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JAMES BOND
MEURS UN AUTRE JOUR (DAVID ARNOLD)


Le 10 Septembre 2021 par IEN


De celui-ci, je ne retiens que le début en Corée du Nord et à Hong Kong.
Je n'aime quasiment rien. De plus, les effets spéciaux numériques sont affreux. Aucun méchant ou JB Girls ne retient l'attention.

La B.O est saoûlante et je ne l'écoute presque jamais. Même la pochette du disque est affreuse. Finalement, c'est la chanson de Madonna que je préfère dans tout ceci, comme j'aime l'album "American Life" sur lequel il est présent aussi.

J'aime bien Pierce Brosnan, mais il était temps pour lui d'arrêter.





NAUFRAGE
ENJOYABLE SINKING


Le 10 Septembre 2021 par MO'


Grosse découverte de cette fin d'année !





GARBAGE
GARBAGE


Le 10 Septembre 2021 par LE VIEUNE


Premier album que je trouve meilleur, personnellement, que son successeur surproduit "Version 2.0" dont j'éprouve une aversion intégrale. Rock technoïde lancinant, lascif, atmosphérique, comme des serpents qui se lovent autour de vous.

Mes morceaux préférés : "Supervixen", "As Heaven Is Wide", Not My Idea", "Vow", et bien entendu, "Stupid Girl".





The GLOVE
BLUE SUNSHINE


Le 10 Septembre 2021 par PHIL TORNALLEY


L'originalité de Blue Sunshine repose aussi en grande parties sur les interludes instrumentaux qui se sont placés entre chaque morceau. Il y en a un groovy avec un très bon riff de guitare qui est placé au début du titre 'Sex Eye make up' et qui revient comme un cheveu sur la soupe à la fin du titre. IL reviendra aussi en pointillé au tout début de 'A Blues In Drag'. Ils ont aussi placé un dialogue de film nippon sur une courte musique pas mal du tout, juste avant le début de 'This Green City' et histoire de boucler la boucle, cet interlude revient à la fin du morceau. Les gars de Depeche Mode, qui apprécient tous les Banshees, ont réutilisé le même procédé d'interludes électroniques pour assurer la transition de plusieurs titres sur Violator.
L'une des spécificités de Blue Sunshine, que je note aussi, c'est aussi qu'il est le seul album psychédélique electronica, avec beaucoup de claviers et des percussions electro. Certes on entend souvent la basse et la guitare de Smith mais prenons, The Perfect Murder, c'est un titre electro ambient.
Les afficionados de CURE qui écoutent les bootlegs de chaque tournée sur le tube savent déjà que Smith & ses boys ont utilisé l'instru barré cocainé 'Relax' du disque, - comme intro tape pour tous les concerts du Head Tour, dont le fameux concert dans l'amphithéâtre d'Orange d'août 1986 capté sur pellicule par Tim Pope. 'Relax' se distingue des autres titres, avec son atmosphère suintant le sexe, l'orient et disons le sans détour l'opium. Une carte postale rappelant peut-être une visite dans un lupanar japonais quand ils avaient joué au pays du soleil levant avec les Banshees début 1983. Fascinant, sans doute le summum du disque.

Blue Sunshine est -c'est vrai- intéressant pour ses partis pris esthétiques, cela a été dit, mais parfois, Smith et Severin s'accordent mal. Le single d'ouverture 'Like an Animal' en est un exemple: la ligne de basse déchire tout, Smith compose aussi des parties excellentes, mais ce sont deux morceaux qu'ils ont juxtaposé l'un sur l'autre. 'A blues in Drag' est un grand titre instrumental de l'album; digne de figurer sur un disque de BRIAN ENO. 'Punish Me With Kisses' est un bon single, il comporte un très joli motif de Smith, Smith se surpasse sur plusieurs morceaux à la guitare, solo aussi très fort à la fin de This Green City.

