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BAND AID
DO THEY KNOW IT'S CHRISTMAS?


Le 25 Décembre 2021 par RICHARD


Toute l'ambiguïté de ce type de projet est bien posée par Marco. Il n´en demeure pas moins effectivement que ce titre reste terriblement efficace.





Tino ROSSI
C'EST LA BELLE NUIT DE NOëL


Le 25 Décembre 2021 par ERWIN


C'est vraiment la madeleine de Proust, Petit papa noël de Tino ROSSI.
Je me rappelle les VISITEURS de NOËL et toutes ces émissions de fin 1979/ 80 / 81.
Et bien sûr, notre Tino, invité sur tous les plateaux télé de l’époque.
Ça me manque tellement.





The BEATLES
ABBEY ROAD


Le 24 Décembre 2021 par JUAN

Bonjour,
En ce 24 décembre (n'est-ce pas un jour adéquat pour ça ?), je souhaite très simplement mais aussi très sincèrement exprimer tous mes remerciements à l'équipe de Forces Parallèles. C'est un vrai plaisir de vous lire quasiment tous les jours et un vrai bonheur de découvrir de nouvelles choses autant que des avis différents.

Merci et bonne continuation,
Cordialement,





MOTÖRHEAD
LEMMY : THE MOVIE


Le 24 Décembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN

Il aurait eu 76 ans aujourd'hui le Monsieur décédé le 28 Décembre 2015 juste après son 70 ème anniversaire.





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 24 Décembre 2021 par MR LARSEN


Je rejoins ce concert de louanges pour dire qu'Amadeus est un grand film, que les acteurs sont fabuleux (Tom Hulce aurait mérité l'Oscar avec F. Murray Abraham) et que la musique est une des grandes protagonistes de l'histoire. A ce titre, le passage sur le lit de mort sur fond de "Requiem" est splendide ! Rien à jeter dans cette oeuvre qui en plus vieillit très bien ! Un grand must !





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 23 Décembre 2021 par SUCRéSALIé


Un chef-d'oeuvre dont on ne se remet tout simplement pas.

La musique, le jeu d'acteur, les décors, ... Tout est puissant, il y systématiquement une touche de spectaculaire, même dans les scènes les plus intimes, comme si le film était un grand Opéra en soi.

Comment ne pas être d'accord avec l'auteur. Au sommet du 7ème art, assurément.





SHEILA
LONG SERA L'HIVER


Le 22 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


Encouragé par notre Marco, je poursuis... ;)

Une fois de plus qu'on a déploré l'absence d'inédits inhérente à l'agaçante politique à l'économie du producteur, on a là 12 titres extrêmement variés tant dans leur thématique que dans leur ton ou leur genre : tango, slow, jerk, valse. Il s'agit d'un des rares albums de Sheila qui ne compte, à mes oreilles, aucun morceau déméritant. Bon, il y en a 1 ou 2 comme "Au milieu des nuages" ou "En maillot de bain" auxquels je n'accorde que la toute petite moyenne de par la ténuité de leur sujet, même si ça reste agréable et très évocateur musicalement des sixties finissantes.
Ce qui frappe en cet hiver 68, c'est l'assez nette supériorité des paroles à celles de la cuvée 67. À commencer par cette "Petite fille de Français Moyen", plus gros tube de l'année pour Sheila et sans aucun doute sa chanson la plus "à texte" depuis ses débuts et peut-être encore jusqu'en 2021. On ne lui avait jamais fait chanter des paroles aussi satiriques - "grave est le problème avant qu'elles se maquillent, en moins de 3h, faut prendre un bain et s'faire les mains"- ou encore - "mais ne leur parlez surtout pas littérature car elles savent tout du dernier livre qu'elles n'ont pas lu" -. On a beaucoup tapé sur cette Sheila "réac" qui, en s'autoproclamant "petite fille de Français moyen" avec cette gouaille enjouée et volontairement criarde, affichait avec fierté ses origines popu, sa confiance en la valeur du travail, son amour authentique pour un garçon "sans prétention" et son ignorance d'une culture élitiste prisée par une certaine jeunesse bourgeoise. Et pourtant, quelle réponse cinglante et saine à tous ceux, et encore plus celles, qui la méprisaient ostensiblement depuis "L'École est finie" ! Finalement, 38 ans plus tard, "Les Bobos" de Renaud n'est qu'une variation contemporaine du tube de Sheila mais cette fois-ci avec l'aval masochiste des cibles désignées, on a la carte ou pas.

