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CHIC
IT'S ABOUT TIME


Le 21 Juillet 2019 par FRANçOIS


Je ne comprends pas les carrières à rallonge (Rolling Stones, Iron Maiden, Madonna, U2, Depeche Mode, Mylène Farmer...). Cela relève de l'acharnement thérapeutique.





Lou REED
LULU (AVEC METALLICA)


Le 21 Juillet 2019 par FRED

@Clansman57.
Beethoven était totalement sourd à la fin de sa carrière. Il ne pouvait même plus entendre ce qu'il composait.
Et Lulu n'était pas sorti à l'époque : mieux vaut être sourd que d'entendre ça ?





CHIC
BELIEVER


Le 21 Juillet 2019 par LEO


Si Tongue In Chic m'avait assez déçu, que dire de Believer sinon qu'en l'entendant chez un ami qui venait de l'acquérir à sa sortie, je n'ai même pas pris la peine d'acheter le 33t à l'époque tant sa préécoute m'a refroidi direct ! Ce n'est que plusieurs années après sa parution que je l'ai eu en CD pour compléter la collection, mais certainement pas par amour de la chose !
À vrai dire, après tant d'années sans en avoir écouté une note, je ne me rappelais plus une seule compo tellement j'avais vite chassé ce mauvais souvenir au fond de ma mémoire et l'épreuve fut sans doute moins pénible qu'initialement. Cependant, je ne me souviens pas d'avoir été emballé pour autant en redécouvrant la chose sur le tard.
Ce septième album de CHIC est en effet très médiocre. les huit morceaux qui composent ce disque sont tous ultra-simplistes dans leur construction hyper répétitive et dans leur manque d'audace mélodique. Tout est interchangeable, il n'y a aucune accroche. C'est plat et fade. bref, plus aucun rapport avec le CHIC brillant de 1977 à 81.
En plus d'être en panne d'inspiration créative, Nile Rodgers et Bernard Edwards ont commis une grosse faute de goût en remplaçant la batterie par la boîte à rythmes sur la plupart des titres. Quelle idée saugrenue quand on a la chance d'avoir ce batteur formidable qu'était Tony Thompson ! Et même lorsque la batterie et la boîte à rythmes jouent à l'unisson, cela donne un rendu fort rigide, mécanique et sans âme. Bref, à l'opposé d'un jeu funky qui groove.
Comme si cela n'était pas suffisant, la quatre cordes de Bernard Edwards est totalement absente du morceau "Show Me Your Light" et, à la place, les deux producteurs n'ont rien trouvé de mieux que de la remplacer par une vulgaire ligne de basse monolithique jouée au synthé. Une hérésie !
Concernant les arrangements, là c'est clair, les cordes et les cuivres ont définitivement disparu et désormais les synthétiseurs sont rois. Quoique le piano acoustique prend heureusement le relais sur la ballade "Take A Closer Look", mais c'est bien le seul moment où l'on retrouve le CHIC d'antan.
Bien sûr, j'imagine que Rodgers & Edwards souhaitaient reconquérir le public en collant au son des mid-eighties comme l'ont fait leurs contemporains d'Earth, Wind & Fire, Rose Royce, The Whispers et tant d'autres, mais c'était aussi le piège à éviter afin de préserver leur identité, qu'ils ont totalement perdue en se fondant dans le paysage musical de cette période. C'est également la chose que je reprocherai aux artistes mentionnés plus avant. Je n'aime pas ce jeu et ces sonorités robotiques dans le funk tout comme dans la pop. Ce genre minimaliste et électro convient bien mieux à la new wave et à ses dérivés.
Au final, quels sont les morceaux à sauver de ce naufrage ? Il n'y a que huit pistes mais il m'est tout de même ardu de répondre vu la similitude et la pauvreté de l'ensemble.
Paradoxalement, je dirai que le morceau-titre "Believer" ne s'en sort pas si mal que ça malgré son côté mécanique très prononcé, mais il est rehaussé par un chant plutôt convainquant, une partie de basse bien véloce et une guitare funky plutôt sympa.
