Le 03 Décembre 2020 par BORIS LE BORGNE

Objectivement, un des meilleurs premiers albums de l'histoire du rock.

Un peu comme si Black Sabbath, le Krautrock et John Zorn fusionnaient avant même d'exister !

Le 03 Décembre 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

F.U.C.K. est le dernier album de qualité du groupe marquant la fin d'une époque, là où son big rock laissa la place à la vague déferlante de 1991 sur la planète rock 'made in Seattle'...ici, tout est parfaitement exécuté, le groupe ayant traversé le succès avec cet album et sa tournée, un disque en forme d'épilogue réussi. Le côté très pro ressort sans doute grâce à Hagar et ses dons de multi instrumentiste.

Le 03 Décembre 2020 par VIEUX MOTARD QUE...

Ah, le duo infernal "synthés - boîte à rythmes assourdissante", rien de tel pour flinguer une palanquée de disques dans les 80, du (hard) rock à la variét en passant par la pop et même le jâââââzz (Davis, Hancock...)...

Le 03 Décembre 2020 par DEJAVU

C'est la face 1 qui a ma préférence, après des énormes albums comme "Rivière ouvre ton lit", "Vie", "Flagrant délit" et les méga-shows au palais des sports de 69 et 71 des titres comme "Hello USA", "Ma main au feu", "Joe, la ville et moi" étaient vraiment les bien venus pour oxygéner l'atmosphère, des ballades pur folk avec guitares acoustiques, une basse, un harmonica et quelques percussions comme accompagnement donne ce sentiment de fraicheur en les écoutant, on est au plein air, les grands espaces américains et ca colle bien à la personnalité de notre Johnny dont les westerns de John Ford faisait rêver lorsqu'il était adolescent. Je regrette la présence de "Dio Creo La Donna" qui semble avoir été choisi pour mettre en avant la performance vocale de Nanette Workman mais quand on sait que des titres comme "Un parmi les autres", "De la race humaine" ou bien "Easy (Sois facile avec moi) ont été écartés de l'album, on se dit dommage. Pour terminer je n'aime pas la pochette, à la chemise à poids je dis "Non", j'aurais préféré une pochette comme l'album 'Everybody Knows This Is Nowhere" de Neil Young, par exemple, elle aurait certainement mieux collé au style musical de l'album mais ceci est un détail. Une note de 5/5 pour ma part.

Le 03 Décembre 2020 par VALEK

La version de 2020 est imbuvable comme un bouillon de soupe sans saveur. je préfère largement l’original. J’ai l’impression d’écouter de la variété française, ça me gêne un peu. Une étoile pour cette nouvelle version et la note maximale pour le morceau d’origine.

Le 02 Décembre 2020 par NONO

Excellent album, contrairement à ce que beaucoup pensent, qui mettent cet album (par erreur, selon moi), dans la même lignée que 5150. Oui, cet OU812 est "synthétisé", mais de manière moins outrancière que l'album précédent. Il lui ressemble un peu, mais lui est aussi très différent sous bien des aspects ! A tous les coups on a dû suggérer au groupe de camer le jeu sur les synthés, et cela a donc donné ce bel album.
Les meilleurs titres se situent vers la fin. "Finish what ya started" et "Sucker in a 3 piece" sont exceptionnelles, tout comme la bien carrée "Black & blue". Sinon "Mine all Mine" est bien sympathique, de même que la ballade "When it's love" qui est vraiment bonne (et pas "soupasse" comme un "Love walks in" par exemple...), "AFU" déchire, "Feels so good" est plutôt bonne (je sais que beaucoup la détestent), Cabo Wabo est assez originale, sympathique, mais un peu longuette. Les 2 seuls points faibles, ici, sont "Source of infection" et "An apolitical blues". C'est le meilleur album de la période Hagar. Je le préfère même à "For Unlawful Carnal Knowledge", car plus varié, plus créatif.
4.5/5

Le 02 Décembre 2020 par BAAZBAAZ

Ce que j'aime dans ce disque magnifique, c'est qu'il ne confond jamais contemplation et ennui. L'attention est sans cesse relancée, le rythme est omniprésent, les morceaux ne sont pas invertébrés mais toujours structurés, nerveux et passionnants.

Pharoah SANDERS est peut-être trop rare, tant ses interventions sont extraordinaires. Mais j'imagine que c'est cette rareté, et l'attente qu'elle provoque, qui contribue à la grandeur de l'album. Une musique à la fois exigeante et accueillante, donc.

Le 02 Décembre 2020 par BAKER

Ce qui est extraordinaire, c'est qu'à mesure que j'écoute, ça ressemble au break, à la réverb', au son près, à ce que j'imaginais.

Ca mérite 2 pour le résultat qui n'est pas inécoutable (et l'autotune est très discret, voire s'il existe), mais je descends à 1 pour l'absence absolue d'une quelconque surprise à tout niveau que ce soit.

C'est inutile mais pas honteux, mais la vraie phrase est "c'est inutile mais ça ne fait de tort à personne" alors que si, évidemment, ça fait du tort à tous les artistes qui ne rentrent pas dans ce moule désespérant d'étroitesse.

Tiens, ça me fait penser que je n'ai pas écouté le dernier Neal Morse, et tant mieux.

Le 02 Décembre 2020 par LE VIEUNE

Entendu pour la première fois à la radio cet après-midi : sans moi !

