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Lucy DACUS
FOREVER IS A FEELING


Le 08 Avril 2025 par ARCHANGEL

@ BORAHKRETH : Julien arrive très vite :)





LED ZEPPELIN
IV


Le 08 Avril 2025 par BLUEMASK


Ce IV est considéré comme l'acmé du groupe, en général. Et c'est vrai qu'il synthétise le talent du groupe sur tous ses aspects: du hard rock nerveux, du folk très mystique, du blues lourd, de la simplicité mais aussi l'ambition . Il correspond aussi à leur percée définitive sur le marché US, au pic du marketing des légendes et des diableries (qui est le vieux sur la pochette, le zoso, Crowley, etc etc... Bref, le IV c'est le Led Zeppelin légendaire.
Personnellement, ce n'est tout de même pas mon album préféré du groupe (II, III, Physical Graffiti?). 'Black dog' m'emmerde un peu, 'Four Sticks' carrément, ce qui fait tout de même un bon quart du disque. Bien sûr, il y a 'Stairway to heaven', matrice des matrice, qui est une perfection de construction et d'émotion, mais si Robert Plant ne la supporte plus depuis des décennies, nous ne sommes pas loin d'être contaminé, la lame est émoussée à force d'écoute. Quand j'ai découvert ce disque, je ne supportais pas 'the battle of nevermore', désormais ses modulations vocales et de mandolines sont le plus beau moment d'écoute d'un disque, qui, soyons rationnel, n'en manque pas.





Lucy DACUS
FOREVER IS A FEELING


Le 08 Avril 2025 par BORAHKRETH

J'y jetterai une oreille, mais sa voix étant celle du trio BOYGENIUS qui me plaît le moins, j'espère qu'en solo j'arriverai à accrocher.

En revanche, maintenant qu'on a eu BOYGENIUS, Phoebe BRIDGERS et maintenant Lucy DACUS en solo... à quand Julien BAKER ? Parce que pour le coup, si y a bien une artiste qui m'a proprement satellisé, c'est elle et d'assez loin (je suis pas sûr de me remettre un jour de "Claws in your back")





Nolwenn KORBELL
RED (AVEC SOïG SIBéRIL)


Le 07 Avril 2025 par HEAVY METAL KID

Un message triste pour informer du décès samedi dernier de Soïg Sibéril, guitariste de talent, et gentilhomme du terroir. Je n'ai découvert l'artiste et l'homme qu'il y a un an et demi, lors d'une de ses représentations, et je fus émerveillé par le premier, et touché par le second. Kis en peoc'h.





SLAYER
SOUTH OF HEAVEN


Le 07 Avril 2025 par FOUDROCK


Probablement le meilleur album du groupe. Bien violent, brutal et radical tout en étant plus "mélodique" que le précédent, et plus "mature". Araya chante mieux.
Excellente reprise de Judas Priest ("Dissident Aggressor") qui plus est.





CIGARETTES AFTER SEX
CRY


Le 07 Avril 2025 par RICHARD


Ce projet est la parfaite bande-son insipide pour des fêtes données sur un rooftop de Barcelone.





CIGARETTES AFTER SEX
CRY


Le 07 Avril 2025 par PETER GREENLIGHT

Je tiens à remercier le chroniqueur pour cette vision réaliste et assez drôle de ce pseudo groupe. Pour le citer : Pour résumer, si vous avez déjà écouté un morceau de CIGARETTES AFTER SEX, vous les avez tous écoutés.





PINK FLOYD
LIVE AT POMPEII


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Que dire ? Si ce n'est que dès les battements de cœur sur fond noir : l'expérience opère. Que ce soit les séquences tournées dans l'arène où celles capturées en studio sur la capitale : le montage refuse de céder à des mécaniques obsolètes et autres trucages d'une époque révolue. Le rock affranchi de tout cadre et mis au service des ruines figées d'une grande civilisation : il fallait oser. Et Dieu que c'est grandiose. Fantomatique, volcanique, cosmique. Le groupe y apparaît résolument soudé. La camaraderie et le plaisir de jouer crèvent l'écran. On ne s'ennuie pas une seconde. Plus encore que "Meddle" : le voici le véritable testament psychédélique des quatre anglais. Même l'interlude à l'harmonica et au bien brave toutou permet de reprendre son souffle après tant de stimulations cérébrales par les sons, avant de repartir de plus belle.

