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JUDAS PRIEST
SIN AFTER SIN


Le 02 Juillet 2020 par IDARGOS


Beaucoup de peine avec cet album. Oui, la pochette est sympa, oui il y a l'excellent et intemporel "Dissident Aggressor" et surtout le superbe "Here come The Tears", un de leur plus beaux titres. Mais, pour le reste, on navigue entre le bon ("Sinner", "Let Us Prey") le moyen ("Diamond and Rust", "Starbreaker") et le décevant (l'interminable "Last Rose Of Summer" et le dispensable "Raw Deal").
2.5/5 arrondi à 3 pour "Here Come the Tears".





The Alan PARSONS PROJECT
GAUDI


Le 02 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Gaudi, le dernier album officiel d'APP, se révèle être une bonne surprise pour les fans de la première heure un peu fâchés par le virage eighties des précédents opus. Années 80 obligent, "Too Late, Standing...et Money Talks", taillés pour les radios FM, se défendent bien, à défaut d'originalité.
C'est pour le reste que Gaudi vaut le détour. Avec "La Sagrada Familia", APP opère un retour aux sources, période Turn Of...avec Andrew Powell à la direction d'orchestre, John Miles au chant. Sans atteindre les grands morceaux classiques d'APP, le résultat est très satisfaisant.
Vient ensuite "Closer To Heaven", une ballade en ternaire avec un développement instrumental somptueux.
Puis, sur l'autre face, le dernier effort d'Eric Woolfson pour le "Project" et pas n'importe lequel : "Inside Looking Out" qui a la beauté d'une Gymnopédie de Satie, un titre Art Pop, nostalgique et solennel, touché par la grâce avec son final émouvant qui met en scène une armée de guides touristiques et de médias qui s'époumonent dans des explications interminables au pied de l'édifice inachevé mais dont le rêve démesuré nous dépasse et nous inspire. Ce n'est pas pour rien que Yukito Kishiro reprendra "Inside" dans son manga "Gunm" en faisant interpréter cette chanson par l'un de ses personnages, KAOS, le musicien énigmatique et fragile que Gally va rencontrer dans ses aventures.
L'album finit sur l'incontournable instru composé dans la thématique de la "Sagrada".
Sans être un des meilleurs APP, la discographie se termine sur une belle note. Je pourrais mettre un 4 à ce disque, bien que la note juste soit un 3.5. Allez, j'arrondis à 4 !





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par WALTER SMOKE

@François :

Tu rigoles, tu rigoles, mais les Scorpions ont eu leur importance (toute relative certes) dans l'histoire du krautrock. Après tout, Lonesome Crow n'en est pas éloigné, mais surtout, c'est le premier album édité par Brain Records, soit LE label majeur du krautrock.

Et sinon oui je confirme, Karthago c'est pas du krautrock





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Cet album animé par le jeu de la guitare d'Albrecht fait que nos oreilles retrouvent du Jimi Hendrix Expérience. Voilà un disque qui sera couronné par un beau succès européen.

Un succès tel que les lecteurs du magazine français "EXTRA" (ancienne revue musicale qui parut de 1970 à 1976 sous des titres divers) propulseront cet album lors de sa sortie comme la meilleure galette du mois. Ne me demandez pas le mois ni l'année. Selon des sources allemandes ce disque serait sorti en 1971.
Le Merle ne va pas chercher midi à quatorze heures, l'important c'est qu'il vit le jour, ce disque, pour notre plus grand pleasure pour sûr.

Quoi encore ?

Au début de l'année 2019 disparaissait malheureusement l'organiste Ingo Bishof. Un album solo "Reconstructed".

Ce groupe ne doit pas être confondu avec un groupe de rock hongrois formé en 1979 qui s'appelait... Karthago "Indulj tovább" . Ce groupe eut une belle renommée dans les pays de l'Est et en Autriche. Comme quoi la citée punique souvent citée n'est pas punie par les adeptes de la musique qu'ils furent à l'est ou à l'ouest.





