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Nicki MINAJ
PINK FRIDAY: ROMAN RELOADED


Le 22 Juin 2012 par WALTER SMOKE

Oh misère
...

Dans l'histoire des arts, il existe des périodes fastes et des périodes où ça va mal, très mal. Manque de bol, je suis un jeune qui n'a pas connu les années 70 et 80, et je vis mon existence de jeune adulte à une période musicale où tout bruit est musique. Tout, y compris ce que fait Nicki Minaj.

Pink Friday : Roman Reloaded est la quintessence même de tout ce que l'industrie musicale peut nous offrir de pire au XXIe siècle. Vulgarité totale et sans concession, choix musicaux faisant montre d'une médiocrité inouïe, et surtout des clips à qui des ajouts de scènes porno ne feraient que parachever la chose. Argh. Et puis, quel intérêt de trafiquer ainsi sa voix ? Réponse : la notion de chanteur à voix se perd, l'important, c'est que le chanteur sache vendre par le visuel et puis c'est tout. Même si l'approche commerciale était aussi de mise chez les Spice Girls par exemple, au moins pouvait-on déceler un minimum de talent, mais là, patate.

Et puis, je ne pose pas en chantre de la morale - sinon, que viennent foutre mes albums de Bathory chez moi ? - ni en vieux con nostalgique, mais franchement, faut aussi penser à nos gosses qui peuvent prendre exemple sur eux, et si j'avais une fille, je lui collerais le premier album d'Alizée entre les esgourdes plutôt que ça !!!

Bref, un cauchemar pour les oreilles, prévoyez quelque chose de radical pour contrer des effets post-écoute, perso, j'ai dû enchainer Talk Talk, Alizée et Freddie Mercury en solo pour oublier.

Note réelle : 0/5, parce cela insulterait d'autres mauvais albums





Nicki MINAJ
PINK FRIDAY: ROMAN RELOADED


Le 22 Juin 2012 par RED ONE


Contrairement à ce qu'on pourrait penser lorsqu'on lit le line-up, je n'ai en AUCUN cas participé à l'enregistrement de cet album, eh eh ... (et d'ailleurs je ne me suis en AUCUN cas inspiré du producteur Redone pour mon propre pseudonyme de chroniqueur ...)

Plus sérieusement, oui, cet album est une pure bouse bien moisie. Le précédent effort était déjà bien crasseux, mais là on atteint des sommets de merdasse et de caca auditif. Je ne comprends pas ce qui a pu attirer MADONNA chez Nicki Minaj pour l'avoir invitée à venir chanter sur MDNA ...





The SOFT MACHINE
THIRD


Le 21 Juin 2012 par LE MERLE MOQUEUR


À propos du THIRD de SOFT MACHINE

Il était temps de rendre un nouvel hommage à ce disque intemporel.

Tout semble débuter par une pâte informe et incolore de laquelle
perce non sans mal l'ébauche d'une silhouette , d'un relief musical.

FACELIFT ,
Il faut attendre quelques minutes pour assister à une métamorphose de sons qui seront martelés par la batterie de Robert Wyatt ( il me semble par instant saisir des filaments de KING-CRIMSON puis des intonations de flûte de "JETHRO-TUL...") mais très vite le génie propre du groupe est là ...
... solide ... et la MACHINE nous envahie par son intelligence , sa culture , sa recherche décomplexée (nous sommes dans la pleine époque de la musique sérielle et atonale)
son plaisir de jouer... et la voilà qui nous dépose en douceur sur une planète inconnue avant de nous entrainer dans une dynamique fine et réglée au cordeau...

de SLIGHTLY ALL THE TIME
la répétition voulue et incantatoire dans la deuxième partie nous débarque , alors que l'hypnose s'installait , sur une plage baignée de lumière tombante où nous redevenons pour un instant libre de nos mouvements et nos impressions ...
Nouveau paysage de cette nouvelle planète mais déjà la MACHINE repart de plus belle dans une rythmique rigoureuse... avec un sax désaxé... pour finalement disparaître dans un écroulement complet de tous les instruments.

MOON IN JUNE ,
un chantre , un barde durant une dizaine de minutes nous invite à une célébration sans nom , puis de nouveau l'insaisissable Machine nous propulse vers d'autres horizons , dans un accompagnement vocal désabusé mais paradoxalement confiant...
la nuit tombe sur le troisième morceau et des ombres étranges se profilent de toutes parts dans une danse ralentie , hallucinatoire...

