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BLACK SABBATH
DEHUMANIZER


Le 29 Septembre 2023 par NEURASTHéNIC BITCH


Pour moi le meilleur Sab avec Dio. Le plus sombre, avec des midi tempo lourds et une ambiance de fou. La prod' est vieille, la pochette atrocement infâme.





BLACK SABBATH
13


Le 29 Septembre 2023 par NEURASTHéNIC BITCH


L'album qui m'a fait haïr le Sab, et pas seulement car Dio n'est pas cité dans la Sabbath family du livret. C'est nul.





MOLLY HATCHET
MOLLY HATCHET


Le 29 Septembre 2023 par TONIO


J'ai acheté cet album pour que dalle vers 1994/1995, chez un disquaire d'occaz, car je trouvais la pochette cool. Alors en pleine découverte du thrash death, je ne jurais que par Massacre, Death, Atheist et bien d'autres. Bien que le style n'ait rien à voir, j'ai accroché direct au son, aux riffs, aux solis endiablés, bref, j'ai pris un gros pied !
Et qu'en est-il en 2023 ? Même constat, c'est hyper-entraînant et j'écoute ce disque avec un plaisir intact.
Une madeleine de Proust me concernant.





Peter GABRIEL
IV


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


Là c'est facile. "Security" est LE chef d'œuvre de Gab'. De la pochette aux textes, de la production aux trouvailles et innovations. L'ex GENESIS est revenu aux maquillages faciaux et s'est entouré d'une équipe de choc réduite mais soudée issue des présents casting.

Il ne s'agit désormais plus de rock progressif, ni de rock, ni de pop, ni de post punk, ni de musiques du mondes ou d'électronique. Gab' compose enfin sa musique. Celle qui ne ressemble à rien de ce qui se fait à l'époque et qui aujourd'hui encore n'a pas d'équivalent. Tout au plus, "The Dreaming" de Kate Bush, publié la même année et qui a, de peu, ma préférence. Il est vrai que Gab' et Kate sont les seuls (avec Ryuichi Sakamoto) à avoir su exploiter les possibilités d'un Fairlight CMI au détriment de toutes velléités radiophoniques (une attitude qui n'a pas duré, certes, mais qui en 1982 fut génératrice de splendeurs et de compositions sans pareil).

A l'instar du "Station To Station" du grand David, "Remain In Light" des TALKING HEADS et "Discipline" de KING CRIMSON : "Security" est album exotique mais froid. Puisant dans les musiques noires et orientales mais résolument ancré dans une démarche occidentale et cold. Le soleil est présent (et encore, pas tout le temps) mais sa chaleur n'est pas perceptible. Et quand la nuit tombe : elle est d'un noir d'encre. Le masque de la pochette et les artworks oniriques / hallucinogènes garantissent une expédition aux confins du monde, dans ses contrées les plus hostiles, les moins propices à la modernité. La démarche de Gab', conciliateur né, étant justement d'unir technique et traditions.

Si on pouvait trouver une ou deux pistes sur les précédents opus susceptibles de nous filer les jetons : "Security" est un tout. Il n'y a pas de repos pour notre pauvre esprit perpétuellement mise à rude épreuve par des percussions martiales et jamais prévisibles, des riffs et interventions acérés, une basse protéiforme, sans compter les sons synthétiques et samples intégrés à cette recette époustouflante aux allures de voyage astral suite à une overdose de peyotl.