Le 02 Décembre 2020 par LE MOUNGEPEDOUN

Du bon VH, nettement mieux que le faible 5150, et puis quel son! Un de mes préférés du groupe, jamais eu de problème avec.

Le 02 Décembre 2020 par FRED

Etonnant de penser qu'il a... 84 ans !
Dans ma mémoire, c'est toujours le jeune Billy du film (Peckinpah, Coburn... et sa future épouse Rita Coolidge), puis l'immense Cimino.
Vraiment, un type cool, dans tous les sens du terme. Belle gueule, belle carrure : le cow-boy de rêve, quoi. En plus, il chante et compose !
Peu connu en France, mais bon... ça se saurait si c'était vraiment un critère de qualité, ça.
Super musique.

Le 02 Décembre 2020 par NONO

@ THE NEW ANGEL D : Tu n'as pas mentionné "Liberian Girl", titre que j'aime beaucoup, typique des compos style Porcaro, un peu à la manière de "Human nature" !

Le 02 Décembre 2020 par NONO

100% d'accord avec la majorité des avis précédents.
Honnêtement, Indochine... il vient un moment où : stop... quoi ! Leur endurance et leur obstination forcent mon admiration mais pas vraiment dans le bon sens du terme.

Le 02 Décembre 2020 par THE NEW ANGEL D

Chaque épisode de la trilogie Jackson-Jones est de haut niveau et, si on met de côté l'insurpassable "Thriller", ce "Bad" est avec "Off the Wall" le top de Michael.

C'est un album globalement plus dynamique que les précédents avec des titres très accrocheurs. Il est facile de faire la fine bouche mais honnêtement, faire une musique aussi efficace et addictive que celle-ci est difficile. En plus, les gars ont trié et ciselé les morceaux, donc il n'y a clairement rien à jeter ici.

Parmi les plus indispensables, on a le funky "The Way You Make Me Feel" ou encore "Smooth Criminal" qui montre un Michael plus nerveux et rapide que jamais. "Wanna Be Startin Something", c'est un slow à côté.
"Man In The Mirror" est une merveille avec son côté gospel et le tube "Bad" est ultra-efficace.
Quant au hard-rock "Dirty Diana", on n'est pas au niveau de "Beat It", mais c'est quand même très bon.

Un petit mot aussi pour "Just Good Friends", duo sympa et entraînent avec Stevie Wonder, le funk rock "Speed Demon" un peu atypique et très cool ou encore "Leave me Alone" : le genre de bonus qui a en fait toute sa place dans l'album.

On peut reprocher à "Bad" d'être inférieur au précédent et d'avoir une production qui a vieilli. Mais à part ça, c'est le top.

Note : 4.5 arrondi à 5

Le 02 Décembre 2020 par VALEK

J’aime bien INDOCHINE. J’ai l’impression d’écouter l’univers des mangas de science-fiction, vous savez ces dessins animés des années 80. La musique reste dans un esprit Rock sauf sur cette chanson où ces influences disparaissent pour laisser place à un matraquage publicitaire qui semble résumer la carrière d’INDOCHINE. Les sonorités sont laides mais les paroles font la différence. La chanson reste en tête malgré cette démarche qui n’est pas la plus honnête.

Le 01 Décembre 2020 par FINISHERFRANKY

Je suis venu naviguer sur cette page avec appréhension. J'étais certain d'y lire des horreurs. Parce que de cet album je retenais le virage FM or, comme JOE THE ALIEN, ayant vécu ces années bénies et moi aussi m'étant farci du trash métal de la Bay Area, je dois avouer maintenant que l'écoute de ce disque était pour moi un plaisir coupable. Mais comment "qui s'ont fait" pour pondre des trucs comme "Send Me An Angel" et "Teenage Idol" capables de fendre l'armure du métaleux que j'étais ? Bon, j'en rajoute car j'avais l'esprit plutôt ouvert heureusement. Mais disons que toutes ces années, j'ai été persuadé que ce virage avait perdu nos sudistes. Ravi donc d'enfin savoir que je n'étais pas seul a savourer ces titres de hard-rock à leur juste valeur.

Le 01 Décembre 2020 par DERWIJES

Comme toujours Richard me donne envie d'écouter les albums qu'il chronique, même si ce n'est pas ma tasse de thé.
Pour le coup je rejoins l'avis de Baazbaaz, musicalement parlant c'est l'équivalent d'un plat de blé non assaisonné, l'apport calorique en moins. Le fond électro, le chant, le clip...Je n'en suis pas fada, c'est trop fadasse.

Le 01 Décembre 2020 par SGT JAKKU

Deux artistes émos surmédiatisés, tétons découverts, un vieux tube FM vaguement New Wave des années 80 qui portait déjà un message progressiste, message progressiste surmédiatisé et hurlé sur les toits, je prends la poudre d'escampette.

Le 01 Décembre 2020 par BAAZBAAZ

Bonne idée, bon clip, et la chanson d'origine est évidemment excellente, mais... Je n'adhère pas à cette reprise. Le fond electro me semble un peu morne, sans originalité. Cela donne l'impression d'avoir été fait à la va-vite. Mais c'est peut-être parce que les voix sont mises très en avant.

Le 01 Décembre 2020 par THIERRY RAOULT

S'il y a bien une artiste qui peut chanter "3ème sexe", c'est quand même bien Christine & the Queens. Les 2 artistes vont bien ensemble. Je suis complétement d'accord avec les propos tenus dans la chronique. Une reprise qui vaut la peine. Bien joué Nicola.