Blue Sunshine est une belle curiosité





Yngwie MALMSTEEN
ODYSSEY


Le 09 Septembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Cinq étoiles pour ma part car cet album regorge des meilleurs titres pondus dans la carrière du maître, JL Turner ne doit pas être étranger à la réussite de cette oeuvre, association éphémère qui rend ce disque 'culte' dans la disco d'Yngwie.





SOFT CELL
THIS LAST NIGHT IN SODOM


Le 09 Septembre 2021 par ANDYTOOK


Un disque comme celui-ci ne se chronique pas après une seule écoute, ni même après juste une deuxième. Alors, on dira que les deux comparses Marc Almond et Dave Ball ont remisé au placard le côté synth pop (même s'il y a quelques restes sur 'Soul Inside' notamment), et ont opté pour un son organique, avec des vrais instruments. Le résultat est plus que convaincant : les arrangements sont un mille-feuille sonore avec une prod' subtile.

Les claviers sont toujours conviés au bal, mais des parties de cuivre viennent rehausser certains titres. Parfois, il y a des guitares acoustiques ("L'Esqualita"). On le sait, Marc Almond a toujours été fasciné par le flamenco et l'ambiance moite dans les bars louches au fin fond de la péninsule ibérique. Choeurs féminins dédoublant les claviers, il parle ici d'une diva qui a mené une vie pleine de hauts et de bas, traînant avec des junkies. "L'esqualita" est une claque. Les obsessions de Marc Almond restent donc les mêmes : le monde de la nuit, celui des freaks est dépeint au couteau, ciselé, balafré. Il y a quelques aphorismes bien sentis tout au long du disque. Il s'adresse à l'auditeur comme à un amant, mais un amant éconduit, "capitule" intime-t-il à un moment donné. Il y a parfois une ambiance [i]West Side Story[fi] avec des clins d'oeil aux orchestrations de Gershwin, mais triturées par un duo qui sait prendre des risques et jouer avec les dissonances. Almond démultiplie sa voix, soigne les harmonies vocales en arrière-plan. Il utilise sa voix comme autant d'instruments à portée de main.

[i]The Last Night in Sodom[fi], est un grand disque, enivrant, palpitant, une bande-son pour vous emmener jusqu'aux premières heures du matin, les weekends d'insomnie. Une cover pointe son nez à l'horizon sur la face b. Ils reprennent un standard soul "Down in the Subway' qu'ils réarrangent à peu de choses près comme une production Sun Records, comme les premiers Elvis PRESLEY - c'est une parenthèse. Vient le dénouement, tragique forcément. SOFT CELL soigne toujours autant leurs closing tracks. Ici, on est gâté par un titre épique et dark qui finit cet opus d'une bien belle manière, tout en crescendo. Il lâche, [i]où était ton coeur quand tu en avais le plus besoin ? La main dans la main, quand tu as abandonné ton innocence à des fantômes[fi]. Il parle d'une jeune femme qui ronge ses ongles comme si elle avait encore seize ans et qui n'est juste qu'un corps pour ces hommes. Ca se termine par quelques notes rêveuses, un calme relatif avant l'effroi. Des notes viennent titiller les oreilles sur un orgue d'église en toile de fond. J'ai acheté ce disque en 1999 et je l'adore toujours autant.





Les SHERIFF
LES 2 DOIGTS DANS LA PRISE... !!!


Le 08 Septembre 2021 par NESTOR


Effectivement, cet album live ne connaît aucun répit. Les titres s'enchaînent à un rythme infernal dans une course ô combien jouissive. Une référence en la matière.
Le son, l'attitude, la puissance, les compositions... tout y est.
Je n'ai eu l'occasion de voir le groupe en concert qu'une seule fois (La Cigale en 1998) et, paradoxalement, j'en suis sorti assez déçu. Je n'ai pas retrouvé le côté flamboyant du groupe qui ce soir-là peinait à communiquer vec le public et qui alignait les titres sans folie.
Moi qui m'attendais à prendre une claque, j'ai été très surpris par cette prestation tout juste correcte. Mais, difficile de juger sur une seule soirée.