En revanche "You Are Beautiful" m'est pénible avec son vocoder débile et sa partie de guitare bien trop proche du morceau précédent.
"Take A Closer Look" mentionné plus avant est sans nul doute le titre que je préfère, autant pour l'aspect plus traditionnel de la compo que par ses sonorités plus naturelles et son arrangement plus classique et proche des ballades habituelles de CHIC.
Le fadasse "Give Me The Lovin'" avec son refrain répétitif sans imagination m'ennuie et seuls les couplets s'en tirent un peu mieux mais c'est trop peu.
Le vocoder superflu refait surface sur l'épuisant "Show Me Your Light" qui tourne à vide sur près de quatre minutes. Comme il ne savait pas comment terminer le morceau, Nile Rodgers a casé un solo de guitare inutile de quelques secondes sur le fondu musical de fin !
La ritournelle nunuche de "You Got Some Love For Me" n'a aucun intérêt. Poubelle direct.
Le refrain de "In Love With Music" est aussi couillon que celui du morceau précédent. Le couplet rattrape à peine ce moment d'égarement mais pas au point de sauver la compo du marasme.
Et pour finir au fond du trou, CHIC nous propose le risible "Party Everybody", un condensé de tout ce que je déteste de cette époque, du hip-hop et du scratching !!! Manque plus qu'un clip infâme avec du breakdance pour illustrer le tout ! Le fait que ce soit CHIC qui ait commis cette abomination n'est pas une excuse en soi. Rester dans le coup et s'inspirer des tendances du moment pour créer un truc original, c'est une chose mais faire du racolage pour être à la page, c'est juste pathétique.
Voilà, c'est donc là-dessus que se referme le tout dernier album de CHIC dans sa configuration d'origine (ou presque). L'excellent batteur Tony Thompson présent depuis le départ ne fera hélas plus partie de l'aventure lors du comeback en 92 avec Chic-ism. Terminée la longue association avec les chanteuses Alfa Anderson et Luci Martin qui ont tant fait pour l'identité sonore et visuelle de la Chic Organization.
Idem avec les fidèles Andy Schwartz, Raymond Jones et Rob Sabino aux claviers (ce dernier encore à son poste sur Believer).
Certes, on retrouvera bien certains des habitués de la Chic Organization comme les choristes Michelle Cobbs et Fonzi Thornton ou bien le chef d'orchestre Gene Orloff pour les cordes, mais le plus gros de la troupe ne sera plus là.
À vrai dire, même les albums en solo que Bernard Edwards (Glad To Be Here) et Nile Rodgers (Adventures In The Land Of The Good Groove) ont sorti en cette année 83, ne sont guère plus passionnants que cet album de CHIC car ils naviguent eux aussi en partie en terre electro-funk et n'ont rien d'original parmi la pléthore des productions de ce style parues à la même époque.
Ah! et pour finir, une anecdote : on peut entendre un formidable morceau inédit sur le coffret 4CD paru en 2010 intitulé Nile Rodgers Presents The Chic Organization Boxset Vol. 1 / "Savoir Faire". D'après les notes de pochette, "Just Call Me" serait en effet un titre issu des sessions d'enregistrement de Believer (même si je pense qu'il a dû y avoir quelques retouches ultérieures car le rendu est un peu plus contemporain à l'arrivée). C'est le seul titre du groupe de cette période sur lequel on peut encore entendre les Chic strings et où on retrouve la touche CHIC comme à la grande époque. La compo possède une réelle accroche mélodique grâce au chant impérial d'Alfa Anderson et Luci Martin et tous les musiciens sont en parfaite symbiose. Ironie du sort, ces messieurs ont laissé de côté leur meilleure compo pour cette année 83 !!! Ca prouve à quel point Rodgers & Edwards frisaient alors le burn out.
Un p'tit 2/5 en étant généreux, et aussi parce que CHIC (ou ce qu'il en reste) fera bien pire avec son tout dernier album !





