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MIDNIGHT OIL
THE MAKARRATA PROJECT


Le 08 Janvier 2022 par LE VIEUNE


Je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à me décider d'avoir "The Makarrata Project", le bientôt avant dernier album de Midnight Oil, groupe que je mettais devant U2, Depeche Mode, The Cure, INXS, etc ...

Peter Garrett n'a jamais été meilleur que lorsque il était dans le groupe, je pense. Un groupe qui me touchait par son énergie brute et ses mélodies parfois émouvantes. Même s'il semble encore traîner des casseroles de son aventure politique au sein du gouvernement australien, je réalise que ça fait vraiment plaisir d'écouter une nouvelle œuvre des Oils et qui plus est dans un engagement pour la cause des aborigènes, ornée d'une mappe dépliée de l'Australie partagée en une multitude de régions linguistiques des premiers autochtones de la Terra Australis.

Il fait chaud au cœur, ce disque qui débute avec verve et qui progresse vers des morceaux plus apaisés. Il respire l'espoir, plus de trente ans après la sortie de "Diesel And Dust".





EAGLES
ONE OF THESE NIGHTS


Le 08 Janvier 2022 par SGT JAKKU


Un bon disque des Eagles avec une très bonne poignée de chansons devenues des classiques du groupe. Seulement si on juge les morceaux au cas par cas, on constate qu'en dehors des titres phares (One Of, Hollymood Waltz, Lyin' Eyes, Too Many, Take it) l'album n'est pas exceptionnel. Les autres chansons qui font office de remplissage, sont juste correctes, pas plus.
Et non, je ne trouve pas que l'instru "Journey Of The Sorcerer" soit épique. C'est long et ça ne va nulle part.

Note : 3,5





Yngwie MALMSTEEN
LIVE !!


Le 07 Janvier 2022 par X

« Gates of Babylon » provient à l’origine de l’album « Long Live Rock ‘n’ Roll » de Rainbow, sorti en 1978.





VARIOUS ARTISTS
PAURA : A COLLECTION OF ITALIAN HORROR SOUND


Le 06 Janvier 2022 par DFOU

Bonsoir, la track list fait l'impasse sur Inferno, film réalisé par Dario Argento et dont la BOF a été confiée à Keith Emerson. Mais cette BOF n'était peut être pas suffisamment "qualitative" pour figurer sur cette compilation.


Par Forces Parallèles

La raison de l'absence de Inferno dans la compilation chroniquée par mes soins est fort simple : la B.O ne figure pas dans le catalogue acheté par le label Cam Sugar.
Mais cette compilation ignore de même, comme je le précise dans la chronique, bien d'autres films que le simple Inferno, L'oiseau au plumage de cristal ou Profondo Rosso par exemples.
De plus, Inferno ne passe pas pour un giallo pur, entaché qu'il est par une dimension fantastique (ah la sorcellerie des 3 Mères !) qui l'éloigne du thriller italien.
La musique de Keith Emerson peut être appréciée à sa juste valeur : belle, onirique, étrange, pompeuse, prog, néo-classique...





The STAPLE SINGERS
THE TWENTY-FIFTH DAY OF DECEMBER


Le 06 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE

Je me permets donc de répondre à mon tour, en tant qu’ancien désigné. Je prie mon collègue Monsieur Ameforgée, qui passe encore par ici à l’occasion, de me corriger si je me trompais quant au passé de Forces Parallèles. Je fais tourner The Twenty-Fifth Day of December pour la première fois au moment où j’écris ceci. Pour éviter d’être totalement hors sujet, je ferai donc un aparté sur ce que j’entends : très sympa, j’aime cette chaleur dans les voix, j’aurais même envie de parler de sensualité… mais le thème ne s’y apparente pas ? Faites l’amour, pas la guerre, même en Décembre ! Je ne sais pas si je réécouterais ceci étant…

