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DEEP PURPLE
PERFECT STRANGERS


Le 17 Juillet 2012 par MACAREUX


Perfect strangers... 1984. Après des années de disette à reprendre les classiques usés (et abusés), le Pourpre Profond est de retour.
YES, YYYYYYYYYYYYYYYEEEEEEEEEEEEEEESSSSSSSSSSS !!!!
Comme le dit la chronqiue, on est dans la continuité des derniers Rainbow, injustement décriés. On est très "hardFM". Très dans l'époque tout simplement non ?
"Knocking at your back door" met d'emblée les pendules à l'heure. Bye bye le petit groove bluesy de l'époque Coverdale (pas forcément le pire qu'ils aient fait, loin s'en faut).
L'album alterne le bon et le moins bon.
On retiendra surtout le titre eponyme, prodigieusement bon. Et tout simplement culte en live dès lors que le clavier (Jon Lord puis Don Airey) l'allongera d'un petit solo. Les premières notes de clavier de ce titre dans le noir me foutent la chair de poule.
Petite (grosse) pensée pour Jon Lord qui vient de nous quitter après une sale p----n de maladie à la con. So long Jon, merci pour tout.

Et que le Deep Purple vive longtemps, au moins dans nos coeurs de rockers.





Céline DION
PARLER à MON PERE


Le 17 Juillet 2012 par STO


L'intérêt de faire une chronique sur un nouveau single de Céline Dion me laisse perplexe! A moins de lui mettre une claque verbale, je ne vois pas... En plus, rien qu'au titre et à la pochette, ça sent la daube.





DEEP PURPLE
PERFECT STRANGERS


Le 17 Juillet 2012 par POWERBEAUF


Un excellent album aux compositions solides. Alors, certes, en 1984, DEEP PURPLE n'est plus du tout à l'avant-garde du Hard Rock, mais quoi ? Vous imaginez Jon Lord et Roger Glover permanentés et en spandex rose ?

Plus sérieusement, même si ce disque est essentiellement l’œuvre du trio Blackmore/Glover/Gillan, on sent que les musiciens ont pris le temps de se ressouder et de réapprendre à cohabiter (en témoignent le clip de "Knocking At Your Backdoor"). Au final, le groupe nous sert 8 titres de construction classique, mais qui font mouche. Les 2 bonus de la dernière édition CD ("Not responsible" et "Son of Alarik") valent même le détour. Quel dommage que cette embellie n'ait duré que le temps d'un disque.

Note réelle : 4,5/5, car "Nobody's Home" est un auto-plagiat de "Lay Down Stay Down" (de l'album "Burn").

PS : RIP, Jon...





Céline DION
PARLER à MON PERE


Le 17 Juillet 2012 par ZAOL

J'ai pas su m'empecher de l'écouter sur Youtube en reaction au commentaire précédent, pour moi elle a déja fait pire mais le problème c'est que ... j'ai eu une grosse impression de 'déja vu', on dirait qu'elle a recollé des morceaux de ses anciennes chansons pour faire celle là, je peux même pas dire à quelle période ça ressemble (si je me fie à la radio pq c'est loin d'être mon idole), parce que cette chanson est le réchauffé du siècle ...
Je n'ai jamais vu une chanson sentant autant le réchauffé voire l'auto-plagiat, elle pourrai se foutre un procès à elle même !





BLACKFIELD
BLACKFIELD II


Le 16 Juillet 2012 par MR G


Etonnament, j aime beaucoup moins ce deuxième album que je trouve nettement en dessous du premier! Les ambiances a la Pink Floyd ont disparu pour faire la place a une pop trop simpliste pour un duo qui peut faire largement mieux!!! Heuresement , il y a 2 ou 3 morceaux dont The end of the world qui sauve l album, mais c est vraiment étrange car apparement certains le trouvent mieux que le premier!!!





