Le 24 Octobre 2014 par NICOLAS

Bonjour.
Je pense que la génération nouvelle redécouvre et va redécouvrir GLENMOR.
En ce qui me concerne, j'en avais une image poussiéreuse avant d'écouter un album hommage de Clarisse LAVANANT à cet artiste.
Cette écoute m'a poussé à écouter GLENMOR, dont je n'avais que le souvenir vague de quelques chansons.
Comme cela a déjà été dit, c'est à la fois un poète et un militant, tendre, intelligent et souvent féroce.
Sa discographie est d'une richesse insoupçonnée et une source de contentement à laquelle il faut, de temps en temps, aller s'épancher.
Au passage, on se rend compte à son écoute qu'un certain esprit à disparu, victime d'une certaine normalisation de la pensée et d'un politiquement correct très compassé. Donc, GLENMOR : indispensable !
Merci à JOVIAL : ta passion, modérée de raison et de connaissance du sujet, est bien agréable à la lecture et m'éclaire bien dans la redécouverte de GLENMOR, tant le chanteur que le personnage.
Cet album est un des meilleurs du chanteur, je pense, dans le dosage entre qualité de la musique et des compositions et les textes, à la fois poétiques et rageurs.

Le 24 Octobre 2014 par NONO

Pour répondre à Sisi, le problème chez Toto, c'est que leur soi-disant "meilleur album", à savoir Toto IV, n'est en réalité pas du tout leur meilleur, mais a été considéré ainsi juste par ce qu'il contient 2 tubes énormes: Rosanna et Africa, qui sont réellement d'excellentes chansons. Mais concernant l'album entier, cela n'a pas été qu'un gigantesque coup de pub, mais presque. En effet, le reste de Toto IV, à mon avis, n'est pas du tout à la hauteur. Donc, fatalement, l'album "Toto IV" est un vrai piège: tout le monde est attiré par cet album, et beaucoup ont été déçu, et n'ont donc pas cherché à acheter d'autres albums d'eux. Alors que c'est ridicule: le groupe a fait de nombreux autres albums vraiment très bons, mais que personne ne connaît. Dommage...

Le 23 Octobre 2014 par POWERBEAUF

"Moi le venin" est un album insipide dans lequel "Mortelles pensées" et éventuellement "Allah" sont les seules chansons à surnager. D'un point de vue musical, il n'y a vraiment pas grand chose à en retenir.

En revanche, les bras m'en tombent lorsque je lis que la chanson "Allah" a des "paroles finalement anodines" ! 26 ans plus tard, quel chanteur de variété d'une certaine stature oserait publier une chanson pareille, même au pays de Voltaire ?

Le 23 Octobre 2014 par NONO

SLEEPING WITH THE PAST voit Elton John revenir en grande forme, artistiquement.
Par contre dans sa vie personnelle ce n'est pas le cas car hélas, Elton est plus dépendant que jamais à l'alcool et à la drogue et autres dépendances. Ce sont même ces deux années 89-90 qui lui seront les pires dans ce domaine.
D'ailleurs la tournée consécutive, très éprouvante physiquement au regard de son état de santé, verra Elton s'évanouir régulièrement en plein concert.
Mais, en dépit de toutes ces infortunes, ce disque marque l'apogée d'une nette progression artistique qui s'était amorcée avec le précédent "Reg Strikes Back".
SLEEPING WITH THE PAST est un album solide, mature, abouti, qui accouchera de quatre tubes dont un majeur: "Sacrifice", figurant parmi les hit-singles les plus vendus de notre artiste. Les autres tubes issus de l'album sont: "Healing Hands", "Whispers" (celui-ci n'est sorti en single qu'en France), et "Club at the end of the street".
En contrepartie, on pourrait regretter une certaine absence d'originalité, de témérité.
Mais ce disque se fie davantage à des valeurs sûres, c'est à dire des chansons courtes, classiques, cependant remarquablement efficaces, plutôt qu'un excès d'originalité hasardeux, ce qui était souhaitable (même urgent !) à ce moment dans la carrière d'Elton John.
Un des meilleurs disques d'Elton John dans la décennnie 80, juste derrière "Too Low For Zero" selon moi.

