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The BEATLES
LET IT BE 5 LP EDITION (BOX SET)


Le 17 Janvier 2022 par LE KINGBEE

N'étant pas un grand spécialiste du groupe, la chronique vient à point nommé pour rafraîchir la vie et l'écoute des Fab Four. Le parfait complément à la video youtubesque de Blague Records qui offre une présentation anglophone complète du coffret.
Seul point d'interrogation, pourquoi de telles différences de prix entre les vendeurs? Phénomène courant pour ce qui est des coffrets et des éditions limitées.
1000 Thanks pour les infos qui m'avaient échappé.





SIMPLE MINDS
SPARKLE IN THE RAIN


Le 17 Janvier 2022 par METALPROG84


Simple Minds évolue et délaisse de plus en plus la new-wave pour faire de la pop-rock (à la U2, dirons certains), ce qui se confirmera avec l'album suivant. Bien moins aventureux que "Empires and dance" ou "Sons and fascination", l'album n'est pas mauvais, loin de là. La plupart des morceaux sont bons (même excellents avec "Speed your love to me" et "East at easter") même s'ils restent facile d'accès. J'aime moins "Street Hassle" qui met du temps à décoller et qui reste un peu bordélique par la suite. Sinon, les 9 autres titres valent le coup en ce qui me concerne.





Bonnie TYLER
FASTER THAN THE SPEED OF NIGHT


Le 17 Janvier 2022 par CSAMSA


Une première face (les 4 premiers titres) quasi parfaite avec notamment deux sommets : "Faster..." (Ah, cette montée vocale dans les aigus à la fin ! Et cette batterie du grand Max Weinberg qui porte tout !) et "Total…" (dont la voix masculine du dénommé Rory Dodd aurait mérité une carrière plus visible).
La seconde face est plus fade quoique pas déshonorante avec un très bon "It’s a jungle out there", au parfum reggae très agréable et "Tears", une balade qu’on croirait chantée par Rod Stewart.
Cet album démontre à quel point un producteur/arrangeur/compositeur inspiré, sachant rassembler une équipe de musiciens de premier calibre peut porter une interprète s’appropriant parfaitement le répertoire mis à sa disposition.
L’album suivant suivra la même recette, avec encore un très bon niveau. Mais une fois la page Steinman tournée, ce fut une autre histoire, exemplaire des interprètes dépendant du répertoire et des équipes qui l’entourent.
Comme pour le [i]Bat out of hell[fi] du pain de viande, Steinman reprend les ingrédients de la recette qui a cartonné. Il y a ici de tout, en trop, comme une chantilly omniprésente, mais c’est ça qui est bon, notamment un remarquable travail sur les voix. Une réussite de pop-rock-FM-AOR avec une production eighties qui vieillit bien, c’est aussi à souligner.





