Le 22 Juin 2019 par SEIJITSU

Sachant que Rage Against The Machine est un des plus grands fournisseurs de groove rock & roll avec Led Zeppelin, ne jamais avoir écouté au moins cet album, c'est passer à côté de quelque chose en effet.

Le 22 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG

@Nono, d'accord avec toi sur Farian où l'arnaque se situe surtout sur la voix masculine puisque c'est lui qui chante dans Boney M, sa voix, trop grave, avait fait qu'il avait été recalé des maisons de disques dans lesquelles il avait montré ses démos. Cependant, il y a une chose qu'on peut lui reconnaître, à savoir le recyclage en version disco de grands tubes du rock et de la pop que ce soit avec Boney M ou avec Far Corporation qui, pour le coup, voit les Toto jouer au sein de cette entreprise, notamment sur Stairway To Heaven... je considère ces recyclables vachement bien foutus et même Led Zeppelin avait approuvé la reprise qui avait été faite de son morceau.
Après, tout n'est qu'une question de goût.

Le 22 Juin 2019 par FRANçOIS

Et bien j'avoue appartenir probablement à cette "population de mauvais mélomanes" :-) car moi qui ne goûte guère aux "géants du rock" des 60's-70's (Beatles, Rolling Stones, Pink Floyd, Led Zep, etc...), j'aime assez celui-ci, ce qui s'explique par le fait que je préfère la pop et la dance music au sacro-saint "rock". En plus, Nile Rodgers et ses copains de Chic sont de la partie (gage de succès).

