Le 14 Novembre 2012 par IEN

J'étais sceptique à l'annonce de l'artiste devant interpréter "Skyfall" et finalement ce titre a sa place au milieux des autres chansons "James Bond".
A noter effectivement que le film est bien meilleur que les 3 derniers James Bond

Le 14 Novembre 2012 par BABAR

Superbe musique qui s'insère parfaitement dans le contexte. Et super film aussi, bien plus "James Bond" que les précédents.

Le 14 Novembre 2012 par A.T.N.

Quel plaisir de voir cet excellent disque chroniqué sur FP. Une belle madeleine proustienne que l'écoute de ces 2 pistes, agrémentée de quelques herbes... de Provence bien sûr. A conseiller à tous ceux qui aiment se laisser porter par de longs morceaux psychédéliques, sans que cela ne parte pour autant dans tous les sens. Et cette pochette...

Le 14 Novembre 2012 par STREETCLEANER

J'aime beaucoup cet album, malheureusement difficile à trouver en France (il faut le commander en Allemagne). "Silly Sally", joli long morceau de rock-jazz s'inscrit bien dans la lignée des travaux précurseurs de Frank Zappa dès 1968, et notamment son Hot Rats de 1969. Seul point négatif : cet album ne résiste, sur la longueur (c'est-à-dire aux multiples écoutes), pas autant que celui de Zappa.

Le 13 Novembre 2012 par ARP2600

Merci pour vos réactions, j'admets volontiers que mon 5 n'est pas universel... comme je le dis dans la chronique, le son analytique peut paraître ennuyeux à une personne ayant aimé les albums précédents.
Ensuite, il me semble quand même qu'on doit juger Rush comme un tout. Plus que de nombreux autres groupes, les textes ont leur importance. Neil Peart est un penseur, peut-être parfois un peu outrecuidant, mais cela donne quand même à Rush une complexité sans précédent, avec des mises en abîme et un humour certain, au deuxième degré ou plus loin. Tandis que je suis un fervent défenseur de la musique instrumentale, je suis obligé d'admettre que certains projets comme Rush ou Genesis ne se conçoivent pas sans leurs paroles.
Quant à la progressivité de Rush, elle me paraît décidément limitée à Farewell, Hemispheres et (un peu) à Permanent Waves. La suite n'en garde que quelques éléments mais me semble fort éloignée du néoprog à la Marilion et compagnie.
Enfin, pour la question de la production, je ne connaissais pas cette phrase de Geddy Lee. On lis un peu tout et son contraire, mais ceci prouve d'une part que la production d' p/g a été assez chaotique et peu satisfaisante aux yeux du groupe et d'autre part qu'ils tiennent à ces chansons s'ils ont l'intention de remixer la chose. A noter qu'on lit la même chose au sujet de Presto, dont le groupe aime les chansons mais qui sonne un peu plat à leur goût - et au mien.

Le 13 Novembre 2012 par ALBERT

Un disque qui est un peu l'aboutissement des défauts relevés dans le précédent.
Froideur, son et compositions aseptisées et très 80's, avec par dessus le marché une dose d'hermétisme, ce qui rend le tout assez délicat à apprécier. Les ingrédients et le dosage ne sont peu être pas les bons.
Mais, rien à faire, on arrive pas à qualifier un disque de RUSH comme mauvais, au contraire de moult autres groupes tout aussi cultes. Non, ce disque reste intéressant et le groupe génial. C'est ça, le talent.

Le 13 Novembre 2012 par ALBERT

Pour moi, c'est un peu une déception.
Les morceaux sont globalement moins accrocheurs, à part deux ou trois titres phares, mais l'ensemble me laisse un goût d'inachevé par rapport à, par exemple, un Signals.
Il semble que le groupe a par trop souffert des problèmes et du climat interne liés à l'élaboration de ce disque.
l'ambiance est assez froide, on sent moins la passion.
Mais cela reste de la bonne musique et l'album est parfaitement recommandable.

Le 13 Novembre 2012 par BAST

Pour moi un des sommets de Rush! Manathan Project, Marathon, Territories et Mystic Rhythms sont tous des chefs-d'oeuve! Et le son est sublime, Rush n'a jamais été aussi loin pour arranger sa musique, il y a tant de détails! 25 ans plus tard j'entends encore de nouveaux sons....de nouvelles notes! Un grand cru!!!!

