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BONFIRE
FIREWORKS


Le 23 Mai 2017 par PILGRIMWEN

Mon premier album de BONFIRE. Que de souvenirs !

A l'époque, au lycée, nous avions une petite salle informatique aménagée (trois, quatre ordinateurs à tout casser - le gros du parc informatique se trouvait dans des salles spécialisées et donc uniquement accessibles lors de certains cours). Et à chaque récré', c'était la bagarre pour avoir sa place ! J'étais pressé d'accéder à la pièce, afin de... (sur)visionner le clip "Sweet Obsession" !!! Je me suis passé ce clip un nombre incalculable de fois... Toujours obsédante cette chanson !!!
Un pote m'avait promis de faire le nécessaire pour dégoter en téléchargement l'opus "Fireworks" dont est issue la fameuse chanson. Il fera choux blanc. De là me vint l'envie d'acquérir le disque physique. Chose faite, via une certaine amazone du net ! (Je me n'y connaissais guère quant aux commandes en ligne... Je vous laisse imaginer la galère, ah ah ah !)

"Fireworks", exceptionnel de A à Z ! Et le début de mes amours pour le Hard Rock made in Germany !





RUSH
GRACE UNDER PRESSURE


Le 23 Mai 2017 par LEO


Goodbye Terry Brown et bienvenue à Peter Henderson (ingénieur du son et co-producteur de Supertramp sur Breakfast In America, Paris et ...Famous Last Words...), appelé à la rescousse pour sauver les meubles alors que le groupe tentait de finir seul (tant bien que mal) la réalisation de leur nouvel album !
Est-ce à cause des difficultés inhérente à son accouchement que la prod pêche un peu sur Grace Under Pressure ?
Toujours est-il qu'il y a quelque chose qui me gène quelque part sur ce disque. est-ce un manque de fréquences graves ? (la tonalité générale est très médium), un problème de mix ? de mastering ? je n'en sais fichtre rien mais je trouve que tout ça manque d'ampleur et de définition. le son reste très plat et uniforme en comparaison de Signals qui était plus contrasté et lumineux et sans commune mesure avec le futur Power Windows qui sera ouvragé et flamboyant.
Peter Henderson a fait un excellent boulot avec Supertramp mais j'ai toujours pensé que Peter Walsh (bien plus que Steve Lillywhite qui fera faux bond d'entrée de jeu) aurait été un choix sans doute plus judicieux pour co-produire Grace Under Pressure, lui qui avait sublimé l'album New Gold Dream (81-82-83-84) de Simple Minds et fera de même avec Behaviour de Saga en 85.
Mais peut-être est-ce dû également à la nature des morceaux, beaucoup moins accrocheurs et immédiats ? sans doute un peu de tout ça combiné, fait que Grace Under Pressure met plus de temps à séduire l'auditeur alors que les compos n'en sont pas mauvaises pour autant. on sent qu'il y a de la recherche et un désir d'aller de l'avant, mais l'enrobage n'aide pas forcément à faire passer la pilule.
De tous les morceaux ici présents, "Distant Early Warning" est certainement le plus évident et il n'est pas étonnant qu'il ouvre l'album.
Je ne trouve pas spécialement "Afterimage" si endiablé que ça. certes, la compo est loin d'être morne, mais l'humeur n'est pas à la fête pour autant.
D'ailleurs en réécoutant l'album, j'ai ressenti une ambiance assez glaciale tout du long. "Red Sector A" n'échappe pas à la règle évidemment vu le sujet traité, et de ce point vue l'album est résussi car les musiques collent plutôt bien aux textes !
"The Enemy Within" est peut-être la plus débridée avec sa rythmique sautillante (vaguement ska).
J'aime beaucoup aussi le tendu "The Body Electric" avec sa basse qui claque.
Le plus détendu "Kid Gloves" est bien sympa également avec ses belles parties de guitare.
En revanche "Red Lenses" m'apparaît en deçà avec son originalité presque forcée.
L'album fini en beauté avec l'irrésistible "Between The Wheels" et ses claviers aux sonorités froides et plombantes et sa guitare torturée.
Globalement Grace Under Pressure est un album satisfaisant mais je ne peux m'empêcher de ressentir à son égard une mini-déception, faute à une production un peu terne et des morceaux pas toujours convaincants.






