Le 04 Mars 2025 par DEJAVU

"L'apocalypse des animaux" étant mon album préféré de Vangelis, j'ai eu quelques difficultés à m'acclimater avec "Heaven and Hell", personnellement j'ai une nette préférence pour la deuxième partie. A 15 minutes et 13 secondes de la première partie apparait un motif joué au synthétiseur qui me fait penser étrangement à ce qui va etre la mélodie de "Titles" de l'album "The Chariots of Fire" qui sortira six ans plus tard.

Le 04 Mars 2025 par FOUDROCK

Remarquable et très méconnu album, le dernier du Cream irlandais, Taste. Rory Gallagher se lancera en solo peu après et aura la carrière que l'on sait.
Album très varié, rock, folk, jazz, blues, morceaux calmes ou enlevés, tout y passe ou presque. Un régal.

Le 03 Mars 2025 par FOUDROCK

Un très très bon disque de rock, peut-être pas aussi quintessentiel que souvent clamé, et dont le succès commercial absolument éhonté (un vrai carton) est sans doute un petit peu trop dû à la hype. Mais il faut reconnaître que c'est du très bon.
Le groupe ne semble pas avoir réellement transformé l'essai. J'ai en tout cas l'impression que c'est désormais un peu une affaire classée.

Le 03 Mars 2025 par FOUDROCK

"C'est si bon, cette musique, que ça me file le gourdin !" - Muddy Watrs durant les sessions.
Pour ceux qui se demanderaient le pourquoi du comment du titre de l'album.
Et il avait raison d'être content de lui, parce que ce disque produit par Johnny Winter (qui braille comme un taré sur "Mannish Boy") est une pierre angulaire du blues, ou plutôt du blues-rock. Une version passée en surmultipliée du bon vieux beulouuuze à l'ancienne.
On ne s'en lasse pas, et surtout de "Mannish Boy", qui filerait le gourdin à un cadavre de fourmi.

Le 02 Mars 2025 par NONO

Quelle époque, ces années-là ! On parlait de "l'an 2000" (encore lointain), en imaginant des bagnoles qui volaient, des soucoupes volantes, des ordis, des aliens...
Et dire que les synthés étaient "la musique du futur" avec, bien évidemment, cette référence continuelle au "spatial". Ironie redoutable : au début des 90s : revoilà les grosses guitares qui déboulent, le rock "primaire" un peu néanderthalien avec ses gros riffs, le grunge, etc. Et d'autre part les synthés "seventies" n'est plus précisément, aujourd'hui, la musique du futur...
Bon, cet album je l'avais écouté il y a hyper longtemps... pas retenu quoi que ce soit... Donc pas de note.

Le 02 Mars 2025 par BLUEMASK

Un de leur meilleurs disques, sans temps mort ni morceaux de remplissage, une production bien rock et nerveuse, des textes tordants mais pas que, et quelques tubes, à l’échelle des Wampas. C’est la Saint RMI !

Le 02 Mars 2025 par JESUISBATMAN

Un album tellement plein de détails que j'en découvre encore malgré les années.
Je trouve tout de même la seconde moitié de l'album plus intéressante que la première.
"Sometimes" et "What You Want" notamment sont des chansons que j'ai écouté probablement plus de 1000 fois (j'ai jamais compris les paroles).

Le 02 Mars 2025 par BAKER

Chic ! Encore un étron à découvrir ! Et en plus double effet avec un album signé Schonberg puis un single signé Boublil, soit les deux musiciens qui m'ont dépucelé à 6 ans ! (#metoo). Merci encore Nanar pour cette anthologie du synthoprogchoucroute qui fait mon bonheur !

A quand le single de la petite pétasse qui dans les années 80 chantait

"Les... zordinateurs
Mouais, ça meu fait peur..."

Le tout exclusivement sur fond de compusequenceurs ? ^^

Le 01 Mars 2025 par ALEX F

@GOLGOTH 68

J'ai essayé les albums dont tu parles, mais rien à faire j'y arrive pas, la musique est tout juste pas mal si je suis sympa (pour être honnête je trouve ça assez ennuyeux), et le chanteur, c'est pas possible, je comprends pas comment on peut passer de Fish à Steve Hogarth sans faire la gueule... un chanteur totalement lambda et dénué de charisme.

Le 01 Mars 2025 par LUDWIGRETSCH

Agréablement surpris par ce "Parasomnia", riche, inspiré, technique sans tomber dans la démonstration outrancière et doté d'une production remarquable, puissante, claire et organique... Les soixante-dix minutes passent vraiment toutes seules, une belle réussite !!!!