COCTEAU TWINS
LULLABIES


Le 17 Janvier 2022 par KEMPSIR

Je trouve assez savoureux le portrait qui nous est offert ici des auditeurs de Siouxsie & the Banshees, dépeints comme des pourfendeurs devant l'éternel des Cocteau Twins première période. Je crois que l'on est assez loin de la réalité. Par contre, le comportement de Robin Guthrie a toujours posé problème.
Guthrie a toujours été véhément vis-à-vis des Banshees en interview, allant même jusqu'à rejeter toute filiation avec ses aînés, suscitant l'hilarité parmi les journalistes de la presse anglaise.
Plusieurs décennies après, il faudrait être un afficionado avec une oreille musicale déficiente, voire inexistante, pour nier l'évidence quant à la filiation Banshees - Cocteau Twins. Quand on écoute les premiers Garlands et leurs premiers eps dont celui-ci, et que l'on connaît les premiers albums des Banshees, on se rend compte que Guthrie a fait ses classes en partie en reproduisant le son strié et stratifié que le guitariste John McKay avait créé sur certains morceaux de l'album "Join Hands" en 1979. Guthrie s'est aussi inspiré du guitariste suivant des Banshees John McGeoch et de son travail sur certains titres de Kaleidoscope" (1980).
Garlands et cet Ep se situent dans la droite lignée des Banshees de l'ère 1979-1980 pour ce qui est du son de la guitare et de la basse. La nuance vient maintenant; Guthrie & co n'ont pas été une copie carbone 14 puisqu'ils ont eux utilisé une boîte à rythmes.
Du reste, on portera à la connaissance de nos lecteurs que Liz Frazer est une fan hardcore de Siouxsie and the Banshees : Fraser s'était fait tatouer le nom de Siouxsie and the Banshees sur un bras en 1979, et elle a laissé cette empreinte indélébile marquer les pores de sa peau jusqu'à la fin des Cocteau Twins. Elle se l'est fait retirer au moment de sa collaboration avec Massive Attack. Ceci dit, il est notablement admis que Guthrie est un tyran domestique. Fraser a dû annuler à la dernière minute une tournée de reformation des Cocteau Twins, tant elle se sentait mal à l'idée même de l'apercevoir une fois de plus. Elle a d'ailleurs déclaré à son sujet qu'autrefois il pensait et parlait à sa place, ce qui n'a pas dû la laisser indemne. Guthrie est un peu comme les gens de Radiohead qui ont toujours nié avoir écouté certaines productions de prog rock. Un musicien pétri de contradictions.


Par Forces Parallèles

J'admets que Robin Guthrie ait pu se montrer de mauvaise foi dans son refus de revendiquer l'influence des Siouxsie. Mon propos n'était pas de fustiger les fans du groupe de Siouxsie Sioux, mais de rapporter ce que la presse en pensait à l'époque et la défense de Robin Guthrie.
Je n'ai rien contre Siouxsie..., au contraire, mais je suis plus sensible à la musique des Cocteau Twins, que je connais mieux aussi il est vrai.
aigle blanc





Axel BAUER
LIVE A FERBER


Le 17 Janvier 2022 par LOGANKOWALSKY


L'album qui m'a fait redécouvrir Axel Bauer. La première de ses qualités et non des moindres est qu'il sonne plus rock (enfin ! Les albums studios me semblaient toujours trop lisses, trop produits). Les qualités d'un parfait best of avec ce bonus au feeling live en plus. Je confirme que les vidéos sont vraiment sympas. En revanche, un support physique existe (ou au moins a existé) puisque je dispose d'un cd digipack tout ce qu'il y a de plus officiel.





Kim CARNES
MISTAKEN IDENTITY


Le 16 Janvier 2022 par NONO


Ca alors ! ... il faudrait que je réécoute cet album car, sans l'avoir écouté pour autant des dizaines de fois, il ne m'a vraiment pas laissé un souvenir impérissable !
Bon OK il n'y a pas que "Bette Davies' eyes", mais quand même à part ce titre, il n'y a pas grand-chose à se carrer sous la dent !
Je retiens surtout "Hit and Run" et "Miss you tonite" mais le reste me semble très mollasson et anecdotique, des souvenirs que j'en ai !
Bon... je vais le réécouter quand même cet album...





IRON MAIDEN
SENJUTSU


Le 16 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE

@Babard le Loubard

Mille Mercis pour AURA SHRED, et pour moi-même aussi du coup. J'ai tout d'un coup moins l'impression de précher dans le vide. :)

"Mais la prise de risque est-elle une composante indispensable à la qualité?"
Question très intéressante, qui me cause quelques noeuds à la tête. Pour répondre un non définitif, il suffirait d'un seul exemple que j'ai ma foi bien du mal à pointer du doigt. J'imagine qu'il suffirait d'aller chercher du côté d'artistes réputés pour avoir fait leur carrière sur un peu toujours la même chose, comme AC/DC. Mais c'est aussi la raison pour laquelle je ne m'y suis que très peu aventuré jusqu'ici.