"The Rhythm Of The Heat" (quel titre) est un monstre de tribalisme dark. Le Colonel Kurtz et ses zélotes appréciaient. "The Family And The Fishing Net" : c'est "Apocalypto" du grand Mel. Une séance de sacrifice qui s'achève sur un massacre aux proportions civilisationnelle. "Lay Your Hands On Me", l'une des premières tentatives de rap blanc (avec "Remain In Light") est plus respirable et d'une réelle sensibilité. Cette même sensibilité qui transcende les notions de beauté et de magnificence sur "San Jacinto" et "Wallflower". La première avec ses percussions japonaises et ses thématiques amérindiennes assure l'évasion et l'élévation spirituelle. La deuxième rivalise avec "Family Snapshot" pour ce qui est du titre de plus grande chanson de Gab'. Là aussi, c'est beau à en pleurer. Du très grand art.
Et les tubes alors ? Commerciaux ? C'est comme vous voulez. Toutefois, j'aurais apprécié que la pop rock 80's lambda puisse posséder ne serait-ce que 30% de la qualité indéniable et sans aucune ride de "Shock The Monkey", "I Have The Touch" et même le pourtant souvent décrié "Kiss Of Life" (on croirait entendre une OST d'un "Sonic The Hedgehog" old school avec quasiment dix ans d'avance, voire certaines OST d'anime des 90's, pourquoi je pense notamment à l'opening VO de "Nadia - Le Secret De L'Eau Bleue"?).

Entre YELLOW MAGIC ORCHESTRA, KILLING JOKE, POLICE et Brian Eno / David Byrne et leur "My Life In The Bush Of Ghosts" : "Security" est un compendium de ce qui se faisait de plus novateur et grandiose au début des années 80. En plus de constituer une œuvre personnelle d'un artiste en pleine possession de sa créativité. Enfin, parce qu'il offre ses titres au "Plays Live", un des plus grands live au monde : "Security" est un incontournable.

"We will live ... Hold the line ... Hold the line ... Hold the line ..."





Peter GABRIEL
III


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


Entrée dans les 80's et seconde réussite majeure pour Gab'. Une fois encore la pochette donne le ton : "Melt" sera sombre et torturé.
A l'instar de "Car", la casting de l'album est plutôt fourni (Fripp pour la dernière fois, Kate Bush, Paul Weller, John Giblin, Dave Gregory, Phil Collins ...). Avec une production confiée à Steve Lilywhite. Il ne manquait plus que la participation d'Adrian Belew et quelques pistes produites par Conny Plank et le festin aurait été royal.

Si il fut longtemps mon préféré, "Melt" n'est pas exempt de quelques petites maladresses. Si le riff de "And Through The Wire" s'avère addictif, ce n'est pas le cas de la compo globale, assez bancale. Idem pour "No One Of Us", dont seule l'envolée conclusive remplie de guitares fonctionne. Le reste est excellent. Y compris les plus ignorés "Start" et "Lead A Normal Life".
"Biko", s'il n'est pas l'hymne anti apartheid définitif (cet honneur revient au "Rise" de PUBLIC IMAGE LIMITED), demeure un morceau d'une puissance fédératrice saisissante et un bien bel hommage à l'un de ces hommes de valeurs, disparus en martyrs pour avoir voulu permettre à l'Afrique de s'élever et de s'émanciper (Sankara, Lumumba ...).
Pour en revenir à PIL : les percussions dévastatrices de "Melt" ont donné bien des idées à Lydon et Atkins pour leurs "Flowers Of Romance".
"I Don't Remember" semble tout droit sortie d'un épouvantable cauchemar (le clip d'époque est d'ailleurs bien dérangé).
Quant à "Family Snapshot" : il s'agit tout simplement de LA plus grande chanson jamais composée par Gab'. L'émotion est à son comble de la première à la dernière note. Les textes sont en parfaite symbiose avec la musique. Voici une mise en scène par les sons tout simplement déchirante.

Un album solide et surprenant à plus d'un titre. Deux qualités dont Gab' saura user avec encore plus d'audace et d'expérimentations deux ans plus tard.





