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George HARRISON
ALL THINGS MUST PASS


Le 17 Août 2024 par RéGIS


J'ai acheté cet album en 78 lors d'un séjour linguistique au Pays de Galles (j'avais 15 ans), un magnifique coffret (3 disques et un poster en cadeau) En France il était alors introuvable. Je m'attendais à un vrai triple album comme annoncé, déception !
En fait c'est un double album de chansons, formidable, du très grand George Harrison. Mais pourquoi a-t-il éprouvé le besoin d'y ajouter cet inécoutable troisième disque de jams sans intérêt ? Mystère...
5 étoiles pour le double album, et zéro pointé pour la 3ème galette !





Gérard LENORMAN
LA CLAIRIèRE DE L'ENFANCE


Le 17 Août 2024 par MARTIN LA BOTTE


Un très joli album en effet pour petits et grands. Je ne me souvenais plus de cette charmante "Petite maison" d'accueil. J'aime beaucoup l'idée de "La Leçon de piano", vue comme une punition perpétrée par les parents avec sa douce intro sur "Ah vous dirai-je Maman ce qui cause mon tourment..." qui annonce indirectement la couleur. Audacieuse (et contestable) la rébellion de "Poussière de Lune", ce jeune indien qui veut quitter sa tribu parce que c'est mieux de s'instruire auprès des visages pâles. Ma préférée, c'est l'autre tube du disque après le "Président", celle qui donne son nom à l'album, douce-amère et nostalgique, même si je suis loin de partager la conclusion de son auteur selon lequel l'enfance serait "l'heureux temps de l'égalité"... Comme je ne crois pas avoir appris que le corps était composé de 90% d'eau ("H2o"), ce qui me parait un peu exagéré mais qui expliquerait pourquoi certains individus que j'ai croisés m'ont paru si flasques, le cours de bio reste néanmoins sympa. Petit désaccord avec Walter, je suis moins emballé par LENORMAN qui se colle à un semblant de new wave sur "Frédéric et l'ovni", ça le fait pas plus à mes oreilles que RINGO la même année avec "Allo à l'Ovni" (sur des paroles beaucoup plus goldorakoconnes). J'aurais peut-être été plus convaincu si Gérard s'en était tenu à lire le texte de ce conte moderne sur la musique, il me parait tellement plus à sa place sur "Endors-toi"...
Un bon 3,8 étoiles !





The CURE
WILD MOOD SWINGS


Le 17 Août 2024 par MASTERFAN


Je me rappelle la blague pas classe du tout qui circulait à la sortie de ce 10ème Cure en 1996 : WILD MOOD SWINGS, c’est comme le supplice du pal, qui commence bien et qui continue mal... J’avoue que comme beaucoup, j’ai souvent eu moi-même du mal à terminer l’album au petit clown.

J’ai donc ces derniers temps procédé à de multiples réécoutes, pour voir si je ne loupais pas un truc. Cet album en mérite clairement plusieurs, et je ne suis pas certain qu’il en ait obtenu de beaucoup d’auditeurs, sans qu’on puisse leur en vouloir. Les premières tentatives étaient, il est vrai, peu convaincantes à une époque où la mode était surtout de compter les points entre Blur et Oasis.

Flanquée d’une longue intro à la manière de « The kiss », « Want » commence bien l’album, avec du Cure pur jus et fort solide. « Club America » aurait lui pu faire peur rien qu’à lire le titre (on aurait limite la trouille de voir débarquer en guests George Michael et son pote), mais non. Comme c’est arrivé ponctuellement sur WISH, Robert Smith sort de sa zone de confort et tente quelque chose qui le rapproche une nouvelle fois des divers cousins « indé » de l’époque. La voix est différente, le morceau est un peu fou, ce n’est plus vraiment du Cure. L’approche a certainement pu énerver certains puristes mais me concernant, c’est une incontestable réussite. Tout comme est réussi « This a lie » avec des cordes pourtant pas forcément subtiles… Jusque là, rien à redire.

