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Ricky NELSON
RICKY


Le 25 Juillet 2019 par MORMEGIL

Tu es donc bel et bien la Reine d'Angleterre car Daniel David a parfaitement raison. Je ne comprends d'ailleurs pas comment on peut faire la confusion entre Teenage Doll et Teen Age Idol (single sorti quelques années plus tard) tant la mélodie de la 1ère n'a strictement rien à voir avec le titre repris par Johnny. Es tu sur d'avoir réécouté l'album avant de le chroniquer ?


Par Forces Parallèles

Reine d'Angleterre me voila !

Non, je n'ai pas vraiment réécouté le moindre disque de Ricky en faisant sa disco, puisque je ne dispose d'aucun 33 tours si ce n'est des best of, je possède en revanche la totale en super 45 tours de l'époque, je suppose que j'ai merdé en lisant le titre, persuadé qu'il s'agissait de l'idole des jeunes... la similarité entre les deux titres m'a trompé. D'autant que je ne suis donc pas encore arrivé à "Teenage Idol" dans la disco de Ricky, voila qui mérite des corrections ! Merci de votre sagacité à tous les deux !

J'ai hâte de m'installer à Balmoral !
Bien à vous
Erwin







Mylene FARMER
ON EST TOUS DES IMBECILES


Le 25 Juillet 2019 par NONO

@François : oui en effet ce n'est pas vraiment de la new-wave mais si ce titre est classé comme tel c'est probablement davantage pour l'époque de sa parution que pour son style intrinsèque.
C'est clairement une chanson à dominante pop, mais quand même assez inclassable.
J'aurais dit de la "variété française électro-pop artisanale". Belle définition n'est-ce-pas !





CAN
TAGO MAGO


Le 24 Juillet 2019 par FRANçOIS


Je peux admettre que les étiquettes "groupe pour initiés" ou "vaches sacrées intouchables" soient un peu pénibles... On pourra trouver Can surestimé si on n'aime pas (ce qui est logique), j'aurais pour ma part tendance à le trouver sous-estimé par rapport à ses confrères anglo-saxons (les sempiternels Rolling Stones, Pink Floyd, etc...). Je trouve ce groupe formidable, limite "ultime". Du moins la période de ses débuts jusqu'au départ de Suzuki (soit 1969-1973), la seule que j'ai écouté (trop peur d'être déçu par la suite et j'ai tendance à considérer que la période la plus créatrice d'un artiste se trouve généralement au début de sa carrière). Contrairement à d'autres trucs "krautrock" de la même époque, leur musique n'a pas vieilli. Ici, les 4 premières pistes, c'est encore du tout bon, avec toujours cette section rythmique d'enfer. J'ai plus de mal avec la fin d'album et ces deux longs morceaux "bruitistes" dignes de la musique contemporaine, d'où une étoile en moins. Mais beaucoup de choses perdent de leur intérêt après avoir écouté Can.





Mylene FARMER
ON EST TOUS DES IMBECILES


Le 24 Juillet 2019 par FRANçOIS


Suffit de demander ! :-)
J'aime beaucoup ce titre, comme tout Farmer jusqu'au Live à Bercy de 1996 inclus (après ça se gâte et va de mal en pis). Par contre, je n'aurais pas classé ça en "new wave"... Ou alors au sens très très large alors...





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 24 Juillet 2019 par FRED

Hé bien LEO, j'aurais pu écrire, mot pour mot, ton commentaire, avec lequel je suis à 100% d'accord. Je n'aurais pas dit mieux !





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 24 Juillet 2019 par CLANSMAN57


Entièrement d'accord concernant le groove du regretté Dave Holland, du moins sur certains albums comme effectivement "Point Of Entry", même si je n'en suis pas fan. N'oublions pas le grand "British Steel".
Cependant, il n'aurait pas été à sa place sur ces compositions beaucoup plus puissantes, alors que Scott Travis leur sied à merveille.
Je ne suis pas certain que le feeling et le groove soient indispensables ici.
Par ailleurs, tout comme Léo, Les Binks est mon batteur préféré chez Judas Priest, bien que Alan Moore et Simon Phillips ne soient pas à négliger.
Avis encore partagé pour Philty "sosie du frangin" Taylor.

"Painkiller" me botte bien, le Priest assume complètement son pendant Metal et il fait partie des rares disques de Heavy Metal qui vieillissent bien.
C'est puissant, froid, effrayant et la pochette est top.
Serait- ce du Heavy Metal extrême?
Un des disques les plus puissants du style en tout cas.

Bref, "Painkiller", c'est 200% Metal.








JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 24 Juillet 2019 par LEO


@ FRED

Bien d'accord avec toi sur le groove de Dave Holland à l'époque de Point Of Entry (mon préféré du PRIEST ex-aequo avec Stained Class) ou il démontre (comme lorsqu'il était chez Trapeze) qu'il avait un jeu bien plus subtil que sur les autres albums de JUDAS PRIEST sur lequel il a officié (il est plus carré sur British Steel, et sur les albums à partir de Screaming For Vengeance son jeu est rigide et mécanique, avec un son artificiel dû à la prod typique de cette période). quand à Scott Travis il n'est pas du tout ma tasse de thé, mais c'est aussi parce que le PRIEST bien heavy et aux penchants speed metal comme sur Painkiller ne me branche pas du tout. mon batteur favori chez JUDAS PRIEST reste de toute façon Les Binks (son jeu sait être technique mais il est avant tout gorgé de feeling).
Du même avis que toi concernant Philthy Animal Taylor qui était le batteur que je préférais chez Motörhead, fougueux et instinctif (au même titre que Keith Moon avec les Who) avec un jeu qui pulsait bien, même si peut-être pas hyper précis mais qui s'intégrait parfaitement dans le groupe et qui pour moi aussi, était bien plus intéressant à écouter que ses successeurs !
J'en ai profité pour réécouter l'album Painkiller, que je n'ai pas dû entendre depuis au moins 20 ans !
Musicalement ça n'est pas du tout ma came et ça reflète bien ce que j'écrivais précédemment, je n'aime ni les compos (toutes à l'identique) qui déboulent à fond la caisse (avec le double pédalier tout du long), ni cette prod au son hyper compressé, surgonflé que je trouve épuisant sur toute la longueur d'un album.
Il n'y a plus aucune subtilité comme au temps de Sin After Sin, Stained Class ou Point Of Entry dans lesquels il y avait de la nuance au sein même des morceaux, alors qu'ici, toute finesse à disparu. c'est bourrin. même le chant de Rob Halford est devenu caricatural et stéréotypé comme l'a décrit VALR.
J'en reste définitivement au JUDAS PRIEST de 1974 à 81, lorsque la formation n'était pas juste qu'un groupe de heavy metal mais qui faisait aussi un hard rock sophistiqué et varié.





Elton JOHN
THE FOX


Le 24 Juillet 2019 par RUDY


J'ai réellement découvert Elton John en 1994 avec le Roi Lion puis la claque mélodique Made in England. J'étais fan et je n'avais que 14 ans ! J'ai plongé dans la discographie du Piano Man, d'abord The One, puis en déscendant. Je me suis fais la discographie à l'envers. Dans les 90's internet n'existait pas, et les infos sur ce chanteur étaient extremement rares. D'un coté je n'ai pas été influencé par les avis d'autres auditeurs et chaque nouvel album achetés était une découverte...

J'achete THE FOX en même temps que A SINGLE MAN. Je rentre dans ma chambre d'ados et me voila plongé en 1981 ( j'avais 1 an ). Et là, hors influence je tombe sur un bijou pop eclectique ou se mèlent une pleiade de styles musicaux avec un piano omniprésent et une voix encore pure ( Elton à 34 ans ). Chaque titre est une surprise me faisant tomber un peu plus amoureux de la musique de Regie !!!!

Breaking Down Barriers : Pop et enjouée
Heart In The Right Place : Plus blues, avec un piano et une ambiance déconcertante.
Just Like Belgium : Du Elton 100%
Nobody Wins : Une reprise ancrée dans le son typique des années 80.
Fascist Faces : Exercice difficile sur un texte lourd, excellent solo instrumental.
Carla/etude : Piéce instrumentale en deux variation arrangée par James Newton Howard, une merveille de subtilité
Fanfare : Un ovni électro dont je ne me lasserais jamais
Chloe : Fin de la pièce en 3 actes. Magnifique.
Heels Of The Wind : Titre joyeux sans autre prétention de nous faire passer un bon moment.
Elton's Song : titre grave et autobiographique sur l'homosexualité. EJ la reprendra lors de certains concerts solo à la fin des 90's. Un titre ignoré bien meilleur que certains de ces tubes...
The Fox : Le tube qui n'en sera jamais un, jamais joué en live, et pourtant la chanson avait tout pour devenir un classique.

En conclusion, si l'album a vieilli et sonne un peu oldies suite à une production bien ancrée dans son époque, il conserve de telles qualités de compositions qu'il figurera toujours dans mon top 5.