Enfin, le FLOYD triomphait là où moults de ses contemporains se cassaient les dents. Qu'Adrian Maben soit à l'initiative du projet est une chose, mais le groupe aurait très bien pu décliner l'offre. Les anglais avaient-ils compris qu'ils disposaient là d'une bien belle fenêtre de tir qui permettrait de les immortaliser sur scène avec tellement plus de crédibilité et de panache que DEEP PURPLE et HAWKWIND, entre autres, qui au même moment devaient voir leurs performances respectives étouffées voire désacralisées par des méthodes d'enregistrement faiblardes, surchargées ou approximatives qui ne rendaient justice ni aux morceaux ni aux interprètes dont l'image allait forcément en pâtir sous les assauts du temps ? Sans parler des excès en tout genre question improvisations ? Le FLOYD, libre et structuré comme jamais, évite avec brio ces deux écueils. Dorénavant, rien ne pourra compromettre son ascension.

Un des rares films pour lesquels je n'hésite pas à dégainer le qualificatif atrocement galvaudé de chef-d'œuvre.

Avertissement : Méfiez vous. La ressortie prochaine du film (24 avril) proposera une version retouchée pour convenir au format Imax (pour faire plus blockbuster à la Marvel / Nolan), tandis que le son a été confié à l'infâme Steven Wilson, zélote de la dévitalisation des musiques et assassin / dévoreur d'âmes dévoué à la transformation des œuvres des anciens (KING CRIMSON, YES, BLACK SABBATH et le HAWKWIND calvertien) en bidons de lessives au nom de l'éthique rock contemporaine. Alors préservez vos exemplaires DVD. Pour les jeunes (dont je fais partie) : mettez la main sur les premières versions du film disponibles sur YouTube et Archive (et hâtez-vous avant qu'elles ne soient retirées pour favoriser celle qui va bientôt envahir les salles). Et le 24 avril : revivez "One Of These Days", "A Saucerful Of Secrets", "Set The Control For The Heart Of The Sun" et "Echoes" chez vous.





PINK FLOYD
OBSCURED BY CLOUDS


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Retour dans l'univers des B.O pour le FLOYD (je ne compte pas "Zabriskie Point" qui n'est que recyclage même pas dissimulé et assez pitoyable).

Là où "More" expérimentait, son pendant 70's s'enfonce dans la jungle du quelconque sauf rares exceptions ("Childhood's End" et "Absolutly Curtains" dont les démarrages planants appliqués à une montée en puissance ne sont que des brouillons de "Shine On You Crazy Diamond" partie 1). Le reste est bien trop sage. C'est bien fait, sans surprise, mais je n'en ai pas retenu grand chose. Pas mauvais pour autant. Mais là aussi un argument en faveur de l'étiquette "musique d'ascenseur" souvent infligé à tort au groupe.

Tout au plus "Obscured By Clouds" peut-il être perçu comme un avant-goût très timide du futur monument au prisme. Le son et l'attitude étaient plus ou moins là. Seul un concept et une ambition d'ampleur existentielle si ce n'est cosmique manquaient encore.





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Aaah, "Meddle" ...

Entre la chronique du patron qui en a ému plus d'un à juste titre et les sensations de liberté franche et absolue que cet album procure ...