Le 21 Juin 2019 par LEO

Contrairement à ERWIN, je préfère Liverpool à Welcome To The Pleasuredome que j'ai toujours considéré comme un album un peu trop surestimé, même si celui-ci contenait de très bonnes choses.
Mon problème avec le premier 33t de FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD était que le producteur Trevor Horn avait choisi d'écarter la plupart des pistes enregistrées par le groupe au profit de prises alternatives jouées par lui-même ou par des musiciens additionnels n'ayant rien avoir avec la formation, ce qui fait qu'au final on se retrouvait souvent avec des parties de basse jouées au synthé au lieu d'une 'vraie' basse électrique et d'une rythmique programmée sur une boite qui supplantait la batterie (qui aurait forcément donné plus de mordant autant qu'un son et un jeu bien plus vivant). certes, il y avait du potentiel dans la plupart des morceaux mais de mon point de vue pas mal de compos n'ont pas été réalisées comme elles auraient dû l'être idéalement.
Sur ce second 33t de FGTH, la donne est légèrement différente puisque le principal des pistes enregistrées par les membres du groupe ont été conservées bien qu'à l'arrivée on se retrouve tout de même avec un genre de compromis un peu bâtard entre un son 'live' fait en groupe et quelque chose de plus clinique et aseptisé tenant du laboratoire musical.
Effectivement, Stephen Lipson (collaborateur de Trevor Horn, ingé-son, musicien et producteur sur Liverpool) a eu recours lui aussi à des musiciens extérieurs au groupe et a mis la main à la pâte lui aussi comme son prédécesseur, en rajoutant ses propres interventions à la guitare et aux claviers. on retrouve également une nouvelle fois pour quelques parties de guitare, Steve Howe plus Trevor Rabin (qui n'était pas crédité sur le premier album mais qui pourrait bien y avoir participé) ainsi que Andy Richards augmenté de Peter-John Vettese (qui officiait dans Jethro Tull à cette époque) aux claviers.
À côté de ça, il y a également un travail assez conséquent sur les arrangements de cordes et de cuivres que l'on peut entendre sur la plupart des morceaux.
"Warriors Of The Wasteland" commence presque comme le "In The Air Tonight" de Phil Collins, avec une ambiance sereine et mystérieuse mais le titre se métamorphose rapidement en quelque chose de bien plus brut et rock. c'est le son qui se rapproche le plus de ce que pouvait donner FGTH en concert. un excellent morceau d'ouverture, mais ça ne fait que commencer !
"Rage Hard" est un chouïa plus posé mais on sent tout de même que ça reste du costaud. cependant j'ai encore le sentiment comme sur le premier album, que l'énorme travail de production a pris le pas sur la performance du groupe. on ne sait plus vraiment si on entend de la basse électrique jouée par Mark O'Toole ou bien du synthé-bass ou même un mélange des deux tellement tout ça est mixé d'une façon où l'on arrive plus à distinguer les couches d'instruments empilées les unes sur les autres (car il y a dû en avoir en pagaille !).
L'épique "Kill The Pain" a lui aussi une ambiance et un son bien massif avec cette batterie lourde, une partie de basse en avant et cet amas de claviers et de guitare qui rempli l'espace sonore.
Le planant tout autant que dansant "Maximum Joy" avec ses sonorités electro est plus dans la lignée du morceau "Welcome To The Pleasuredome". à mi-parcours, une basse donne une pulsation irrésistible et perso, j'aurais aimé que le morceau dure un peu plus longtemps pour profiter pleinement de cet effet hypnotique.
Le charme est quelque peu rompu avec le poppy "Watching The Wildlife", morceau sympathique et pas mauvais au demeurant, mais pas franchement marquant non plus. étrange décision d'avoir choisi ce titre comme troisième single extrait de Liverpool. j'aurais mieux vu l'énergique et plus typique "Lunar Bay" prendre sa place.
"For Heaven's Sake" à l'inverse est bien plus singulier et inhabituel pour le groupe, tant dans ses sonorités et ses arrangements que dans ses changements de mesures rythmiques.
c'est certainement mon morceau favori de FRANKIE GOES TO HOLLYWOOD. quel dommage que la formation n'ait pas duré un peu plus longtemps. j'aurais aimé qu'elle continue dans cette voie-là !
L'album se referme sur "Is Anybody Out There?", une ballade quelconque et encore plus passe-partout que ne l'était "The Power Of Love", dont le charme n'avait déjà pas opéré sur ma personne.
Comme l'a souligné ERWIN, Liverpool est un 33t peu chargé en compos avec seulement huit morceaux mais sa durée de près de 44mn est tout à fait convenable pour un album traditionnel paru à l'époque avec ses 22mn par faces, et puis souvent quantité ne rime pas forcément avec qualité et remplir un disque à ras bord n'est pas nécessairement le bon filon !
Globalement ce deuxième FGTH est plutôt réussi, si je mets de côté le soporifique "Is Anybody Out There?" (qui a au moins le mérite d'être à la fin, ce qui évite de zapper en milieu de parcours). pour moi ce sera donc un bon 4/5.

Le 21 Juin 2019 par CLANSMAN57

Ah merci Metalprog84, tu me rappelles que je voulais changer mon avis au sujet de cet album qui est effectivement très bon!
"The Lake" me parait un peu décousue, en trois parties si je me souviens bien, pas très bien ficelées entre elles, mais ça reste néanmoins un joli morceau instrumental.

Il a un sacré touché à la guitare ce mec.

Le 21 Juin 2019 par METALPROG84

Encore un très bon album de M.Oldfield. Les 7 titres chantés oscillent entre le bon et l'excellent ("To France", "Poison arrows" et "Discovery" pour l'excellent), je dirai même que c'est le meilleur album de M.O. pour les morceaux chantés ! Pour finir, "The lake" est un instrumental très réussi et en plus assez facile d'accès. 4.5/5.

Le 21 Juin 2019 par METALPROG84

Pas si mauvais qu'on veut bien le dire, cet album (il a fait largement pire avec "Earth moving" ou "The millenium bell"). Sur les 5 premiers titres, "No dream" et "Heaven's open" sont très bons, les 3 autres étant corrects sans plus. Le long instrumental n'est effectivement pas son meilleur, mais il reste d'un bon niveau quand même.