L'émergence d'un monde nocturne nous plonge dans un déjà-vu ancestral ...

OUT-BLOODY-RAGEOUS ,
morceau d'une subtilité et discernement rare , nous voilà embarqués de nouveau à l'origine d'un domaine musical insolite , la beauté arrive par vagues répétitives , incessantes , un baume de sonorités presque magiques , un bain salvateur qui dans la deuxième partie du morceau nous propulse dans une course jazz-rock poursuite toute en souplesse ...

puis cette œuvre aboutit en apothéose... déferlement de gouttelettes d'eau porteuses des germes la vie... une composition digne des plus grands musiciens contemporains que sont Terry Riley , Steve Reich , Morton Feldman ,

mais

c'est du SOFT MACHINE , du très grand SOFT MACHINE...





PRINCE
DIRTY MIND


Le 20 Juin 2012 par SEIJITSU


Je ne pensais pas que Oncle Viande appréciait Prince !

Sinon je suis totalement d'accord avec lui, c'est un très bon album qui augure du meilleur. Ce qui fait la force de Prince ce sont ses synthétiseurs, très ancrés dans leur époque mais qui ont pourtant su conserver tout leur charme. Ainsi que sa voix singulière, qui ne fait pas l'unanimité évidemment.

Je réserve toutefois de meilleurs notes aux autres albums que je connais de lui, dont le fameux "Sign' O The Times"





PRINCE
DIRTY MIND


Le 20 Juin 2012 par ONCLE VIANDE

Le premier classique de Prince. Massif, minimal, encore mal dégrossi et c'est son charme. Alors que la new wave célèbre de nouvelles valeurs, Prince modernise la black music avec génie. Production dure, rythmes martiaux et paroles salaces pour une musique burnée jusqu'aux amygdales. Le nain de Minneapolis n'a pas le talent mélodique de Stevie Wonder mais rivalise en éclectisme. La guitare et les chœurs apportent l'élément organique. Le feeling soul est bien là. Au final, ça glisse comme une lettre dans la boîte. Restons chastes.

Hey Marco, tu comptes aller jusqu'à "Sign' O The Times" au moins ?





Neil YOUNG
AMERICANA


Le 20 Juin 2012 par URSULA 419


Comparer Fork In the Road et Le Noise est un mauvais calcul, Le Noise bien que perturbant est probablement un des meilleurs essais depuis longtemps du Loner. Fork in the Road est un album à la ramasse qui part dans tous les sens sans grand intéret. Quant à ce Americana, je suis d'accord, c'est un peu bof bof, ils s'amusent bien c'est l'essentiel...





TEDESCHI TRUCKS BAND
EVERYBODY'S TALKING


Le 19 Juin 2012 par ERWIN

Derek est un guitariste juste phénoménal. c'est l'évidence. Il est le meilleur des gratteux qu'a vu passer le ABB, ce n'est pas peu dire...





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 18 Juin 2012 par WALTER SMOKE


Commentaire d'Abbey Road, version 2.0 (parce que le premier commentaire, avec le recul, était trop méchant et surtout pas argumenté) :

Alors, Abbey Road ? Oui, c'est l'album du siècle, diront certains, il est inattaquable diront d'autres. Certes, certes. Mais franchement, j'ai encore plus de mal à comprendre l'engouement des gens pour cet album que pour Sgt Pepper ! Encore l'album blanc était si gros qu'on pouvait statistiquement trouver au moins un morceau qui pourrait nous faire plaisir, et là, pour Abbey Road, eh bien...patate.