RUSH
SIGNALS


Le 23 Mai 2017 par LEO


Signals avec son 1er morceau "Subdivisions" annonce clairement un changement important chez RUSH.
Désormais les claviers partagent pleinement la vedette avec la guitare, la basse & la batterie.
Celà n'enlève rien à la spécificité et l'originalité du trio Canadien.
Bien au contraire! sous un aspect plus lisse et sage en apparence, il y a presque plus de contraste et de tension, et par conséquence plus de diversité dans les compos.
Le jeu d'Alex Lifeson a conservé tout son mordant, que ce soit sur l'énergique "The Analog Kid" (notamment sur l'excellent solo), le plus consensuel et moins immédiat "Chemistry" (que j'aime beaucoup contrairement au chroniqueur) ou sur le bigarré "Digital Man" (qui joue sur l'opposition rock/reggae).
"The Weapon" et "New World Man" introduisent pour la 1ère fois des séquenceurs dans la musique du groupe. si le 1er des 2 morceaux est un peu trop long de par sa nature très linéaire, son ambiance est en revanche plutôt réussi, quand à "New World Man", s'il fut conçu à l'origine pour combler l'une des faces de l'album (et qu'elles aient une durée à peu près similaire), le morceau ne me semble pas être un titre bouche-trou. plus évidente que le reste de l'album, elle était destinée de toute évidence à paraître en single et séduire les radios (#1 dans les charts au Canada, et #21 au Billboard aux States).
Non par sa durée (moins de 5mn au compteur), mais plus par sa construction, son atmosphère et ses changements de tempo, "Losing It" est sans doute la plus progressive du lot. Ben Mink le violoniste du groupe Canadien FM, vient y poser un solo de toute beauté dans la lignée d'Eddie Jobson du temps de UK.
"Countdown" avec ses effets sonores plante le décor d'entrée de jeu et retranscrit bien le climat qui doit régner lors d'une mission spatiale. le morceau fut utilisé lors de 2 vols et il est d'ailleurs "dédié aux astronautes Young et Crippen et au personnel de la NASA pour leur inspiration et leur coopération" (c'est ce qui est indiqué dans les crédits de la pochette intérieure!).
À noter que Signals sera la toute dernière production conjointe de RUSH avec Terry Brown, le groupe souhaitant se renouveler.





Aaron DILLOWAY
THE GAG FILE


Le 23 Mai 2017 par JOVIAL

J'avais écouté Modern Jester il y a quelques années, intrigué par la pochette. Ce n'est effectivement pas froid du tout. Malsain et abrasif, étonnamment prenant malgré tout. Pas du tout le style de Merzbow qui me laisse absolument indifférent.

Difficile de noter toutefois.





JANE'S ADDICTION
RITUAL DE LO HABITUAL


Le 22 Mai 2017 par LORDI2


le meilleur groupe de rock du monde entier! et je dis cela sincèrement sans aucune exagération de ma part! en deuxième position je mettrai le groupe Skunk Anansie en troisième position Pixies! JANE'S ADDICTION sont les meilleurs dans le rock! excellent disque tout comme Nothing's shocking!