On arrive aux choses qui fâchent et au grand point d’interrogation de l’album : les singles. On comprend parfaitement où Robert Smith voulait en venir sur « The 13th », cette envie de renouer avec l’esprit bariolé qu’on retrouvait sur le classique THE HEAD ON THE DOOR. L’idée était bonne et le morceau éminemment original. Problème : une infestation de cuivres vient toucher le malheureux titre, rendu aussi récupérable qu’un pestiféré de 1348.

« Strange attraction » part du même principe de faire quelque chose à contre-courant. Pas désagréable mais même avec les ré-écoutes, pour un single des Cure, ça reste léger, avec une curieux refrain se terminant par un étrange vide. Idem avec « Mint car » : on se croirait rajeunir de 10 ans et revenir sur THE HEAD ON THE DOOR mais plus… sur une B-side. C’est problématique pour ce qui est censé quand même être un SINGLE des Cure. Impression qui menace aussi un « Jupiter crash » tout juste réhabilité par les réécoutes.

Si cette première partie d’album parvient encore à faire illusion, la seconde laisse toujours une impression de ‘vite fait’, plus destiné à boucher les trous qu’autre chose. Si le refrain est pas mal, « Bound & bound & bound » fait parfois penser à un groupe de collégiens débutants. « Gone ! » n’est guère plus convaincant surtout que les cuivres reviennent sévir. Ils n’épargnent pas non plus l’à peine plus intéressant « Numb », ni le plus enjoué « Return » aussi contaminé que « The 13th ».

Retour au Cure « Bobo la tête » avec un « Trap » peu fulgurant. « Treasure » me rappelle pourquoi je n’aime pas le violon en général et encore moins dans la pop-rock. « Bare » termine l’album correctement mais me transporte pas plus que ça. Avec le recul, on peut se dire que, comme à la fin des J.O, ce titre semble passer le relai pour dans 4 ans au prochain album, BLOODFLOWERS, qui sera construit du même bois.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Want, Club Americana, This a lie. PLAISANT (3,5) : Mint car, Jupiter crash, Strange attraction. INTERESSANT (3) : Bare. EMOTION LIMITEE (2,5) : The 13th, Bound & bound & bound, Numb, Return, Trap, Treasure, Gone! AUCUNE EMOTION (2) : Néant. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 3,07 et Top 5 à 3,80 : WILD MOOD SWINGS cote pour moi 3,44 soit 13,76/20.

Même si le temps a fait son œuvre et que je me suis un peu réconcilié aujourd’hui avec WILD MOOD SWINGS, je ne crierai jamais au génie ici. Cure a essayé de renouer avec l’esprit et la consistance de l’époque mid-80’s. Il aurait presque pu y réussir en resserrant le nombre de morceaux, en remettant les faces B à leur place et en remplaçant certaines d’entre elles par au moins un vrai single « icône », comme cela avait été quasiment toujours le cas depuis les débuts. Un producteur digne de ce nom aurait aussi très certainement interdit l’accès du studio à certains musiciens additionnels utilisés ici.

WILD MOOD SWINGS aurait-il pu être meilleur ? C’est toujours énervant lorsque les titulaires sont remplaçants et que l’entraîneur aligne les brêles. Sur le banc, il y avait des postulants potentiels sur la session. Une chance aurait dû être donnée à certains, en priorité à « It used to be me » (4). « Adonals » (3,5), « Home » (3,5), « A pink dream » (3,5) , « Ocean » (3) ou « Waiting » (3), qui sans être des chefs-d’oeuvre, auraient semble-t-il remonté le niveau.

Eval réelle 2,5.





Bernard LAVILLIERS
TOUT EST PERMIS RIEN N'EST POSSIBLE


Le 17 Août 2024 par BERTRAND


Un album effectivement mauvais. Mais prise de risques intéressante : le line-up des musiciens est entièrement changé. Et le triple album "Olympia Live 1984" qui s'en inspire - à quand une chronique de cette merveille? - est sans doute ce qu'il a fait de mieux sur scène, porté par LES ETOILES, un duo brésilien qui assurait les folles soirées du Discophage, au 46 de la rue de la Montagne Sainte Geneviève à Paris.