10 CC
THE ORIGINAL SOUNDTRACK


Le 02 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Tout à fait d'accord avec toi LEO, c'est leur meilleur album. Celui d'avant était encore un peu au stade de tâtonnements et d'expérimentations. Quant à celui paru après Soundtrack, il est très bon mais il y a un déséquilibre qualitatif entre les faces A et B. Soundtrack est juste parfait avec des moments de grâce comme "I'm Not In Love" (une prouesse technique et artistique) et "Brand New Day".
Sinon, j'ai lu que Freddie Mercury a bel et bien été très impressionné par "Une nuit à Paris" mais aussi par "I'm Not In love" et ces deux titres en particulier l'ont mis au défi de faire aussi bien sinon mieux avec Bohemian et le final vocal de Prophet Song.
Ce qui impressionne dans les voix des 10CC pour "I'm Not In love", c'est la texture du son et l'expressivité synthétique des nappes pourtant naturelles qu'ils sont obtenu avec toutes ces pistes. Rappelons que chaque piste était une note tenue faisant aaaaaah jouée en boucle grâce à un collage de bande magnétique. Chaque tranche de piste devenant donc une touche de piano dont le volume est contrôlé par le fader de la piste. D'où ce rendu si proche d'un synthé...Un travail phénoménal et un enregistrement d'anthologie pour un résultat d'une modernité époustouflante. Notons aussi le "Be Quiet, Big Boys Don't Cry" qu'on retrouvera plus tard samplé sur un disque d'Art Of Noise.
Il est juste dommage que tout le monde connaisse le morceau, qui est passé des millions de fois à la radio, sans savoir comment il a été fabriqué et par qui.





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 02 Juillet 2020 par FRANçOIS

Ben oui, parce qu'à ce compte-là, Scorpions ou Propaganda aussi ce serait du "krautrock"... :-)





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 01 Juillet 2020 par LE KINGBEE

Bonjour Troury

Ce disque est parfois classé en Krautrock. J'en ai discuté avec mes collègues du site et ils semblent partager mon avis. Ce premier disque se situe plus dans le domaine du Jazz avec une pointe de Latin Jazz.
Le fait que la plupart des musiciens soient d'origine germanique risque de créer en effet une certaine confusion.
Pour rappel, la lisière entre certaines étiquettes est parfois très mince.

Bien à vous





10 CC
THE ORIGINAL SOUNDTRACK


Le 01 Juillet 2020 par LEO


The Original Soundtrack est mon album favori de 10CC. celui dans lequel le quatuor concilie au mieux leurs différences stylistiques (les expérimentations et autres bizarreries de Kevin Godley & Lol Creme et les envies pop-rock d'Eric Stewart & Graham Gouldman). pour moi c'est l'album parfait du groupe.
"Une Nuit A Paris" c'est un peu leur "Bohemian Rhapsody" avec l'humour en plus, mis à part que ce mini-epic de près de neuf minutes précède celui de Queen de plusieurs mois (The Original Soundtrack fut enregistré en 1974/tout début '75 et paru en Mars 1975 et A Night At The Opera d'Août à Novembre 1975).
Cela dit, je ne pense pas que Freddie Mercury se soit inspiré de ce titre de 10CC car ils avaient déjà à leur répertoire "The March Of The Black Queen" qui était une compo un peu dans le même style sur Queen II, donc cette vague similarité entre "Une Nuit A Paris" et "Bohemian Rhapsody" n'est que pure coïncidence, et de toute façon dans les années 70 pas mal de formations (Uriah Heep, Sweet, Sparks...) avaient certains morceaux avec choeurs et passages intrumentaux grandiloquents et baroques, donc ce n'était pas quelque chose d'unique chez Queen et 10CC.
Quoiqu'il en soit, je préfère de très loin "Une Nuit A Paris" à "Bohemian Rhapsody" qui est certes, une excellente compo mais qui ne m'a jamais fait beaucoup d'effet (à l'instar de pas mal de titres de Queen).
Malgré ses multiples passages sur les ondes, "I'm Not In Love" a gardé tout son charme depuis tout ce temps. cette chanson d'amour (malgré son titre habilement trompeur) a la particularité de ne comporter aucune nappe de synthé (mis à part un Moog pour simuler une grosse caisse en sourdine). le tapis musical en fond a été créé uniquement à partir de multiples couches de choeurs (fait par Godley, Creme et Gouldman) sur plusieurs tonalités différentes et en créant des boucles avec ces différentes pistes, totalisant au final 624 voix !!!! un travail de titan qui dura trois semaines uniquement pour les choeurs, mais ces efforts en valaient vraiment le coup car cela donne un son tout à fait singulier à cette ballade.
L'excellent "Blackmail" est nettement plus pop (à la croisée des Beatles et Queen), avec de superbes parties de slide guitar réalisées par Eric Stewart.
L'entraînant "The Second Sitting For The Last Supper" (seul titre signé à quatre sur ce disque) est autant pop que tirant sur le rock (un tantinet hard dans ses riffs mordants).
L'insolite et superbe "Brand New Day" chanté par Kevin Godley avec sa voix angélique est un autre grand moment.
"Flying Junk" est plus classique dans sa forme, quoique les arrangements sont encore une fois particulièrement chiadés. par certains côtés, cette compo me fait penser au groupe Badfinger.
Quant au fort sympathique "Life Is A Minestrone", c'est aux Wings que je songe.
L'album se referme sur "The Film of My Love", romance volontairement désuète (avec les mandolines qui vont avec !). c'est la compo que j'aime le moins sur l'album, cela dit elle convient parfaitement en conclusion de ce 33 tours fort réussi.
Sur l'édition CD on a droit à deux faces B de singles en bonus. "Channel Swimmer" (au verso du 45t "Life Is A Minestrone") m'évoque le Paul McCartney du début des années 70 et "Good News" (qui figurait au dos du 45t "I'm Not In Love") chanté par Kevin Godley et Lol Creme est plus particulier dans sa forme car scindée en deux (la compo débute comme une ballade puis se transforme en bossa). deux titres plutôt sympa même si un peu 'hors contexte' par rapport à l'album.