Changement de ton avec "La Vamp" où Sheila, 23 ans, déclare d'entrée que si on la croit "pudibonde", ce n'est qu'apparence car, comme elle va le démontrer dans la chanson, elle semble désormais maîtriser les codes féminins de séduction pour rendre son homme fou d'elle. Il faut dire qu'après 6 années médiatiques de sagesse forcée comme une Miss France interdite de petit ami, on entre dans les années où Sheila va enfin s'afficher au bras viril d'un heureux élu, puis d'un autre. C'est délicieux, kitsch à souhait, et soutenu par une chorégraphie télévisuelle du meilleur effet avec costume de scène approprié (illustrant la pochette).
Dans le très nerveux "Oui c'est l'amour" aux arrangements les plus "pop" du répertoire 60' de la chanteuse, elle vante clairement l'addiction au plaisir charnel - "c'est ce que j'attends impatiemment tous les jours... avec toi j'irai jusqu'au point de non-retour..." - Reste à déterminer si elle s'adresse toujours au même monsieur puisque dans le refrain, elle clame - "une rencontre AU HASARD, un mot gentil, un regard, on vole, on plane, c'est l'amouuuuuuuuuuuur..." -
En début d'année, elle se faisait pourtant narratrice de conte biblique pour enfants sur l'enjoué et très mignon "L'Âne, le boeuf et le petit mouton" à la morale convenue mais optimiste "tout ce qui vit sur terre a une tâche à remplir, nous avons tous un rôle à tenir" si l'on occulte la base clairement religieuse de l'historiette. Sur le même 45-tours, "Le Grand défilé" (cover) la projette au petit matin après répétition de show avec toute son équipe prête à la détente avant le repos. Une ritournelle très sympa à fredonner quand on connaît bien les paroles avec notamment l'énumération finale des rôles essentiels de tous les membres du staff technico-artistique.
Mais ce sont 2 chansons sentimentales qui avaient surtout été mises en avant sur le premier EP' 68 : "Dalila", adaptation de "Delilah" créée par Tom JONES (qui, chose rare, connaîtra encore plus de succès, chez nous, avec sa V.O que la V.F de Sheila); mélodie de valse classieuse (avec pont musical de toute beauté) sur laquelle Sheila se fait confidente rassurante d'une amie ayant perdu l'espoir que son amoureux lui revienne.
Alors que sur "Quand une fille aime un garçon", c'est Sheila elle-même qui se retrouve dans la position de la délaissée amoureuse et pleine de regrets. Très joli pont encore mais cette fois-ci chanté - "Oui, j'aurais dû mon amour, courir après toi..." -. 2 réussites dans le genre.
Pour "Isabelle", extrait du 45-tours estival, on semble carrément entrer dans l'univers de Jacques Demy pour cette autre valse cette fois extrêmement guillerette sur laquelle Sheila nous décrit la journée d'une jeune femme, de son réveil jusqu'aux retrouvailles avec son petit ami à la sortie du taf. C'est vif, élégant, articulé parfaitement malgré la cadence effrénée du texte et de la mélodie, j'adore !

Mais mes 2 titres préférés sont plus graves. "Long sera l'hiver", qui donne son nom à l'album, à l'orchestration superbe (même si grandement inspirée du "My year is a day" des Irrésistibles qui venait de cartonner à l'été 68) nous plonge dans une atmosphère glaciale et austère, difficile à situer - "un ciel vide sans aucun chant d'oiseau". "ici où tout est sombre et désert" - à moins que l'on ne soit tout simplement dans le coeur et l'esprit "sibériques" d'une Sheila en manque absolu de la chaleur de son bien-aimé, probablement étranger ("my love") qu'elle fera tout pour rejoindre - "là-bas où tout danse dans la lumière" - dès le "premier soleil". Dommage qu'on ne réalisait encore que des scopitones médiocres à l'époque, cette chanson aurait pu faire l'objet d'un clip très cinématographique.
Mon autre favorite, "La Petite église", morceau encore plus mélodramatique, nous entraîne dans une chapelle, spectateurs indiscrets d'une attendrissante scène de mariage, invités par Sheila qui n'en est elle-même que la témoin a priori fortuite. C'est tout simple et tellement beau ! La voix fragile et empreinte d'émotion (ou de tristesse ?) de Sheila nous décrit le déroulement de la cérémonie jusqu'au baiser des mariés. Il est manifeste alors que l'interprète envie tellement la jeune épouse et n'espère qu'une chose, en s'adressant soudain à son amoureux absent, être prochainement à sa place, à moins qu'elle ait surtout besoin de s'en convaincre et que ce n'est pas si sûr que ça.