Peter GABRIEL
II


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


Gab' passe aux choses sérieuses. Et gare à ceux qui voudraient lui chercher des noises. L'avertissement donné par les experts d'Hipgnosis devrait en dissuader plus d'un. "Scratch" sera l'album le plus orienté guitare de l'ex GENESIS. Et qui mieux que Robert Fripp pouvait donner corps à pareille musique ?
Mal aimé voire oublié par certains (Fripp qui a déclaré regretter son travail de producteur sur ce disque qu'il estime bâclé), "Scratch" est pourtant, à mon sens, le premier volet d'une trilogie qui se poursuivra avec "Melt" et "Security". Une trilogie cold et expérimentale en guise de paroxysme artistique avant un virage pop world facile d'accès à partir de "So".
Si il ne souffre pas d'une attitude anachronique en débarquant en pleine période punk / new wave : "Scratch" en impose niveau élaboration. Rien n'est accessible en une seule écoute. Pas même les morceaux les plus fédérateurs. Mais dès lors que l'on a bien cerné ce cru 1978 : le plaisir est instantané.
La bizarrerie de "Car" n'est pas loin. Gab' ne sais pas encore comment utiliser sa voix de la manière la plus appropriée selon les chansons. Mais l'album affiche une belle cohérence. Et impossible de rester de marbre face à des "Exposure", "DIY", "On The Air" prodige de power pop communicative (Larry Fast est impérial) et véritable acte d'émancipation de Gab' (plus encore que "Solsbury Hill") et le superbe "White Shadow" sur lequel King Fripp nous offre un solo mémorable (mon préféré du Monsieur).

A réhabiliter d'urgence.





BLACK SABBATH
DEHUMANIZER


Le 29 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Toutes les réunions ne se passent pas aussi bien. DEEP PURPLE avait réussi la sienne avec "Perfect strangers" huit ans plus tôt, BLACK SABBATH signe un demi-échec ici. Où quelques très bons titres ("After all", "Computer god") en côtoient d'autres bien plus rasoirs ("Letters from Earth").





Peter GABRIEL
I


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


Lorsque l'on est un esprit traversé par une idée créative à la seconde : il est logique que l'enfermement au sein d'un groupe conduise un jour ou l'autre à une émancipation. Gab' l'a compris. C'est en solo qu'il aura enfin l'opportunité de se trouver. Au delà des voyages de Rael et des costumes de renard.
Entouré par des pointures (Fripp, Levin, Fast ... Excusez du peu ...) : il parviendra même a rendre écoutable une production signée Bob Ezrin (à l'avenir seul Roger Waters y parviendra avec "The Wall").
Toutefois, la myriade d'idées qu'il colporte, alliée à une première tentative solo : implique souvent une immaturité du propos. C'est le cas ici. Au premier abord, on pourrait penser à une mauvaise blague tant ça part en vrille question influences et inspirations. Mais c'est peut-être ça finalement la force de ce "Car" ? Tellement barré et à des années lumières des superficiels "So" et "Us".
A retenir : les rock quasi hard de "Slowburn" et "Modern Love", le final "Here Comes The Flood" et bien entendu LE tube anthologique "Solsbury Hill", joyau sur lequel le temps n'est pas prêt d'avoir une quelconque emprise.





BLACK SABBATH
PARANOID


Le 29 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Grand classique du groupe, évidemment. Classique du métal en général d'ailleurs. A part "Rat salad" et "Hand of doom", un ton en dessous, tout est fantastique. Gros coups de cœur pour "Electric funeral" et "Planet caravan".





BLACK SABBATH
SABOTAGE


Le 29 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Et si on tenait là le meilleur album de BLACK SABBATH? Oui, j'ose poser la question tant cette collection de chansons me plait : "Hole in the sky", "Symptom of the universe", "Megalomania" : géniales ! En fait, je ne vois aucun raté ici alors qu'un classique comme "Paranoid" contient un ou deux morceaux moins passionnants que les autres.