Enfin, pas tant que ça, y'a quand même Come Together, assez énorme, je l'avoue !!! Mais on a deux problèmes : d'abord, 3 minutes et 41 secondes, c'est trop long, on aurait dû le raccourcir, dommage; ensuite, c'est le seul morceau correct de la face A, puisque Something et Octopus' Garden ne sont pas pour ainsi dire des chansons réellement réussies, la première ne se laissant écouter que pour ses cordes - ou son mellotron, j'arrive pas à faire la différence - et la deuxième est niaise et désolante; quant à Oh ! Darling, elle fait partie d'un genre musical que je maitrise tellement mal que je refuse de donner mon jugement.
Par contre, on a bien deux grosses déceptions. La première, Maxwell's Silver Hammer, comment dire...pour le moog, j'approuve, mais vu son utilisation, ça laisse à désirer, et l'argument "c'était les débuts" me laisse dubitatif, mais bon, à la base la chanson reste pourrie - désolé de le dire aussi crûment; quant à I Want You (She’s So Heavy), ben c'est sympa de faire un truc aussi long, mais là, nos scarabées auraient tout donné dans le chant les deux premières minutes pour laisser parler leurs instruments, là je signerais, sauf que là...atroce. Les Doors avaient réussi l'exercice avec Light My Fire deux ans plus tôt, ainsi que King Crimson en cette même année 1969.

Face B, maintenant ? Ben là, on est accueilli par Here Comes The Sun, chanson réussie dans l'ensemble, et je rends compte que je devais avoir de la merde dans les oreilles quand je l'ai écouté la première fois, on regrettera cependant des chœurs altérant la qualité de la chanson, dommage, vraiment. Puis Because, où l'on retombe dans les travers de la chanson mauvaise, avec toutefois la reprise d'un riff de I Want You, intéressant. Mais pas grand-chose de plus à dire. You Never Give Me Your Money, franchement, est la chanson de l'album qui m'a forcé au facepalm : en effet, la première minute est magique - attention vous me lisez en train de faire l'éloge d'une création des Beatles !!! - et puis, ça s'écrase lamentablement, houlala !
Et là, on arrive au plat de résistance, le fameux medley !!!! Ouais, sauf que...You Never Give Me Your Money en est le début, et n'annonce pas de facto ce qui va se passer. Et il se passe quoi ? Ben un tas de morceaux qui concourent au titre de plage la plus inutile, depuis Sun King jusqu'à The End, pouah ! Bon, après, ce sont des morceaux inachevés, donc c'est une circonstance atténuante, je vous l'accorde, et puis ça montre au moins que les quatre virtuoses de Liverpool ne pondaient pas leurs succès de manière systématique ! Et Her Majesty, premier morceau caché de l'histoire de la musique, on ne retiendra que ça.

Abbey Road, au final c'est quoi ? Bof, une grosse occasion manquée de faire un album vraiment génial, avec de bonnes idées gâchées par certaines compos foireuses. Mais avec le temps, on les trouve, ces bons éléments.
Note réelle : 2,5/5

Morale de l'histoire : il faut savoir donner une seconde chance.

PS : ce commentaire n'a pas pris en compte les conditions d’enregistrement, j'ai voulu privilégier le côté musical de l'affaire. Après si ça biaise mon opinion, j'en suis le premier désolé.





STRAY CATS
STRAY CATS (RUNAWAY BOYS)


Le 18 Juin 2012 par TONTON CLEM


En 1981, les STRAY CATS sortent leur premier album éponyme, l'un des plus cultes des années 80. C'est vrai qu'à cette époque en Angleterre, c'est la New-wave qui fait sensation avec des groupes comme DEPECHE MODE, SIMPLE MINDS ou TEARS FOR FEARS qui marqueront de leur sceau cette période dorée. Alors, que vient foutre un Américain fan d'ELVIS et de Gene VINCENT avec sa Gretch et sa banane blonde dans le Londres des 80's ? En effet, Brian Setzer et ses deux comparses se sont éloignés de leur terre new-yorkaise pour imposer leur Rock 'n' roll vintage sur le territoire anglais.

Ce "Stray Cats" est bourré de classiques. La guitare vrombissante de Setzer domine l'album de bout en bout, que ce soit sur "Runaway Boys" avec son intro jouissive (contrebasse en cascade par Lee Rocker qui porte bien son nom et batterie détonante par Slim Jim Phantom au nom plus... bizarre), le remuant "Storm The Embassy" qui traite d'un sujet assez inhabituel, l'hymne très "American Graffiti" qu'est "Rock This Town" avec son refrain culte de chez culte, ça respire le Rock 'n' roll des fifties, les belles bagnoles, les jolies filles, les milkshakes au Diner entre potes...