Le 23 Octobre 2014 par SISI

Toto a toujours été fortement surestimé, et pour moi la mort de Jeff Porcaro n'a rien changé au groupe. Simon Philips est tout aussi bon. Le problème du groupe ne se situe pas au niveau de la batterie. Le son de Toto a changé car il a du comme tous les autres groupes s'adapter à la mode. Les années 80 étant d'un style très typique, une fois les 90's arrivées il a fallu changer son fusil d'épaule.

Le 22 Octobre 2014 par TERRY

Pas le meilleur de Macca ni des Wings, mais franchement, un très très bon petit album, un peu brut (enregistré en très peu de temps !), mais avec beaucoup de charme. Je l'adore !
"Bip Bop" sera, selon les principaux intéressés (les auteurs de la chanson, autrement dit, Souchon et Voulzy), la base de la mélodie de "'J'ai Dix Ans".

Le 22 Octobre 2014 par NONO

On a toujours voulu faire la comparaison entre les deux albums consécutifs BREAKING HEARTS et TOO LOW FOR ZERO.
Je trouve BREAKING HEARTS grosso-modo dans la même lignée de son prédécesseur, bien que légèrement moins inspiré. On sent que l'ami Elton capitalise sur le succès de l'album précédent de manière un peu paresseuse.
Pour faire la différence, je dirais que TOO LOW FOR ZERO est un excellent album en terme de mélodies, de compositions, d'originalité... mais dont la production, le son, n'est pas terrible.

Alors que BREAKING HEARTS, c'est le contraire: album très bien enregistré et produit avec un son excellent... mais les chansons sont moins marquantes, moins originales.
Mais ne boudons pas notre plaisir: BREAKING HEARTS vaut son pesant de cacahuètes, on peut s'en satisfaire amplement.

Maintenant, voici ma traditionnelle liste des "j'aime / j'aime pas":
J'adore: RESTLESS, WHO WEARS THESE SHOES, BREAKING HERTAS, IN NEON, SAD SONGS.
J'aime assez: SLOW DOWN GEORGIE, LI'L FRIGERATOR, PASSENGERS, BURNING BUILDINGS, DID HE SHOOT HER
Il n'y a aucun titre que je n'aime vraiment pas, la majorité variant du "moyen bon" au "moyen mauvais" selon moi.

Le 22 Octobre 2014 par RAMON

Rectificatif: Denny Laine (ex MOODY BLUES, c'est lui qui chante leur premier tube "Go Now") ne joue pas sur "Ram", en revanche le batteur Denny Selwell y a bien participé.

Il est de bon ton de taper sur "Wild Life" et ce depuis sa sortie, pourtant ce disque vaut beaucoup mieux que ce que la chronique en dit. "Bip Bop" en particulier est une très bonne chanson dont a du s'inspirer Alain Souchon à ses débuts ("J'ai dix ans"), c'est de la Pop sautillante et gaie, un truc rafraichissant, primesautier que peu d'artistes arrivent à créer.

Après, on peut comprendre qu'on puisse être déstabilisé par un tel album signé par un bâtisseur de cathédrales sonores, habitués que nous fûmes à recevoir dans nos tympans les chefs d'oeuvres de qui vous savez, ciselés, orchestrés, peaufinés mais n'oublions pas non plus ce que furent les albums "Let It Be" (à sa genèse) et "McCartney" qui prenaient la voie du retour à la simplicité rock'n'rollienne basique .
C'est l'époque où Macca embarque ses troupes en bus et plante sa scène là où on veut bien l'accueillir, à l'arrache et reprend tout à zéro.