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 24 Juillet 2019 par FRED


… je regrette le groove de Dave Holland sur Point of Entry. La double grosse caisse à outrance, ça ne me plaît guère (sauf Philty Taylor, qui avait son propre feeling, bien supérieur à M. Dee, même si techniquement en-deçà... mais la technique ne fait pas tout, cqfd… )





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 24 Juillet 2019 par FRED


Content de lire que je ne suis pas le seul à ne pas aimer ce disque par rapport aux précédents. L'analyse de Le Moungepedoun est totalement juste.





Mylene FARMER
ON EST TOUS DES IMBECILES


Le 24 Juillet 2019 par NONO


Tiens... personne d'autre pour un commentaire ?
Bon.. hé ben j'en remets un, donc ! ;-)
En réécoutant ce titre je voulais juste souligner une chose qui me saute aux yeux (enfin... aux oreilles) : c'est ce paradoxe entre une mélodie réellement magnifique, toute en pastels et en nuances, mais comme "prisonnière" d'arrangements franchement bidouillés et qui gâchent un peu l'ensemble, malheureusement.
Mais c'était le milieu des années 80 et c'était ainsi, que voulez-vous...
J'augmente un peu ma note précédente, rien que pour cette belle mélodie. Je passe à 3/5.
Donc Mylène, si tu lis ces lignes (ce qui est même probable... sait-on jamais ?), sois donc rassurée !





CHIC
IT'S ABOUT TIME


Le 23 Juillet 2019 par LEO


Du même avis que FRANçOIS concernant pas mal de groupes qui prolongent par intérêt financier leurs carrières sur plusieurs décennies mais qui artistiquement n'ont plus grand chose, voire plus rien d'intéressant à proposer, et CHIC fait hélas partie du lot.
Quoiqu'il en soit, la formation n'existe plus que virtuellement depuis le décès du bassiste Bernard Edwards en 1996 (celui de l'ex-membre Tony Thompson a suivi en 2003). car CHIC, c'était au minimum ses deux têtes pensantes (et celà avait fonctionné un temps sur Chic-ism) mais désormais il ne reste plus que Nile Rodgers qui (aussi doué soit-il) à lui seul ne peut constituer un groupe et ressusciter l'esprit et la magie du tandem, d'ou un habile stratagème commercial qui consiste en l'appellation CHIC featuring Nile Rodgers ou Nile Rodgers & CHIC (suivant les publications).
Cela avait pu faire illusion sur le sympathique "I'll Be There" publié en single en 2015. et pour cause, on retrouvait les membres du CHIC de la grande époque sur ce titre inédit enregistré en partie en 79/80 et remanié à la sauce actuelle mais ce n'est à présent plus le cas avec l'album It's About Time qui est vraiment très pauvre autant sur le plan musical que vocal avec tous ces soit-disant artistes invités et leurs voix auto-tunées qui sont une abomination.
Le seul moment agréable est "State Of Mine" (It's About Time) qui peut presque passer pour un instrumental mais où il y a tout de même un vocoder assez discret et dans lequel Nile Rodgers nous démontre une fois de plus tout son talent de guitariste, mais c'est bien tout.
Le reste comme le décrit bien DERWIJES, n'est que du mauvais electro-pop-RnB contemporain mais en aucun cas du CHIC !
Et sérieusement, qui aurait envie de se farcir une nouvelle mouture de "I Want Your Love" chantée par Lady Gaga quand la merveilleuse version d'origine vieille de 40 ans défonce tout sur son passage ?
En s'obstinant à vouloir maintenir en vie un groupe qui n'existe plus que par le nom, Nile Rodgers ne fait que ternir l'image de CHIC. cela n'enlève rien à la valeur du travail accompli par le passé et la sincérité du musicien, mais il ne sert à rien de jouer la carte de la nostalgie par crainte de refermer une page de son histoire musicale.





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 23 Juillet 2019 par LE MOUNGEPEDOUN


Décu à l'époque de la sortie de ce disque que je trouve un peu trop speed à mon goût. Judas avait atteint les sommets via Screaming et Defenders avant de s'américaniser par la suite. Ici en 1990 Slayer et Metallica dominaient la scène du métal énervé. Judas a voulu par conséquent donner un coup d'accélérateur aux dépens du feeling et de la mélodie. Hélas ! Le titre éponyme de cet album en est le parfait exemple.





Lou REED
LULU (AVEC METALLICA)


Le 23 Juillet 2019 par FRED

@ Clansman57.
Pour info, j'ai tenu 22 minutes et quelques secondes.
Je continuerai plus tard, je manque un peu de temps.
En fait, j'ai plutôt apprécié ce que j'ai entendu, mais il ne s'agit que d'une première écoute.