BLACK SABBATH
13


Le 29 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Je fus très agréablement surpris par cet album. Je craignais le pire car les inédits que proposait le groupe à la fin du live "Reunion" étaient franchement plats. Or là, BLACK SABBATH réussit de formidables adieux avec quelques titres à l'allure de classiques ("End of the beginning", "God is dead"...) On pourra chipoter sur le fait que le groupe ne fait qu'appliquer les recettes de son brillant passé; ainsi "Zeitgeist" rappelle-t-elle furieusement "Planet caravan". Mais c'est dans l'ensemble très bien fait; et quelle belle idée de conclure cet album ("Dead father") avec les mêmes bruitages qui entamaient le tout premier album ! La boucle est bouclée.





GANG OF FOUR
SOLID GOLD


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


K Zen a su parfaitement résumer l'ambiance carcérale / tortionnaire / manufacture d'armes (avec têtes nucléaires vendues dans des paquets colorés) qui imprègne chaque morceau de "Solid Gold". C'est le GANG OF FOUR le plus dansant et paradoxalement le plus inhumain. L'écoute de ce second volet relève de la prise d'otage sonique. Avec nous, pauvres hères dits mélomanes, contraints à remuer notre corps sous peine de subir la cruauté d'un Andy Gill féroce et robotique.

Difficile d'extraire un tube hors de cette universelle des esclaves, comme dirait Céline, mit en musique. Pour ma part, c'est "What We All Want", parfaite description du quotidien d'un homme réduit à l'état de coquille vide, que je choisirai en guise de titre le plus représentatif du parti pris au vitriol qui anime ce 33 tours radical. Plus radical encore que l'était "Entertainment". Car ici, le son et l'âme forment un tout indissociable, presque conceptuel.

Un album pour masochistes et esprits éveillés. Une sorte de spirale descendante façon "Pornography" des CURE en plus funky, en moins obsessionnelle, mais sans la lutte et la promesse finale de retour vers la lumière et le bonheur : sur "Solid Gold" tout n'est que résignation. Aucune issue. Aucune perspective. Juste l'usine. Ou bien l'armée.

No Future.





GANG OF FOUR
ENTERTAINMENT !


Le 29 Septembre 2023 par PSYCHODIVER


Grandir et s'éveiller dans une zone aussi sinistrée que Leeds à la fin des 70's n'est pas une expérience des plus chaleureuses ni des plus constructives. Natifs de ce terrain de chasse idéal pour les deux fronts politiques les plus borderlines : les GANG OF FOUR sauront user de leur matière grise et de leur culot salutaire le temps, trop bref, de trois albums fondamentaux au sein de l'aventure afterpunk. Le premier d'entre eux (et le meilleur) : "Entertainment".

Si Guy Debord avait vécu dans l'Angleterre post 77, avait eu le choix entre une guitare et une plume et s'était tourné en fin de compte vers la guitare : nul doute qu'il aurait intégré voire conçu GANG OF FOUR de A à Z (ce n'est pas Colin Newman qui irait me contredire).

Situationniste jusqu'à la racine et encore très polémique de nos jours ("Natural's Not In It" qui s'attaque à la marchandisation des sexes, ou encore "At Home He's A Tourist", ce titre bon sang, chronique du déracinement progressif des populations par gavage sous culturel imposé), musicalement imparable ("I Found That Essence Rare"), dansant et parfois d'une barbarie glaciale typiquement post punk (la violence crue de "Ether" et ses white noises angoissants parcourant les couloirs de la maudite prison de Maze, "Return The Gift" et "Guns Before Butter", virulente charge anti business de la guerre, fait presque froid dans le dos) : cet opus est un chef-d'œuvre rempli à ras la gueule de tubes inoxydables (quiconque n'a jamais écouté "Damaged Goods" a loupé un grand moment de rock).

Provoquant un scandale lors de la "prestigieuse" Top Of The Pops pour avoir refusé la censure de ses textes : la meute de Gill et Burnham sera mise sur la touche par EMI qui préfèrera bichonner son autre poulain, plus docile, un certain DURAN DURAN.

