Le 09 Août 2019 par THE SEVENTH SON

pourquoi ai-je écris la même chose 2.5 ans après, sans être allé me relire ...
ne me publiez pas si vous trouvez cela inutile ...

Le 09 Août 2019 par THE SEVENTH SON

30 ans plus tard ... les toutes premières notes de The Same Deep Water As You me mettent toujours dans le même sale état...
frissons, chair de poule, souvenirs lointains et pas les plus heureux
toujours le même pouvoir anxiogène, même sans l'avoir écoutée pendant des mois ou même des années
très très puissant
dévastateur et beau

Le 09 Août 2019 par CLANSMAN57

J'apprécie tout l'album.
"Born To Die", "Off To The Races", "Blue Jeans" et "Video Games" sont mes préférées, elles comportent chacune un excellent refrain, caractéristique essentielle pour la Pop, puisque cet élément revient souvent dans la chanson.
Il faut qu'il soit convaincant et résistant!
"Dark Paradise", "Radio" et "Summertime Sadness" sont presque aussi bonnes.
Le reste est un peu en-dessous, mais ça reste largement plaisant.
Même "National Anthem" avec ses parties Rap ne me dérange pas.
Nan, je n'ai jamais aimé le Rap, je préfère encore Die Kastelruther Spatzen et Die Flippers.
J'ai même vu les Klostertaler en concert alors... C'était chouette en plus.
Hein? Qu'est ce qu'il dit Jean Robert? On s'en fout?
Il a raison!

C'est de la belle Pop romantique et mélancolique, avec un zeste d'étrange apporté par certains effets en arrière plan.
Lana possède une belle voix, tantôt grave, puis plus féminine ensuite, elle offre un beau contraste.

Après, si ses lèvres sont refaites, c'est du détail.
Elle pourrait se faire greffer un pénis que sa musique trouverait toujours encore grâce à mes oreilles.

A noter que Tiamat ont fait une reprise de "Born To Die", je la trouve réussie, bien qu'elle n'égale pas l'originale, loin de là.
De plus, c'est l'un des meilleurs titres du très décevant "Scarred People".
Jamais capté l'engouement général pour ce disque fadasse.

Je note l'édition normale qui contient 12 titres.

15/20

Le 09 Août 2019 par SGT JAKKU

La première chose qui frappe est qu'on reconnait très peu la patte de Mike Oldield tant cet album sonne comme beaucoup d'autres à l'époque. Earth moving est sans doute le disque qu'il n'aurait pas dû sortir sous son nom car il se détache beaucoup du reste de sa discographie. Pas digne de figurer dans la collection, EM n'est pas pour autant un mauvais disque de Pop Rock FM. Ça se laisse écouter en mangeant des chips. J'aime assez "Holy", "Blue Night" et même "Innocent" dont le clip conçu par Mike est à voir absolument pour se fendre la poire.
Bref, EM, ce n'est pas vraiment du Mike Olfield mais ce n'est pas nul non plus. C'est moyen.

Le 09 Août 2019 par SGT JAKKU

Le cru 1987 n'est en effet pas remarquable. Il faudra attendre 1990 pour retrouver un Mike au top de sa forme.
Islands vaut surtout pour son long morceau "The Wind Chimes" fait de petites séquences qui s'enchaînent très vite et qui préfigurent l'impressionnant patch-work musical d'Amarok. Seul défaut : les synthés très propres de ces années fin 80 qui aseptisent un peu l'ensemble.
Quant aux morceaux courts et Pop, hum...Mis à part Mike qui réussit l'exploit de dénicher une imitatrice de Maggie Reilly (la fluidité en moins), tout sonne très "EuroPop". On reconnait très bien le style d'Oldfield mais dans une version tellement sirupeuse qu'on croirait que Mike concourt pour l'Eurovision.
Seuls le sympathique "Flying Star" et le glacial éthéré "North Point" méritent qu'on y prête une oreille. Note : 2,5

Le 09 Août 2019 par BAKER

C'est une chronique qui a été écrite lors de la première sortie de l'époque, et c'est une de mes plus caustiques ; on parlait de mauvaise foi sur une autre chronique sur cette page pas plus tard qu'aujourd'hui, sur celle-ci il y en a un tantinet :)

Mais il faut aussi dire qu'entre mon meilleur ami et moi, nous avons assisté à au moins 4 concerts de PTree avant cette sortie et chaque fois, le problème de la setlist étriquée se posait. Alors évidemment, il existe des DVD live des années 95/97, mais ce sont des pirates dégueulasses et irregardables tels quels, et surtout invendables en l'état ; quant à Coma Divine, il reste un bon live d'une période que l'ont trouvait en 2007, et toujours maintenant, pas assez défendue sur scène.