Les Chats de Gouttière imposent leur style sur des titres géniaux tels que la reprise magistrale de COCHRANE "Jeanie, Jeanie, Jeanie", "Stray Cat Strut" avec ses chœurs (et miaulements !) chaleureux, l'excitant "Ubangi Stomp" avec ses "wouhouwouhou !!!" qui cassent la baraque... On notera également un "Crawl Up And Die" martial à souhait grâce à la rythmique de Slim Jim Phantom et un "My One Desire" où Setzer s'amuse à jouer les crooners pour notre plus grand plaisir. Même "Wild Saxophone" passe bien, bien que j'ai toujours l'impression que Setzer chante à pleine voix face à une foule de 3 ou 4 personnes...

"Stray Cats" made in STRAY CATS (ici, c'est comme pour le "Black Album" des METS, je me contenterai de l'appellation éponyme) sera un grand succès partout en Europe. Le trio enchaînera les disques et les reformations par la suite, mais il n'atteindra jamais l'énergie et la puissance engendrées par cette galette incontournable. Qu'est-ce-que j'ai pu l'écouter, ce disque à la pin-up sur le pick-up ! Un chef d'oeuvre de musique Rockabilly qui rend aussi hommage aux plus grands de ce genre.

Miaou.

Morceaux favoris : "Runaway Boys", "Ubangi Stomp", "Jeanie, Jeanie, Jeanie", "Rock This Town", "Stray Cat Strut", "My One Desire".





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 16 Juin 2012 par FRANCK


Le meilleur album de la fée, le plus sombre, le plus enigmatique aussi.. Une musique inclassable.
Alors comme ça, c'est de la New Wave ? Là je rigole un peu..





KISS
HOTTER THAN HELL


Le 16 Juin 2012 par ATOMDOOM


Cet album de KISS fait partie de mes préférés pour ne pas écrire mon préféré ! Il ne contient pas de titres faibles et même quelques perles comme "Parasite", "Going'Blind", "Hotter than hell", "Watchin ' you" et mon titre préféré l'excellent "Strange ways". Ce deuxiéme album est vraiment une réussite que ce soit au niveau du tracklist et cette production "mal foutue" lui apporte apporte ce quelque chose de "naïf" au groupe qui disparaitra peu à peu avec le succés et l'ampleur de la machine KISS ! Il faut relativiser car la production n'est pas pourrie quand même. Un incontournable de la disco de ce groupe.





SUPERTRAMP
SUPERTRAMP


Le 15 Juin 2012 par DA PONTE


J'ai découvert cet album après les classiques "Breakfast..." "Crisis" etc... et j'ai eu un choc. Album envoutant par la nostalgie qu'il dégage. Cet album est un OVNI qu'il faut au moins avoir écouté une fois. Ensuite, je ne dirais pas que je le réécoute régulièrement.





CHICAGO
THE CHICAGO TRANSIT AUTHORITY


Le 15 Juin 2012 par DA PONTE


Quand j'écoute Chicago, je ne pense pas jazz-rock mais plutôt rock progressif... quoique. Il est étrange ce groupe, difficilement définissable en fait. Une espèce d'auberge espagnole musicale. On y trouve de tout. Souvent, les morceaux commencent mollement et puis tout d'un coup ça commence à se remuer et ça fini par s'emballer et ça fini en apothéose. Objectivement, les morceaux sont souvent bancals, voire limite foireux... mais comment dire y a une espèce de magie qui fait que la sauce prend. Chicago c'est un peu comme ces séries américaines toutes pourries qu'on regarde, en ce disant que c'est nul, mais dont on ne loupe jamais un épisode. Chicago c'est bien racoleur comme musique mais j'adore !!! J'adore uniquement les premiers albums, les meilleurs à mon sens... Ensuite non merci...





Kate BUSH
50 WORDS FOR SNOW


Le 15 Juin 2012 par FRANCK


Je suis consterné.
Decidement, la Fée Bush qui nous avait pourtant habitué à de jolies compositions ciselées avec rhytmes, ambiances à couper au couteau ( The Dreaming ), nous livre là son pire album avec " Aerial " .
Cette tentative organisée d'offrir à nos oreilles délicates la molesse ( comme dirait LEO ) m'afflige au plus haut point. C'est bien simple, je ne reconnaît même plus sa voix toujours claire pourtant.
Ca me fait penser au retour de Peter Gabriel qui, avec son album à la fleur sur pochette ( dont j'ai oublié volontairement le titre).
Quand la linéarité a le goût de flotte, je zappe tout simplement.