Lou REED
LULU (AVEC METALLICA)


Le 20 Juillet 2019 par CLANSMAN57

C'est impossible pour moi d'écouter ce disque plus de 20 minutes...
J'ai dû tenter l'expérience 3 fois, je sature toujours au bout de 20 minutes, c'est toujours le même timing.
Une seconde de plus et je meurs...
L'effort que je dois fournir est surhumain.
C'est le seul disque que je n'ai jamais réussi à écouter intégralement.
J'peux rien en dire, ou si peu, et j'peux même pas le noter.

Au fond, c'est peut-être pas si grave hein?
Mais très sérieusement, je suis en totale admiration devant les auditeurs qui peuvent se le farcir entièrement.
Il faut avoir un mental de fer pour écouter cet album ou être sourd.
Sourd, je le suis presque à moitié depuis ma naissance (m'enfin, je préfère le terme malentendant... c'est pas si grave, on s'habitue à tout, même aux moqueries... mais avec mes petits 53%, je trouve que je m'en sors pas si mal en terme d'analyses... par ailleurs, avec mes instruments, du moins au temps ou je jouais encore, étant autodidacte, je dois confesser que c'était jouissif de voir certains sourires bêtes qui s'effaçaient ensuite pour laisser place à l'incompréhension totale. L'être considéré comme plus "faible" à leurs yeux - car l'Homme aime avoir en face de lui un être plus "faible" pour se rassurer quant à sa propre soi disant"supériorité" - devient énigmatique... je préfère prendre ce handicap comme un rapide et efficace détecteur de débiles, lol! T'as un défaut de fabrication? Fais-en une force, t'as le droit de respirer et de vivre sereinement aussi! Bref, il y a toujours pire, osef, à chacun ses soucis. Mais ne te gêne pas pour botter les culs qui le méritent, si ça s'avère nécessaire, on ne vit qu'une seule fois! Regarde toujours les gens dans les yeux et balance leur ce que tu penses vraiment. Que ce soit verbalement, avec un instrument, ou autrement, montre-leur!) et ce qui me reste, c'est encore trop pour passer entre mes esgourdes...

20 minutes cauchemardesques.






IRON MAIDEN
PIECE OF MIND


Le 20 Juillet 2019 par LE MOUNGEPEDOUN


Mon préféré du groupe, ici, tout est parfait. Ça c'est du heavy métal !





METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 19 Juillet 2019 par FRANçOIS


Le meilleur du groupe à mon sens, "rage adolescente", c'est bien ça et qui me rappelle la mienne (d'adolescence, pas de rage...), avant sophistication et complexification jusqu'à l'extrême de leur musique (And Justice For All... / Black Album). Mon disque de thrash préféré avec le "Rust In Peace" de Megadeth... même si je n'ai écouté que ces deux groupes dans ce genre musical que je n'affectionne pas vraiment.





METALLICA
METALLICA


Le 19 Juillet 2019 par LE MOUNGEPEDOUN


Je n'ai jamais aimé cet album car la cassure est trop forte avec l'esprit et la musique des 4 premiers LP. Major company, Bob Rock le producteur à la mode de l'époque, titres au top 50 et starisation des musicos, trop pour moi avant d'autres futurs albums plus dispensables les uns que les autres. A l'image d'un Maiden, pour moi Metallica en studio restera à jamais un groupe des années 80. Voilà.





METALLICA
LOAD


Le 19 Juillet 2019 par CLANSMAN57


Ce que j'aime sur cet album, c'est le côté "djeuns cool" qui ressort de certaines chansons, comme sur "Ain't My Bitch", "2X4", "Hero Of The Day", "Ronnie" ou encore "Wasting My Hate".
On pourrait presque les imaginer avec les doigts en V, une image qui change du Metallica plus sombre d'avant.

Quelques chansons sont en trop, je n'ai jamais accroché à "Poor Twisted Me" et "Ronnie" me plait pas tant que ça.
"The Outlaw Torn" est assez atypique, c'est une conclusion surprenante et réussie.
"Bleeding Me" reste ma favorite ici.