RUSH
EXIT... STAGE LEFT


Le 22 Mai 2017 par LEO


À l'Autômne 1976 All The World's A Stage résumait avec panache la 1ère quadrilogie de RUSH (bien que je ne sois pas fan de celle ci), 5 ans plus tard Exit... Stage Left en faisait de même et clôturait avec brio la seconde quadrilogie du trio dans le contexte du live.
Mieux que ça, ce 2ème album en concert de RUSH revitalise et re-visite à l'occasion des compos qui étaient déjà parfaites à l'origine !
Le choix des morceaux est excellent, d'autant qu'il n'y a aucun doublon avec le 1er album live.
Le seul regret comme l'a souligné ARP2600, c'est que ce double vinyl (qui tient sur 1 seul CD) ne soit pas un triple puisque les Canadiens avaient bien d'autres titres à leur répertoire scénique à cette époque !
Le groupe aurait donc pu inclure sans problème: "Cygnus X-1: Book I" + "Cygnus X-1: II", "Limelight", "The Camera Eye", Vital Signs" et "Natural Science" (ce dernier contrairement à ce qu'affirme ARP2600, fut bien joué sur les tournées Permanent Waves et Moving Pictures entre 1979 et 1981. le CD Spirit of the Airwaves: Live in St. Louis 1980 paru en 2014 en atteste).
Auraient également pu être ajoutés: "Circumstances" et "A Farewell To kings" qui faisaient partie de la set-list lors du Hemispheres Tour en 1978/1979 et "Cinderella Man" qui était au répertoire de la tournée A Farewell To Kings en 1977/1978. soit un total de 8 à 9 titres en plus !!!
Bien entendu, entre temps est paru en 1998 le triple live Different Stages sur lequel on pouvait entendre sur son 3ème CD, "A Farewell To kings", "Cygnus X-1: Book I" et "Cinderella Man" tirés d'un concert enregistré à l'Hammersmith Odeon de Londres en 1978 plus le live à St. Louis mentionné plus avant, mais en 1981 tous ces morceaux n'avaient pas encore été publiés dans leurs versions en concert.
Peut-être un jour aurons-nous droit à une édition Deluxe d'Exit... Stage Left, on peut toujours rêver....
En tous les cas, même amputé de quelques titres essentiels, ce second double live de RUSH est incontournable (c'est incontestablement mon favori de tous leurs albums en public).





RUSH
MOVING PICTURES


Le 21 Mai 2017 par LEO


Si Hemispheres était le p'tit frère de A Farewell To Kings, on peut sans trop se tromper, dire que Moving Pictures est le cousin (pas si éloigné) de Permanent Waves !
Musicalement, ils ont pas mal de points en commun:
Les synthés et autres Moog Taurus prennent de plus en plus d'importance mais n'empiètent pas encore sur la guitare qui est bien présente au même titre que la basse.
Les arrangements sont assez proches sur les 2 albums et l'influence du Reggae pour certaines parties rythmiques et du groupe The Police en particulier commence à se faire sentir sur certaines pistes des 2 opus et celà ira en s'amplifiant sur Signals et Grace Under Pressure (Peart, Lee et Lifeson écoutaient régulièrement la musique du trio à cette époque, tout comme celle d'Ultravox et Simple Minds un peu plus tard).
Enfin, à côté de compos relativement courtes, on a droit à 2 pistes un peu plus longues sur chacun des 2 disques qui sont un peu agencés de la même manière.
Moving Pictures est peut-être un peu plus carré et moins fougeux que ne l'était Permanent Waves, mais quoiqu'il en soit ces 2 là sont très complémentaires et tous leurs morceaux sont essentiels.
Un autre MUST du trio Canadien !





BLINK 182
TAKE OFF YOUR PANTS AND JACKETS


Le 21 Mai 2017 par PILGRIMWEN

Aujourd'hui ringardisé par celles et ceux les ayant adulés (un soupçon de honte ? Pourtant il n'y a pas de quoi !), BLINK 182 ne reste pas moins une référence pour un bon nombre d'actuels 25-30 ans ! Et ce "Take Off Your Pants And Jackets" aussi !

De ce disque, je retiens surtout les prestations vocales de Tom Delonge, même si j'apprécie grandement celle de Mark Hoppus. Cet album est un sacré anti-dépresseur !





BONFIRE
BYTE THE BULLET


Le 21 Mai 2017 par PILGRIMWEN

Le dernier opus d'AXXIS, "Retrolution", ainsi que celui de BONFIRE, "Byte The Bullet", m'ont redonné l'envie d'écouter du Hard Rock/Heavy Metal sauce allemande. Fut une époque, j'étais extrêmement friand de groupes made in Germany. Le temps passant, j'ai rangé au placard ces albums... (quand je ne les ai pas revendus... Il me semble d'ailleurs avoir refourgué mes DARK SKY à Gegers, si je ne m'abuse...)