A ce petit jeu, il épuise aussi ses musiciens au sein des WINGS, lesquels prendront la poudre d'escampette (à l'exception de Denny Laine et bien sûr de Linda) à plusieurs reprises dans les 70's.
Alors certes "Wild Life" n'est pas un grand album (loin s'en faut), mais il passe comme une bonne citronnade dans la chaleur de l'été et se clôt en beauté avec l'émouvant "Dear Friend" dédié à John Lennon quand ce dernier (aidé par un George plutôt mal à l'aise sur ce coup là) s'était montré dégueulasse envers son ex alter ego avec sa chanson "How Do You Sleep" parue peu avant sur "Imagine". Macca a beau être une superstar, il n'en oublie pas pour autant d'où il vient ni avec qui il est parvenu au faîte de la gloire, il ne renie rien ni personne, lui. La très grande classe c'est ça aussi.

"Wild Life" est également l'acte de naissance des WINGS, groupe qui rencontrera un énorme succès, à la hauteur des quolibets que la presse ne manquera pas de déverser sur lui (et parfois à juste titre, reconnaissons le) à chaque nouvelle livraison, "Band On The Run" excepté (2 étoiles sur FP, quelle blague !). Paulo, ne s'en fiche pas, mais il est blindé (et pas seulement aux as), il a survécu à la folie démentielle de la Beatlemania et a su redescendre sur Terre et revenir à la simplicité, ça passe par "la vie sauvage", qui est peut-être bien un "mal" nécessaire afin de se remettre de l'ivresse des cimes, de refuser la course sans fin au gigantisme aliénant (Demandez à MJ (rip) s'il s'est remis de "Thriller") et d'essayer de se fondre dans un relatif anonymat au sein de la production musicale, les BEATLES ont vécu, bienvenu (ou pas) aux WINGS, petite formation débutante dont voici le premier pas.

"Wild Life" est à prendre pour ce qu'il est, à savoir un aimable divertissement Pop, loin, très loin des monuments qui font depuis partie des merveilles du Monde. Allons à la campagne et oublions, pour un court instant, les ors de la cour des grands, un bon pique-nique dans les bois, ça peut être aussi roboratif qu'une soirée dans un resto étoilé, quand bien même celui-ci a trusté toutes les étoiles des guides.

Le 21 Octobre 2014 par AIGLE BLANC

J'approuve cette chronique. J'apporterai simplement deux précisions. L'auteur cite le nom de Caroline Lavelle qui intervient au chant dans cet album, mais il passe sous silence l'identité des deux autres chanteurs. C'est ainsi que Vangelis a fait appel au chanteur Paul Young dont le nom rappellera beaucoup de souvenirs aux fans des 80' et à la chanteuse islandaise Stina Nordenstam dont la voix acidulée et enfantine est aussi reconnaissable que celle de sa consoeur Bjork.
Je confirme que le titre d'ouverture "Voices" est l'hymne le plus puissant que Vangelis ait composé. L'équivalent du célèbre "Hymne à la joie" de notre ami Beethoven.

Le 21 Octobre 2014 par BAAZBAAZ

Voilà typiquement le genre d'album porté à bout de bras par trois ou quatre chansons magiques qui masquent mal la banalité du reste.

Le vrai coup de génie de CAT STEVENS, c'est d'avoir mis ces chansons en début de disque, et c'est vrai que l'on prend une sacrée claque. Rien à dire, c'est très fort. Mais ensuite, quelle monotonie ! Dans la seconde moitié, je ne sauve à la limite que "Father and Sons", et encore.

Il y a des choses bien meilleures, moins inégales, à écouter dans la discographie de cet artiste, notamment son tout premier album Matthew and Son, sorti en 1967. Une petite merveille.

Mais bon, malgré tout : quelle voix, tout de même...

Le 21 Octobre 2014 par TONIO

Quelle drôle de surprise pour moi que cet album à l'époque où je l'ai découvert ! De mémoire je l'ai acheté avec RIB de SLAYER (pour remplacer ma vieille k7 pourrie) et No Remorse de MOTHOREAD, chez un disquaire de Pontarlier, un magasin étonnamment bien fourni vu la taille de la ville. C'était il y a 7/8 années.