Il n’y a, de mémoire, jamais eu de ligne éditoriale clairement définie sur Forces Parallèles. Donc pour la changer, ça va être compliqué. Nous avons simplement un système de validation, qui assure a minima que l’auteur soit relu par un de ses pairs avant la publication de son texte. Nous avons hérité de ce mode de fonctionnement de nos grands-frères de Nightfall In Metal Earth. Sans doute influencé par le côté provocateur et "larger than life" du Rock dur sous toutes ses déclinaisons, les valideurs ont toujours été très conciliants avec le contenu des chroniques. Nombreux d’entre nous ont fait des écarts, de toutes sortes. Je vous invite à relire l’excellente chronique de l’album A Black Moon Broods Over Lemuria de BAL SAGOTH chez nos confrères. Pas une ligne parle de musique, et c’est très bien ainsi. J’ai failli faire de même pour The Bends de RADIOHEAD. Stef, notre webmestre à l’époque, m’avait demandé de rajouter une petite note explicative. Je la regrette presque aujourd’hui.

On a été critiqué pour avoir parlé de musique classique, de musique de jeux-vidéo, de variété, pour avoir écrit trop court, trop long, pour ne pas avoir parlé de musique, pour en avoir parlé de façon trop descriptive, pour s’être contenté de descriptions, pour avoir utilisé un vocabulaire trop soutenu, et j’en passe. Aujourd’hui, c’est pour avoir un peu de contenu politique. Pour avoir fait comme on le voulait, en somme.

De la politique sur FP, on en a toujours eu, un peu, depuis longtemps. J’ai longtemps prôné moi-même que l’important dans la musique, c’est la musique. Mais quand on chronique TRI YANN, par exemple, il est difficile de différencier les hommes des artistes. Je dirais que par le simple choix des artistes dont nous parlons, nous faisons déjà un peu de politique, chacun à notre façon. Si je préfère HAYDN à WAGNER, c’est aussi pour des questions politiques. Ce n'est pas parce que je viens de découvrir récemment une déclaration à vomir de Dave Mustaine, que je vais jeter mes disques de MEGADETH pour autant ou arrêter de les écouter. D’autres que moi ont réussi à faire passer des groupes ou artistes peu recommandables, que je ne citerai pas, dans nos colonnes. Notre chef d’orchestre Erwin a une vision encyclopédique du site. Le seul guide que j'ai perçu de sa part, c’est l’idée que si un chroniqueur entame la discographie d’un groupe ou artiste, il s’assure de terminer le boulot. Ce n’est pas une règle, ça dépend des humeurs, des envies, du sens du vent. Que sais-je ? On s’en fout, en fait. On essaye tous de se conformer à la tendance générale la plupart du temps, et parfois on déborde du cadre, un peu, beaucoup, surtout passionnément. Pas encore à la folie, mais ça pourrait arriver, qui sait ?

L’un d’entre nous est d’avis que nous devrions éviter l’usage du « je » dans nos chroniques. J’ai trouvé sa remarque pertinente lorsque je l’ai lue, alors j’ai tenté de m’y appliquer. Puis j’ai arrêté d’écrire… Est-ce la raison ? Je ne saurais dire… Ce dont je suis certain, c’est que nous avons besoin de bouleverser nos habitudes une fois de temps en temps pour persévérer. Ecrire 10 chroniques, c’est facile. 20 ça commence à être la routine. 50 c’est compliqué. Alors 100, 500, plus de 2000 pour l’un d’entre nous, ça demande quelques compromis pour que l’équipe n’explose pas en vol et poursuive son activité, bénévole je le rappelle, tant qu’il est question de partager avec passion.

J’ai tourné le potard de la « politique » à fond sur mes dernières chroniques des clips de LORN. Le format clip me semblait approprié pour ce faire. Je n’ai pas eu l’impression d’avoir été influencé par mes collègues. J’ai tenté le coup, mes valideurs m’ont laissé faire (peut-être simplement du fait de mon ancienneté), alors j’ai persévéré. Certaines des raisons qui m’ont poussé à faire cela apparaîtront dans la chronique de "Until there is no end".