"Byte The Bullet", sans ré-inventer le genre, donne un sacré coup de fouet à la carrière de BONFIRE ! Sans le concours organisé par le webzine, j'aurais fait l'impasse sur cet excellent disque ! Effectivement, une production moins bluesy, plus heavy. Seul faux pas, pour ma part : la reprise de "Sweet Obsession". Ayant découvert BONFIRE par cette chanson (j'avais 17 ans, désormais j'en ai 28), je trouve pure hérésie que d'en faire une nouvelle version...





BONFIRE
POINT BLANK


Le 21 Mai 2017 par BAAZBAAZ

En parcourant la discographie de BONFIRE je découvre avec surprise sur Wikipédia le nom de SETH SWIRSKY, co-compositeur de "Hard on Me"... Ce n'est pas la chanson du siècle, mais c'est amusant de retrouver ici celui qui est devenu dans les années 2010 une référence culte en matière de Sunshine/Power Pop et qui a aussi écrit des choses pour... CELINE DION.

Mais c'est finalement assez logique quand on voit que SWIRSKY a été une sorte de DESMOND CHILD pop pendant deux ou trois décennies avant de sortir ses propres disques.

Voilà, c'est tout.





RUSH
PERMANENT WAVES


Le 21 Mai 2017 par LEO


Avec Permanent Waves, RUSH franchit un cap supplémentaire.
Les compos du groupe deviennent de plus en plus précises, concises et consistantes.
Les synthés et pédaliers de basse prennent une importance supplémentaire, sans pour autant prendre le pas sur la guitare (c'est bien cette dernière qui mène la danse, et ce dès l'intro échevelée de "The Spirit Of Radio").
Le chant de Geddy Lee est plus assuré, varié et moins porté sur les aigües en permanence.
Tous ces éléments réunis font que la musique du trio est transfigurée, libérée, et que le plaisir d'écoute est total du 1er au dernier titre.
Je suis parfaitement d'accord avec ARP2600, Permanent Waves est bien l'un des albums essentiels dans la longue discographie de RUSH.





SNOOP DOGG
DOGGYSTYLE


Le 20 Mai 2017 par VIV


Excellent album de G funk qui s'écoute toujours avec plaisir en 2017. Ça groove dur !
Une référence.





EAGLES
ONE OF THESE NIGHTS


Le 20 Mai 2017 par POPOL PAS VUH


L'album qui donne des munitions à tous ceux qui detestent les Eagles:
ballades mièvres, chansons "inspirées" ...sans inspiration (telle "Journey of the sorcerer" où il ne se passe absolument rien, comme une impro de studio qui peine à trouver sa voie), insupportable "take it to the limit" et son refrain ridicule repété en boucle, "after the thrill is gone" et toujours pas de retour après 8 chansons inutiles pour finir sur la bêtasse "I wish you peace".
Rien à sauver sur cet album, les meilleurs titres étant tout juste corrects, mais toujours sans imagination. Non vraiment, j'accroche pas et c'est bien dommage vu la superbe pochette.
J'oubliais de préciser que j'adore les Eagles (!), mais cet album-là, alors vraiment pas.

A un débutant (si quelqu'un ne connait pas ce groupe..) je conseillerais plutôt le sublime "Desperado", album inspiré, bouleversant, lyrique, rock, couillu, groovy et mélancolique à la fois. Le meilleur album à mon avis.

Le premier album et "On the border" ne sont pas mal du tout.
"Hotel California", c'est "hotel california", rien à dire.
Et puis le magnifique mais sous estimé "The long run" (même pas chroniqué sur FP) à la face B relativement anecdotique mais à la face A sublime. On peut mourir après avoir écouté "King of Hollywood"... (bon, pas tout de suite, hein !).