Je ne connaissais le groupe que de nom, jamais je ne m'étais frotté à leur musique, et la 1ère écoute à été pour moi assez laborieuse. J'avais l'impression d'écouter un groupe de pop qui alourdissait un poil leur musique avec quelques éléments métal, ou l'inverse, un groupe de métal qui allégeait leur compos à coup de synthés et de refrains gentillets pour être suffisamment radiophonique.

J'en pense quoi aujourd'hui ? Je suis grand fan de ce disque car la force des compos est justement de combiner à merveille lignes mélodiques subtiles et facilement mémorisables (ces refrains entêtants !) à un travail d'orfèvre en matière de composition. On est finalement ici assez loin de la NWOBHM, cette musique est trop "light", mais quelle personnalité, quelle profondeur ! Ce disque s'écoute un peu comme on regarde un grand film, avec ses moments de bravoure, ses intermèdes palpitants, ses passages sensibles qui nous font vivre de grandes émotions. Et tout cela avec un sens incroyable de la composition et des petits arrangements qui font mouche, pas avec un déballage technique étouffant et stérile genre "qui c'est qui a la plus grosse ?". Même si les musiciens en sont capables.

Le talent, c'est tout, le talent. Pour na pas dire le génie. Grandiose...

Le 21 Octobre 2014 par NONO

J'ai toujours trouvé que Jump Up faisait partie des bons albums d'E.J. dans la décennie 80.
Tout les titres sont de bon ou, au pire, d'assez bon niveau.
Même "I Am Your Robot" qui, bien qu'étant sévèrement énervant, bouge bien et n'est quand même pas totalement "à jeter".
Beaucoup disent que ce n'est qu'à partir de l'album suivant Too Low for Zero qu'Elton reviendra au top-niveau.
Pas d'accord : je pense qu'il redresse la barre dès cet album, qui préparera parfaitement le terrain pour l'arrivée de Too Low for Zero qui sera, lui, encore meilleur.
Pour moi, la meilleure partie de Jump Up, c'est la seconde partie, soit la face B, de "Blue Eyes" à "All Quiet on the Western Front".
La première partie est correcte, mais moins convaincante.
Rentrons un peu dans le détail des titres :
J'adore : Legal boys, Blue Eyes, Empty garden, All quiet on the western front.
J'aime assez : Dear John, Ball & chain, Princess, Where have all the good times gone.
J'aime nettement moins : Spiteful child et I am your robot.
Au final, je pense que ce disque est à mettre à peu près au même niveau que Breaking Hearts : disque honorable, assez bon, sans être non plus un chef-d'oeuvre.

Le 20 Octobre 2014 par THIERRY RAOULT

Sur un "best of", j'ai découvert "Mosquito". C'est un très bon titre. C'est assez différent des classiques des Doors. Cependant, je trouve ce morceau très dynamique et avec un très bon solo.

(je ne connais pas l'album).

Le 20 Octobre 2014 par DAVID HEWSON

No Line on the Horizon marque le retour de U2 aux expérimentations plus ou moins électro-rock sous forme de nappes et d'ambiances. Cet album marque surtout un retour de l'inspiration, de la créativité au détriment des clichés. Donc plus varié et beaucoup moins pompier que ses prédécesseurs.