Une autre raison que je n’y mentionne pas est toute simple. Je suis récemment rentré d’Inde, bien loin du débat politique français, et j’ai halluciné. Ils ne sont plus « décomplexés » ou « dédiabolisés » du tout là, c’est d’un tout autre niveau. Comme beaucoup, je consulte les articles que Google me propose sur mon smartphone, à tort, puisque tout ceci est manipulé par des IA (intelligences artificielles) qui polarisent (involontairement) d’autant plus le débat. Mais on se retrouve si souvent dans une file d’attente ou dans des transports en commun que la tentation est toujours là… J’ai dû ajouter un filtre pour éviter d’avoir constamment des suggestions d’articles à propos de Gargamel. Même après cela, certains ont trouvé le moyen de se faufiler. Je me suis également retrouvé dans le rayon librairie d’un supermarché récemment. Le seul livre qui était mis en évidence avec la couverture tournée vers le client était de lui. Il y en a que pour lui en ce moment. Bolloré s’est bien assuré que l’on ne parle plus que de son protégé. Contrairement à l’autre nationaliste, lui ne se loupera pas dans un débat présidentiel à deux pas de l’Elysée. Quand les médias ne parlent pas de Gargamel, ils fustigent le gouvernement en place (à tort ou à raison, je m’en fous). Résultat, si tous les modérés continuent de faire l’autruche et de laisser faire, on a une belle autoroute devant nous pour tous s’appeler Corinne dans quelques temps.

Donc comme on est encore enfermés chez nous, j’utilise la seule tribune où je trouve encore quelques âmes qui veulent bien me lire. Pour prôner un peu de modération, un peu d’écoute, un peu d’empathie, un peu de sens des réalités. Parce que les uns comme les autres sont en train d’utiliser la peur pour accéder au pouvoir. Donc je profite du peu d’espace que j’ai pour parler autrement de certains sujets. J’essaie de trouver un angle différent, à ma manière. Je me demande si j’ai suscité plus de réactions que de découvertes des clips de LORN en question, d’ailleurs (5 personnes ont réagit, dont seulement 2 précisent avoir écouté l'artiste, à ce jour). Ça serait triste, mais je n’ai aucun moyen de m’en assurer. Comme la politique n’est plus apportée que par le "télécran" et l’intelligence artificielle d’une part, et interdite par les usages par ailleurs (de vie en société ou de rédaction de chroniques musicales), au final, on n’en fait plus vraiment…

Je ne compte pas faire du discours politique dans les chroniques une généralité, si ça peut vous « rassurer ». Mais là, j’avoue, en ce moment, j’ai un peu la nausée. Je n’ai pas lu Rhinocéros de Ionesco, mais j’en ai compris le message. Je n’ai pas envie de devenir un Rhinocéros, surtout si c’est pour s’appeler Corinne en plus… Désolé d’ailleurs pour toutes les Corinne, ça doit être un prénom lourd à porter, ces derniers temps. Donc si l’artiste m’en donne l’occasion, faut que ça sorte. « On ne peut pas plaire à tout le monde », comme disait l’autre… Moi ça ne me plait plus trop en effet. Continuer à faire comme si de rien n’était et rester dans la vision encyclopédique, ce n’est plus possible pour moi, désolé. J’ai donc remis du « je » dans mes chroniques, pas que pour parler politique d’ailleurs, et « je » le revendique.





TOTO
TAMBU


Le 06 Janvier 2022 par BAKER


La redécouverte de ce disque me rapproche du commentaire de METALPROG84. Si les extrémités de l'album sont magnifiques et méritent leur status de culte, "I Will" et "The Other" sont deux compos chargées en émotion comme rarement. Pourquoi ai-je chialé à leur écoute aujourd'hui alors que je les ai écoutées 40 ou 50 fois avant pendant 25 ans ?

Peut-être parce que c'est ça, passer à l'âge adulte. Luke en parle très bien dans son autobiographie, et là ça vient de me taper le museau façon faux-filet. Un très grand, énorme 'petit' disque.





The STAPLE SINGERS
THE TWENTY-FIFTH DAY OF DECEMBER


Le 06 Janvier 2022 par LE KINGBEE

@ Ben

Très heureux que mes chroniques vous aient plu, ne serait-ce qu'un laps de temps.