Mais ce que l'on retiendra en particulier de cette première vie de GANG OF FOUR : c'est l'intégrité à toute épreuve manifesté par ses membres. Avec un discours bien moins démagogue que ceux que proposeront bien des tartuffes à venir, notamment en France et aux US (ils sont innombrables).

Grand disque.





COMUS
FIRST UTTERANCE


Le 29 Septembre 2023 par MR. DE LA DABBIèRE


Très cool de voir ce chef-d'oeuvre enfin chroniqué sur F.P, un incontournable pour toute personne souhaitant explorer le prog ou la folk des 70's. Herald of morning walks across the earth eternally !





Rondo VENEZIANO
RONDO VENEZIANO


Le 29 Septembre 2023 par FRANCK


Enfin le Rondo Veneziano sur le site ! On peut aimer ou détester, moi j'aime. J'écoute beaucoup de musique, je suis fan absolu de Chris Rea, j'aime le métal et Rondo Veneziano.
Et cet album contient un morceau que je peux écouter 10 fois de suite sans me lasser. "Colombina" est Mon morceau favori de cet album et de leur disco, pour moi un plaisir sans nom.
Merci de réhabiliter un peu ce 'groupe' trop souvent moqué et qui mérite bien mieux que ça.





BLACK SABBATH
HEAVEN AND HELL


Le 28 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Pas évident de continuer sans un chanteur charismatique comme Ozzy. Pourtant, BLACK SABBATH l'a brillamment fait en s'associant à l'excellent Ronnie Dio. Ce disque est inattaquable, débutant en fanfare avec "Neon knights" et distillant les grands morceaux sans répit : "Heaven & hell", "Children of the sea", "Die young"... Un classique du métal.





Ozzy OSBOURNE
BLIZZARD OF OZZ


Le 28 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Magnifique album que proposait Ozzy à ses débuts en solo. Les morceaux devenus des classiques s'enchaînent comme à la Parade ("Mr Crowley", "Crazy train"...) et Randy Rhoads était un virtuose. Absolument rien à jeter ici, même un titre mineur comme "No bone movies" faisant largement l'affaire. Un must.





Rondo VENEZIANO
RONDO VENEZIANO


Le 28 Septembre 2023 par RICHARD

Merci cher collègue pour cette chronique. En effet, grâce à toi, Aigle Blanc, je vois sous un jour différent ce projet. Je n’en ai que des souvenirs d’enfance où les Italiens passaient chez Michel DRUCKER. Je n’y voyais même, plus jeune, qu’un ensemble relativement kitsch, un peu comme les titres de KIMERA ou Thierry MUTIN. Je ne savais pas qu’il y avait un tel terreau classique. L’idée d’essayer de construire des ponts entre divers genres, de ‘démocratiser’ certaines pratiques est toujours heureuse. Malheureusement, je crois que ces démarches sont vaines. En essayant de ne pas généraliser, j’ai l’impression que les tenants de la musique classique n’ont jamais désiré qu’elle se démocratise réellement. Comme tu le soulignes si bien, les cas de RIEU et CLAYDERMAN sont assez symptomatique. Je ne place naturellement pas le Néerlandais sur le plan de MONTEVERDI, mais j’aime l’idée que les choses puissent se décloisonner.





COMUS
FIRST UTTERANCE


Le 27 Septembre 2023 par CSAMSA


Etonnant album mais une vraie réussite, à sortir de l'oubli. On croit se reposer l'ouie du fait de l'absence d'une rythmique rock classique (basse-batterie) mais les ambiances, le violon, les percussions, les voix mélangées créent une atmosphère prenante et assez unique. Certains passages m'ont évoqué du Pentangle en bien plus barré.





MADONNA
MADONNA


Le 27 Septembre 2023 par SWISSIDOL


Pour un début, ce n'est franchement pas mal. Les sonorités, le style sont très, très ancrés dans les années 80 mais ce fut un premier pas prometteur. Surtout, il y a le fantastique "Holiday" qui vaut à lui seul qu'on écoute le disque.







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