Par ailleurs, lorsqu'on écoute les reprises réalisées sur le premier cd de "Garage Inc", j'aime penser qu'ils expliquent par ce biais le changement opéré sur "Load" et "Reload".
"Vous comprenez, on s'est ouvert entre temps... comparez avec les reprises du second cd, plus anciennes, ça n'a plus grand chose à voir avec nos jeunes années.
Vous comprenez mieux "Load" et "Reload" maintenant? Non? Ok."

Je n'ai pas gardé ce disque, il ne m'est pas indispensable, mais c'est loin d'être un ratage.
Il demeure intéressant, Metallica est un groupe qui fait ce qu'il veut, au grand dam de certains de ses fans.
Après "Load", ça sera souvent pour le pire, mais on ne peut pas dire qu'il font tout le temps la même chose, à l'exception de "Death Magnetic" qui semble vouloir renouer avec l'esprit de "...And Justice For All" sans y parvenir.









The KINKS
MUSWELL HILLBILLIES


Le 19 Juillet 2019 par BAAZBAAZ


Les KINKS jouent aux bouseux américains et ressemblent à THE BAND. Autant dire que ça devient très ennuyeux, sauf quand les mélodies anglaises affleurent, comme dans le joli "Alcohol". Dans l'ensemble c'est assez laid ("Have a Cup of Tea"...).

Ce groupe a écrit certaines des plus extraordinaires chansons des années 60 (ou de l'histoire du rock...), mais aucun album parfait. Avec celui-ci débute une période contestable et médiocre, que l'on peut juger avec sympathie mais où l'on sent que l'inspiration est chancelante.






METALLICA
METALLICA


Le 19 Juillet 2019 par CLANSMAN57


J'ai l'impression qu'en vieillissant, je l'aime toujours davantage.
J'aime absolument tout là-dessus, comme avec les précédents.
Certaines chansons sont terriblement plombantes, il est possible que ce soit l'opus le plus profond du groupe, le plus émotionnel.
La voix de James, chargée d'amertume, y est sans doute pour quelque chose.
Je pense plus précisément à "The Unforgiven", "Nothing Else Matters", "The God That Failed" et "My Friend Of Misery".
La plus connue du lot m'a achevé lors de la dernière réécoute.
C'est terriblement beau et l'orchestration est loin d'être too much, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Il s'agit d'une des plus belles chansons soft de la part d'un groupe de Metal.

Par ailleurs, j'apprécie beaucoup le groove métallique de "Don't Tread On Me" et son super refrain catchy, l'oriental et sombre "Wherever I May Roam" (irrésistible!), "Through The Never", le titre que l'on pourrait encore qualifier de Thrash Metal à la rigueur et le puissant "Of Wolf And Man".
Soit ceux qu'on aime oublier...
La face B me plait encore plus en fait.

C'est du solide, ça reste ambitieux malgré un certain "assagissement" et le son est énorme.
Le dernier chef d'oeuvre de ce grand groupe qu'est Metallica.








Elton JOHN
BLUE MOVES


Le 19 Juillet 2019 par RUDY


Maintenant qu'Elton arrive au bout il est plus aisé de faire une sorte de bilan discographique. Blue Moves est victime de deux facteurs. Le premier est d'être né durant la fameuse période fast... Concept qui ne veut rien dire tellement des albums comme Made in England ou the diving board auraient pu y figurer. L'autre est cette comparaison de format. Être un double album l'oblige à un triste parallèle avec Goodbye Yellow Brick Road... Cette notion ne veut rien dire à moins d'y inclure Song from the west coast ou the Big Picture réédités en double vinyles...

Donc prenons cet album pour ce qu'il est intrinsèquement. C'est à dire un concept album avec une introduction et un final. Cet album n'est pas un Elton John mais bien un Elton John Band album tant le groupe y imprègne son empreinte musicale. Beaucoup de titres sont co-signés. Apportant un son et un style à la frontière du rock progressif. Cas unique chez EJ.