Le 21 Juin 2019 par METALPROG84

Ce M. Oldfield est clairement moins bon que les albums précédents, mais il reste plutôt correct dans l'ensemble. L'instrumentale est pas mal quand même, malgré quelques passages répétitifs (le final est très bon je trouve). Bon, la deuxième partie est plus anecdotique, mais pas mauvaise pour autant (à part "I got rhythm" qui est assez faible). "QE2" et "Five miles out" seront un cran au-dessus.

Le 21 Juin 2019 par CLANSMAN57

C'est vraiment trop top d'écouter le zizi en été, ça va trop bien avec cette saison.
De cet album, je ne connais que "Tube Snake Boogie" et "Pearl Necklace", toutes deux excellentes.
Mais j'ai peur que ce soit les deux seules bonnes chansons, à en lire la chronique.

On va éviter de mettre la main dessus dans ce cas...

Le 21 Juin 2019 par NONO

@JIPE CHERBOURG : aucun souci. Le problème (et le danger ?) des écrits est que, même si on pense cerner l'esprit de l'auteur, cela prête toujours à interprétation car, de fait, on n'entend pas "le ton" et on ne voit pas l'expression !
Oui effectivement, Milli Vanilli (...que de souvenirs !)... les pauvres... par contre leur manager Frank Farian est une enflure purc-porc, qui n'en était d'ailleurs pas à son premier "coup d'essai", il avait procédé de la même façon avec Boney M (avec moins de scandale toutefois).
A l'époque de Milli Vanilli (1988 - 1990) j'avais 12 ans, j'adorais leur musique à base de rap mais très mélodieuse néanmoins. Ce n'est que plus tard que je me suis rendu compte que leurs titres étaient à 100% constitués de samplings d'autres oeuvres. Donc Milli Vanilli c'est une double arnaque : les "chanteurs" ne chantent pas, et leur "musique" n'est qu'une benne de récupération de samplings d'autres oeuvres. Beurk !!

Le 21 Juin 2019 par CLANSMAN57

Plus varié que "Dreamtime" dans sa globalité sur le plan musical et concernant le jeu de Duffy à la guitare.

"She Sells Sanctuary" est dantesque oui, n'oublions pas les deux autres gros tubes qui sont "Hollow Man" et le jouissif "Rain", ce dernier étant le meilleur titre de l'album pour moi.
Peter Steele aime ce groupe, c'est vrai, mais j'y entends plus le grand Paradise Lost (encore bébé à l'époque) sur ces trois chansons à l'énergie positive.

Dans l'ensemble, c'est moins mélancolique qu'auparavant, mis à part sur trois titres plus profonds:
le nocturne "Brother Wolf Sister Moon", le dark et psyché "Phoenix"(cette pédale wah wah et ces choeurs!!!) et la belle conclusion en forme d'au revoir, "Black Angel".

J'aime beaucoup la petite légèreté amenée par "Revolution", un peu à part ici, sans être incongrue.

Différent, il m'est tout aussi indispensable que son prédécesseur plus triste.
Un autre chef d'oeuvre du Gothic Rock.

Le 21 Juin 2019 par BAKER

Une chose est certaine : FGTH n'apparait nulle part dans la biographie officielle de Steve Lukather. Et pourtant c'est une liste TRES exhaustive où Luke a recensé toutes ses apparitions, y compris certaines pour lesquelles il était censé garder le secret :)