A noter que Coma Divine est, pour ceux qui sont équipés, impérativement à écouter en Dolby Surround, ou au minimum en double stéréo : les synthés de Barbieri y sont absolument transcendents !

Le 09 Août 2019 par BAKER

J'ose espérer que l'expression "de mauvaise foi" n'était pas fait exprès ! :D

Bon, je suis moi-même étonné par cette note mais je peux l'expliquer : c'est un tout petit 3, mais je n'ai pas pu me résoudre à mettre 2, d'une part parce que la musicalité et le fun entre les membres était vraiment trop palpable, d'autre part car le fait que tous les meilleurs titres (àmha) se trouvent au milieu du disque, et non pas au début et à la fin comme d'habitude, crée une dynamique assez inédite chez Morse.

Je pense au contraire que si j'avais été de mauvaise foi, je l'aurais soit descendu complètement en disant qu'il n'y avait RIEN de nouveau (ce qui, objectivement, n'est pas tout à fait vrai), soit je l'aurais encensé juste sur la base des musiciens qui sont excellents (mais ça ne fait pas tout). J'ai opté pour le juste milieu tout en insistant bien sur le fait que les anti-Morse primaires dont je me rapproche dangereusement depuis 2003 auront ici un bekl os à ronger.

Nous nous rejoignons en revanche sur le précédent que je continue de trouver vraiment inférieur, et qui m'a copieusement agacé, à l'exception de l'excellente "The Man In The Iron Cage".

Rendez-vous dans quelques semaines pour "Jesus Christ : The Exorcist", album dont je crains la chronique plus que toutes les autres cette année.

Le 08 Août 2019 par FRANCIS DOU...

Cabrel est un génie dans la chanson française. J' ai tout son univers et j adore "Je rêve" vu le texte c'est de la magie au niveau des mots.

Le 08 Août 2019 par FC

Je ne comprends pas trop la chronique, très critique tout le long ("divulgâche", "cliché", "thème archi râbaché desesperant", "entendu mille fois", "ennuyants", "marasme", "banal", "la construction de l'album, forcée, calibrée, désespérante de platitude") pour au final finir sur un joli 3/5... faudra m'expliquer, en tout cas la chronique est bien maladroite comparé à l'album, tout en étant pleine de mauvaise fois.

Pour moi un très bel album du Neal Morse Band, certes de la reedite, mais bon j'aime ça moi, et j'aime bien les thèmes de cet album !
Par ailleurs comparé à d'habitude Eric Gilette et Bill Hubauer chantent plus, et perso j'aime bien leur voie donc c'est très positif.
Non vraiment, autant j'avais un peu zappé le précédent lors de sa sortie, vite écouté, vite rangé (redécouvert par la suite), autant je me suis bien plongé dans celui ci.

Le 08 Août 2019 par JIPE CHERBOURG

Honnêtement, je trouve la critique de Baker vachement dure... Alors, certes, l'image est franchement dégueulasse, mais la musique... Purée, c'est une véritable tuerie. J'avais acheté le double DVD en 2006, quand il est sorti et, à l'époque, j'avais trouvé que la musique en live était largement meilleure qu'en studio. Par ailleurs, l'apport de John Wesley, tant au chant qu'à la guitare était un vrai plus pour le groupe. Beaucoup de finesse dans le jeu.
Alors, quand j'ai vu que le DVD sortait en 2CD et Blu-ray, j'ai sauté sur l'occasion. Non pas pour l'image, encore que le Blu-ray soit plus stable que mon DVD, mais pour les 2CD. Explication : pour moi, s'il n'y a qu'un disque à avoir de ce groupe, c'est celui-ci. Alors, certes il y a le live à Rome sorti dix ans plus tôt et qui clôturait un chapitre (très inspiré par les Pink Floyd), mais là, il n'y a vraiment rien à jeter. Rien que le morceau éponyme est magnifié (largement meilleur que la version 2018). Une véritable tuerie (je me répète).
Alors, je conseille à tous de se pencher sur ce double album, un de ceux que j'emporterai sur mon île si je ne devais n'en emporter que 10.
Et pour répondre à Baker : regardez les set lists des différents live de ce groupe : ce sont rarement les mêmes morceaux qui sont joués. chaque DVD (ou blu-ray) est complémentaire du précédent. Pour ma part, je préfère, comme s'ils devaient être des témoignages temporels avec, pour principal intérêt pour le fan, de se faire l'intégrale pour avoir le plaisir d'écouter l'ensemble de l'oeuvre en live, d'autant plus que, souvent, ces morceaux sont largement améliorés devant un public.
Alors, pour augmenter la note mise, je vais mettre un 5, même si ça ne vaut que 4,5, à cause de l'image dégueu...