4/5 et pas la note optimale parce qu'il me semble que la production, elle, ne l'est pas toujours.





David BOWIE
DIAMOND DOGS


Le 22 Décembre 2021 par BANE


Et si c'était lui, en fait, le meilleur album de BOWIE ?
Ziggy n'a qu'à bien se tenir...





IRON MAIDEN
SENJUTSU


Le 22 Décembre 2021 par AXEL LABRIQUE

Bonjour Chipstouille

Il me semble, en effet, qu'on a tous droit à mieux que ça dans la vie. Finalement, on en arrive à tout diviser : il y a ceux qui aiment et ceux qui n'aiment pas, puis il y a ceux qui aiment dire qu'ils ont aimé ou pas, et d'autre qui n'aiment pas lire ce qu'ils ne pensent pas, et finalement on en arrive à défendre la liberté de penser face à des gens qu'on perçoit comme défenseurs de la pensée unique (et si possible la leur).
Et tout ça pour quoi finalement? Un album qui est finalement exactement ce à quoi on s'attendait à peu près tous. Un album conçu à partir d'un cahier des charges sans risques mais sans surpises, sans gaspillage dans les coûts; dans la continuité de ce à quoi on s'est habitués pour ne pas perdre davantage de fans.

Mais dans le fond, on s'en fout un peu, tout de meme, non? Iron maiden n'a plus besoin que leur dernier album soit eu goût de certains et pas à d'autres, tant qu'on parle du groupe, non? Y en a qui aiment? Tant mieux. D'autres pas? Pareil. Certains qui se battent pour que leur avis soit plus important? Bah qu'ils se battent, on est de toute façon assez grand pour se faire sa propre opinion, même si on ne dit rien.

Mais que personne ne vienne jamais dire à une autre comment il doit penser, et c'est valable pour tout le monde!


Par Forces Parallèles

Je me permets d'ajouter un commentaire non pas pour nourrir la polémique autour du dernier album de Maiden, que je n'ai pas encore écouté d'ailleurs, mais pour livrer un constat amer sur la pratique actuelle du débat d'idées ou d'opinions.
J'ai relu tous les commentaires au sujet de Senjutsu et je n'y ai lu que l'expression par leurs auteurs de leurs avis ou impressions qui sont inévitablement le fruit de leur subjectivité. Pourquoi est-ce si difficile de nos jours à certains de lire ou d'entendre l'avis d'une tierce personne ? Pourquoi un débat devrait-il obligatoirement se terminer par la réconciliation de ses diverses parties ?
L'histoire l'a maintes fois démontré : il est exceptionnel qu'un débat convainque les parties opposées, les débats politiques nous le rappellent depuis des décennies.

Ce qui me navre aujourd'hui, ce n'est pas la division des opinions sur telou tel sujet, c'est l'incapacité semble-t-il de certain(e)s critiques à 'admettre' la légitimité de l'opinion ou de l'avis adverse. Notre confrère Chipstouille a livré un avis très négatif sur Senjutsu, cela n'est pas la première fois à Forces Parallèles qu'un album 'se ramasse une volée de bois vert.' D'ailleurs il existe les chroniques express comme moyen éventuellement de contrer un avis par une critique contradictoire.
Avec les commentaires, nous avons tous la liberté également d'exprimer nos accords ou désaccords, mais à condition de cibler l'argument contre lequel nous ne sommes pas d'accord avec le-la chroniqueur-euse.
Clamer que Chipstouille se fait plaisir à descendre en flèche Maiden et que c'est la seule raison de sa chronique, c'est refuser de lui accorder le droit à la sincérité.
A Forces parallèles, nous sommes des passionné(e)s avec tout ce que cela implique de 'mauvaise foi' par instants, mais nous ne suivons d'autres modes que la nôtre.
Quand un commentaire ne convainc pas un(e) autre commentateur-trice, il devient inutile de poursuivre un débat qui, quel que soit le nombre de commentaires alignés, ne débouchera sur nulle réconciliation. Chaque partie alors repart de son côté avec son avis sous le bras... et tant pis si l'accord n'est pas conclu. Le monde ne va pas s'écouler, Maiden continuera à sortir des disques au grand dam des fans déçus et à la plus grande joie des fans encore et toujours admiratifs.

