014 par AIGLE BLANC


Le chroniqueur mentionne l'apparence angélique de Tori sur la pochette de son second album. Mais, approchez un peu votre regard de la photo qui figure sur la couverture et vous découvrirez qu'au-delà des tons pastels blancs et bleutés flotte un parfum de danger marqué par ces éclats de verres qui encerclent la belle chanteuse et contre lesquels elle pourrait s'égratigner. Cela démontre que l'aspiration à la pureté de l'artiste est loin d'être exemplaire. Tori a encore des démons à exorciser.
Je partage l'émotion du chroniqueur pour le titre d'une profondeur bouleversante "Icycle".
Un bien bel album.





PIXIES
INDIE CINDY


Le 01 Novembre 2014 par EL PACHENKA


J'étais sceptique quant à un retour discographique du groupe de Boston, mais ce Indie Cindy est - oui - de bonne facture. J'aime particulièrement "What Goes Boom" et "Magdalena 318". Ce cinquième album peut parfois rappeler l'ambiance lourde du troisième album qu'est Bossanova par certains morceaux lestés par des passages de guitares massives.





TANGERINE DREAM
MELROSE


Le 31 Octobre 2014 par AIGLE BLANC


Melrose est un album tiède, pas désagréable certes, mais sans génie. Le titre le plus réussi est selon moi le progressif Electric Lion, le plus rock de tous. Ce que Tangerine Dream réussit ici, c'est à me raconter une histoire. Dans ce sens, le titre propose un vrai programme. Une première partie très lente décrit le lion au repos. La mélodie n'est pas extraordinaire, elle se traîne un peu. Une seconde partie voit une explosion guitaristique où les Froese père et fils s'en donnent à cœur joie comme rarement. Leur duo très rock progressif exécute une envolée magnifique qui traduit selon moi la chasse du lion poursuivant sa proie. Enfin, la dernière partie de ce titre de 8 minutes voit le retour de la mélodie introductive pour illustrer le lion repu après son repas copieux. Il est dommage que cette partie réitère la première au lieu de proposer une autre mélodie qui aurait conduit Electric Lion à la réussite totale.





Klaus SCHULZE
PICTURE MUSIC


Le 30 Octobre 2014 par AIGLE BLANC


La confusion de la datation de Picture Music provient du décalage entre l'année de son enregistrement (1973) et celle de sa publication (1975). D'un point de vue éditorial, Picture Music est bien le 4° album de Klaus Schulze. Mais d'un point de vue chronologique, cet album succède à Cyborg. D'ailleurs, lors des rééditions de Revisited Records, sur la tranche du digipack est mentionné le numéro 3. Chaque opus de Schulze est ainsi numéroté en fonction de sa date de composition. Blackdance, composé un an plus tard porte le numéro 4. A l'écoute des sonorités de Picture Music, il est évident qu'il n'a pas été interprété avec les mêmes instruments que Timewind, bien qu'il ait été édité en 1975.





PINK FLOYD
THE WALL


Le 29 Octobre 2014 par NONO

D'accord avec la majorité des internautes disant que l'art est purement subjectif, qu'il n'y a pas de "critique objective".... encore faut-il y arriver !
Car force est de constater que Pink Floyd (tout comme les Stones ou les Beatles), fait partie de ces groupes soi-disant "incritiquables". Ils ont eu tellement de succès que 9 fois sur 10, lorsqu'on dit à quelqu'un qu'on n'aime pas Pink Floyd, l'autre ne nous comprend pas, voire, nous en veut presque ! Genre "Ah bon? T'aimes pas Pink Floyd? Mais c'est impossible voyons, ce sont des monuments !" etc, etc.
Donc soyons impartial jusqu'au bout: on PEUT ne pas aimer Pink Floyd, comme on PEUT ne pas aimer les Stones ou les Beatles, et ce, sans justification nécessaire.





Richard WAHNFRIED
TONWELLE


Le 29 Octobre 2014 par AIGLE BLANC


Le chroniqueur a raison de regretter le défaut récurrent de Schulze : il ne sait pas clôturer ses compositions à rallonge qui s'interrompent souvent brutalement ou en un fondu au noir artificiel. On pourrait rétorquer que lors de l'époque du vinyle, certains de ses morceaux étaient coupés afin de respecter la limitation de durée du vinyle. On s'en rend compte avec les rééditions de "Picture Music" et surtout de "X". Mais cela n'excuse pas tout. Quand Schulze veut soigner les choses, il peaufine une sortie magnifique comme celle qui explose à la fin de Wahnfried 1883 (le 2°mouvement de "Timewind") de loin la fin la plus impressionnante qu'il ait négociée de toute sa carrière.





Sarah BRIGHTMAN
TIMELESS


Le 29 Octobre 2014 par AIGLE BLANC

Superbes chroniques sur une artiste que je n'ai jamais eu la curiosité d'écouter. Je dois rattraper mon retard.
Une petite précision : le titre Bilitis-générique (que le chroniqueur présente comme l'un des meilleurs de l'album) est extrait de la BO du film Bilitis réalisé par le photographe David Hamilton, d'après le livre érotique de Pierre Louÿs, et la musique est signée Francis Lai, l'une de ses plus belles. Il y avait aussi une voix de femme qui entonnait ce très bel air dans la version originale de la BO. La mélodie au synthé est si douce et poétique que j'ai longtemps cru qu'elle était signée Vangelis (période L'Apocalypse des Animaux). Je m'étais trompé bien sûr.





Johnny WINTER
JOHNNY WINTER AND


Le 28 Octobre 2014 par OLD SCHOOL


Quoi? Comment? Mais comment est-ce possible que personne n'ait encore chroniquer le "johnny Winter And Live"! Cette tuerie définitive, ce son sauvage et crade harmonisé avec deux guitares de légende, celle de Winter himself et de son compère, le génial Rick Derringer.
Mazette, écoutez cette version vitriolesque du "Jumpin' jack Flash", ce blues définitif où la guitare du maître ulule comme un damné ou encore, ce meddley furieux et hanté où le "Great balls Of Fire" renvoie tous les astiqueurs de manche à leurs chères études....C'est un album qui a changé ma vie, un album que j'écoute encore régulièrement avec le "Ot' N' Sweaty" de Cactus. Comme une piqûre de rappel quand mes souvenirs de jeunesse me tiraillent...







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