Etant donné que vous voyez chez moi tous les défauts d'un petit prof donneur de leçon (je ne vois pas trop en quoi mais qu'importe!), je vous adresse 1 première leçon: lisez 1 ligne sur 2 ou 1 paragraphe sur 2, vous gagnerez du temps.
Pour info, parmi les collègues que vous incriminez, Chips était sur le site bien avant moi. Pour ce qui est des autres, j'apprécie fortement leur prose.
Cordialement





The CARDIGANS
FIRST BAND ON THE MOON


Le 06 Janvier 2022 par SGT JAKKU


Merci pour cette chronique que je trouve un tantinet dure mais bien argumentée. FBOTM a été pour moi l'album de la découverte du groupe comme beaucoup de gens. Je fus surtout très impressionné par l'incroyable production qui s'inspire des années 60 et 70, un peu à la manière de Lenny Kravitz. L'album n'est certes pas parfait à cause de deux ou trois titres mineurs mais ça reste très solide pour le reste. J'aime particulièrement la manière dont le groupe enchaine les titres sur la première face.
FBOTM est aussi l'opus qui referme la parenthèse pop sucrée et rétro-kitch des Cardigans. J'avoue être moins fan de la suite de la discographie où je trouve que le groupe prend une direction un peu plus mainstream. Heureusement, la qualité de leur musique sera toujours au rendez-vous.





SHEILA
DANS UNE HEURE


Le 05 Janvier 2022 par MARTIN LA BOTTE


Il me semble que c'est la chronique de Marco sur laquelle j'ai le plus de titres "+ et -" en commun. Si 1967 est encore une grande année pour SHEILA dont les 3 EP se classent tous très haut dans les ventes annuelles, c'est sans doute aussi l'année où elle enregistre très peu de chansons que j'apprécie particulièrement.
Loin devant, "Pamela", signée par GOULDMAN certes, mais enregistrée d'abord par Wayne FONTANA. Une excellente adaptation au texte bien écrit et imagé (on a tous été témoins un jour de l'éclosion d'une "Pamela") et sur laquelle on pourrait se risquer à un petit Madison. Et puis "Les Jolies choses", cover de Johnny TILLOTSON sortie la même année et dont on peut supposer que le belge Jean Kluger l'a apportée à CARRÈRE en cadeau de bienvenue dans l'équipe puisqu'il était déjà crédité sur la V.O, ostensiblement inspirée de l'"Ode à la joie" de la 9e de Beethoven. Une chanson contemplative et optimiste que la douce voix de Sheila sur les couplets rend assez irrésistible avec des paroles toutes simples mais qui font mouche à l'instar des premiers mots -"Comme un fardeau je dépose à l'instant tous mes ennuis..." -
On retrouve l'apport de Kluger sur 3 autres titres, et pas les meilleurs. "Impossible n'est pas français", aux paroles finalement plus "naïves" que franchouillardes comme le titre pouvait le laisser craindre mais sabordé d'entrée par une orchestration pénible et un refrain poussif. On préfèrera "Le Jour le plus beau de l'été", immédiatement plus plaisante musicalement mais sans grand intérêt en dehors de la bonne humeur qu'elle dégage. Enfin "Le Kilt", seul vrai succès sur lequel Kluger collaborera (Carrère continuera de faire appel à ses services ponctuellement jusqu'en 81 mais sur aucun titre majeur de la chanteuse), - "un sou, c'est un sou, OUI ! ne l'oublie jamais, NON ! - c'est mimi quand c'est chorégraphié pour l'ORTF, c'est plutôt calamiteux quand on tente une réécoute sans image en 2022...
Les 3 autres tubes du disque, "La Famille", que tant de français ont dû reprendre avec ou sans SHEILA (et que Marco semble avoir zappé en revenant sur "L'Heure de la sortie du LP précédent) n'est guère moins récupérable mais je serai plus clément parce que j'ai l'expérience de ma propre famille alors que je n'ai jamais porté de "ravissant" kilt... En revanche, les 2 slows à succès (et originaux !) sont tout à fait repêchables. Particulièrement "Adios Amor", carton français de l'été 67, pour une Sheila grave et plus mature sur fond de plainte tragique. "Dans une heure" , avec Éric CHARDEN dans les crédits, parait un peu en dessous, sans doute parce qu'un peu courte dans le texte mais Sheila en avait livré une version très réussie à L'Olympia 2012, malheureusement non captée.
Même sentiment que Marco sur "Oh mon dieu qu'elle est mignonne", car bien que dénaturant totalement le "Funeral de um lavrador" de Chico Buarque, la version de SHEILA conserve un réel charme suranné et une fraîcheur intacte. "Les Papillons" aurait pu être une (petite) réussite si l'orchestration, belle, dramatique et menaçante, ne donnait pas l'impression de s'être trompée de paroles, beaucoup trop infantiles ici, à moins d'y percevoir les effets d'une substance... "La Porte en bois", empruntée à une certaine "Lady Murray", est empreinte de mysticisme, croire avant tout en une aide providentielle de l'au-delà, là où "Impossible n'est pas français" vantait les mérites de la persévérance pour réussir... Il fut un temps où SHEILA ne cessait de railler cette "porte", symbole à ses yeux des écueils de son répertoire de jeunesse, c'est pourtant pas la pire de ses chansons, ni la meilleure, j'en conviens. Enfin, invitation à la détente sur le très polyglotte (mais purement limité au titre) "Tout le monde aime danser" pour soirée arrosée et/ou bon enfant (Marco, je ne mettrais pas ma main au feu que le passage dont tu parles est bien en créole... ;) )