Il me semble que ce sont les réseaux sociaux qui ont exacerbé le mécontentement de certain(e)s quand ils ne trouvent pas d'auditoire conquis par leurs opinions. Ils(elles) le vivent alors comme une injustice, du moins comme un échec personnel. Sur les réseaux sociaux, chacun voudrait sur son seul nom asseoir son autorité à coups de 'like' censés flatter son ego. L'écran d'ordinateur, derrière lequel chacun(e) se protège, nous donne droit à exprimer des jugements moraux dès qu'un commentaire nous déplaît.
C'est bien dommage, et à Forces Parallèles, nous nous efforçons de maintenir une tenue la meilleure possible, évitant autant que possible la censure comme la liberté absolue de 'dire tout et n'importe quoi' qui ne mène en général à rien de valable ni de noble au sens humain du terme. Nous faisons parfois des erreurs, mais elles semblent inévitables. Nous ne sommes pas des robots et les commentaires passent par le filtre des validateurs-trices.

Merci à toutes et à tous d'animer notre forum de vos commentaires majorittairement respectueux, intelligents et sensibles.





Jimmy SMITH
CHRISTMAS COOKIN


Le 21 Décembre 2021 par LE KINGBEE

@François

Jimmy SMITH a enregistré plus de 30 disques pour Blue Note, label ayant édité une vingtaine de compilations du bonhomme. Je ne connais pas toute sa discographie, mais je connais le disque dont vous parlez avec un Little Red Rooster et un dalmatien.
'Christmas Cookin' est, comme l'annoncent son titre et sa pochette, un disque de Noël avec tout ce que cela suppose.
On ne peut que conseiller un autre album pour les amateurs d'Hammond qui voudraient aborder l'Incredible Jimmy Smith.

Là, Noël sert de prétexte pour faire figurer cet organiste réputé sur le site, l'occasion faisant le larron.





COCTEAU TWINS
LULLABIES


Le 21 Décembre 2021 par RICHARD


C'est incroyable de constater que les Ecossais se sont séparés il y a maintenant 25 ans et de voir que dans la scène underground (et pas que d'ailleurs) leur influence est encore bien plus qu'intacte.
Comme le souligne encore une fois avec pertinence Aigle Blanc, Cocteau Twin est assurément "un groupe hors-du-commun". C'est vrai qu'il est pourtant difficile à l'écoute de ces 3 titres rêches d'imaginer la suite rêveuse. Il y a pour moi la même ambiguïté que celle contenue dans Garlands. On ne peut penser qu'à SIOUXSIE (par paresse ?) et pourtant ceci ne sonne pas tout à fait comme la Londonienne. C'est assurément l'un des attraits du début de carrière du trio.





Jimmy SMITH
CHRISTMAS COOKIN


Le 21 Décembre 2021 par FRANçOIS

J'ai un disque de ce gars-là, "Back At The Chicken Shack" (où sur la pochette, on croirait voir Snoop Dogg... Heureusement, musicalement, il n'en est rien), un Blue Note avec Turrentine au sax et toujours Burrell à la guitare. Celui-ci ne fait guère envie...





CAN
SOUNDTRACKS


Le 21 Décembre 2021 par CORNELIUS


Aussi bon que Monster Movie. C'est à dire indispensable.

"Mother Sky" renverse évidemment tout sur son passage - peut-être le titre le plus définitif de ce groupe unique.





CAMEL
BREATHLESS


Le 20 Décembre 2021 par CLANSMAN57


Ouch! Quelle dégringolade! Camel vire pop, mais ce n'est pas de la bonne.
Beaucoup de mélodies insipides, grotesques, peu charmeuses.
Bien entendu, Latimer nous livre quelques envolées avec sa guitare, mais elles sont trop rares et il a fait bien mieux.
Les deux morceaux progressifs ne sont pas exceptionnels à mes oreilles, "The Sleeper" étant la pire.