ZZ TOP
FANDANGO


Le 16 Juillet 2012 par LEO


C'est clair, Fandango! ne brille pas par sa face en concert!!! pourtant le groupe était fantastique sur scène (il n'y a qu'à voir la prestation du trio sur le DVD du Rockpalast en 1980 pour s'en rendre compte!), mais là franchement ils n'ont pas été très inspirés au niveau de la set-list! inclure la reprise poussive de "Jailhouse Rock" et le "Back Door Medley" casse-burnes était une erreur. Il n'y a quère que "Thunderbird" en intro qui est le titre live qui s'en tire le mieux ici, malgré tout j'aurais pu m'en passer au profit d'une face A tout en studio car le son n'est vraiment pas terrible!
Fandango! est sauvé de justesse par sa face B avec 5 très bons titres enregistrés en studio (j'omets volontairement le peu palpitant "Mexican Blackbird"!). néanmoins, 5 titres de potable sur tout un 33t, ça fait peu et c'est pas mal frustrant à l'arrivée! (on aurait aimé en avoir plus, mais j'imagine que le groupe devait être à court de morceaux à ce moment là pour sortir une face live et une face studio....!).





BLACKFIELD
BLACKFIELD


Le 15 Juillet 2012 par MR G


Un album vraiment bon, une ambiance très intimiste! J ai rarement entendu un groupe se rapprocher a ce point de Pink Floyd sur certains morceaux!!! L ambiance est très mélancolique mais reste legère et aérienne a la fois! Plutot impressionnant!!!





BLACKFOOT
STRIKES


Le 13 Juillet 2012 par BAYOU


Un grand disque en effet, de la pochette aux morceaux avec les reprises de Free (groupe très prisé par les southern bands) et l'hymne Higway Song.





Céline DION
PARLER à MON PERE


Le 13 Juillet 2012 par WALTER SMOKE


Horreur
Horreur
Horreur

...

N'écoutez pas ça. N'écoutez pas cette infamie. Vous allez tuer votre animal de compagnie - ou à défaut votre voisin - pour vous calmer. Alors ne l'écoutez pas.





BLUE ÖYSTER CULT
IMAGINOS


Le 13 Juillet 2012 par ATOMDOOM


Bien que cet album sous le nom de BLUE ÖYSTER CULT n'est pas un "vrai" album de ce groupe (tout a été dit !), il est largement supérieur aux deux précédents qui sont pitoyables au niveau musical et production. Il s'écoute bien car les titres sont globalement plus que corrects mais il manque malheureusement cette patte du BÖC original !





MSG
THE CHRYSALIS YEARS (1980-1984)


Le 12 Juillet 2012 par AXLDOBBY


Très bel ouvrage, surtout lorsque cet incroyable coffret est proposé à petit prix ! J'ai acquis récemment l'objet, me délecte et vais de découverte en découverte. Et comme Gegers l'a si bien souligné, les curieux doivent se le procurer!





BLUE ÖYSTER CULT
IMAGINOS


Le 12 Juillet 2012 par LEO


Imaginos est vraiment une anomalie dans la carrière du BLUE ÖYSTER CULT!!!
En effet, c'est bien plus un album de producteur (en l'occurence, Sandy Pearlman) et de commande de maison de disque (Columbia, qui exigea que la chose paraisse sous le nom B.Ö.C. et non Albert Bouchard), qu'une oeuvre du groupe!
De plus, contrairement aux notes de pochette qui laissent à penser que le line-up originel s'est reformé (ce qui est faux puisque Albert fut viré en 81 et qu'il ne sera jamais réintégré, tout comme son frère Joe qui fit ses valises en 86), une grosse partie des sessions fut effectuée par Albert Bouchard et des musiciens additionnels (ce n'est que plus tard, que Buck Dharma et les autres furent appelés pour enregistrer quelques pistes, mais le plus gros avait déjà été fait auparavant!).
Donc bien qu'il en porte le nom, ceci n'est pas un album de B.Ö.C. pour ma part!
Quand au contenu musical, on est dans la triste continuité de ce que le groupe avait déjà proposé sur les 2 albums précédents, mais cette fois çi avec un côté heavy un peu plus prononcé (il fallait bien justifier l'avalanche de guitaristes supplémentaires!).
Quand au mixage, c'est un vrai cauchemar! en fait, une production affreusement typée fin des années 80 dans laquelle la batterie hyper rigide (ou de la boite à rythme, tellement tout ça est joué sans âme!) et les autres instruments sont noyés sous une reverb insupportable! quand aux choeurs surchargés, ils accentuent encore plus le côté négatif de l'ensemble! (les pires exemples étant pour moi l'inutile reprise de "Astronomy" complètement loupée, le pachidermique et grandiloquent "The Siege And Investiture...." et l'incongru "Imaginos").
En faisant abstraction de la prod catastrophique, je sauve tout de même les 3 premiers morceaux: le lourd mais racé "I Am The One You Warned Me Of", l'efficace "Les Invisibles" et le joli "In The Presence Of Another World" malgré sa fin trainant en longueur (le titre aurait dû s'arrêter à 4mn, les choeurs gâchant tout encore une fois!).
À la sortie de Imaginos, le groupe fit une tournée de promotion fin '88/début '89 (sans les frères Bouchard bien sur!) mais n'interpréta pas plus de 2 titres dudit album! ("I Am The One You Warned Me Of" et "In The Presence Of Another World"), et passée cette tournée, le groupe ne jouera plus jamais ces 2 morceaux! ....ce qui prouve bien que Bloom, Buck Dharma et Lanier n'avaient pas grand chose à faire avec ce concept-album fumeux!
L'album fit un bide et Columbia se séparera du groupe peu après, laissant la formation sans maison de disque durant 10 ans! (juste 2 chansons sur la B.O. de Bad Channels en 92 et c'est tout!).
Un retour discographique en 98 avec l'honnête mais très inégal Heaven Forbid, puis un étonnant regain de forme et d'inspiration retrouvée pour le très bon Curse Of The Hidden Mirror en 2001 (pour moi, le meilleur album de B.Ö.C. depuis l'excellent Fire Of Unknown Origin en 81, soit 20 ans après!).