YES
90125


Le 15 Juin 2012 par WALTER SMOKE


Prenez la section rythmique la plus stable que je connaisse, faites-y revenir un chanteur qui a composé trois bons albums avec le plus célèbre des électroniciens grecs et le premier claviériste, et ajoutez-y un jeune guitariste sud-africain et vous obtenez 90125, le troisième meilleur album de 1983, derrière Crises de Mike Oldfield et Thriller de Michael Jackson !!! Bon, on aurait souhaité un suite à Drama, mais les fans ont détesté le remplaçant de luxe Trevor Horn et réclamaient à cor et à cri Jon Anderson, et ils l'auront eu, mais plus en forme que jamais, ouais !!! Et que dire des synthés de Tony Kaye et des riffs de Trevor Rabin, ah, on prend son pied assurément, notamment grâce une production en béton assurée par... Trevor Horn himself !!!! Étonnant, n'est-ce pas ?

90125 est pour moi un excellent album, et rien que la face A le montre, avec quatre tueries ultimes, à commencer par Owner Of A Lonely Heart, qui mérite largement sa place de hit ultime, avec un équilibre presque parfait entre les instruments et Anderson visiblement bien inspiré, mais pour ma part je retiendrai surtout le riff de l'intro joué par Rabin, qui montre qu'il y a une vie après Steve Howe ! Le seul défaut de ce morceau, c'est qu'il me sert de réveil !!! Hold On est dans la même veine, bien que moins hard et plus long, mais se trouve être encore meilleur, malgré un très léger manque de puissance dans le chant et une basse peu présente - un comble pour Chris Ier l'Inamovible ! Et vous savez quoi ? C'est pas fini, It Can Happen est tout simplement LA MEILLEURE CHANSON DE YES !!!!!! Enfoncé Roundabout ! Dégage Close To The Edge !! Voilà l'hymne du groupe par excellence !!! Bon, après, un peu de "moins bien" avec Changes qui se paie quand même le luxe d'être incontournable !

En retournant le disque, on débouche sur Cinema, un court instrumental bien long - paradoxe ! - et Leave It, le point faible de l'album, qu'il ne faut pas écouter trop souvent sous peine de le détester, dommage. Par contre, Our Song, bien qu'ayant une intro au clavier me faisant penser à Avril Lavigne (HORREUR), est tantôt rapide, tantôt lente, mais reste incroyablement dynamique, pendant que City Of Love se présente comme un titre d'AOR bien péchu. Et au final, on a aussi Hearts, le morceau le moins pop de 90125, mais qui affiche plus que les autres un côté romantique de comptoir, encore dommage.

90125 est l'album de Yes à ne pas rater, ça c'est clair !!! Une valeur sûre à ne pas rater.

Note réelle : 4,5/5





GENESIS
ABACAB


Le 15 Juin 2012 par WALTER SMOKE


En voilà un album qu'il est difficile !!! Abacab, ou comment Genesis atteint définitivement le point de non-retour dans leur voyage dans la pop. Se pose alors la question : peut-on raisonnablement fuir ce groupe au vu des horreurs que sont ...And Then They Were Three... et Duke, pondus dans une volonté de plaire au grand public ? Non, non, non, Genesis fait partie, tout comme Yes, de ces groupes de prog ayant réussi à vivre tranquillement pendant les années 80, malgré la malédiction de 1978 - n'est-ce pas, les gars de Gentle Giant ?

Abacab est donc un bon album, alors ? Pas tant que ça, en fait : les légendes ont toujours un fond de vérité, et à l'écoute de l'ouverture éponyme, je comprends que les gens aient pu avoir peur et le jeter avec révulsion : c'est moche, répétitif et atrocement long; et No Reply At All n'arrange pas les choses avec sa section cuivres complètement moisie, et c'est seulement à partir de Me And Sarah Jane qu'on voit les bonnes choses du disque, à savoir des pop songs à l'écriture facile mais efficace, même si la boîte à rythmes gâche l'intro de ce morceau génial. Quant à Keep It Dark, qui conclue par ailleurs la face A, le riff de guitare est peu fameux, et tout comme Abacab, il est répétitif, mais dans des proportions acceptables.