Je précise tout de même qu'il y a quelques nuances entre se remettre en cause et prendre des risques. On va me reprocher de prendre toujours le même exemple (mais je l'aime bien, cet exemple). Est-ce que IRON MAIDEN a vraiment pris un risque avec les quelques notes à l'egyptienne ? Pas plus que sur Death of the Celt...euh... Enfin The Clansman quoi... (ou Mother Russia, pour un autre raté comparable).

Je reviens sur une connerie que j'ai dite, vu que je me suis réécouté The Final Frontier pour la première fois depuis trèèèèèèèès longtemps. Il y a bien quelques propositions et remises en cause sur cet album. Donc on n'attend pas la mise à jour depuis Brave New World. Mea culpa.

La comparaison entre différents albums d'une discographie (la seule utilité des étoiles sur Forces Parallèles pour les lecteurs, soyons clairs) est la résultante d'une analyse. Il est normal qu'on en parle, bien sûr. On pourrait redéfinir le barème ainsi, d'ailleurs :
5 étoiles: commencez par là
4 étoiles: puis continuez là
3 étoiles: si ça vous a vraiment plu jusque-là, poursuivez
2 étoiles: si vous vous sentez le coeur d'un fan
1 étoile : pour la culture

Mais "mieux qque si vous vous sentez le coeur d'un fan", c'est quoi? :) J'écoute ou j'écoute pas ?





Kim CARNES
MISTAKEN IDENTITY


Le 16 Janvier 2022 par MARCO STIVELL

Même si je pense que cela conviendrait bien mieux à d'autres chroniqueurs beaucoup plus érudits et sachant écrire, merci beaucoup Replicant, ça fait sacrément plaisir ! :)





BLACK SABBATH
THE ETERNAL IDOL


Le 15 Janvier 2022 par FEELGOOD


La découverte récente (mieux vaut tard que jamais !) des bandes enregistrées par feu Ray Gillen (disponibles sur la version Deluxe) a totalement bouleversé mon appréciation de cet album (et de la période Tony Martin).
Au risque de surprendre, j'ai toujours apprécié « The Eternal Idol » que j'avais acheté dès l'automne 87. On est certes loin de la folie furieuse de « Born Again » ou de la grandeur de « Mob Rules » (et ne parlons pas de la période du Madman). Si l'on met de côté certaines sonorités très « milieu des années 80 » et quelques compositions formatées (« Hard Life To Love », « Born To Lose », très réussies au demeurant), la qualité du projet est indéniable. Comment ne pas succomber à la splendeur de « The Shining », morceau magique, ou à la noirceur du morceau-titre il est vrai fort réminiscent du mythique titre « Black Sabbath » ?
« Ancient Warrior » et « Glory Ride » constituent aussi de belles réussites, à la fois épiques et atmosphériques. Le malsain « Nightmare » (et les ricanements démoniaques de Ray Gillen, longtemps le seul témoignage officiel de son implication dans la carrière du Sab') et l'énergique « Lost Forever » complètent un ensemble de grande qualité.
En 1987, Tony Martin était un excellent chanteur, il faudrait être de très mauvaise foi pour nier cela. Par moments, sa voix évoque même le grand DIO. Pourtant, quelque chose m'a toujours gêné à l'écoute de cet album et j'ai longtemps été incapable de comprendre de quoi il s'agissait. L'écoute de la version enregistrée par Ray Gillen m'a permis d'appréhender précisément le problème. On sait que T. Martin a dû remplacer Gillen et réenregistrer les lignes de chant de son prédécesseur, exercice difficile s'il en est. Cela explique sans doute le côté emprunté de ses vocalises. T. Martin m'a toujours donné l'impression de ne pas être totalement à l'aise avec un matériel composé pour un autre et cela aboutit à un résultat quelque peu guindé. En d'autres termes, T. Martin fait ce qu'on lui dit de faire et ne se lâche pas.
Ce que j'apprécie dans la version « Gillen » de l'album, c'est la puissance plus grande, non seulement du chant, mais aussi de l'instrumentation, plus rentre-dedans, moins esthétisante. Cela est peut-être dû au fait qu'il s'agit peut-être de démos non finalisées au son plus brut que la version définitive (je laisse les spécialistes du groupe m'éclairer sur ce point).
Quoi qu'il en soit, j'adore la prestation de Ray Gillen et la trouve largement supérieure à celle, pourtant honorable, de T. Martin. Dommage que l'autre Tony n'ait pas été en mesure de garder un tel chanteur. Qui sait ? La présence du charismatique Gillen aurait peut-être relancé la carrière du groupe...