MANFRED MANN'S EARTH BAND
WATCH


Le 06 Septembre 2021 par CSAMSA


Mon album préféré du M.M.E.B. Il vieillit remarquablement bien. Chris Thompson au chant fait du super boulot. "Martha's Madman" est mon titre favori, mais il n'y a pas une seconde de trop dans ces 38 minutes qui passent trop vite. Le live à Budapest (1984) est également remarquable (dommage qu'il ne soit que simple) avec notamment deux versions épatantes de "Spirit in the Night" et "For You", deux titres du Boss bien vampirisés par cette formation, coutumière du fait (cf "Blinded by the Light" sur le tout aussi superbe "The Roaring Silence"). Un groupe qui mérite plus de lumière tant le niveau musical est élevé, ayant su brillamment palier l'absence d'une bonne équipe d'auteurs-compositeurs (c'est peut-être sa limite).





SORTILEGE
MéTAMORPHOSE


Le 06 Septembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


C'est la folie ce disque ! Des riffs aiguisés au couteau, des envolées vocales majestueuses, des refrains qui tuent et le plaisir de la langue française très bien écrite. On n'a jamais fait mieux depuis. Le top du top pour l'éternité!





Alain BASHUNG
CHATTERTON


Le 05 Septembre 2021 par FRANçOIS


"Chatterton" soutient aisément la comparaison avec les autres "must" de sa discographie. Effectivement, c'est le plus souvent parlé que chanté et les mélodies (s'il y en a) ne sont pas "mémorisables" (en dehors bien sûr de "Ma petite entreprise") mais ce n'est pas forcément plus mal. J'ai particulièrement apprécié les interventions cuivrées de Stéphane Belmondo. Coups de cœur pour "Après d'âpres hostilités", "Danse d'ici" et "J'ai longtemps contemplé".





Alain BASHUNG
OSEZ JOSEPHINE


Le 05 Septembre 2021 par FRANçOIS


"Tous ces hits trop diffusés" ? Je n'en vois qu'un (ou deux avec "Madame rêve" ?), c'est-à-dire moins ou autant que dans "Pizza"... Bashung quitte les années 80 et les synthés qui vont avec et ce qu'il sortira à partir de celui-ci vieillit indéniablement mieux (même si "Play Blessures" et "Novice" notamment ne sont pas exempts de qualités et d'intérêt). Le disque est court et les morceaux sont assez variés, ce qui ne gâche rien. Quatre reprises, soit un tiers du disque, c'est quand même un peu beaucoup.





SLAPP HAPPY/HENRY COW
DESPERATE STRAIGHTS


Le 05 Septembre 2021 par K-ZEN

Salut Mésange,

J’avais aussi envoyé mon papier à Téléfoot et au Canal Football Club mais il ne fut accepté que dans FP. Car contrairement aux émissions télé sus-citées, FP permet, à travers une chronique de disque, d’aborder librement toute une foule de sujets : la musique en fil conducteur bien entendu, mais aussi cinéma, littérature, questions de société et même sport parfois… C’est ce qui, selon moi, fait la richesse du site et de ses différentes et talentueuses plumes.

Pour la petite histoire, j’avais choisi d’aborder Desperate Straights à travers le prisme d’une anecdote personnelle un peu surréaliste, en écho au goût de COW pour les improvisations et l’aventureux. Je me doutais bien que ça provoquerait des réactions fortes, ce qui est toutefois toujours préférable à l’indifférence à mon sens.

En tout cas, je te remercie pour ton commentaire qui m’a beaucoup amusé. Grégoire Margotton n’a aucun souci à se faire, je suis bel et bien présent sur FP et pas près de le quitter.

Bien à toi.