KARTHAGO
KARTHAGO


Le 01 Juillet 2020 par TROURY

Souvent classé en krautrock





The Alan PARSONS PROJECT
STEREOTOMY


Le 01 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Je me suis peu penché sur le cas Stereotomy, car, comme beaucoup de fans d'APP, je trouvais cet album trop différent de la première période, trop "machine", trop froid. Ici, le tandem Parsons/Woolfson a poussé le curseur des années 80 à son paroxysme. Stereotomy a le son typique du milieu de cette décennie plastique : les basses slappées, les basses synthétiques en mode arpegiator, les guitares un brin Heavy Metal, les synthés numériques, la batterie électronique, la caisse claire réverbérée, les interprétations vocales outrancières, les refrains en mode "Survivors", tout y est. Sans parler des emprunts stylistiques à Abacab des Genesis ou à Welcome To The Pleasuredome des Frankie Goes...
Stereotomy est l'exemple parfait d'un album créé dans les années 80, par un "vieux" groupe qui veut sonner "moderne" en usant de tous les clichés possibles de l'époque.
Le réécouter en 2020 peut être une expérience intéressante voire marrante pour celles et ceux qui ont la nostalgie des années 80 et aussi pour tous ceux qui sont nés dans ces années-là voire après et qui trouvent "trop cool" l'esthétique de cette décennie.
En effet, les années 2010 ont vu un regain d'intérêt pour les eighties et je ne serais pas surpris que Stereotomy soit analysé, étudié par certains artistes de la scène VaporWave. En ce sens, Stereotomy n'est pas un mauvais disque (il gagne même en intérêt 35 ans après sa sortie !) même s'il comporte quelques atrocités comme "In The Real World". Eric Woolfson chante très peu et sa voix aurait sonné plus juste et moins cliché que celle qu'on entend sur "Light Of The World".
Pour son ambiance "so eighties", je lui mets un 3 !





Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 01 Juillet 2020 par FRED

@ Le Kingbee. Je ne suis pas gêné par ce côté "vieillot". Je dirais plutôt "vintage" fait, avec ce son très typique des années 40. C'était le son de l'époque ! Cela me remémore également ce superbe film d'Eastwood, "Honky Tonk Man", sur la destinée d'un chanteur country à peu près à la même époque... Uncle Red !
C'est vrai que les reprises de Hank par d'autres artistes sonnent généralement moins bien. Même les morceaux repris par Johnny Cash, c'est dire !
Concernant Hank, il y a des trucs pas mal qui traînent sur internet aussi, dont un duo avec une des soeurs Carter (Anita), sur "I can't help it if i'm still in love with you". Emotion garantie, avec celle qui était sans doute dotée de la plus belle voix de la famille !
Ce qui me plaît, dans cette musique, ce sont aussi les thèmes abordés, la vie et les malheurs des gens simples, avec des mots simples mais émouvants, le talent d'Hank faisant magnifiquement ressortir la tristesse, voire le désespoir (Lost Highway, sur l'errance, My son calls another man Daddy, sur la séparation...).
En tout cas, merci pour toutes tes chroniques, j'aime bien les artistes que tu évoques régulièrement.





Rory GALLAGHER
CHECK SHIRT WIZARD - LIVE IN '77


Le 01 Juillet 2020 par BRADFLOYD


Une véritable tuerie, cet album... Mérite plus que 5/5. Rarement entendu un blues-rock aussi habité. Et ce son !!!! Merci pour ta chronique, camarade.





Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 01 Juillet 2020 par LE KINGBEE

@ Fred

Oui effectivement il ressort comme un mal-être dans de nombreux titres du Drifter.

Le titre dont tu parles a été repris plus de 250 fois. Elvis en a livré une version Live que je suis loin d'apprécier, mais je ne suis pas un fan invétéré du King. Je peux te conseiller les versions Soul d'Al Green et ZZ Hill. Stephan Eicher a aussi repris le titre avec une Tocata en guise d'intro. Chez nous Eddy Mitchell a aussi adapté le morceau.
Chez Hank Williams, si les arrangements et la steel de Don Helms peuvent parfois sonner vieillots, très souvent les reprises de ses morceaux tombent à plat.
Cordialement





The Alan PARSONS PROJECT
VULTURE CULTURE


Le 01 Juillet 2020 par SGT JAKKU


Je suis tout à fait d'accord avec ALEX F quand il dit que les refrains de la plupart des titres de Vulture Culture sont souvent clichés et kitchs. "Separate Lives" a un excellent couplet et un refrain typique de la Pop des eighties. Mais cela rend aussi l'album assez attachant surtout si on a aimé la variété pop de cette décennie. Je pense aux tubes de Moroder dont l'influence est ici évidente.
Je ne déteste pas ce disque mais il est vrai que le soft rock délivré ici est assez banal quand il ne frise pas le quasi-ridicule tant c'est cliché avec la chanson titre, "Days Are Numbers" ou "Hawkeye".
"Let's Talk about Me", "Somebody Out There" et "The Same Old Sun" rappellent un peu le passé prog du groupe.
Petite anecdote : Vulture Culture était censé être le deuxième disque d'Ammonia Avenue (ce qui explique la durée assez courte des deux opus) jusqu'à ce que le tandem Parsons/Woolfson décide de les séparer en deux albums distincts. Le moindre que l'on puisse en penser est que V.C est une seconde partie moins inspirée que la première.

"Alan Parsons fait preuve ici d’un talent exceptionnel de compositeur." Eric Woolfson, paix à son âme, doit bien se retourner dans sa tombe en lisant ça. D'ailleurs, je me suis toujours demandé si Freudiana n'était le bon moyen de prouver enfin qu'il était LE compositeur principal dans A.P.P.

Note réelle : 2.5





Hank WILLIAMS
MEMORIAL ALBUM


Le 30 Juin 2020 par FRED


Inventeur du R'nR ? C'est ce que j'ai toujours eu à l'idée à l'écoute de "Move it on over", morceau qui n'est pourtant pas mon favori de Hank.
Quand il chante, on sent sa souffrance... c'est touchant, et c'est surtout magnifique.
5/5, pas pour l'album (il y a eu mieux comme anthologie depuis), mais pour l'artiste, dont Elvis himself disait à propos de son "I'm so lonesome i could cry" qu'il n'avait jamais entendu quelque chose d'aussi poignant. Il a repris le titre d'ailleurs, je crois bien.