Le 01 Mars 2025 par CLANSMAN57

Tout aussi bon que le précédent:)
Hasch gut gschafft Patou:D
Schmoutsss vom nochbar.

Le 01 Mars 2025 par GARAGEGIRL

J'aime bien les étiquettes. After Punk, Cold Wave, New Wave, New New Cold Bat avec du sang au coin des lèvres, et tous les dérivés version bas résilles et cheveux en pattes d'araignées c'était beau!
Bon, j'ai écouté encore ce live de Magazine. J'ai essayé d'y croire. J'ai même essayé de faire comme si Wire n'avait pas existé. J'ai oublié le Black & White des Stranglers (difficile trou dans l'année 78), je ne savais même pas que les 4 nommés Warsaw jouaient ici et là.
Ben au final il est très bien. Et pas grâces aux oublis suscités. Non, vraiment, j'aime bien, et j'aime bien changer d'avis. Give me Everything par exemple je l'écoute beaucoup ces jours ci. Merci vous.

Le 01 Mars 2025 par BLUEMASK

Quel disque!… Le creuset parfait de rock, de swamp blues, de soul, de country, porté par une simplicité jouissive et un art de la composition concise et nerveuse. La seule ambition de CCR est de ne pas en avoir et de jouer pour eux, pour nous et pour le plaisir. C’est vraiment la musique d’une Amérique plus que jamais fantasmée, généreuse, ouverte, libre et rurale. Elle n’a jamais existé peut être, n’existera manifestement plus, mais Creedence nous permet de le vivre

Le 01 Mars 2025 par FOUDROCK

Amen !
Enrièrement d'accord.

Le 28 Février 2025 par RICHARD

Et pour compléter mes quelques mots précédents et pour être en résonance avec FOUDROCK en souvenir malheureux de ce jour funeste et sans verser dans un pathos que je n'espère pas exposer. Ce disque de Bowie sera pour moi à tout jamais unique. Je ne parle pas de sa qualité artistique qui n'est en rien liée à la disparition de son auteur comme certains ont dit. C'est un grand disque, c'est factuel. Je l'ai acheté le jour de sa sortie et lorsque ma femme m'a demandé après plusieurs écoutes comment je le trouvais, je lui ai dit en substance que c'était un très bon disque mais qu'il ne serait pas facile à apprivoiser. Même si nous ne savions strictement rien de la santé de l'Anglais ce week-end , ce BlackStar m'a de suite parlé car le lundi, ma mère devait se faire opérer pour un putain de crabe. Écoute tout le week-end et beaucoup de choses qui s'entremêlent. Souvenirs heureux, peur du lendemain. La musique du Londonien qui m'accompagne encore en ces moments incertains. Arrive ce lundi. SMS de ma femme le matin au travail «Tu as vu pour Bowie?...Non, il y a quoi ?». Vous connaissez la suite...Ma mère au bloc l'après-midi et moi à écouter toute la nuit suivante BlackStar mais aussi et plus particulièrement «Heroes» et «Absolute Beginners» à pleurer comme une madeleine. La musique est c'est un poncif que de le dire ne m'a jamais transmis à ce moment autant d'émotions. Tout semblait se télescoper, se mélanger. Le dernier disque de Bowie n'a jamais lui non plus aussi bien représenté cet état. Il est musicalement attractif, mais émotionnellement...Je suis simplement heureux lorsque ma mère entend encore sur Nostalgie «Let's Dance». Des plaisirs simples comme seule la musique est capable d'en procurer.
 

Le 28 Février 2025 par RICHARD

Naturellement...
Une phrase tournait sur le net les mois qui ont suivi la mort de l'Anglais. Elle est peut être un peu mièvre, mais je la trouve en définitive assez juste : David Jones est mort mais Bowie est toujours vivant. C'est aussi ce que je ressens.

Le 28 Février 2025 par MASTERFAN

Comme Maurice, les Stranglers avaient poussé le bouchon un peu loin avec THE GOSPEL ACCORDING TO THE MENINBLACK, artistiquement parlant. Ils l’ont payé commercialement mais vont se refaire une santé avec l’album suivant, leur sixième. Le morceau responsable de ce retournement de situation est cette drôle de valse en piste 9, « Golden brown », qui a pu étonnamment franchir la Manche.

Heureusement, LA FOLIE n’est pas uniquement l’album de « Golden brown ». Il fait peur certes au tout début avec les premières notes de Dave qui nous refait le coup du Bontempi sur « Non stop », mas très vite le doute est dissipé car les meninblacks ont bien foutu le camp et on retrouve nos Stranglers en mode plutôt ‘clean’ et relativement ‘accessible’. Petite déception pour la basse de JJ rentrée dans le rang avec un mixage plus ‘classique’, ça claque moins dans les oreilles, bye bye le son imparable de BLACK AND WHITE.