K-Zen





Jackson BROWNE
DOWNHILL TO EVERYWHERE


Le 04 Septembre 2021 par JERRY


Un état des lieux de l'Amérique après les années Trump.

Immigration, pollution, inégalités, spectre menaçant d'une démocratie en lambeaux : Jackson BROWNE, au travers de "Downhill From Everywhere", aborde tous ces sujets, et en vétéran de Laurel Canyon, se livre à une analyse rétrospective salutaire à l'aune des "vraies" valeurs de l'Amérique. Le tout baigné par des mélodies qui fleurent bon la Californie et un son teinté "Eagles" omniprésent. À 72 ans, la veine créative de Jackson BROWNE n'est pas sur le point de se tarir, et cet album en est une démonstration éclatante.





The ROLLING STONES
STEEL WHEELS


Le 04 Septembre 2021 par LE VIEUNE

Les Rolling Stones ne m'ont toujours fait ni chaud ni froid. Groupe qui avait pourtant le don de m'énerver dès qu'en parlait Philippe Manoeuvre (que j'aime bien quand même), ancien rédacteur en chef de Rock&Folk.

C'est pas mon bol de café !





Mike OLDFIELD
AMAROK


Le 04 Septembre 2021 par EVIL EWOK


Ecouté par hasard, en ne connaissant du bonhomme que son "Moonlight Shadow", Amarok a été une claque, du genre de celle qui vous marque à vie, et qui m'a fait découvrir les autres albums par la suite, une aubaine ! Il y a des morceaux qui me laissent indifférent au bout d'une minute, ici c'est une heure d'emprise totale. Expérience réitérée des centaines de fois.

Pour se mettre en condition, fermez les rideaux, éteignez les lumières, casque vissé sur la tête, dans un canap' ou sous la couette et n'écoutez que les notes, une par une.

Attachez vos ceintures, ou plutôt détachez les, oubliez tout le reste, c'est l'assurance de partir très loin et très haut. Ne retenez rien, pas même ces sursauts lorsque le volume sonore monte d'un cran, ni vos smiles lorsque les feux d'artifices accompagnent un air pirate ou que Mike Oldfield se brosse les dents, ni vos larmes sur ce final d'une puissance dévastatrice. Amarok est un immense voyage musical en un seul morceau, virtuose et débridée, ludique et unique. Rajoutons à ça : bigarré, inespéré, ravageur, intime et intemporel. C'est complètement fou et ça dépasse l'entendement. En un mot : Génial !

Note réélle : 3 192 /5





JAMES BOND
GOLDENEYE (ERIC SERRA)


Le 04 Septembre 2021 par CHIPSTOUILLE

Petit commentaire concernant la censure du générique en Inde. Je précise que l'Inde censure les films hollywoodiens à tour de bras. La moindre giclée de sang, le moindre bout de peau, des baisers un peu trop long tout ça passe à la trappe.
Les systèmes de VOD semblent pour le moment passer au travers des mailles du filet.

L'inde a une culture très familiale, et le cinéma se voit donc en famille. Donc il faut que tout le monde puisse regarder ensemble. Ils n'ont aucune notion de restriction d'âge pour les films. Ce qui explique donc probablement la censure en masse.

Ca atteint des proportions ridicules, ou des films comme Resident Evil ou Seven sont passés à la télé en plein milieu de journée (quelques chaînes diffusent en permanence des films anglophones), mais sont donc finalement résumés aux 2/3 de leur durée originale, avec des coupes si grossières qu'on ne comprend plus rien aux films.

La censure du générique de ce James Bond n'est donc certainement pas pour des raisons politiques, mais purement puritaines. Ceci étant, vu la teneur du gouvernement actuel, je ne serais pas surpris que la censure politique soit également monnaie courante. Depuis l'élection de Modi, il est obligatoire de se lever pour chanter l'hymne national au début de toute séance de cinéma. Grosse ambiance...