PRIMAL SCREAM
SCREAMADELICA


Le 23 Juillet 2019 par FRANçOIS


J'adore ce disque, qu'aurait sans doute aimer faire New Order (le mélange pop-rock / dance) sans jamais y parvenir. Néanmoins, je dois bien admettre qu'il a un peu vieilli, c'est le risque quand on sort un truc très moderne. Et ces cuivres synthétiques, mon Dieu, au secours !





JUDAS PRIEST
PAINKILLER


Le 23 Juillet 2019 par VALR


N'étant pas particulièrement fan de Metal, mon avis sur cet album n'est peut-être pas le plus pertinent. Je suis plutôt sensible au hard rock (le DEEP PURPLE des années '70 étant mon groupe favori), et plus récemment, je me retrouve également dans le prog rock "classique" (GENESIS, YES, E.L.P., ...).

Cependant, comme j'écoute tout de même volontiers le BLACK SABBATH de 1970-1982, le IRON MAIDEN de 1980-1992 et... le JUDAS PRIEST de 1977-1984 (je n'ai pas encore écouté les deux premiers, ni "Turbo" et "Ram It Down"), je suppose que je ne suis pas complètement hermétique au Metal, du moins au Metal classique "gentillet" dirons-nous. Et donc, mon avis n'est peut-être pas inintéressant pour certains lecteurs.

De toute façon, vu les notes dithyrambiques sur cet album jusqu'à présent, un peu de contraste ne fera pas de mal.

Tout d'abord, je tiens à préciser que je mets 1/5 dans le sens suggéré par FP, à savoir que l'album est décevant en ce qui me concerne. En aucun cas je ne veux troller et sous-entendre que cet album est merdique ou autre.

Tout simplement, l'écoute de "Painkiller" a été pour moi une rude épreuve. Le contraste de violence par rapport aux albums de la période précédemment citée est beaucoup trop important. Pour moi, le groupe perd ici toutes les nuances qu'il était capable de produire. La double pédale y est pour beaucoup, ça rend vite tout très stéréotypé je trouve. Le chant est aussi forcé quasiment tout du long, et m'apparaît nettement moins agréable que sur les albums précédents. Certes, la deuxième moitié de l'album ne me rebute pas autant que la première, mais le mal est tel au bout de la 5ème piste que je n'arrive plus à avoir un avis mesuré par la suite. Au final, je ne retiens quasi rien, sinon une bouillie sonore où toute musicalité passe au second plan derrière la violence et la brutalité.

J'imagine que la conclusion est peut-être simplement que je n'apprécie pas le thrash et le speed Metal.

Pour finir, je voulais juste dire que, si par un malheureux hasard, vous auriez comme moi les oreilles un peu trop sensibles pour la puissance de "Painkiller" (mais que vous auriez tout de même un petit faible pour une musique un tant soit peu costaude) et que vous auriez fait une croix sur JUDAS PRIEST uniquement à cause de cet album, laissez quand même une chance aux albums précédents, car le propos y est relativement différent.