C'est globalement candide, comme la pochette, ce qui n'est pas forcément un défaut mais trop de titres peu inspirés pour obtenir la moyenne à mes oreilles.







Yngwie MALMSTEEN
MARCHING OUT


Le 05 Janvier 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


La grande époque de Malmsteen et de son style unique, et puis la voix puissante de Jeff Scott Soto, ça le fait méchamment, du grand hard rock de l'époque !





The STAPLE SINGERS
THE TWENTY-FIFTH DAY OF DECEMBER


Le 05 Janvier 2022 par BEN

Au début, j'aimais bien les remarques socio-politico de ce chroniqueur. C'était souvent marrant, on en prenait pour son grade, mais ça a parfois tendance à me lasser maintenant.
De plus, les chroniques du Kingbee sont trop longues et tendent maintenant vers le petit prof donneur de leçons. Le pire étant que cela a fait des petits avec Chipstouille, Derwijes et Nestor.

Pour la nouvelle année 2022, FP compte t-elle revoir sa ligne éditoriale ?
Les lecteurs sont visiblement en hausse, mais la musique ne se résume pas à des chiffres.

Bien cordialement.





KAVINSKY
OUTRUN


Le 04 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE


Opportuniste ? Charlatan ? Rampage est samplée de la bande-son de Dragon Ball Z ?

Pas grave. Ca fait quand même 8 ans qu'on l'écoute, cet album. On y prend toujours autant de plaisir et pas moyen de s'en lasser. KAVINSKY a fait la même chose avec les années 80 (et début 90) que ce que DAFT PUNK avait fait avec les années 70. Ca sample de partout. TANGERINE DREAM a déjà fait ça. On se demande ce qui est vraiment original là-dedans. Qu'est ce qui tient de l'opportunisme ou de la réalisation ?

Pas grave, quand ça marche aussi bien.
Outrun allume tous les voyants chez moi. J'avoue avoir eu un mini-orgasme en voyant le trailer du prochain album. Qui sera peut-être une déception.
Sûrement même.
Le premier n'en était pas une, pour le coup.





Jon ANDERSON
1000 HANDS - CHAPTER ONE


Le 04 Janvier 2022 par YANN 77


Je viens de l'écouter... Oui, y a pas de doutes possibles : c'est du Jon Anderson avec tout ce qui le caractérise, aussi bien dans le bon comme dans le mauvais. Heureusement, ici, on est du côté du bon avec cet album d'une richesse insolente ! Un magnifique album qui va nécessiter plusieurs écoutes pour être apprivoisé.
Ce qui m'a frappé lors de cette écoute, c'est qu'à un moment j'ai eu l'impression d'entendre le Best of d'une vie, du début de sa carrière jusqu'à aujourd'hui, comme si Jon était assis à côté de moi avec un album de photos et qu'il me montrait sa vie.
J'ai hâte de le réécouter !