Longtemps, ce FLOYD là fut mon préféré. Sorte de quintessence de la période psyché folk expérimentale du combo qui parvient enfin à canaliser sa créativité débordante au gré d'un rock résolument envoûtant et personnel. Aujourd'hui, je reconnais que l'hommage à une côte d'azur idéalisée viens faire tache dans cet océan immaculé. Mais océan oblige, l'impact d'une misérable goutte extérieure n'a que peu de conséquences sur l'ensemble. "One Of These Days" est un monstre d'énergie savamment déployée. La douceur et la poésie de "A Pillow Of Wind" sont hors du temps tellement l'émotion est à son paroxysme. Le blues au canidé a toujours le don de me séduire. "Fearless" complète de manière admirable une première face presque orientée vacances (si l'on met à l'écart les menaces de mort contenues dans "One Of These Days").

Enfin, que dire si ce n'est que "Echoes" consacre enfin le FLOYD comme le combo de légende que l'on connait. Musicalement et thématiquement. Tout y est. Le portrait en quadriptyque d'une humanité pathétique, paumée dans le vide cosmique. Un voyage depuis les origines de tout, aussi fataliste qu'émouvant. Une presque demi-heure (il faut bien dix minutes pour se remettre de l'écoute) de pure majesté dont le seul défaut concret est de s'avérer trop courte. Mais que de grands moments. La troisième partie, de 14 minutes 40 à 18 minutes 50, celle de la résurrection, des abysses à la stratosphère, est assurément l'un des moments les plus décisifs et les plus époustouflants de la musique. Merveilleux. Les errances de jeunesse qui parsemaient "Atom Heart Mother" ne sont désormais plus qu'un lointain souvenir.

Un très grand album. Pas loin du coffre aux trésors. Mais de bijoux en tout genre, les britanniques n'en étaient pas avare. Et les deux années suivantes ne sauraient que trop bien le démontrer.





PINK FLOYD
ATOM HEART MOTHER


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Ça c'est de la pochette. L'art et la manière de transcender le banal. Sept ans plus tard le combo passera des bovins aux porcins. Faut-il là encore y voir la marque d'une bien curieuse évolution en cours ?

Aussi perfectible que bucolique au possible, "Atom Heart Mother" est un album assez schizophrène mais qui ne manque pas de charme. En ce sens : les morceaux les plus satisfaisants ne sont pas les deux pièces fleuves qui ouvrent et referment l'objet, mais plutôt les amuses bouches étrangement placés au centre. Le morceau titre, s'il n'est pas inécoutable (en dépit des propos de Roger qui n'en est pas fier du tout) : peine à marquer les esprits tant sa foutraquerie est évidente. Une apologie de l'improvisation la plus insolite dont le fameux petit déjeuner psychédélique en est l'incarnation ultime. J'en retiens principalement de bonnes orchestrations ainsi qu'une répartition efficace et prenante des chœurs, qui semblent anticiper toute l'œuvre du ALAN PARSONS PROJECT. Et au milieu donc, des interludes folkisantes assez consensuelles mais sympathiques, à travers lesquelles le FLOYD revendique une influence beatlesienne dont on entendra plus jamais parler à l'avenir (avec "Fat Old Sun" et "If" comme petits sommets).

Un FLOYD atypique, avec qui tout amateur de curiosité délicates devrait avoir déjà fait connaissance.





PINK FLOYD
MORE


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Voilà une étape à connaître dans la carrière du groupe, bien qu'au premier abord elle puisse paraître accessoire.

Ici, l'ambiance est au soleil méditerranéen mais les dégradations ne sont jamais très loin. On passe régulièrement du coq à l'âne. Et c'est cela qui fait la véritable force de cette B.O. Entre du rock rageur à souhait ("Nile Song", "Ibiza Bar") à la limite du hard voire du protopunk (exercices que le FLOYD ne réitérera pas souvent malgré son habilité indéniable à l'occasion), des ballades que les coléoptères de Liverpool n'auraient pas renié ("Green Is The Colour"), des délires doorsiens jazzy ("Up The Khyber"), un "Main Theme" qui flirte sacrément avec le krautrock (le CAN de "Future Days" notamment), un "Quicksilver" annonçant les tout premiers TANGERINE DREAM et un "Cirrus Minor" qui semble préfigurer le Bowie secondé par Eno de la face B de "Heroes".