CAMEL
RAJAZ


Le 17 Août 2024 par METALPROG84


Les années 90 n'auront pas été très prolifiques pour Camel, seulement 3 albums mais alors quels albums ! Si "Dust and Dreams" et "Harbour of tears" étaient déjà très bons, que dire de "Rajaz": il est vraiment excellent ! Assez calme dans l'ensemble (les tempos sont plutôt lents), mais très aérien avec des solos magnifiques (parfois arabisants), il faut quand même quelques écoutes pour bien l'apprivoiser. L'inspiration est au rendez-vous tout au long de l'album, je ne vois pas de titre réellement plus faible.
Le meilleur Camel ? Difficile à dire, mais il soutient la comparaison avec "Mirage" ou "Moonmadness".





DISNEY
MERLIN L'ENCHANTEUR


Le 17 Août 2024 par MARTIN LA BOTTE

Tellement d'accord avec Clansman ! J'adore cet "enchanteur" si souvent sous-estimé et mal aimé. Et j'ai beaucoup d'affection pour le maladroit et si touchant Moustique auquel nombre de garçonnets ont dû s'identifier. Sur le plan musical, ce n'est peut-être pas l'oeuvre la plus riche en tubes mais j'aime bien le générique qui reprend les thèmes qu'on réentendra au cours du film sur d'autres tempos et orchestrations. Ça me fait toujours sourire quand l'élève rappelle au maître perturbé par un sucrier trop zélé qu'il en était à "Hockety Pockety". Et c'est grâce au vieux poisson Merlin que j'ai appris que "pour chaque carré, il y avait un rond", j'y réfléchis encore...
Belle chronique, Marco !





Bernard LAVILLIERS
ETAT D'URGENCE


Le 16 Août 2024 par BERTRAND


C'est avec cet album que j'ai découvert LAVILLIERS. J'avais 14 ans. Il garde pour moi une saveur particulière. Surtout "Le clan mongol", l'un de ses titres les plus réussis. Texte énigmatique. Pour trouver quelques clés, se plonger dans le "Moravagine" de Blaise Cendrars. Vous y êtes? C'est là, au chapitre II, partie h). "Le clan mongol" m'a fait aimer un chanteur et un écrivain de référence. Pour ce dernier, un compatriote en plus. A part ça, pour parler de "suicide idéal", il faut être sacrément désespéré.





MARILLION
RADIATION 2013


Le 15 Août 2024 par MASTERFAN


L’écoute de RADIATION, dixième album de Marillion en 1998, a déstabilisé plus d’un fan. Les constructions sont majoritairement plus pop-rock et surtout, le son de ce RADIATION-là affichait une production assez radicale. Les écoutes à faible volume passaient encore, mais pour qui avait l’habitude de monter le son afin d’apprécier la pureté des lignes de chant ou instrumentale marillionesques, se prendre des jets de distorsion ou de basse assourdissante façon Indé sur "The answering machine" par exemple, a certainement fait hurler dans certaines chaumières prog.

Forcément, l’accueil fut mitigé. Les auditeurs potentiellement sensibles à cette nouvelle approche étaient à l’époque à mille lieues de se douter qu’ils trouveraient de quoi bien manger du côté de Marillion et n’y ont jamais mis une oreille. Ceux qui ne connaissaient pas le groupe encore moins, vu que le peu d’intérêt de la presse pour le groupe de Steve Rothery. Les amateurs de Prog, qui méprisent souvent les plans de base plus pop-rock, l’ont en partie rejeté. A l’époque, les quelques auditeurs restants, les fans fidèles tous terrains, qui avaient peut-être flairé le truc, ne pouvaient pas encore l’associer à quelque chose d’essentiel, tant le côté 'brouillon' de la production ressortait.