LORN
ANVIL


Le 04 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE

Premier commentaire, je ne sais que répondre, sinon "oui". 8 lignes de plus que le commentaire en question, donc ?

Second commentaire, une seule question me vient alors: pourquoi ?

Pourquoi les femmes vivent donc plus longtemps que les hommes ? Pourquoi leur accorde-t-on la garde des enfants plus facilement en cas de rupture ?
Pourquoi exprimer un désaccord si ce n'est pour ne pas expliquer en quoi? Pourquoi sommes-nous en désaccord ? Je ne conteste pas les deux faits énoncés.

Je spoile la (les) prochaine(s) question(s) du prochain échange, si jamais il y a lieu : Pourquoi ?





France GALL
DANCING DISCO


Le 04 Janvier 2022 par MARTIN LA BOTTE


Je vais soutenir Thierry sur "Musique", je suis étonné qu'on puisse trouver ce morceau aussi horrible et en même temps agréablement surpris parce que j'avais fini par croire que les classiques de FRANCE/BERGER faisaient l'unanimité ou presque et ne supportaient aucune contradiction. Mais dans les cris de guerre, d'insoumission et autres invitations à la danse et à l'évasion qu'ils ont inaugurés ici et répliqué suite au succès de "Musique", ça serait ma préférée juste derrière "Viens je t'emmène" et devant "Il jouait du piano debout" et "Résiste". Après, ça se gâte, je déteste les refrains saccadés avec syllabes détachées des titres dans "Débranche", "Hong Kong Star" et "Babacar" Et j'isole "Ella, elle l'a" qui me paraît en tous points supérieure aux 3 dernières.
Mais sur "Musique", au contraire de Hug", j'adore l'intro et je trouve la progression du morceau super bien pensée, jusqu'aux "dou dou dou", "tut tut tut" et autres "mmmh mmmh" que France GALL a repris sur le final d'autres chansons en m'agaçant bien plus. Après, comme beaucoup, je craque sur les plus douces "Si Maman si" ou "Le Meilleur de soi-même", comme je craque sur "La Déclaration d'amour", "Ce soir je ne dors pas", "Diego" (mais plus par JOHNNY) ,"Cézanne peint" ou "Évidemment" et aussi pour les paroles plus fortes. Parce que BERGER a beau être un excellent compositeur et mélodiste, il ne m'a pas si souvent que ça emballé sur la puissance des textes qu'il offrait à sa compagne.
De toute façon, la période de Gall que je préfère, c'est sa période "bides diversifiés ("Les gens bien élevés", "Zozoi", "Frankenstein" "Plus haut que moi"), c'est à dire l'après-yéyé (charmante et originale) et l'avant-Berger.
Voilà, c'était ma contribution "tout-en-un" à l'ensemble des albums de France GALL.





LORN
ANVIL


Le 04 Janvier 2022 par FRANçOIS

Je prends bonne note des explications d'Aigle blanc, au sujet de cette chronique à laquelle, il est vrai, je n'adhère pas "idéologiquement" parlant (mais donc, j'ai le droit), même si cette "charte" peut être sujette à la subjectivité de celui qui la lit et à "l'interprétation de l'arbitre" (et là, il n'y a pas la VAR).
Mais comme je suis d'humeur taquine, je conclurais ici avec cependant un point d'accord avec l'auteur : le chemin vers l'égalité est encore long. J'en veux pour preuve que l'espérance de vie des femmes est plus élevée que celle des hommes et qu'en cas de divorce, la garde de(s) l'enfant(s) est accordée à la mère dans l'immense majorité des cas.
Salutations.





France GALL
DANCING DISCO


Le 04 Janvier 2022 par THIERRY RAOULT

à propos du titre "Musique", le chroniqueur écrit : "cette chanson est quand même affreuse, il est carrément impensable de penser que c'est Berger qui l'a écrite. "
Il y a également HUG qui trouve le titre mal construit.