Le 20 Juin 2019 par RICHARD

L'histoire d'Orchestral Manoeuvres In The Dark est à l'évidence celle d'une méprise. Cantonner les Anglais à un seul hit, «Enola Gay» et faire de ce groupe un exemple typique pour soirées années 80 façon "Isabelle a les yeux bleus", Top 50 et compilations souvenirs bon marché.
Il faut passer outre ce caractère réducteur et surtout aucunement représentatif du début de carrière d'OMD. En effet, les trois premiers albums dont celui-ci sont des petites merveilles d'alliance pop synthétique et de volonté d'expérimentations. Les Anglais développent des ambiances hautement mélancoliques. Leur originalité pour moi passe par le fait que même électroniques, leurs titres ont un petit supplément d'âme. OMD manie le spleen avec grâce (les superbes «Souvenir» et «The Beginning and The End»).
Les machines réussissent ce tour de force de serrer le cœur. OMD est doué pour brosser des tableaux qui dans l'épure sonore se parent de mille et une couleurs («The New Stone Age» et «Sealand »). McCluskey et Humphrey avec cet album sorti en 1981 faisaient œuvre d'anticipation musicale. Près de 40 ans après , «Architecture and Morality» possède encore, et toujours, cette même force attractive.

Le 20 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG

Bonjour à tous.
Bon, comme je me fais allumer (de manière fort sympathique, je le reconnais) je vais vous expliquer mon intervention.
Il faut savoir que les mecs en Toto sont présents sur plus de 5000 disques produits depuis leurs débuts et n’étaient pas forcément crédités sur les disques sur lesquels ils jouaient quels que soient les styles qui étaient fort divers. Cette info, je l’avais chopée dans les années 80 et elle m’était restée en mémoire. Aussi, aujourd’hui, il m’est impossible de citer la source dans la mesure où je ne m’en souviens plus. Donc, il est possible qu’elle soit sujette à caution et si vous me dites que je me suis trompé dans ce cas, ok, autant pour moi.
Ensuite, pour Propaganda, l’un des deux « mâle » (je crois le guitariste) avait fait des études poussées dans le domaine de la musique classique. Il était l’auteur des arrangements et était un « vrai » musicien. Pour ses acolytes, je n’ai pas plus de souvenirs.
Enfin, quand je parle « d’escroquerie », elle n’est pas à la hauteur des Milli Vanilli. Et la musique avait une autre valeur aussi. Et pour préciser, j’adore cet album que j’écoute Toujours avec grand plaisir.
En tout cas, très heureux de susciter des réactions. Ça permet de mieux connaître les groupes que l’on aime et, peut être, amener d’autres mélomanes à découvrir ces albums mythiques objets de nos débats.

Le 20 Juin 2019 par NONO

Pas mon préféré de Jarre, mais certainement dans mon "carré de tête".
Les parties 1, 3 et 5 sont splendides.
La partie 4 : bon morceau également mais tellement "pop" que c'en est devenu un vrai tube ! Bien trop souvent entendu, mais très bon cependant.
La partie 2 m'agace prodigieusement, tout comme la partie "6" (celle de l'astronaute).
Donc bel album globalement mais pas le meilleur non plus !

Le 20 Juin 2019 par CLANSMAN57

A chaque fois que je ressors ce disque, je me reprends la même claque.
C'est dansant et atmosphérique à la fois, on tape du pied et le coeur se serre simultanément.
J'ai beau apprécier leurs oeuvres plus Hard Rock à partir du bien nommé "Electric", je ne peux m'empêcher de penser que ce groupe était encore meilleur lorsqu'il donnait dans ce très beau Gothic Rock, "Love" inclus.
Astbury est touchant et Duffy, je le préfère tout simplement dans ce registre cristallin.
Les solos plus typés Hard par la suite ont parfois tendance à s'éterniser à mon avis.

C'est une musique pour ceux qui aiment danser sous un ciel gris et pluvieux.

Le 20 Juin 2019 par NONO

Houlà je suis bavard en ce moment !
Pour compléter mon post d'avant : c'est marrant comme dans les années 80, on aimait dire : "voici de VRAIS musiciens, jouant de VRAIS instruments, tapant sur une VRAIE batterie, avec de VRAIES baguettes de VRAI bois faites avec un VRAI arbre, etc."... ce qui dissimulait maladroitement le rôle absolu de l'industrie musicale et du business sur la création pure. Alors qu'aujourd'hui, l'industrie du disque (quelle expression atroce) n'a plus d'argent, on a donc souvent tendance à voir des artistes complets, "unplugged", sans la grosse production, genre "voici mon producteur-banquier qui rajoute une couche de "synthé basse Yamaha DX7 pluggé sur un réseau "RTYYYU-78001-SDQQZTRDDS78" pour augmenter le capital romantisme chez l'auditeur moyen"...