The CONGOS
HEART OF THE CONGOS


Le 12 Juillet 2012 par MATHEO

Très bonne critique. Merci pour les infos. N'étant pas du tout spécialiste de reggae, je peux quand même dire que ce disque est fabuleux et qu'il a tourné en boucle très longtemps chez moi. Je ne m'en suis jamais lassé.





BLUE ÖYSTER CULT
IMAGINOS


Le 11 Juillet 2012 par DARK SCHNEIDER


Imaginos, en voilà un album à la conception complexe et problématique, qui s'intègre difficilement dans la discographie de BOC. Il faut dire que la carrière des américains a pris un tournant assez étrange depuis Revolution by night avec l'apport de plus en plus conséquent de compositeurs extérieurs. Mais la qualité est toujours restée au rendez-vous. Club Ninja, bien qu'assez impersonnel, était un bon disque qui annonçait clairement la couleur quant à ce Imaginos.
Néanmoins, le fait que cet album est sorti sous le nom de BOC me parait largement abusif! Bloom et Roeser semblent être ici presque relégués au rang de musiciens de studio. D'ailleurs, Bloom est quasiment absent du disque : assurant le chant sur trois morceaux et c'est tout! Pas une seule note de guitare de sa part!
Clairement, Imaginos est l'album de Sandy Pearlman, le producteur et parolier, et d'Albert Bouchard, qui officiellement ne faisait plus parti du groupe. Un sacré bordel!

Et ça se ressent à l'écoute de l'album. "The siege and investiture..." est un morceau excellent, et du fait de son interprétation sonne très heavy US de l'époque, mais ne donne vraiment pas l'impression d'être un titre de BOC. Toute cette valse de musiciens fait que l'on a du mal parfois à s'y retrouver dans cet album. On retrouve une diversité de compositions cher au groupe, mais pour une fois, la "patte" BOC ne semble pas toujours être présente...normal au vu de la gestation de ce disque.
La production, FM et très daté (moins réussi que celle de Club Ninja), donne cependant une unité à l'ensemble, et confère une atmosphère à l'album (que certains qualifierons très certainement de kitch, notamment pour les choeurs).

Il n'en demeure pas moins, que malgré toutes ces réserves, qu'Imaginos est un très bon album qui contient son lot de grand titres. "Blue oyster cult", "The siege of investiture...", "I am the one you warned me of", "Imaginos", et même la reprise d'"Astronomy" sont autant de grand titres.

Et même si ce disque n'aurait pas du sortir sous le nom de BOC, il n'en reste pas moins paradoxalement un indispensable de leur discographie! Et la dernière oeuvre studio notable du groupe...