Le 13 Novembre 2012 par BLABLA_INUTILE();

En effet les 5 étoiles sont purement personnelles ...
Quand je vais sur les autres sites rares sont ceux qui apprécient à ce point là Grace Under Pressure.
Je trouve que le précédent Signal est beaucoup plus accrocheur, c'est cet album là qui marque le plus le changement au son typique 80's par rapport à Moving Wave. Les rythmes restent quand même progressifs et avec le précédent ils ont su montrer, à l'instar de Peter Gabriel, que même avec les sonorités, le style des chansons 80's normalement utilisé pour de la pop ou de l'electro, peut parfois coller très bien avec un style de rock moins accessible, sans parler du Neo Prog nécessairement ...
Par contre cet album là est mou, il a tous les défaut que l'album précédent aurait risqué d'avoir ...
Alors peut être que les themes abordés sont plus intéressants que ceux des albums précédents car peut être plus concrets, mais la qualité des chansons se limite pas qu'à ça ... je dirais que musicalement parlant on s'en fout des paroles, ayant appris l'anglais sur le tard j'ai toujours écouté de la musique anglophone sans rien capter à ce qui se dit, je m'en foutais.

Le 12 Novembre 2012 par JAY-JAY

Superbe Live d'un artiste de plus en plus reconnu sans avoir perdu en qualité.

Le 12 Novembre 2012 par ZEJACK

Je ne suis pas un fervent adepte de MUSE même si j'aprécie les albums Absolution et Black Holes.
Une chose qui m'a choqué et bien éloigné de ce groupe est sa tendance à copier (oui, j'emploie bien ce mot) sur pas mal de titre de l'album sans que les groupes visés ne soient cités dans le livret.
Personnelement, dans UPRISING, j'entends à chaque fois un repompage en règle du "Call Me" de Blondie mais vu que je n'ai rien lu dessus de part ailleurs, je dois bien être le seul dans ce cas-là.
Sans parler de DEPECHE MODE et QUEEN mentionnés dans la chronique.

Le 12 Novembre 2012 par CéDRIC

Vraiment magnifique, la bande à Robert Fripp nous arrive avec ce chef-d'oeuvre du rock progressif, pas mal pour un premier album mais le meilleur reste à venir.

Le 11 Novembre 2012 par BABAR

Après 3 albums Folk (sans compter le 1er parce-qu'il s'agit surtout de reprise (et surtout parce-que je l'ai pas)) plus ou moins intéressant avec toujours une ou plusieurs très bonnes (voir excellentes) musiques (la première face + "Don't Think Twice sur le premier, le morceau éponyme sur le second et, dans une moindre mesure, "Chimes Of Freedom" sur le troisième) entourés de titres anonymes, Dylan décide de changer du tout ou tout et se met à l'électrique.

Et avec l'électrique, vient une plus grande régularité. Bon, OK, la seconde face (acoustique) est meilleure que la première (électrique) avec ses 4 excellents morceaux (un petit moins sur "Gates Of Eden" cela dit). Mais il n'empêche que les morceaux électriques ne manquent pas de qualité.
D'abord (et pour la première fois dans la discographie de Dylan), il n'y a pas de mauvais morceau. Certes "Outlaw Blues" et "On The Road Again" ne sont pas absolument indispensables, mais les 5 autres titres sont à ranger dans tout les best of de Dylan.

Pour commencer, "Subterranean Homesick Blues" qu'on ne présente plus où le chanteur s'amuse à inventer le rap avec 20 ans d'avance (bon pas vraiment mais presque). Ensuite, le classique "She Belongs To Me" est un merveilleux blues où la guitare est aussi discrète que merveilleuse (d'ailleurs j'ai toujours cru que c'était Mike Bloomfield qui jouait m'enfin bon...). Suit un autre grand classique avec "Maggie's Farm" qui présente comme originalité d'être une protest song contre les protest songs (j'adore) avant un morceau aussi bon que sous-estimé, le superbe Love Minus/Zero Limit ("My Love, She speaks like silence", rien que ce vers d'ouverture est magnifique).

Enfin, "le 115e rêve de Bob Dylan" clôt en apothéose cette première face. Aussi longue que surréaliste avec ses paroles insensées, et un Dylan en pleine forme (même s'il nous fait un petit faux départ pour le coup).
La deuxième face apporte ce qui manquait à la première avec le génial "Mr Tambourine Man" à ranger aux côtés des "Like A Rolling Stone", "Blowin'in The Wind" & coe, et les trois autres titres qui permettent de finir l'album par une progression d'un morceau "juste bon" ("Gates Of Eden") à un superbe titre ("It's all Over Now") qui ferme ce 5e album en toute beauté

Il paraît que cet album est le premier de Folk-Rock, mais peu m'importe, pour moi c'est juste le premier chef d'oeuvre de mon artiste préféré. Un grand album donc, moins admiré qu'un Highway 61 ou qu'un Blonde On Blonde, mais pas moins bon pour autant.

Le 10 Novembre 2012 par FREDJ

Désolé mais je ne peux que m'insurger face à une note aussi basse ! "Powerage" le maillon faible de la période Bon Scott ? NON NON NON et ARCHI NON !