CHIC
CHIC-ISM


Le 23 Juillet 2019 par LEO


Personne ne s'attendait à un retour de CHIC en 1992 après le flop de Believer neuf ans auparavant, et pas grand monde n'a entendu parler de Chic-ism à sa sortie du fait de sa relative confidentialité, mis à part un p'tit clip pour "Chic Mystique" qui fut diffusé de temps à autre, ainsi qu'un autre pour "Your Love" (que je n'ai jamais vu à l'époque mais que j'ai visionné il y a quelques années sur YouTube).
Enfin, le comeback de CHIC c'est une façon de parler, car CHIC en ce début des 90's est bien amputé d'une grosse partie de ses membres clés puisque ne subsistent plus que ses deux fondateurs, Bernard Edwards et Nile Rodgers, ce qui est la moindre des choses, mais cela ne fait pas tout.
On retrouve bien Michelle Cobbs et Fonzi Thornton noyés parmi la pléthore de choristes et le chef d'orchestre Gene Orloff refait une apparition mais pour le reste, l'équipe est complètement changée. de fait, ça chamboule pas mal de choses sur le plan musical car il manque l'assise rythmique et le groove unique de Tony Thompson là où maintenant il faut deux batteurs (Sterling Campbell et Sonny Emory) et quelques pistes de boîte à rythmes qui rendent le tout plus rigide (c'était déjà le cas sur Believer), de plus les chanteuses Alfa Anderson et Luci Martin avaient un style qui leur était propre alors que Sylver Logan Sharp & Co., bien que talentueuses, ont un chant bien plus passe-partout. idem avec l'absence des claviéristes Rob Sabino, Raymond Jones et Andy Schwartz qui offraient plus d'originalité et de chaleur par rapport aux sons plus contemporains mais aussi plus communs du nouveau venu (Richard Hilton).
En dépit de mes quelques réticences et griefs, ce huitème album de CHIC relève le niveau par rapport au médiocre Believer et se tient très bien face au moyen Tongue In Chic car il contient son lot de bons moments mais malgré tout, on atteint jamais les sommets de la période 77 à 81.
"Chic Mystique" est une superbe entrée en matière avec le retour de la section de cordes qui réintroduit en partie le son classique que CHIC avait à l'origine à la fin des 70's et qui en faisait sa marque de fabrique (avec un son plus moderne dans le cas présent). je n'accroche pas spécialement à l'aspect house-music de certains passages, cependant la compo tient la route et parle pour elle. en revanche, sa reprise en toute fin d'album est tout à fait superflue.
"Your Love" qui est directement enchaîné à sa suite est assez similaire rythmiquement et son riff de guitare est très proche de celui du morceau précédent. tout cela fait un peu doublon, d'autant que cette compo est bien moins intéressante. passable, sans plus.
"Jusagroove" (qui porte bien son nom) est par contre excellent avec la basse bien funky de Bernard Edwards qui pulse et la section de cuivres qui envoie la sauce. un très bon moment qui m'évoque presque Graham Central Station.
"Something You Can Feel" m'ennuie autant pour sa musique peu remarquable que pour son chant rappé (désolé, c'est pas du tout mon truc !). je zappe direct.
"One And Only One" est une jolie ballade assez typique de CHIC, mais personnellement il me manque le chant suave et chaud d'Alfa Anderson qui apportait plus d'émotions ainsi que les discrètes mais indispensables parties de piano acoustique et de Fender Rhodes que l'on retrouvait généralement en pareil cas dans la formation. sympathique mais un peu tiède en ce qui me concerne et pour moi ça ne vaudra jamais les inoubliables "At Last I Am Free", "Will You Cry (When You Hear This Song)" ou "I Loved You More".
J'aurais bien vu "Doin' That Thing To Me" sur un album de Sister Sledge ou même du Rose Royce des années 80. le morceau n'est pas renversant mais il reste agréable. très correct.
Le peu palpitant "Chicism" veut nous refaire le coup du périmé "Chic (Everybody Say)" qui lui-même voulait nous refaire le coup du brillant "Chic Cheer". évidemment, au bout d'un moment la recette est usée jusqu'à la corde et la chose beaucoup moins drôle ! un coup pour rien.
"In It To Win It" est franchement pas mal et balance bien. les vocaux sont bien sentis et les divers instruments s'imbriquent bien les uns aux autres. cool !
"My Love's For Real" ne me branche pas spécialement avec son côté RnB contemporain.
"Take My Love" est l'autre ballade de l'album et celle-ci est de facture encore plus classique que "One And Only One", mais curieusement elle ne me parle pas vraiment alors qu'elle contient tous les ingrédients du CHIC sound, mais les 'take my love' récurrents m'agacent passablement.
Le mid-tempo "High", sans être exceptionnel est plutôt pas mal mais “M.M.F.T.C.F.” (Make My Funk The Chic Funk) est lui, assez quelconque et répétitif malgré l'empreinte CHIC typique donnée par les violons et le riff funky de Nile Rodgers.
Au final, cela donne un album honnête et plutôt agréable dans l'ensemble mais aussi beaucoup trop long de par sa durée de 62 minutes et son nombre de titres conséquent (13, dont une reprise inutile).
Je lui attribuerais la note de 3,5/5.





Ricky NELSON
RICKY


Le 22 Juillet 2019 par DANIEL DAVID


Teenage Idol est en fait Teenage Doll!! le simple paraitra en 62!
Merci


Par Forces Parallèles

Si c'est le cas, alors je suis la reine d'Angleterre !




Paul MCCARTNEY
BAND ON THE RUN (WINGS)


Le 22 Juillet 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Un prolongement beatlesien réussi... tout comme RAM d#ailleurs.





DEPECHE MODE
VIOLATOR


Le 22 Juillet 2019 par BORIS LE BORGNE


Je rejoins le concert d'éloges : dans son genre, ce disque est une vraie réussite. Sobre, élégant, sombre et percutant à la fois. Parfaite synthèse entre dark-ebm et techno-pop à saveur romantique.

Et puis enfin il y a "Clean" - le plus beau titre de DM, peut-être...







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