IRON MAIDEN
FEAR OF THE DARK


Le 15 Janvier 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


Guère mieux que le précédent ; on est descendu clairement en division inférieure par rapport aux sept premiers opus quasi légendaires.

Ici, ça sent le sapin, le ridicule étant atteint avec l'horrible 'Week-end Warrior'. Le reste est quelconque comparé au passé. Je persiste : Maiden et Metallica sont morts à l'arrivée des 90's. Du moins, j'ai stoppé là la mascarade.





IRON MAIDEN
NO PRAYER FOR THE DYING


Le 15 Janvier 2022 par CLANSMAN57


Non, il n'est pas mauvais, mais c'est tout de même une sacrée baisse de régime.
Cependant, l'album se laisse écouter, ils feront bien pire par la suite.
Je préfère quand même ce "No Prayer..." à n'importe quel disque de Maiden sorti depuis 2010.
Limite il prend une étoile supplémentaire après réécoute de ces derniers.






IRON MAIDEN
FEAR OF THE DARK


Le 15 Janvier 2022 par CLANSMAN57


Hormis la chanson-titre qui mettra (presque) tout le monde d'accord, j'aime assez "Be Quick.."et "Afraid...", dans une moindre mesure "Childhood's..." et la très peu citée "Judas Be My Guide".
Le reste ne m'intéresse plus du tout.
L'album est un tout petit peu meilleur que le précédent à mon sens.
Et c'est peut-être bien la dernière pochette qui me plait autant chez eux.

2,5/5






GENESIS
WIND AND WUTHERING


Le 15 Janvier 2022 par REALMEAN

@POPOLOUTCHO
C'est amusant, car ce que tu décris pour "Wind and Wuthering", c'est un peu ce que je ressens pour "Selling England by the Pound" (pourtant unanimement reconnu comme le chef-d'oeuvre de la première période). Impossible de passer à côté évidemment, mais c'est celui que j'aime un peu moins que les autres, parmi les inoubliables "Trespass", "Nursery Cryme" et autre "Foxtrot".
Quant à "Wind and Wuthering", pour moi, c'est justement l'un de ceux qui a le moins vieilli, de l'époque où officiaient encore Steve Hackett et/ou Peter Gabriel.
Les goûts et les couleurs !...





STING
IF ON A WINTER'S NIGHT


Le 15 Janvier 2022 par REALMEAN


L'âge aidant peut-être, j'ai une tendance à apprécier les albums à dominante calme et apaisée, mais avec "If on a Winter's Night", on n'est plus dans le calme, c'est la crise de mollesse assurée.
Je suis assez d'accord avec la chronique qui mentionne notamment que Sting a dénaturé sa voix pour l'adapter au propos de l'album : effectivement, je ne retrouve pas le timbre à la fois chaleureux et vibratoire de M. Sumner, et on ne peut pas dire que la transformation soit réussie, même pour servir ce registre.
Je ne me retrouve pas non plus sur le fond du projet : des chants de Noël, pourquoi pas, mais l'ambiance de "Winter's..." est copieusement dépressive (sans être émotionnellement convaincante). Ce n'est pas l'idée que je me fais de la tradition de Noël.
J'ai gardé une affection particulière pour les 4 premiers albums solo de Sting (en particulier, "The Soul Cages" et "Ten Summoner's Tales"), j'avoue avoir plus de mal avec la suite.