Moment préféré : la dernière partie de "Summer Lightning".
Le plus mauvais Camel que j'ai pu entendre.





Wolfgang Amadeus MOZART
AMADEUS


Le 20 Décembre 2021 par BAKER


Très belle kro, j'ajoute, en tant que fan du film, que je conseille la version cinéma, bien qu'elle devienne difficile à trouver. La version director's cut est à mon sens déséquilibrée et perd beaucoup du charme, les non-dits et suggestions disparaissant.





DEEP PURPLE
PURPENDICULAR


Le 20 Décembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Cet excellent disque signe l'arrivée de Steve Morse qui sut se fondre à merveille dans l'univers du groupe.

Des compos excellentes, un album cohérent, frais, agréable. On sent que les musiciens s'éclatent (un côté fun disparu avec Blackmore réapparaît soudain). Les titres se valent tous, difficile d'en sortir un du lot.

Hélas, à mon goût, c'est le seul album de qualité après l'arrivée du Six-cordiste génial. D.P reste quand même le bébé magique de Blackmore, et son génie fera grandement défaut dans le futur (surtout en terme de qualité discographique), le groupe semblant ronronner et profiter de son aura légendaire. Dommage !





IRON MAIDEN
SENJUTSU


Le 20 Décembre 2021 par CHIPSTOUILLE

Que certains me souhaitent l'oubli et comparent ma chronique à une gastro, pas de soucis. Je viens d'écrire tout un livre à propos de passion, je comprends.

Par contre, on me prête des propos que je n'ai pas tenus, donc je tiens à rectifier quelques petits détails :
- Je n'ai, il me semble, jamais traité personne de "has been". Ringard peut-être (Antal Dorati, de mémoire), mais has been non. Il n'y a que les morts qui sont has been. Et encore, c'est sujet à débat. IRON MAIDEN n'est pas un groupe has been. Si je pensais ça d'eux, je ne m'évertuerais même pas à écouter leur dernier album. J'ai autre chose à faire dans la vie, croyez-moi.
- Je sais qu'on est tous plus ou moins impactés par les modes, au moins inconsciement. Mais c'est vraiment mal me connaître que de penser que je suivrais une quelconque mode. Ca fait au moins depuis No Prayer que Maiden se mange des sales critiques à chaque sortie d'album. 31 ans, vous pensez pas que c'est un peu long pour une "mode"?
- Je ne vois vraiment pas dans quel sens on peut tourner la chronique pour y trouver quelqu'un de "content". Non, je ne suis pas "content", pas du tout même. Pour être transparent, il a même fallu que Erwin me pousse au cul pour que je l'écrive, cette chronique. J'aurais préféré être content.
- L'art est un moyen d'expression, y compris pour exprimer des émotions. Opposer l'un et l'autre n'a aucun sens. Et pareil, je vois pas comment on peut tourner la chronique pour en conclure que j'ai oublié les émotions. J'ai oublié plein de trucs mais les émotions, ça non, bien au contraire.
- Je n'ai pas dit "Maiden fait du Maiden". Et ça n'est pas ça le problème. Si c'était le problème, je ne pourrais plus écouter les premiers albums non plus, sur lesquels je me régale toujours autant. Ca ne me dérange pas que Maiden fasse du Maiden, au contraire même. Ca ne me dérange même pas que les autres (Metallica, Cradle of Filth, et j'en passe...) fassent du Maiden. Le problème, c'est que Maiden ne fait qu'appliquer ses propres recettes (et pas forcément les bonnes en plus). Une recette, ça se décline. Je prends un exemple : le titre "Powerslave". C'est du Maiden pur-jus, avec la recette, mais décliné à l'egyptienne. C'est pas caricatural du tout, et c'est un tube. Donc Senjutsu, le moins que j'en attends, c'est de me décliner la recette à la japonaise. Parce qu'il y a de quoi faire avec la musique japonaise, foutre du shakuhachi, du koto, j'en sais rien, n'importe quoi. Ils sont allés au Japon, moi j'ai dû me contenter de suivre des cours de japonais. Mais là, j'entends rien, et quand je me penche sur les paroles, je découvre que c'est encore pire. Y a peut-être des percus? Mais quelle occasion manquée ! Ca me tue que des mecs aussi talentueux puissent passer à côté d'une occasion pareille !