The ROLLING STONES
STEEL WHEELS


Le 03 Septembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Un sacré bon album de rock'n'roll remplis de tubes 'stoniens' qui font swinguer... Mention spéciale au single 'mixed emotions' que j'adore et qui résume à lui seul les qualités musicales qui ont fait que ce groupe est à part dans l'histoire du r'n'r circus.





ALICE COOPER
FLUSH THE FASHION


Le 03 Septembre 2021 par FEELGOOD


Album acheté en 1984, peu de temps après avoir découvert deux disques emblématiques du Cooper des années 70 : Goes To Hell et Billion Dollar Babies.
Une première écoute déstabilisante. Le son, très new-wave; la production très lisse signée Roy Thomas Baker; des chansons très courtes. Je ne savais que penser de la reprise de "The Music Machine", d'autant plus que je ne connaissais pas la version originale. De même, "Leather Boots", signée Geoff Westen, me plongeait dans des abîmes de perplexité. Comment l'immortel interprète de "School's Out" et de "Under My Wheels" en était-il arrivé à chanter une telle aberration ? De la country cybernétique ? Idem pour le stupide "Aspirin Damage".
Il m'a fallu du temps pour me faire à ce Alice new look, tâche facilitée par certaines compos plus accessibles. "Pain", par exemple, excellente chanson aux paroles sublimement cruelles, chef-d’œuvre de perversité. Et puis, la quasi-intégralité de la face B : "Grim Facts", urbain et caustique, l'un de mes titres préférés de l'album; le délirant "Model Citizen", magnifié par les chœurs des excellents Flo & Eddie. Sans oublier "Dance Yourself To Death" qu'Alice décrivit comme un pastiche des Stones ou la lamentation d'un gamin 'normal' horrifié par les frasques de ses parents 'branchés". Enfin, "Headlines" annonce avec une vingtaine d'années d'avance et beaucoup d'acuité les dérives de l'ère internet et les agissements de ces pantins prêts à tout pour faire parler d'eux.
Avec le temps, ce mal-aimé de la discographie d'Alice est devenu l'un de mes préférés, l'un de ceux que j'ai le plus écoutés ces dix dernières années et qui enterre sans problème tout ce qu'il a sorti depuis une quinzaine d'années.
4/5.





PINK FLOYD
UMMAGUMMA


Le 03 Septembre 2021 par ALBIRéO


J'aime bien écouter de la musique, pas des notes ou bruits qui se suivent sans fil conducteur ou mélodie.
Ainsi, je n'aime pas ce disque. Je l'ai écouté 3 fois (voici 40 ans) et une quatrième récemment, des fois que j'eusse mûri musicalement... Probablement que si (j'espère :-D), mais pas dans une direction qui m'aurait fait découvrir la substantifique moelle de cette œuvre : je n'aime définitivement pas ce disque.
Les 4 chansons en live sont plus audibles, possèdent de vraies mélodies et expriment une ambiance sombre et psychédélique à souhait. Je n'adore pas non plus.






The DOORS
OTHER VOICES


Le 03 Septembre 2021 par BAKER


Après réécoute attentive des deux frères ennemis dos à dos ou presque, victoire par KO de Other Voices en ce qui me concerne.

L.A. Woman comporte 3 (4 ?) très bons titres, mais les 6 autres vont entre le très passable et l'immonde crasse. Tandis que même les titres moins bons de Other Voices possèdent tous, et je dis bien TOUS, une idée, un moment, un schmilblick qui rend l'écoute sinon passionnante, au moins agréable de par l'implication sans faille des trois musiciens (sans compter les bassistes qui arrivent à très bien suivre).

Hein ? Vous pensiez à quoi en "frères ennemis" ? Other Voices et Full Circle ? Meuh non, d'abord Full Circle ne peut pas être chroniqué sur FP, il n'y a pas encore de section Disques Comiques.

Note réelle : 3.5/5.







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