Le retour aux manettes de Eno et Lanois tente de redonner des ailes à un groupe qui tournait en rond depuis trop longtemps. L'entrée en matière se fait effectivement d'une belle manière. Le titre éponyme et "Magnificient" sont très bons, loin des bouillies habituelles. Dommage pour la voix forcée de Bono. U2 prend ensuite une tonalité plus mélancolique, rappelant la période Achtung Baby mais sans abus d'arrangements. Sur "Unknown Caller", The Edge effectue un vrai solo, à sa manière, ce qui est devenu suffisamment rare pour être signalé. La mayonnaise prend toutefois difficilement sur les morceaux suivants. Ca redevient poussif et grandiloquent, à l'image de "I'll Go Crazy...". Puis arrive "Stand Up Comedy" au riff principal très 'zeppelinien'. Ca n'a pas la patate de leurs 20 ans mais ça passe tout seul. "Fez" est insipide en dépit de ses nombreux effets. "White As Snow" est une ballade intimiste surprenante. Ténébreuse, atmosphérique et appuyée par (enfin!) de belles harmonies vocales. "Breathe" est une autre ballade, plus traditionnelle mais inspirée, avec de beaux arrangements et... encore un (court) solo de The Edge. Bono n'abuse pas de 'yeah', halètements ou falsettos ridicules. Que ça fait du bien ! "Cedars of Lebanon" vient clore l'album tout en douceur, mélancolie et subtilité.

Certainement le meilleur album de U2 post Zooropa. Consistant malgré quelques fautes de goût.

Le 20 Octobre 2014 par MR TINKERTRAIN

Cet album aurait pu s'apeller FunkoverGroove. Une réussite du début à la fin, un disque sexy, machine à Groove, et à la rythmique implacable. Rayonnant de talent.

Le 19 Octobre 2014 par MITCH

Un brulot !
Mais "pas que", la poésie est toujours là.
"Les Amicalistes" lui a valu des protestations outrées de certaines amicales de Bretons de la diaspora. Sans doute parce que le texte fait plus que mouche. Le but de GLENMOR était de ramener l'immigré au pays, quitte à être dur envers lui : la Bretagne est à reconstruire avec toutes ses forces vives, Xavier Grall se fera d'ailleurs convaincre, entre autres... Et puis, au premier degré, certaines amicales méritent bien cette avoinée qui fait en effet très, très mal... parce qu'elle revêt des accents de vérité, cette chanson, tout simplement, à l'écoute de laquelle on prend une vraie claque... à l'image de tout l'album qu'il est indispensable de connaître !
Un classique ! j'adore.

Le 19 Octobre 2014 par DARK SCHNEIDER

Je suis bien d'accord avec GEGERS au sujet d'"Hellcat". J'ai toujours trouvé que ce morceau faisait un peu tache sur ce disque. Impersonnel (trop hendrixien), chant d'Uli franchement moyen, refrain limite débile... désolé mais chez moi ça ne passe pas du tout. ROTH était trop hendrixien sur ses compos de l'époque SCORPIONS, je le préfère assez largement sur les albums d'ELECTRIC SUN où les tics hendrixien sont bien moins flagrants et où son chant a fait des progrès importants.

Sinon pour le reste, ça reste un très bon SCORPIONS, mais à mon sens le moins bon de la période ROTH, celui qui a le moins d'identité. Mais bon, rien que pour Pictured Life et Catch Your Train...

Le 19 Octobre 2014 par YANN 77

Album plutôt moyen... je suis plutôt d'accord avec Uli quand à l'arrivé de Herman, que je trouve... en fait un métronome aurait fait aussi bien le boulot que lui, batterie sans vie... et je crois que c'est ça finalement qui me gène sur les albums suivant du groupe, un hard trop simple et ce Rarebell....

Donc malgré quelques bon titres, je ne mettrai qu'un petit 3....

Le 19 Octobre 2014 par YANN 77

Oui cet album est une petite tuerie, rien à jeter là-dessus, le dernier de mon tiercé gagnant, entammé avec "Fly to the rainbow" puis "In trance" et enfin ce "Virgin killer")....

je vais en remettre une couche, mais "Hell cat" anecdotique????

Le 19 Octobre 2014 par RIKKIT

Les membres de Kyuss ont avoué n'avoir découvert le Sabb que bien tard, ils ont du d'ailleurs tellement kiffé qu'ils ont repris Into The Void (Tin ouf comme reprise). Ils tiennent plus leur inspiration de Melvins, Black Flag.