Laurent VOULZY
RECOLLECTION


Le 15 Janvier 2022 par BAKER


C'est marrant mais là aussi je ne serai pas d'accord avec Marco... dans le sens inverse ! Rocko77ction est truffé de soucis, mais ce qu'il en reste est quand même très fort de café, avec parfois un sens du détail sonore ahurissant. C'est un album spécial mais à ne surtout pas sous-estimer, et qui ne donne qu'une envie : que Voulzy sorte maintenant, là tout de suite, extemporanément sa suite.





TANGERINE DREAM
CYCLONE


Le 15 Janvier 2022 par BAKER


Un excellent disque, vraiment. Son réel point noir ? Steve Jolliffe essaie de faire son gros méchant aux vocalises alors qu'une approche aigre-douce à la Peter Gabriel aurait mieux convenu. Mais sinon, c'est un disque distrayant et très bien foutu, mention spéciale à "Rising Runner" que tout un chacun semble haïr alors que c'est finalement ce que T.D a fait de plus proche du krautrock de toute sa (très longue) discographie.

De toutes façons, je ne suis pas objectif, j'adore TD dès qu'il y a du chant. Et il y en a eu un poil plus que ce qu'on en a dit.





The DOORS
IN CONCERT


Le 15 Janvier 2022 par BAKER


A la question "mais enfin Baker, ô toi grand Mélomane Prophétique, pourquoi n'aimes, pardon, n'adules-tu pas les Doors comme tout un chacun, surtout Manoeuvre ?", j'ai enfin ma réponse : je n'aime aucun des albums des Doors qui sont considérés comme grands. Or, cet énorme, interminable, gargantuesque double CD est considéré comme grand, ou en tout cas l'a été à sa sortie.

140 minutes extrêmement répétitives, parfois sans cohérence aucune, assez prétentieuses, avec en point d'orgue un Jim qui n'a pas, ouh là loin s'en faut, le charisme attendu, un public comme je déteste, à la Depeche Mode ou Mylène Farmer (a.k.a. on est contents d'être là parce qu'on est là et qu'on est contents). Je dois reconnaître que Krieger (once again) et Densmore essaient souvent de dynamiter le tout, mais rien n'y fait, l'ennui me prend comme une envie de pioncer.





Joe JACKSON
BODY & SOUL


Le 15 Janvier 2022 par BAKER


L'un des, sinon le meilleur, album d'un artiste extraordinaire qui en a pourtant pondu un bon cheptel, même très récemment. Le son est terrifiant de chaleur et de proximité, Burke et Maby sont déchaînés, les mélodies sont racées, le duo sur "Happy Ending" est nickel, "Loisaida" flirte avec la fusion, "You Can't" a été en son temps un bon petit tube. La Musique avec un grand M.





Kim CARNES
MISTAKEN IDENTITY


Le 14 Janvier 2022 par REPLICANT


Ce Marco, non seulement il les bosse ses chroniques (encyclopédues !) mais en plus en plus il nous ouvre les écoutilles ¡
Je mets 4 à l’album et 5 au chroniqueur :)





IRON MAIDEN
THE NUMBER OF THE BEAST


Le 14 Janvier 2022 par TONIO


TNOTB est le premier album du groupe que j'ai acheté, alors forcément le côté nostalgie joue beaucoup. Sérieux, ce disque j'ai du l'écouter 10000 fois avec les poils au garde a vous à chaque fois ! C'est du heavy magistral plein d'émotion et d'énergie, même "Gangland" trouve grâce à mes yeux.
J'adore les deux premiers albums du groupe mais force est de constater que ce nouveau chanteur permet a Maiden de tutoyer les sommets. Un grand album pour un grand groupe.







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