Certes il n'est pas aussi "paf dans ta gueule" que LTBR mais pour moi c'est le dernier album où le groupe fera vraiment la musique qu'il aime.

Et c'est quoi la musique qu'aime le groupe au juste ? Du Blues bien cradingue et du Rock'N Roll électrique, ici nous avons droit à un vrai récital, de Rock'n Roll damnation à Kicked in the teeth rien à jeter que de la bonne came mon cher monsieur !

Encore aujourd'hui cet album est le plus sous-estimé de leur discographie (quoique Flock of the switch est considéré comme une grosse daube alors qu'il est excellent), je conseille une écoute beaucoup plus attentive car un énorme bonheur musical est à la clé !

Le 10 Novembre 2012 par IEN

Je possède ce disque depuis pas mal d'année, et dois avouer avoir du mal à entrer dans cet album. De temps en temps je le sors mais impossible de l'écouter en entier.

Loin de moi l'idée de dire que c'est de la m..de, le Rap n'étant pas du tout ma culture je ne suis pas habitué à ces rythmes.
Pourtant j'avais apprécié à sa sortie le premier NTM; je trouve excellents quelques albums de Mc Solaar ( certains doivent rire ) et j'aime quelques albums de Rap us ou Français.

En fait je pense que cet album demande un maximum d'attention de la part de l'auditeur. Impossible de le noter en tout cas, je sens une grande qualité mais je n'accroche pas.

Le 10 Novembre 2012 par ANESTHETIZE13

Tom était entrain de plaisanter Erwin :).

Le 09 Novembre 2012 par TOM

Je trouve cette critique accablante, elle ne reflète pas du tout le goût de milliers de personnes, qui pourtant ont tout autant le droit d'avoir une opinion sur la musique.

Voici mon avis, je trouve cet album génial, il permet de bien s'éclater quand on fait la fête, la musique est hyper entraînante, et je trouve, originale. En tout cas c'est sûr que ça change des trucs de "vieux", qui ne sont même pas entraînants (car ils n'utilisent pas de sons modernes ou rapides).

Moi je dis bravo à l'ARTISTE Carly Rae JEPSEN pour son talent et ses chansons.

	Par Forces Parallèles Hello, la plupart des groupes ici chroniqués plaisent à des milliers voire des millions de personnes. Ton avis ainsi que celui du chroniqueur, à la même valeur que celui de tout autre amateur de musique. Le boulot d'un chroniqueur est cependant d'essayer de guider les pas d'une personne qui souhaiterait découvrir tel ou tel artiste. A ce titre, la chronique peut en cas de déception - comme c'est le cas ici - se transformer en critique. Cela n'empêchera pas tout le monde d'avoir une opinion, "génial" pour toi, et c'est respectable. En revanche, permet moi de mettre un bémol à ta rude présomption de distinguer "les trucs de vieux" - Mais de quoi parles-tu ? Ou pire de "quand" ? -, des autres. Seuls les sons modernes ou rapides seraient "entrainants" ? Allons...! Bref, il y a du bon partout, dans le neuf, dans le vieux. Sois en certain ! Keep on rockin ! Bien à toi Erwin

Le 09 Novembre 2012 par LEO

Destroyer est généralement considéré comme un 'classic' dans la longue discographie de KISS, mais pour moi il s'agit plutôt de leur 1er faux pas en studio.
S'acoquiner avec Bob Ezrin n'était certainement pas la meilleure idée vu l'égo du bonhomme et sa mainmise sur les compos des artistes qu'il a produit!
On peut se rendre compte de l'ampleur des dégats dès l'intro interminable du titre d'ouverture, qui de plus, est blindée d'effets inutiles!
"Detroit Rock City" est pourtant un morceau qui a de la gueule, tout comme le titre suivant: "King Of The Night Time World", mais ce sont bien les 2 seuls morceaux que je sauverai de cette première partie de l'album car dès le lourdeau "God Of Thunder", les choses se gâtent!
Cette compo de Stanley devait être chantée à l'origine par son auteur mais Ezrin exigea que ce soit Simmons qui s'y colle, pour soit-disant coller au mieux au thème de la chanson!!!
Perso, je préfère de très loin la demo chantée par Paul Stanley (que l'on peut retrouver dans le coffret 5 CDs paru en 2001) par rapport à la version Simmons qui est sur Destroyer. Non seulement le rythme est bien plus alerte sur cette demo (alors qu'elle est ici ridiculement pachydermique) et elle n'est pas encombrée de tous ces effets gogo-gadgets à la noix signé Ezrin! ....sans parler de la voix monstrueusement débile (ou débilement monstreuse) de Gene!
Quand à "Great Expectations" et au tristement célèbre "Beth", je zappe direct tellement ces 2 trucs mielleux et pompeux m'ont toujours filé la nausée!
Je préfère déjà nettement plus "Flaming Youth", "Sweet Pain" et "Shout It Out Loud" qui, bien que souffrant d'une production et d'arrangements édulcorés de la part d'Ezrin, sont déjà plus 'rock' dans l'esprit même s'ils manquent la magie et le grain de folie qui animait le groupe sur ses 3 premiers albums.
Je ne reviendrai pas sur l'écoeurante sucrerie "Beth", reste donc le risible et nullissime "Do You Love Me?" de Paul Stanley et le bouche-trou final sans nom (toutefois intitulé "Rock And Roll Party" sur la récente réédition en 2012) pour clôturer ce 4ème album de KISS.
Pour résumer, on a donc 2 très bons premiers titres (malgré le 1er entâché d'une longue et inutile introduction) et 3 morceaux sympathiques (mais pas pleinement aboutis). ça fait pas bézef au total !!! je mets 3/5 car pour moi "Destroyer" ne mérite pas plus malgré son statut 'mythique' totalement injustifié!