PLACEBO
SLEEPING WITH GHOSTS


Le 09 Juillet 2012 par MR G


Un putain d'album encore que ce Sleeping with ghosts , l'album le plus froid de Placebo, certainement dû à l'excellente production ! Cet album est très planant dans son ambiance et très mélancolique également ! Je pense que c'est l'année où on a le plus entendu parler du groupe en France, car depuis a part les titres de cet album qui ont fait office de singles, on n'en entend plus trop sur les radios dites branchées(je ne vise aucune de ces choses qui veulent se faire passer pour des radios) ! Un album important pour le groupe et d excellents moments en plus des 4 très bons singles ! Mention spéciale au titre Sleeping with ghosts qui me donne des frissons !





TANGERINE DREAM
EXIT


Le 09 Juillet 2012 par WALTER SMOKE

Peut-être que je me suis mal exprimé, mais ce que je veux dire, c'est que quelle que soit la nationalité de Tangerine Dream, Kiew Mission aurait été meilleur si les "paroles" n'étaient pas en russe.
Et puis, sans pour autant être si controversé, Exit divise, je le sais. Mais bon, comme mauvais album, il y a bien pire !





BLUE ÖYSTER CULT
FIRE OF UNKNOWN ORIGIN


Le 09 Juillet 2012 par DARK SCHNEIDER


Le voilà! LE chef d'oeuvre de BLUE OYSTER CULT ! Bon, on le savait déjà depuis longtemps que BOC était un groupe de premier ordre mais jusqu'à présent il n'avait pas encore vraiment réussi à sortir un disque ultime. (bien que pour ma part, on en est pas loin avec Secret treaties et Agents of fortune).

Mais là, enfin BOC parvient à sortir un disque excellent de bout en bout et totalement unique. Bon, il est vrai qu'en réalité je ne suis pas très fan de la conclusion de l'album, "Don't turn your bakc", de loin le titre le plus faible, mais le reste du disque atteignant un tel niveau je leur pardonne aisément.

Spectres avait marqué un peu le pas, Mirrors était clairement un échec artistique, mais Cultosaurus erectus marquait un retour en force, le groupe s'inscrivant bien dans son époque. Mais Cultosaurus, malgré tout le bien qu'on en dit, manquait de tubes et de grands titres. C'est là que Fire of unknown origin le dépasse en tout point. Sur ce disque, dont chaque titre est un tube potentiel, les musiciens se surpassent tant en terme de composition que d’interprétation. Fire est le parfait contrepied de Cultosaurus. Ce dernier était un album de hard rock au style relativement balisé (ça reste du BOC, hein), alors que Fire tape dans des registres beaucoup plus divers et variés. C'est ce qui fait que chaque titre est unique. BOC fait donc partie de ces groupes qui goûtent savamment le reggae rock si bien m'y en valeur par POLICE à l'époque (évident sur les 2 premiers titres, écoutez donc ces couplets), qui emprunte aussi certains éléments à la new wave (les claviers ambiances de Veteran of the psychic wars)...Bien entendu, le Hard rock et le heavy metal sont de la partie, mais en deviennent qu'un élément parmi d'autres. On ajoute à cela une production parfaite, qui n'a pas pris une ride (très certainement l'album de BOC qui vieillit le mieux en terme de son).
Au final, c'est de Agents of fortune que cet album se rapproche le plus, pour sa variété de style et sa qualité artistique. BOC continuera d'explorer le filon ouvert par cet album, mais sans jamais atteindre le même niveau. Le départ d'Albert Bouchard semblant avoir causé pas mal de souci au groupe, jusqu'à arriver à la situation ubuesque d'Imaginos, faux album de BOC, véritable disque d'Albert Bouchard qui n'a même pas joué dessus!

Peu importe, Fire of unknown origin est pour moi le meilleur album de Blue Oyster Cult, et tout simplement un des meilleurs disques de l’histoire du rock!





BLUE ÖYSTER CULT
CLUB NINJA


Le 09 Juillet 2012 par LEO


Club Ninja (quel titre à la con! ) est typique de ces albums du milieu des 80s', avec une prod privilégiant une batterie (voire une boite à rythmes !) reverbérée, des compos banales et sans relief et des musiciens additionnels (inutiles) en pagaille pour un résultat médiocre !
Les membres du BLUE ÖYSTER CULT avaient-ils besoin de cela, eux qui avaient déjà eu du mal à s'en sortir sur le décevant The Revölution By Night après le départ (ou l'éviction ?) du regretté Albert Bouchard, qui contribuait grandement à l'écriture (et à la diversité) des morceaux !
Parce que là, il faut bien le dire, du groupe d'origine il ne reste plus que 3 membres !