Hétéroclite et attachant, largement dissociable du film (oubliable) qu'il accompagne : "More" est l'opus le plus consistant des FLOYD 60's, juste derrière "A Saucerful Of Secrets".





PINK FLOYD
UMMAGUMMA


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


CHIPS' compare "Ummagumma" avec le "2001" de Kubrick ... Si l'acte consacré à Jupiter jusqu'au delà de l'infini n'a pas perdu son pouvoir de fascination, on ne peut pas en dire autant de cet "Ummagumma".

La maturité éprouve quelques difficultés à s'installer durablement. Là où "The Piper" était trop conventionnel, "Ummagumma" joue la carte de l'abstraction sans aucune retenue. Même pour des amateurs d'expérimentations soniques dont je fais partie (ces derniers trouveront leur bonheur à la même époque chez Zappa et Captain Beefheart, délirants mais jamais stériles) : ça ne passe pas à chaque fois. Et si les accusations de masturbation pseudo intellos doivent toujours faire l'objet d'une étude tant celles-ci sont généralement prononcées à l'emporte pièce : il est vrai que ce troisième FLOYD n'a pas l'essence d'un chef-d'œuvre, ni même d'une curiosité à réévaluer.

Quant à sa facette live avec "Careful With That Axe Eugene", "Set The Control For The Heart Of The Sun" et "A Saucerful Of Secrets", au risque de radoter : attendons 1972 et un séjour à Naples pour assister aux meilleures versions existantes de ces compositions.





PINK FLOYD
A SAUCERFUL OF SECRETS


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Là : ça y est. Le FLOYD tourne le dos à la pop délirante. David fait son entrée en remplacement de Syd et impose d'ors et déjà son jeu éclatant de pureté et d'inventivité. Le FLOYD naît véritablement avec cet aéronef mystérieux. Tout n'est pas synonyme de pleine maîtrise (le kazoo de "Corporal Clegg, je ne déteste pas mais je n'en raffole pas non plus), ce qui n'empêche pas le trip d'être quasi total. J'ose à peine imaginer la tête des hippies ou des BCBG fondus de pop lorsque la quatre cordes impériale et conquérante de "Let There Be More Light" les a harponné. Du très grand rock psyché.

Space rock ? À l'époque où un certain Dave Brock passe la nuit à la belle étoile sur les plages du Sud de la France avec sa gratte et son harmonica dylanien, sans même savoir qu'il atteindra Bételgeuse dans 4 ans : Roger, David, Richard et Nick anticipent déjà les excursions folles et les attaques soniques de HAWKWIND, en moins abrasives et menaçantes néanmoins. De toute façon, au pinacle du génie rock UK et planétaire : le FLOYD et les HAWKS se partagent le terrain. Alors pas de jaloux. Et si le morceau titre comme le tétanisant et tout sauf chaleureux "Set The Control For The Heart Of The Sun" (ce titre ...) sont des pièces maîtresses inaltérables : j'admets toutefois les préférer dans leurs versions volcaniques à venir dans les arènes de Pompéi.

Un incontournable des 60's. Au même titre qu'un "Pet Sounds", "Forever Changes", "In The Court Of The Crimson King", "Strange Days", "The Marble Index", "Hot Rats", "The Stooges", ou "My Generation".





PINK FLOYD
THE PIPER AT THE GATES OF DAWN


Le 06 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Les débuts d'une légende ne sont pas forcément à l'image de sa carrière.

À l'instar des tout premiers David Bowie, ce FLOYD inaugural n'a ni la puissance évocatrice de ses successeurs, encore moins leurs dimensions conceptuelles respectives. D'autant qu'en cette année 1967, le psychédélisme de valeur est essentiellement américain. Brian Wilson, Jim Morrison et Arthur Lee éclipsent aisément Syd Barrett (personnage marquant au parcours digne d'un roman, mais à propos duquel je demeure toujours aussi dubitatif question apport concret tardivement reconnu à l'évolution du rock).