Et voilà que 15 ans plus tard, en 2013, le miracle survient : le groupe accepte que l’album soit relifté de la cave au plafond. Michael Hunter a supprimé les petits détails inutiles, quelques gros effets brouillons qui fâchent. Ainsi - et c’est suffisamment rare pour le signaler – le nouveau polissage n’a pas altéré l’œuvre originale, bien au contraire. "Costa del Slough" est toujours aussi inutile (juste un peu moins long), mais juste derrière, "Under the sun" ainsi que "The answering machine" retrouvent une nouvelle jeunesse, une clarté insoupçonnée, une puissance décuplée, comme si on avait donné une biothérapie à un disque asthmatique.

Le plaisir d’écoute a donc pris, il faut bien l’avouer, un sacré coup de boost, maintenant qu’on peut monter le son. "Three minute boy", déjà très beau, devient un véritable enchantement, tout comme "These chains", autre sommet du disque. "Now she’ll never know" brille dans son nouvel écrin de finesse et de sensibilité, et plus édifiant encore, on n’aurait limite même plus trop envie de zapper "Born to run" ! On redécouvre aussi avec plus de détail les magnifiques contours de "Cathedral wall". Le léthargique "A few words for the Dead" y gagne un peu moins au change, mais sa partie finale épique n’en est pas moins également largement rehaussée.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : "Three minute boy", "These chains". DELECTABLE (4,5) : "Under the sun", "The answering machine", SEDUISANT (4) : "Cathedral wall", "Now she’ll never know". PLAISANT (3,5) : "A few word for the dead". INTERESSANT (3) : "Born to run". Bilan : 4,18 et Top 5 à 4,60 : RADIATION 2013 cote pour moi 4,39 soit 17,56 /20.

Petit à petit, par le bouche à oreille, cet immense Radiation 2013 s’avance, progressivement, vers la réhabilitation. Ce n’est que justice, même s’il faudra certainement encore du temps avant que l’oeuvre ne soit ENFIN reconnue à sa juste valeur.





David HALLYDAY
TRUE COOL


Le 15 Août 2024 par PATRICE LOISEAU


Bonjour à quand la suite de la discographie de David Hallyday. ? Merci .





AIR
THE VIRGIN SUICIDES


Le 15 Août 2024 par VIV


Quel plaisir d'avoir vu mis à l'honneur le Groupe Air et leurs copains de Phoenix, interpréter "playground love" lors de la cérémonie de clôture des J.O de Paris 2024. Cela m'a permis de remettre sur la table de lecture cette somptueuse b.o qui vaut largement sa note étoilée entre les deux véritables premiers albums du groupe. Plus qu'une simple bouffée d'Air, un voyage spatio temporel indémodable.





Kate BUSH
50 WORDS FOR SNOW


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Son dernier à ce jour. Complexe, parfois un petit peu ennuyeux sans doute si on n'est pas dans le bon mood (personnellement, je préfère écouter ce disque en hiver qu'en pleine canicule...), mais il regorge de sublimes moments, comme "Misty", "Lake Tahoe" ou "Among angels".





Kate BUSH
AERIAL


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Une pure merveille que ce double album (certaines éditions proposent un long et unique morceau pour le second disque, et d'autres, un tracklisting découpé en plusieurs plages ; je possède la version à plage unique), même s'il faut quelques écoutes pour parvenir à correctement l'apprécier. Elle avait bien orchestré son retour, Kate. Faudrait qu'elle revienne encore, non ?





Kate BUSH
BEFORE THE DAWN


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Que c'est dommage que la partie visuelle ne soit pas sortie, selon la volonté de Kate... ce live en perd une bonne partie de son attrait. Sinon, vraiment excellent.





ALICE IN CHAINS
FACELIFT


Le 15 Août 2024 par PET_EN_GUEULE


Bizarre quand même de ne pas évoquer "Love, Hate, Love" qui est un sommet d'Alice In Chains.





Kate BUSH
THE RED SHOES


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Album souvent mal-aimé. Bin, ce n'est pas aussi grandiose que ce que Kate a fait avec ses quatre précédents opus. Mais sincèrement, il y a du terriblement bon ici ("Lily", "Rubberband girl", "Top of the city", le morceau-titre, "Why hould I love you" avec Prince...). Après, je ne peux pas encaisser "Eat the music" et l'album est un peu trop long, 55 minutes, il me semble.
Mais dans l'ensemble, "The Red Shoes" mérite qu'on s'y attarde.