Ce n’est pas Jim Morrison qui contredirait « Everybody loves you when you’re dead », le second morceau, rien à redire, c’est très bon. « Tramp » est du même niveau, les Stranglers semblent avoir retrouvé l’inspiration avec des morceaux extra-courts et une belle personnalité. Ce qui est confirmé encore avec l’entêtant « Let me introduce you to the family ». Evidemment, au moment où je dis ça, ils nous balancent un « Ain’t nothing to it », sortant tout droit des sphères plus froides et tortueuses de THE RAVEN ou de MENINBLACK.

Musicalement, « The man they love to hate », l’un des plus longs morceaux de l’album avec ses 4’30, est fort original avec son phrasé plus parlé que chanté qui au bout du compte n’est nullement un handicap (ils feront encore plus fort deux ans plus tard pour l’ouverture de FELINE). « Pin up » est beaucoup moins fin mais entraînant et sympa. Ce disque est vraiment caractérisé par ses ambiances différentes, le martial « It only takes two to tango » précédant ce redoutable « Golden Brown » qui ne plaisait guère à JJ, lequel devait en effet bien s’emmerder en le jouant, vu la ligne de basse.

On enchaîne avec encore un morceau ne ressemblant à aucun des précédents, « How to find true love and happiness in the present day ». Et que dire de l’OVNI « La folie » pour terminer ? Morceau surréaliste, clip à deux balles surréaliste, paroles surréalistes intégralement en français, délicieusement à côté de la plaque. Il faut s’écouter ça non pas ‘au p’tit matin, au p’tit gris’ mais le soir après s’en être mis une bonne avec ses potes : bidonnage assuré dès le ‘bonjour’ initial.

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Golden Brown, La folie. SEDUISANT (4) : Non stop, Everybody loves you when you’re dead, Tramp, Let me introduce you to the family, The man they love to hate, Pin up, How to find true love and happiness in the present day. PLAISANT (3,5) : Ain’t nothing to it. It only takes two to tango. Bilan 4 et Top 5 à 4,20 : LA FOLIE cote pour moi 4,10 soit 16,40 /20.

On trouve sur LA FOLIE un juste milieu entre la maturité de THE RAVEN et les côtés plus pop que prendront AURAL SCULPTURE ou DREAMTIME. Comme RATTUS ou plus tard SUITE XVI, c’est un album qui compte peu de défauts, l’ensemble est remarquablement écrit et composé. Il est simplement dommage qu’aucun des onze morceaux présents ne soit véritablement ‘foudroyant’.

Le 28 Février 2025 par FOUDROCK

1991. J'ai 9 ans. A la radio ou à la TV, j'entends une chanson qui me plaît, "Highwire". Je ne connais pas les Stones à l'époque. Je demande à ce qu'on m'offre le 45-tours. Dans le magasin, pas loin du visuel du 45-tours (pochette blanche avec un point d'exclamation noir, je crois me souvenir), un autre visuel me tape à l'oeil, celui de "Flashpoint". Je sais lire, je vois que c'est les mêmes qui ont fait les deux trucs. Mon père m'offre l'album en K7 audio.
Je l'ai ruinée, à force de la passer. Ce live (j'ai découvert que ç'en était un en entendant les clameurs du public !) m'a fait découvrir un des plus grands groupes de rock au monde. Rien que pour ça, ce live est important pour moi, et ce, malgré, je m'en suis rendu compte par la suite, qu'il ne s'agit pas du tout de leur meilleur. Mais je m'en fous, c'est mon préféré. même les versions plus complètes de concerts de la tournée ("Tokyo Dome", "Steel Wheels Tour") ne me font pas l'effet de ce live.

Le 28 Février 2025 par FOUDROCK

Le disque ultime sur la came, tout y passe ou presque, toutes les chansons ou presque en parlent à mots plus ou moins couverts.
Une totale réussite sous pochette mythique. Et la première édition vinyle proposait une vraie braguette, avec tout ce que ça impliquait de problèmes : déchirement de la pochette rangée à coté de l'album sur l'étagère, pression sur le disque dans la pochette (il fallait légèrement baisser la braguette pour que la pression ne touche pas les sillons, mais le label central seulement)...
Si vous en voulez un exemplaire en parfait état, vendez votre voiture !

Le 28 Février 2025 par FOUDROCK

LE disque ultime du rock.
Tous groupes/artistes, années, pays, genres confondus.