Eric Bloom, Buck Dharma et le bassiste Joe Bouchard.
Exit l'indispensable et discret Allen Lanier (qui n'appréciait guère la tournure musicale qui se profilait à l'horizon) et l'anonyme Rick Downey (le suppléant d'Albert Bouchard sur le double live Extraterrestrial et l'album studio précédent).
Que viennent faire dans cette galère un second guitariste, un second bassiste et 2 batteurs + divers choristes bidons quand on connait ce que valent musicalement et vocalement Eric Bloom, Buck Dharma et Joe Bouchard !? (mystère insondable!)

Que sauver de ce vide créatif ? Tout juste quelques titres sur lesquels Buck Dharma intervient en tant que chanteur principal :
"Dancin' In The Ruins" (même pas signé pas un membre du groupe) est agréable mais plutôt dispensable. Idem pour "Perfect Water", sympathique mais complètement lisse et transparent ! Dans le même genre, "Spy In The House Of The Night" relève un peu le niveau mais dans le style AOR, Flat Out (l'album solo de Buck Dharma sorti en 82) est lui bien plus réussi et diversifié et c'est par là qu'il faut commencer si l'on veut entendre ce genre de titres ! Par contre je n'aime pas le maladroit et longuet "Madness To The Method" avec ses choeurs grandiloquents (qui m'évoque déjà l'album suivant !).

Je zappe tout le reste, que ce soit l'unique compo complètement loupée de Joe Bouchard ou les titres poussifs (du hard 80s' stéréotypé) chantés par Eric Bloom.
Bref, Club Ninja rejoint direct Mirrors (et le futur Imaginos) dans le lot des albums ratés du B.Ö.C.





TANGERINE DREAM
EXIT


Le 09 Juillet 2012 par ARP2600

Sans doute le répétitisme et la froideur d'Exit ne peuvent-ils pas plaire à tout le monde... j'assume cependant pleinement ma note maximale, je suis certain à 100% qu'il s'agit d'un grand album. C'est curieux, tout de même, je trouve la deuxième partie de Tangram autrement plus monotone et lassante que ceci...
Sinon, Walter, quand tu dis TD anglais, je suppose que tu parles uniquement des titres donnés aux morceaux depuis Phaedra ? Le groupe est purement allemand, tout de même.





TANGERINE DREAM
EXIT


Le 09 Juillet 2012 par WALTER SMOKE


En 1981, Tangerine Dream peut être plus que fier d'avoir pris Johannes Schmoelling comme troisième membre, avec ces deux merveilles que sont Pergamon et Tangram, et par la suite, des albums comme White Eagle et Logos le confirmeront. Mais pas Exit, assez surestimé à mon goût !

Mais pourquoi donc ? Ben franchement, c'est pas tant le nombre record de morceaux ni leur longueur qui me démangent, après tout, Le Parc et Optical Race ne me lassent jamais, c'est le caractère répétitif qui ici, ne convainc pas. Déjà Madrigal Meridian était bien lourd, mais là, on sent une certaine inadéquation rendant les morceaux bien stériles : l'exemple le plus parlant reste Pilots Of Purple Twilight, désespérément creux et sans âme; Chronozon est quant à lui horrible, rivalisant de médiocrité avec les titres de Melrose et de Rockoon, tout simplement, et le morceau titre...en plus lent et plus long, ça pourrait faire un bon morceau de drone music.

Cependant, les trois autres morceaux sauvent l'affaire. En effet, Kiew Mission est très bien construit. C'est surtout la première partie qui est plaisante, un vrai bonheur, quoiqu'en russe, ça peut faire tiquer très légèrement - ça aurait été mieux en allemand, et ce même si TD était anglais. Puis Network 23, lui, est un pur chef-d’œuvre, bien qu'un peu austère, et si Remote Viewing est assez anecdotique, il n'empêche qu'il me fait penser à la BO de Risky Business, composée par TD trois ans plus tard, et ça, ça me plait.

En conclusion, je suis assez partagé en ce qui concerne Exit, mais aujourd'hui, pas de clémence, ma note sera dure. Après, il faut relativiser, Tangerine Dream ayant toujours oscillé entre le bon et l'excellent, il fallait qu'un jour ou l'autre Froese et ses comparses se plantent, c'est statistique.







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