Je ne suis pas fan de France Gall. J'aime pas mal de ces tubes, sans plus.
Cependant, j'adore le titre "Musique". Hier, j'ai trouvé une version allongée de 5:25. J'adore surtout le swing du titre, son côté dansant, j'adore les sons de l'orgue, de la guitare rythmique et des percussions. J'apprécie le chant de France. Je n'ai pas l'impression d'écouter une chanson française. Ca pourrait être un titre de Stevie Wonder de la même époque. Bref, j'adore ce titre, je le trouve quasi parfait, trop court.

(je ne mets pas de note à l'album, je ne le connais pas)





BLUE ÖYSTER CULT
BLUE ÖYSTER CULT


Le 03 Janvier 2022 par LE MOUNGEPEDOUN


Cet album est une tuerie, des toiles musicales tissées de main de maître par le Cult, un des meilleurs 'first LP' parmi les dinosaures du hard rock, et puis quelle pochette mystique et superbe.





LORN
ANVIL


Le 02 Janvier 2022 par FRANçOIS

Une chronique où il est peu question de musique (j'ai compté 8 lignes), le reste étant composé de considérations visuelles et esthétiques (clip) et politico-idéologique (ce qui est visiblement autorisé, suivant leur nature bien entendu)...


Par Forces Parallèles

François, F.P vous remercie de votre fidélité et de votre participation à la rubrique "Commentaires" que vous nourrissez de votre passion musicale.
Concernant la chronique de notre confrère Chipstouille, consacrée au "Anvil" de LORN, il ne vous a pas échappé que cette dernière analyse le clip davantage que la musique qu'il accompagne.
En effet, si vous revenez à la page où se trouve ladite chronique, vous remarquerez que sous la pochette figure la mention "oeuvre" et non pas "studio". Quand la chronique concerne un album traditionnel, c'est la mention "studio" qui apparaît ; quand est mentionné au contraire "Oeuvre", cela signifie que le chroniqueur analyse un clip vidéo. Cela explique pourquoi Chipstouille consacre peu de lignes à évoquer la musique de LORN, et insiste autant sur les aspects esthétique et idéologique que sous-tend le clip en question.
A Forces parallèles, la réflexion politique n'est pas davantage exclue que dans la musique pop-rock : rappelez-vous notamment l'album Animals des PINK FLOYD.
Ce qui est mis de côté en revanche, ce sont les commentaires discriminants qui n'analysent pas une situation donnée, mais crachent leur venin gratuitement pour exprimer une rancoeur aigre portant atteinte à une personne précise ou à un groupe de personnes.
Chipstouille exprime en effet des idées personnelles qu'il fait partager au lecteur mais sans l'obliger à y adhérer ni le dénigrer non plus.
Au plaisir de vous lire... en espérant continuer à susciter votre intérêt.

aigle blanc





LORN
ANVIL


Le 02 Janvier 2022 par CHIPSTOUILLE

J'ajoute en aparté de cette chronique déjà bien longue que le clip recèle bien plus d'un message, on aurait notamment pu s'étaler sur bien plus d'éléments :
- Une analogie très intéressante est ici faite entre les réseaux sociaux et la mort.
- La représentation très neutre et générique d'un monde surpeuplé témoigne d'une perte d'identité. On la retrouve de même au niveau des urnes exposées.
- Les conversations du réseau Anvil se font dans un japonais latinisé. Elles témoignent (dénoncent ?), au même titre que la stylisation du graphisme, d'une uniformisation mondialisée de la culture dans le futur.
- Le corps hypersexualisé de la protagoniste principale et l'interface de connexion pénétrante qui la fait souffrir s'apparentent à l'imagerie d'un viol. La destination étant à la fois la mort et une nouvelle fois la perte d'identité mériteraient une nouvelle chronique.

Difficile de tout aborder en une seule fois. Nous reviendrons peut-être sur certains de ces points dans une future chronique de Vessel, l'album dont Anvil provient. Les autres titres semblent s'articuler autour de certaines de ces idées.







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