L'album est parsemé de passage instrumentaux expérimentaux et ça cest genial. Ce n'est pas forcément très réussi mais si le coup avait été signé Genesis nous aurions crié Oh Genie !!!

Lalbum fût bien défendu sur scène durant la longue carrière live du compositeur et souvent dans une version dépouillé uniquement avec Ray Cooper :Crazy Water, Tonight et Sorry seems to be the hardest word. Mais aussi Idol ( escapade jazz ), chameleon, Bite your lip...Et le monument oublié One Horse Town qui bénéficie de la patte de l'excellent James Newton Howard.

À écouter en vinyle pour bénéficier du mixage d'origine excellemment produit. Rien à voir avec le catastrophique CD.

Un très bon album très riche qui ne s apprivoise qu'après plusieurs écoutes.





CHIC
TONGUE IN CHIC


Le 18 Juillet 2019 par LEO


Si CHIC n'eut pas que des succès de 1977 à 1981, la formation fut tout de même impériale dès son premier album éponyme jusqu'à Take It Off inclus. Hélas, tout a une fin puisqu'à partir de 1982 l'inspiration va sacrément décliner.
Est-ce dû à un trop grand éparpillement de ses membres principaux, plus préoccupés par leurs productions diverses et leurs projets annexes que par CHIC à cette époque, qui a engendré une baisse de qualité à partir de Tongue In Chic... ?
Quoiqu'il en soit, je me rappelle avoir été pas mal déçu par cet album au moment de sa parution. Pourtant, le 33-tours débute plutôt bien avec "Hangin'", morceau groovy avec l'accent mis sur les cuivres, dans la mouvance des titres funky que l'on trouvait sur Take It Off.
"I Feel Your Love Comin' On" est lui bien plus robotique avec sa partie de basse doublée au synthé (c'est en fait ce dernier que l'on entend principalement). Les synthés sont d'ailleurs bien proéminents et ils assurent ici le rôle attribué aux cordes autrefois, les cuivres n'intervenant pratiquement pas sur ce titre. Cette compo monolithique et bien raide n'est à vrai dire pas très passionnante et elle a tendance à tourner en rond durant près de six minutes et au final elle aurait pu être raccourcie de moitié.
Ensuite on a "When You Love Someone" (qui refermait la face A à l'époque du vinyl), qui commence comme une ballade plutôt classique et dont le tempo s'accélère soudainement durant ses deux dernières minutes. Il s'agit d'un morceau assez touchant mais pas au point de le trouver renversant pour autant. Sympathique mais sans plus.
Le titre suivant, "Chic (Everybody Say)" renoue avec une section de cordes mais la compo est médiocre et inintéressante au possible. Ce n'est qu'une resucée de "Chic Cheer" & Co. mais en dix fois moins bien.
En revanche, j'aime bien les trois derniers titres de forme plus classique, qui auraient pu se trouver sur Real People ou Take It Off (l'inspiration en moins). La soul/funk très basique de "Hey Fool" et le simpliste "City Lights" pourront paraître un peu quelconques après la sophistication et les sommets des albums précédents mais au final je trouve ces deux compos très agréables à l'écoute, tout comme la ballade "Sharing Love" qui tire son épingle du jeu sans en avoir l'air.
À l'arrivée, il n'y a vraiment que "I Feel Your Love Comin' On" et "Chic (Everybody Say)" qui ne me parlent pas, mais je reste quand même mitigé sur "When You Love Someone".
Finalement, les titres que je préfère sont "Hangin'", "Hey Fool", "Sharing Love" et "City Lights", cependant on est vraiment très loin de la formidable créativité des années passées et CHIC commence à tourner en rond à partir d'ici.
Pour moi, ce ne sera qu'un petit 3/5.





METALLICA
...AND JUSTICE FOR ALL


Le 18 Juillet 2019 par CLANSMAN57


"Eye Of The Beholder" est une véritable leçon de Thrash Metal façon mid tempo... ces riffs mazette!!!
Mais pourquoi est-elle si souvent passée sous silence?
C'est la définition même d'un riff Thrash.
Même mystère pour la jouissive "The Shortest Straw" et "The Frayed Ends Of Sanity".