Le 20 Juin 2019 par ADXBBR

"I got my first real 6 string, bough it at the five-and-Dime". Il doit en être loin le Bryan, en 1984, le succès de "Cuts like a knife" ayant permis à son banquier d'être rassuré sur la solvabilité des rockers. Alors pour enfoncer le clou, le bougre travaille d'arrache-pied avec son pote Jim Valance pour ciseler 10 chansons qui devront plaire au plus grand nombre. A la sortie, 8 tubes et la 1ere place au Billboard US. La chronique d'Erwin, à prendre au second degré, met bien le doigt sur toutes les qualités de l'album et si on frôle le sans faute, il faut aussi reconnaître que le groupe jouant sur l'album est sans faille. Et puis comment résister à un duo avec Tina Turner au top de sa forme en ce milieu des 80's ? Mes préférences vont à "Summer of 69" (je n'avais pas perçu le second degré et je me suis toujours demandé pourquoi cette référence, alors que le chanteur avait 10 ans en 1969 ! Est-ce que D.H.L. le sait ?) et "Kids wanna rock". Ensuite, tous les autres tubes comme "Heaven", "Somebody", "Run to you", "It's only love" assureront la retraite de notre canadien préféré. Spéciale dédicace à "One night love affair" sous-estimée et qui pourtant contient beaucoup d'émotions.

Bref, allez-y, c'est du tout bon. Un très rare 5 étoiles pour moi.

Le 20 Juin 2019 par ADXBBR

Sans revenir sur la qualité technique des 3 gus, ce qui est un non-sens (j'aimerais jouer à 25% de leur capacité et je deviendrais une rockstar), on ne peut pas reprocher au groupe le manque de musicalité ! Leur capacité à mixer de nombreux styles comme le punk, le rock, le reggae et le jazz rend leur musique attachante. On trouve toujours un passage, un chorus, une ligne de basse, un roulement de tom voire un riff qui nous accrochent et qu'on ne pourra plus oublier. A l'époque, j'étais plutôt de l'autre côté du spectre musical et j'attendais que la nouvelle vague anglaise prenne d'assaut ma platine car on sentait que quelque chose bougeait à Londres (je parle de métal, pas de new wave). Et pourtant, même avec la plus grande mauvaise foi, il était difficile de ne pas fredonner le refrain de "So Lonely" ou "Can't stand losing you". Quand à "Roxanne", n'en déplaise aux pisse-froids, elle fait partie du patrimoine mondial de l'Humanité (même Eddie Murphy, au top de sa notoriété et dont on ne peut remettre en cause le groove, la chante dans un de ses plus grands films). Alors profitons de ces moments de grâce, car comme l'explique Buddy, l'étoile filante va rapidement passer

Et les trois mecs sont de sacrés musiciens !!

Le 20 Juin 2019 par NONO

Comme certains des commentaires précédents disant que cet album serait "une escroquerie"... en tant que tel oui, si on considère que beaucoup de groupes de l'époque étaient mis sous la houlette des producteurs qui faisaient absolument tout (production, arrangements, instruments, cuisine, ménage...), les membres des groupes n'étant souvent que des "figurants" ou presque. On se souvient de PROPAGANDA par exemple, produits aussi par Trevorn HORN (ZTT Records), même topo : les 4 membres n'étaient pas vraiment des musicos (à part le chant, et toucher 2 / 3 touches d'un clavier).
Faut-il alors systématiquement attribuer le génie au producteur seul ? Je ne sais pas.
Mais en tout cas j'ai toujours été grand admirateur de Trevorn Horn, qui a su mettre "sa patte".