RUSH
HEMISPHERES


Le 20 Mai 2017 par LEO


Effectivement, A Farewell To Kings et Hemispheres ont bien des points en commun! à commencer par sa longue suite "Cygnus X-1 Book II: Hemispheres" qui reprend les choses, là où "Cygnus X-1 Book I: The Voyage" refermait l'album précédent.
Les sonorités entendues sur ces 2 disques sont également très similaires, la guitare acoustique alternant souvent avec les parties en électrique et quelques notes de claviers éparses viennent souligner une ambiance de temps à autre (on est encore loin des nappes de synthés proéminentes entendues sur leurs albums sortis au milieu des années 80!).
Là où je ressens un réel changement par rapport à A Farewell To Kings, c'est dans la qualité des 4 morceaux que referme cette galette. que ce soit l'epic en ouverture, les 2 titres plus court du milieu, ou bien l'instrumental de fin "La Villa Strangiato", pour la 1ère fois on a enfin un album de RUSH qui tient debout, totalement cohérent du début à la fin (contrairement à l'album précédent qui contenait 2 ou 3 morceaux moins intéressants).
Bon, il y a bien la voix particulière de Geddy Lee qui fait un peu tâche par instants mais c'est un détail en regard de l'excellence des titres proposés ici!





RUSH
RUSH


Le 19 Mai 2017 par ARP2600


Petite précision, cette chronique était ma première pour le site et mon échelle de notation n'était pas encore bien fixée à l'époque. Aujourd'hui, ce premier album, je lui mettrais sans doute un bon 3. Alors, bien sûr que Led Zeppelin a fait mieux en 1973 (bon, Houses of the Holy est leur album que je préfère et je lui mettrais un 5), mais je trouve qu'il y a déjà ici de sérieuses qualités de composition. Les paroles n'ont aucun intérêt, sauf sur Working Man, mais la musique sonne déjà tellement Rush. Alex Lifeson est un des guitaristes les plus naturels de l'histoire, et Geddy Lee a un sens de la mélodie évident, et une assise avec la basse qui était originale à l'époque et a, ô combien, fait école. On ressent en particulier tout cela sur les deux dernières plages, dont je ne pourrai jamais me lasser. Reste le problème de cette voix stridente, qui n'est certes pas la plus grande qualité du groupe... elle est malheureusement rédhibitoire pendant leurs premières années, beaucoup rejettent totalement le groupe à cause de cela, et cela a certainement beaucoup contribué à leur mauvaise réputation critique...





RUSH
A FAREWELL TO KINGS


Le 19 Mai 2017 par LEO


Avec A Farewell To Kings, RUSH évolue d'une manière bien plus convaincante que par le passé en ce qui me concerne.
Moi qui n'avais pas particulièrement apprécié leur première quadrilogie (et leur 1er live qui faisait suite), ici je me sens bien plus en phase avec le propos musical (tant au niveau des compos et de leurs arrangements que de leur exécution).
Certes, la voix de Geddy Lee est toujours aussi suraigüe mais il semble qu'elle soit bien plus en harmonie avec la musique et cette impression ne fera que s'accentuer avec les albums à venir...
Le morceau-titre est un bon condensé de rock-progressif et de hard classique tel que le groupe le pratiquait à l'époque, et ceci en moins de 6mn.
"Xanadu" est le premier des mini-epics de cet album. les changements de thèmes sont bien amenés et pour la 1ère fois le trio arrive pleinement à synthétiser ses idées en 11mn. un vrai classic!
Je suis bien d'accord avec ARP2600 pour dire que les 3 morceaux suivants ne cassent pas des briques, "Closer To The Heart" en tout premier lieu. difficile à imaginer qu'il fut un single à succès et surtout qu'il jouisse d'une telle popularité parmi les fans du groupe!
"Cinderella Man" n'est pas désagréable en soi mais elle passe un peu inaperçue face aux 2 titres du début et au dernier morceau.
"Madrigal" fait presque figure d'interlude avant l'étrange suite finale "Cygnus X-1 Book One - The Voyage". Ce morceau de 10mn est bizarrement agencé avec ces nombreuses ruptures mais il reste tout à fait réussi de par ses ambiances et sa tension sans cesse entretenue.
L'introduction des synthés et pédaliers de basse Moog Taurus dans la musique de RUSH est pour beaucoup dans son évolution stylistique même si elle est bien moindre ici par rapport aux futurs albums (l'artiste Hugh Syme qui s'occupait des pochettes du groupe dès l'album 2112 posa quelques notes de synthés sur l'intro de la longue suite ainsi que du mellotron sur "Tears" mais ceci n'influera pas vraiment sur la musique du trio à ce moment là).
On voit que tout n'est pas encore parfait sur ce disque mais ça avance à grands pas!