James délivre une prestation vocale imparable tout le long, il semble dégoûté et en colère...
Un sentiment d'injustice par rapport à la mort de Cliff?
Difficile de remplacer ce dernier.
Est-il seulement possible de remplacer quelqu'un, peu importe le contexte?
Néanmoins, James, Kirk et Lars s'en sortent très honorablement, le défunt bassiste aurait été fier d'eux.
Ils ont conservé ce sens de la composition ambitieuse et bien faite, ils vont même plus loin encore en délivrant leurs chansons les plus complexes et techniques.

James demeure une machine à riffs, c'est un des meilleurs guitaristes rythmiques dans le Metal et Kirk, comme Fred a pu le souligner sur NIME si ma mémoire est bonne, décoche les meilleurs solos de sa carrière.
Lars est impeccable aussi, il ne m'ennuie jamais sur ce disque, grâce à un jeu bien nerveux, jamais linéaire.
Notons qu'il utilise sa double grosse caisse intelligemment, autrement dit, il évite l'écueil du bourrinage intempestif.
Chacun de ses coups me met en émoi, peu importe sur quoi il frappe.
Et ce son de batterie... Perso, j'adore la production de ce cru.

Ah cette introduction mélancolique sur "To Live Is To Die", vite chassée par la noirceur...
Elle pourrait bien décrire l'état d'esprit des 3 fantastiques.
On entend plutôt bien le petit nouveau lors du break central qui retourne au mode tristounet.
L'intro revient en guise d'outro et se fait à nouveau botter les fesses sévèrement, coupée brutalement par la très violente "Dyers Eve"!
L'effet est saisissant.

La célébrissime "One" me semble contrastée plus ou moins de la même manière.
Mélancolie, noirceur, colère.
Impossible de résister à cette chanson qui demeure l'une des plus énormes du Metal.

J'espère que "...And Justice For All" me procurera cette sensation longtemps encore, même à mes 138 ans passés.

Sombre, torturé, colérique.





The Alan PARSONS PROJECT
VULTURE CULTURE


Le 18 Juillet 2019 par ALEX F


L'album le plus kitsch du groupe. Là vraiment, ils nous ont sorti tous les poncifs de la variété des années 80... Sur certains titres, on pourrait presque entonner la fameuse parodie des Inconnus, "L'amour sans amour, ce n'est plus de l'amour...". Je crois que c'est sur le refrain de "Separate Lives". D'ailleurs, la première écoute fut douloureuse, alors que les couplets sont bons. Après plusieurs écoutes, on s'y fait, et on finit par savourer la chose comme un délire kitsch. Il faut le prendre comme ça ce disque, un bon gros délire kitsch. Et de ce point de vue-là, je dois avouer que je prends un minimum de plaisir à l'écouter. Mais à mon avis, il s'agit tout de même du plus mauvais album du groupe. J'arrondis à 3 étoiles, mais de justesse, parce que je suis sympa !





Laurent VOULZY
CACHé DERRIèRE


Le 18 Juillet 2019 par RICHARD

On ne saurait mieux dire Nono concernant l'évidente qualité de cette galette. J'ose même dire que le temps a fait son affaire et qu'elle revêt un caractère quasi intemporel, le propos et les sonorités n'ayant aucunement vielli.
Elle souffre seulement sans doute d'être cataloguée variété ce qui dans notre pays constitue une faute de goût.





METALLICA
KILL 'EM ALL


Le 18 Juillet 2019 par CLANSMAN57


Rage adolescente couplée à une ambition déjà perceptible.
Ces jeunes gens sont des fans de Heavy Metal, certes, mais on sent une volonté de faire une musique plus puissante, une envie de casser des codes.
Une réaction à ce style musical qu'ils affectionnent.

Kirk et Cliff ne sont pas crédités pour la composition, la majorité est signée par la paire James/Lars, dont quatre avec le Megadave(mais jamais tout seul...)
J'ai toujours apprécié "Motorbreath" écrite par James, ses lignes de chant sont diablement efficaces, ainsi que ses riffs. Et quelle énergie!