Je clarifie aussi ce que j'entends par "concept" (marketing donc). Je n'ai aucun souci avec le fait que Senjutsu ne contienne qu'un seul titre à faire référence au Japon (aussi maladroit que ça puisse être). Par contre, on nous a peinturluré tout l'album avec l'histoire. Les clips de "The Writing on the Wall" et "Stratego" aussi. C'est là qu'il y a un "concept" et qu'à l'évidence ça a été collé à la fin, et n'importe comment (La partie de Shogi gagnée avec une seule pièce...ça vaut bien la grande muraille attaquée par des samuraïs).

Si cet album avait quoi que ce soit à raconter d'intéressant, s'il avait des émotions à transmettre, il serait sorti quand il était prêt. Quand on était tous enfermés comme des cons. Si Maiden avait encore envie de composer, ils auraient un autre album d'écrit aujourd'hui, vu qu'ils ne pouvaient pas tourner. Combien on parie que c'est pas pour demain, le prochain ? Senjutsu est sorti dans l'unique but de faire la promo d'une tournée. C'est donc un outil marketing. Un concept marketing à la con donc, CQFD.





TESTAMENT
TITANS OF CREATION


Le 20 Décembre 2021 par DINICED


J’adore cet album et je l’écoute souvent. C’est le parfait équilibre entre puissance, mélodie et technique. L’œuvre a l’intelligence de s’arrêter à la limite du chef-d’œuvre, à la limite de l’œuvre d’art, ce qui la rend diaboliquement accessible.
[i]The Wall[fi] de PINK FLOYD est une œuvre d’art. Du coup, impossible d’en abuser, de l’écouter tous les jours, car la digestion est longue. [i]Titans Of Creation[fi] se consomme facilement tous les jours sans indigestion. Alors l’album du siècle ? Non. Même pas le meilleur de TESTAMENT. Un très bon album de Thrash dont la principale qualité est l’addiction.
Je ne m’en lasse pas. (Qui peut résister à la première minute de "Children Of The Next Level" sans se jeter sur les murs ?)





Vinnie MOORE
MIND'S EYE


Le 19 Décembre 2021 par JOE THE ALIEN


Excellent album en effet, comme l'essentiel de la discographie à venir du bonhomme.

Cela dit, Le Moungepedoun (joli nom provençal, ça, si je ne m'abuse, docteur ;-) ), n'oublie pas STP notre Maître à tous, j'ai nommé JOE SATRIANI, qui sortait aussi une première version de "Not of This Earth" en 1986 - avant le chef-d'oeuvre absolu "Surfing With the Alien" l'année suivante, albums dont on peut considérer qu'ils contribuent aussi largement à la création d'un genre. Je t'accorde que le "Edge of Insanity" de MacAlpine sortait en 1985 et les devançait tous (dans un style plus néo-classique, comme les albums de Malmsteen d'ailleurs, lesquels n'étaient pas exclusivement instrumentaux toutefois). Mais la carrière intouchable de Joe depuis en fait LA référence absolue en matière de guitare instrumentale. Reste plus qu'à finir de chroniquer tous ses albums, ici ou sur NIME, encore plus, où nos animateurs préférés ont fait l'impasse depuis... 2006 et "Super Colossal", alors que pas moins de six pépites sont sorties depuis (sans compter les lives mémorables) ! :-((





Annie LENNOX
NOSTALGIA


Le 19 Décembre 2021 par CSAMSA


Pas autant enthousiaste que le chroniqueur pour ma part. Si la carrière solo de la "Diva" ne m'a jamais vraiment remué, me laissant plus un sentiment de gâchis qu'autre chose, j'ai toujours apprécié le personnage et la voix exceptionnelle.
Du coup, le passage en mode "cover" à l'ancienne pouvait être intéressant. Mais, hélas, peu aidé par une set-list pas très passionnante, l'ensemble me semble un peu molasson, appliqué mais sans réelle flamme. La chanteuse semble vouloir prouver qu'elle peut le faire, mais on a envie de lui dire d'aller au-delà de l'excercice de style, et tant pis si les puristes ne s'y retrouvent pas. Une prochaine fois peut-être. Reste que la dame a une classe folle.







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