RUSH
ALL THE WORLD'S A STAGE


Le 19 Mai 2017 par LEO


Comme pas mal de monde, j'ai découvert RUSH à la fin des années 70 avec All The World's A Stage qui est un bon résumé des 4 premiers albums dans le contexte de l'album en public.
Les morceaux sont assez bien choisi dans l'ensemble même si rétrospectivement, j'aurais préféré entendre "Beneath, Between And Behind" et "A Passage To Bangkok" plutôt que "Fly By Night" et "In The Mood" mais quoiqu'il en soit ces 2 premières compos ne faisaient pas partie de la set-list à l'époque et on pourra les retrouver plus tard sur le second live du groupe, le formidable Exit... Stage Left.
J'ai assez écrit auparavant qu'il m'était assez difficile de supporter la voix particulièrement aigüe de Geddy Lee et ceci ne fait pas exception à la règle tant en live qu'en studio (du moins, dans sa quadrilogie initiale), cependant cet album en concert est un très bon moyen pour un néophyte de découvrir la 1ère partie de carrière de RUSH sans avoir forcément l'envie d'investir dans les 4 premiers albums en studio.
La suite sera pour moi bien plus passionante...!





RUSH
2112


Le 19 Mai 2017 par LEO


Malgré le relatif insuccès de leur 3ème opus, RUSH va récidiver dans le concept (enfin, essentiellement pour ce qui concerne le morceau principal).
La longue suite qui donne son nom à l'album est déjà mieux construite et bien plus concluante que ne l'étaient "The Necromancer" et "The Fountain Of Lamneth" sur Caress Of Steel, mais néanmoins je trouve que les musiciens ont toujours du mal à faire les transitions entre les différentes parties qui ne s'imbriquent pas toujours bien entre elles, mais globalement il y a du progrès!
La voix stridente de Geddy Lee vient un peu entâcher le plaisir par moments, mais celà reste satisfaisant.
Pour ce qui concerne les 5 compos restantes (toutes en dessous des 4mn), je ne les trouve pas très marquantes et j'en retiens avant tout "A Passage To Bangkok".
Même si je reconnais volontiers le chemin parcouru entre le 1er album et celui-ci, je n'ai jamais trop compris pourquoi cet album était porté au pinacle par une majorité de fans du groupe, car pour moi les albums suivants seront bien plus accomplis et diversifiés.





PLACEBO
WITHOUT YOU I'M NOTHING


Le 19 Mai 2017 par VIV


J'ai découvert cet album en meme temps que le suivant "black market music" et immediatement préféré ce dernier plus homogène.
Et bien avec le recul, je pense que ce "wirhout you i'm nothing" est ce qu'ils ont fait de mieux. C'est du brutal, bien ecrit et bien produit sans jamais tomber dans trop de facilités mélodiques, ni "radio friendly".
Ca sonne et mets les poils à la verticale !
Comme souvent chez placebo, l'ouverture de l'album est terrible : pure morning, brick shithouse donnent le ton et ne manquent pas d'énergie.

Assez dark dans l'ensemble mais avec un petit rayon de soleil quand même de temps en temps !
Un must have des 90's !





RUSH
CARESS OF STEEL


Le 19 Mai 2017 par LEO


Sur leur 3ème album Caress Of Steel, RUSH a un peu le cul entre deux chaises, avec d'un côté trois premiers titres rock plutôt bien troussés d'une durée conventionnelle et de l'autre, 2 epics tarabiscotés et mal ficelés tirant sur le rock progressif.
Le hic c'est que la formation n'a pas encore les moyens de ses ambitions, à savoir qu'il manque encore aux 3 musiciens le savoir-faire pour édifier des concepts cohérents et réussis et que l'ajout de synthés dans les prochaines années va apporter un plus aux compos du groupe.
Pour l'heure, RUSH en est réduit à faire une musique batârde mêlant maladroitement les genres et les différentes sections qui composent ses longues suites. bref, le mariage ne prend pas bien.
Inutile de préciser de nouveau que j'ai bien du mal avec la voix suraigüe de Geddy Lee.







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