J'imagine que "Pulling Teeth" a été composée par Cliff, bien qu'il n'y ait pas d'indication à ce sujet dans le livret.
Que dire, si ce n'est que cet ovni instrumental est tout bonnement excellent?
Par ailleurs, le bougre n'a jamais été aussi audible sur album.
Il saura apporter ce petit plus par la suite et également (du moins, j'aime le penser) cette maturité qui apparaitra une année plus tard.

Du Thrash Metal dans sa première version, "Ride The Lightning" offrira le son définitif à ce style.
C'est un recueil important qui reste très agréable à écouter.

Le meilleur titre, pour moi, c'est "No Remorse".








The CURE
DISINTEGRATION


Le 18 Juillet 2019 par MR TINKERTRAIN


Pas envie d'être objectif avec ce disque. Lorsqu'un jour j'ai entendu Fascination Street et sa putain de ligne de basse, ce groove, j'ai acheté l'album. Je précise que je n'avais aucun Cure alors je vous dit pas la baffe. Même si il y a quelques imperfections (commencer le Cd par un titre hyper lent et moyen...bof), j'affirme que cet album est excellent pour qui voudrait découvrir le groupe! Et pour les autres, c'est carrément jouissif!





Laurent VOULZY
CACHé DERRIèRE


Le 18 Juillet 2019 par NONO


Mon album préféré de Voulzy, juste devant Avril et Bopper en larmes.
Cet album est une orfèvrerie : chaque note est pensée, chaque atmosphère est finement ciselée. J'aime beaucoup ce spleen, ce côté un peu mélancolique et froid, qui sera contrebalancé par l'album suivant, "Avril", plus printanier (d'où le titre, certainement).
Franchement, je préfère les oeuvres de Voulzy sur le tard, que celles du début (jamais été très fan d'un "Grimaud", d'un "Désir désir" ou d'un "Surfing jack"...)





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 18 Juillet 2019 par CLANSMAN57


Pour moi, c'est un album parfait de bout en bout.
Je ne partage pas trop la légende balancée sur le net qui voudrait que le précédent et celui-ci soient des jumeaux, juste à cause de l'agencement de certains titres.
Et pourquoi pas "And Justice For All..." dans ce cas?
Lorsque l'un se veut principalement morbide, l'autre est une alliance plus que réussie entre agressivité et mélodie.
Je ne partage pas non plus l'autre légende qui dit que le rouquin revanchard a presque tout fait sur "Kill Em All", "Ride The Lightning" et celui-ci.
Je préfère penser que Cliff Burton a beaucoup apporté à ces compositions sinueuses et que son fantôme plane encore sur le suivant, les trois survivants ont très bien appris la leçon.

C'est méchant et intelligent à la fois, super bien construit et concernant les compositions ambitieuses dans le Metal pur et dur, je ne crois pas avoir entendu mieux que ce que faisait ce groupe durant son âge d'or.
Les riffs sont tous beaux, les solos tuent, Lars assure et Cliff... il suffit d'écouter la partie calme de la splendide"Orion" pour se rendre compte de son talent, ou encore l'introduction de "Damage Inc".
James n'est peut-être pas un chanteur ultra technique, mais c'est pour moi le meilleur dans le genre dit Thrash.
Sa voix est agressive et claire ici, à l'image des chansons et ça change un peu des voix "lyriques"...

Chaque note de cet album reste gravée en tête.
Et je reste sidéré par la maturité de leur musique, de 1984 à 1991.

ÜBER KULT!











DEATH IN JUNE
BUT, WHAT ENDS WHEN THE SYMBOLS SHATTER?


Le 18 Juillet 2019 par POSITRON


Faudra réécrire cette chronique, un jour quand même, ne serait-ce que pour arrêter les sempiternelles comparaisons avec Céline.

"But what ends when the symbols shatter?
And who knows what happens to hearts?"

Que dire de plus ?







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