En face B, la suite Dodo/Lurker...mouais, ça rappelle à certains le Genesis période prog, mais franchement, moi je dis "bof", parce qu'elle les claviers de Banks parasitent un morceau qui aurait tellement gagné à avoir plus de guitares ! On appréciera cependant un rythme assez intéressant. Et puis, Who Dunnit...houlà, à moins de prendre ça comme une blague comme seuls les anglais savent le faire, je ne vois vraiment pas comment l'aimer quand on a passé l'adolescence ! Et Another Record aurait du en fait s'appeler Another Bad Track, puisqu'il est terriblement moche et constitue une conclusion déguelasse. Et entre les deux se trouvent les deux raisons de se procurer Abacab : d'abord, Man On The Corner, bien qu'ayant plus sa place sur un album solo de Phil Collins, reste une très belle réussite, mais manque un peu d'émotion, tout comme Like It Or Not, dont la seule déception sera un sentiment d'inachevé, mais relatif et négligeable, ce qui est un bon point.

Abacab est donc un album de bonne facture, et bien que tous les morceaux ne peuvent être qualifiés de bons, il est dommage de le fuir car étant dans la période Phil Collins.





KISS
HOTTER THAN HELL


Le 15 Juin 2012 par LEO


Je ne sais si Hotter Than Hell est le meilleur album de KISS, mais en tous les cas c'est bien mon préféré de toute leur discographie (et ce, malgré un son plus que suspect!).
Effectivement, la production est pas mal foutraque, mais en fait cet aspect là ne me pose pas de problème étant donné les excellents morceaux qui composent cette galette!
Contrairement à TOMTOM et AMBULATORY ABE, je ne considère pas "All The Way" comme une compo faiblarde et "Goin' Blind" ne m'apparait pas mièvre du tout!
Même le simpliste "Mainline" (chanté par PETER CRISS mais écrit par PAUL STANLEY!) se révèle plaisant et enjoué (en tous cas, bien plus qu'une horreur telle que "Beth" qui verra le jour 2 ans plus tard!) et le sympathique "Comin' Home" de STANLEY ne démérite pas non plus!
Bref, pour moi ce Hotter Than Hell juvénile et fougeux est l'album de KISS que j'ai le plus de plaisir à réécouter avec les années.





KISS
HOTTER THAN HELL


Le 15 Juin 2012 par AMBULATORY ABE


Pour moi c'est le meilleur album de Kiss. Même si la production est médiocre, elle est la même sur tout l'album, contrairement aux albums suivants (et surtout Rock N Roll Over) le son de la batterie est le même du début à la fin. D'ailleurs je trouve Peter Criss très créatif ici, il bat bien de le rythme au lieu de s'amuser à taper sur les Toms (c'est son rock 60's...), et on l'entend faire ce qui semble être de la double pédale sur Let Me Go Rock N' Roll!!

On a l'impression d'écouter un groupe certes en progrès mais soudé, et qui écrit tous ses morceaux sans trop écouter des paroliers ou des musiciens de session.

Les solos sont géniaux notamment sur Going Blind (balade au son super lourd, d'ailleurs reprise par les Melvins) et sur Strange Ways, l'outro de Hotter Than Hell qui en plus de posseder un super solo, se base sur un riff enorme.

Les chansons sont toutes convaincantes, et si Main Line et All the way sont moins bonnes que l'ensemble, je trouve quand même que c'est la seconde des deux chansons qui est la plus mauvaise car il lui manque une vrai fin, sans quoi elle reste trop répétitive.

En résumé, des compos qui groovent, de bon riffs, et un son qui se rapproche malgré lui très près de l'imaginaire du son des années 1970's: beaucoup d'aigus, distos faibles avec des riffs monstrueux.

cf: judas priest.





Laurent VOULZY
LYS & LOVE


Le 10 Juin 2012 par MR G


Impressionnant, cet album a quelque chose de completement irréel, comme si il avait été fait a la fois dans le passé et le futur! C est d une beauté mélancolique nouvelle, qui distille des emotions rarement entendues et eprouvées! C est un énorme album! Si toute la pop francaise pouvait etre au moins de la moitiée de cette qualitée...





Anthony PHILLIPS
THE GEESE AND THE GHOST


Le 10 Juin 2012 par WALTER SMOKE

@Acey : non, aucune erreur, c'est bien John Hackett, le frère du Steve que tout le monde connait ;)

http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=3043







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