FFF
FREE FOR FEVER


Le 29 Juin 2020 par MAGNU


Un chouilla trop long mais c'était à la mode à l'époque. Ratatiné sur 45 minutes ce serait une parfaite tuerie de métal fusion. Et sur scène, ils sont intouchables !






The Alan PARSONS PROJECT
AMMONIA AVENUE


Le 29 Juin 2020 par SGT JAKKU


Ammonia Avenue, à défaut d'être un très bon A.P.P, est un bon album de Soft Rock des années 80. Les morceaux, passés à la moulinette de la New Wave avec boîte à rythme, synthés Yamaha et grosses guitares, sonnent très juste, du moins à cette époque. Il faut apprécier cette esthétique des eighties sous peine de trouver A.A un peu désincarné. Mais l'inspiration est toujours là, chaque titre possédant une accroche mélodique, ce qui sera moins le cas des deux opus suivants. J'aime beaucoup "Don't Answer Me", un touchant hommage aux années 60 et à Phil Spector. "Ammonia Avenue", le titre, est le seul numéro du disque qui rappelle le passé Prog ou Art Rock du groupe. Un disque des années 80 tout à fait correct. Note réelle : 3,5.





TANGERINE DREAM
RUBYCON


Le 29 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Le premier concert de Tangerine Dream eut lieu en janvier 1968 à la grande cantine de l'université technique de Berlin. Du rock psychédélique ! Septembre de la même année, le groupe se produit aux journées internationales de la chanson à Essen, ville située à l'ouest de Dormund pour les passionnés de football, deux villes non loin de la Hollande. À ces journées internationales, se présentaient des groupes comme Amon Düül, The Fugs et The Mothers of Invention, donc du beau monde et un bon début pour Tangerine.

Berlin ville île durant la guerre froide est alimentée en grande partie par des subventions de la République Fédérale Allemande (RFA) pour continuer à vivre. Une de ces subventions va jouer un rôle déterminant dans la direction musicale du groupe.
Son nom : Loi sur la promotion de Berlin. La ville équipera un Electronic-Beat-Studio qui permet à de nombreux groupes berlinois de profiter gratuitement des synthétiseurs et autres petites merveilles. Klaus Schulze et Edgar Froese profitent des largesses de la ville. C'est cette loi donc qui, indirectement, influence aussi la direction musicale de ces musiciens.

Je tenais à le dire car si Berlin Ouest était une vitrine alléchante du monde occidental aux yeux des populations de l'Est, elle se devait aux yeux des politiciens de l'Ouest de l'époque,
de l'être aussi au niveau culturel pour que ces mêmes populations de l'Est aient l'eau à la bouche.
Je n'ai pas beaucoup parlé de Tangerine Dream car d'autres l'ont fait très bien avant moi. J'apprécie ce groupe au même titre que King Crimson ou Soft Machine.





DEEP PURPLE
DE LA FUMEE SUR L’EAU : 1968 – 1976 PAR MARTIN POPOFF


Le 29 Juin 2020 par MAGNU


Bouquin bien écrit et très documenté, je l'ai lu en 3 soirées car il est très agréable à lire.





The AUTEURS
NEW WAVE


Le 29 Juin 2020 par CLANSMAN57


Très bon disque de Pop anglaise, parfois bien Rock à quelques entournures.
Haines s'applique en effet à ne pas proposer tout le temps le même morceau, c'est un point positif.
Aucune chanson n'est à jeter, je ne mets cependant pas la note ultime car, aussi bon instrumentiste et compositeur qu'il puisse être, je ne trouve pas son chant extraordinaire. Disons qu'il s'en sort plutôt bien, mais sans plus, du moins à mon sens.

J'ai du mal par ailleurs à entendre l'influence de The Smiths et le terme "baroque" me semble un poil exagéré pour qualifier cette musique, bien qu'elle soit bien construite, inspirée, dotée de quelques idées intéressantes, en plus de bien passer l'épreuve du temps.

Précisons également que ces chansons n'ont pas un effet immédiat. Au fil des écoutes, sans non plus forcer, elles dévoilent tout leur potentiel.







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