Kate BUSH
NEVER FOR EVER


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Le premier chef-d'oeuvre absolu de Kate (non pas que les deux précédents ne soient pas bons, "The Kick Inside" est même totalement remarquable ; mais "Lionheart" nettement moins). Rien à jeter. Des chansons qui filent des frissons ("Breathing", "Army dreamers", "Delius", "Egypt" et son final chelou), des moments de folie pure ("Violin" ; un seul morceau est concerné par cette folie, mais bordel, il n'y va pas par quatre chemins, Kate y est vocalement débridée).
Un album magique, magnifique.





Kate BUSH
HOUNDS OF LOVE


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un double chef-d'oeuvre. Double car en fait, on a ici deux mini-albums, un par face, et très différents l'un de l'autre, ils sont tous deux exceptionnels. La face A, titrée du nom de l'album, est la face "pop", avec les hits, notamment le monumental "Running up that hill" qui est incontestablement ma chanson préférée au monde, tous genres, artistes, périodes confondu(e)s. "Cloudbusting" et "The big sky" pas loin derrière.
La face B, "The Ninth Wave", assez expérimentale par moments, exige quelques écoutes, mais des morceaux comme "Hello Earth", "Watching you without me", "And dream of sheep" sont à tomber. Et on ne se remet jamais totalement de "Waking the witch".
"Mais quel album, putain !", comme le dirait très certainement le roi d'Angleterre si on le lui faisait écouter.





Bernard LAVILLIERS
ETAT D'URGENCE


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un des albums les plus torturés et sombres de Lavilliers, et un des meilleurs (mis à part la chanson "Vegas", que du super bon ici). Encore une fois, après "Pouvoirs", une chronique incompréhensible, mais je constate que je ne suis pas le premier, loin de là, à m'en plaindre.





Kate BUSH
THE DREAMING


Le 15 Août 2024 par FOUDROCK


Un des meilleurs de Kate. Entre le précédent opus et "The Sensual World" en 1989, on a quatre albums très différents et, tous, absolument essentiels et mémorables.
Celui-ci est le plus chelou, le plus difficile d'accès, carrément pas commercial (le single, "Suspended in gaffa" n'est pas du genre radio-friendly, avec ses cris de fauvette prise dans un filet électrifié), mais c'est une vraie merveille ("Putt out the pin", le morceau-titre, "Houdini", "There goes a tenner") dont je ne me lasse pas. Mais la première écoute fut dure.





Mike OLDFIELD
FIVE MILES OUT


Le 15 Août 2024 par MARCO STIVELL

Réécoute nécessaire de deux fois en deux jours, et toujours autant de plaisir.
On peut refuser toute sa vie de prendre l'avion, mais ici, le commandant Oldfield peut nous amener où il veut, au gré de ses humeurs et même dans les tempêtes, manquant plusieurs fois de se crasher...
"Taurus II" est génial de bout en bout, ce mélange de mélodies douces et de riffs acérés comme seul lui peut en faire, la voix de Maggie Reilly utilisée de façon multiple (Fairlight compris), la cornemuse de Paddy Moloney dans sa seule (?) transposition au rock et peut-être encore plus émouvante depuis son décès... et puis ce "trois-quarts pop" en décollage optimiste, même si souvent surnommé "passage Michèle TORR", QUEL PIED !!!
"Family Man" et son groove imparable, chanson collective en plus, "Orabidoo" dont on a toujours trop tendance à occulter la seconde moitié (pourtant ce final Maggie-guitare acoustique, quelle merveille, si rare chez Oldfield depuis l'époque The SALLYANGIE avec sa sœur), "Mount Teide" qui donne vraiment l'impression de tourner dans les airs autour du volcan, enfin "Five Miles Out" pour un duo de voix et Mike qui se démultiplie lui-même avec ses effets.
Un voyage aérien qui ne requiert que l'attachement de la ceinture. Ensuite, ce n'est que magie (et parfois Maggie)...







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