Oui, "Astronomy Domine" et "Interstellar Overdrive" sont des incontournables, mais leur démarche space n'est pas encore mature. Il est également regrettable que les singles "Arnold Layne" et "See Emily Play" soient absents. À eux seuls ils humilient les pépiniéristes de Liverpool et leurs fraises transgéniques. Les morceaux restants ? Pas déplaisants, mais terriblement convenus voire ridicules ("Lucifer Sam", "Bike").

Patientons encore un an. Le temps pour le combo de se séparer de Barrett puis de faire sécession d'avec le tout venant londonien, avant de réellement s'imposer comme une formation unique.





GIBSON BROTHERS
NON-STOP DANCE/ COME TO AMERICA


Le 06 Avril 2025 par NONO

@Martin la Botte : Merci pour cette précision ! Oui je suis d'accord avec toi, mon commentaire était "légèrement" hors-sujet, il se rattachait en fait à une de mes chroniques plus anciennes... mais je ne me souviens plus de ce qui a amené le sujet à l'époque. Bon, la prochaine fois que je cherche un titre de reggae par exemple, je le demanderai sur un album de heavy-metal... LOL... Bien à toi.





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 05 Avril 2025 par NONO

@LEO : Oui, là on est vraiment dans la "synth-pop" avec ce côté un peu latino assez proche de Matt Bianco. On a entendu ce titre assez régulièrement en radio courant 1984 mais de mémoire ce fut assez éphémère. J'étais petit à l'époque, et machinalement, quand un titre passait en radio je pensais que c'était un gros succès. Or dans ce cas précis ce fut plus modeste que je pensais, car pas tant de monde que cela s'en rappelle vraiment.





GIBSON BROTHERS
NON-STOP DANCE/ COME TO AMERICA


Le 05 Avril 2025 par MARTIN LA BOTTE

Je n'ai pas écouté cet album, mais ce sera l'occasion de remonter un chronique du KINGBEE.

Juste pour signaler à NONO qui a recherché longtemps le nom d'une chanteuse et son titre sur la page du "Meddle" des PINK FLOYD que Paula MOORE était produite, comme les GIBSON BROTHERS, par le papa d'un des "DAFT PUNK", Daniel VANGARDE (qui comme il est dit dans la critique a surtout écrit pour RINGO, LA COMPAGNIE CRÉOLE et OTTAWAN mais aussi pour SHEILA, DALIDA, CLOCLO et Joe DASSIN, 3 ou 4 titres pour chacun(e) ).

Paula MOORE est bien américaine mais "Valparaiso" était donc une production française (extrait d'un album paru aussi en 83). Ce n'était pas son premier disque, mais ce sera a priori son plus gros tube et elle sortira derrière une demi-douzaine de singles, tous dans les années 80. C'est sous le pseudo de BIRDPAULA qu'elle enregistrera 2 nouveaux albums en 2007, puis en 2010.

Je trouvais plus logique de t'écrire tout ça ici plutôt que chez les "Flamants Roses". Et naturellement, ce commentaire peut disparaître une fois que tu en auras pris connaissance ;)





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 05 Avril 2025 par LEO

@ NONO: Ce morceau me dit vaguement quelque chose. Sans doute l'ai-je entendu lorsque je bossais en radio au début des années 80, mais ce n'est pas du tout le genre de truc que j'écoutais à l'époque (c'était même aux antipodes de mes goûts musicaux du moment!).





PINK FLOYD
MEDDLE


Le 04 Avril 2025 par NONO

@Leo et àErwin : Aucun rapport avec "Meddle", mais je reviens à mon post du 28 mars 2020 : CA Y EST , j'ai ENFIN trouvé le nom du titre et de la chanteuse, que je cherchais depuis 40 années !!! Un très beau titre qui avait plutôt bien marché début 1984 mais complètement disparu après : "Valparaiso" de Paula Moore ! Vous vous en souvenez ? Je n'avais jamais réentendu ce titre depuis sa sortie, donc ça a été compliqué de le retrouver.







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