Le 09 Novembre 2012 par FEELGOOD

Alors que ses trois excellents premiers albums se ramassèrent commercialement parlant - au point de mettre en péril l'existence même de Casablanca, sa maison de disques - ce laborieux Destroyer, successeur du remarquable Alive!, reste l'album studio le plus apprécié de Kiss, le plus "grand public", surtout...
Peter Criss est le seul membre du groupe à figurer sur Beth, qui date de l'époque Chelsea, son combo pré-Kiss. Face B du 45 tours Detroit Rock City, cette ballade violoneuse et lacrymale devint un gros hit à partir du moment où les programmateurs radio s'avisèrent de retourner le disque. Par la suite, le single ressortit avec Beth en face A. On imagine avec ravissement la tête de Messieurs Stanley et Simmons, dans la mesure où il était alors de coutume de reléguer en face B les morceaux considérés comme foireux... Mais Criss n'avait-il pas menacé de quitter le groupe si sa ritournelle n'était pas publiée ? Beth n'en demeure pas moins le plus gros tube américain du Baiser...
Destroyer démarrait pourtant en beauté, sur les chapeaux de roues de ce tonique Detroit Rock City, seul morceau véritablement transcendé par les effets de production de Bob Ezrin, et sans doute ma composition préférée de Paul Stanley, toutes périodes confondues. L'introduction, permettant à Ezrin de mettre en application sa théorie de la "surcharge auditive", fait la part belle aux bruitages divers, et même le plus bouché des auditeurs visualise le protagoniste en train de démarrer son véhicule dont l'autoradio diffuse la version live de Rock'n'Roll All Nite. Jamais sans doute la batterie de Criss n'a été aussi bien captée que sur ce mythique Detroit Rock City, sans oublier l'évocateur solo de guitare d'un Frehley inspiré. Le crash final et l'enchaînement avec le très bon King Of The Night Time World de Kim Fowley constituent assurément un grand moment !
Le potentiel indéniable de God Of Thunder, l'un des futurs chevaux de bataille scéniques du groupe, est gâché par la surproduction peu avare de bruitages foireux. On y retrouve les enfants de Bob Ezrin, ceux-là mêmes qui sanglotaient sur The Kids, l'un des titres les plus éprouvants du Berlin de Lou Reed. God Of Thunder, composé par Stanley, semble avoir été taillé pour le Démon et demeure indissolublement lié à la personnalité de Gene Simmons. Avec un plus gros son de guitare, et la voix de Gene placée plus en avant, God Of Thunder aurait pu être carrément dévastateur...
Le reste s'avère moins intéressant. Le kitschissime Great Expectations, indigeste pièce montée flanquée d'une chorale de gosses, met en avant un Gene ridicule et même carrément niaiseux. Le Flaming Youth de Stanley, autre compo au potentiel mal exploité, donne dans le glam de seconde zone. Sweet Pain, oeuvre d'un Simmons décidément très en retrait sur ce disque, même flanquée de choeurs féminins et agrémentée d'un solo de Dick Wagner, ne décolle jamais.
On passera sur Shout It Out Loud, tentative maladroite de refaire le coup de Rock'n'Roll All Nite, en plus pop et en plus forcé. L'album s'achève sur Do You Love Me, hymne poppy et racoleur, pas désagréable mais loin d'être indispensable...
En ce qui concerne les albums studio, on est en droit de préférer à ce Destroyer les trois premiers disques du groupe au son si délicieusement pourri, et certaines oeuvres postérieures comme ce Love Gun de 1977 excellemment produit par Eddie Kramer.

Le 08 Novembre 2012 par IEN

Super disque ! La griffe Neil Young est bien présente sur chaque titre et on sent un groupe que joue avec plaisir.
Les quatre premiers titres sont vraiment fameux, ensuite certains titres sont un peu moins bons. Mais c'est un vrai plaisir d'écouter cet album de reprises.