Le 07 Août 2019 par LE MOUNGEPEDOUN

Mon disque préféré du monsieur. Des paroles au top, des toiles musicales et planantes que n'auraient pas reniés les fans du Rock progressif des early 70's, le tout d'une sensualité et d'une classe rarement atteintes dans l'histoire du music hall made in France. Totalement à contre courant du Gainsbourg des débuts et du Gainsbarre de la fin. Album culte à mes yeux, rare et superbe que l'on peut encore écouter avec plaisir sans jamais être repu, ce qui est remarquable.

Le 07 Août 2019 par CLANSMAN57

Mention chef d'oeuvre pour moi aussi.
On parle parfois de ventre mou, ici, c'est un ventre en béton!
"Je t'aimais, je t'aime, je t'aimerai" est une petite merveille, c'est le Paradis sur terre! A moins d'avoir des cornes sur la tête, impossible d'y rester insensible.
Et ces "Vidanges du diable".... aaaaaarrrrgghhhh!!!!
Cette mélodie avec cuivres et vents, elle tue!
Bonne idée que de faire apparaitre les percussions tardivement pour finir sur une note hispanisante avec solo de guitare nylon.

Par ailleurs, j'entends du Dire Straits sur le très beau "La cabane du pêcheur".
Le décrié "Noceur" ne me dérange pas outre mesure, au contraire, c'est un véritable plaisir que de visualiser ce macho qui se fait remballer bien comme il faut, sous fond de Jazz/Soul.
Et c'est encore une idée excellente que de traduire ce qu'il se passe dans la tête d'un taureau pour le culte "La corrida".

Bref, c'est impeccable pour moi, même son accent toulousain est fort charmant, bien que les humoristes/imitateurs freinent un peu la découverte de cet artiste talentueux... je trouve qu'ils le caricaturent un peu trop.

Le 06 Août 2019 par FINSHERFRANKY

Mais bon dieu que cette musique est bonne! Billy Idol c'est un peu mon Arlésienne parce que depuis 1984 je ne possédais que Rebel Yell et que ça fait des décennies que je me promets de me faire la collection. Parce que Billy Idol résonne dans mon imaginaire de quinqua nostalgique. Merci Erwin de m'avoir enfin poussé à me procurer cet album qui fait le pont, le viaduc, avec les années 80 sans passer pour passéiste. Je retrouve le génie mélodique et mélancolique de Billy dans Postcards From The Past, la richesse musicale dans Ghosts In My Guitar avec ces accents ricains accessibles au reste du monde...et tout au long de l'album ce mélange unique entre attitudes de crooner rock et d'electro moderne (Nothing to Fear). Magnifique, Billy Idol est grand

Le 06 Août 2019 par FRANçOIS

Sur chacun des trois disques des années 90 (je n'ai pas écouté leur cuvée 2013 mais il semble qu'elle n'ait rien révolutionné) de ce "groupe" (duo et musiciens additionnels), on trouve trois types de morceaux : la ballade country-folk à base de guitare sèche et "pedal steel" (la facette que j'apprécie le moins), les titres rock électriques avec quelques touches blues ou psyché et enfin des morceaux lancinants et lugubres, dans une veine Doors/Velvet/Joy Div, où orgue et basse occupent une place prépondérante. Mais le plus bel atout de ce groupe demeure sa chanteuse au charme et à la voix si particuliers, Hope Sandoval. Leur album le plus acclamé est leur second, "So tonight that I may see", sorti en 1993, c'est aussi mon préféré. J'ai aussi ce "She hangs brightly" même si, de mon point de vue et comme je l'évoquais plus haut, quand on en a un, on les a tous :-)

Le 06 Août 2019 par CLANSMAN57

J'aime bien, mais sans plus.
C'est clair qu'il sait tisser une ambiance hyper love, il chante vraiment bien et j'aime bien les cordes lorsqu'il y en a derrière.
La batterie sonne très bien à mes oreilles.
Cependant, je trouve certaines chansons un peu longues, surtout les plus lentes.
Qui plus est, dotées de cette ambiance de lover très prononcée, je dois confesser que je décroche parfois.
J'ai une nette préférence pour celles au tempo plus enlevé.

Tu m'étonnes qu'il y a des détracteurs concernant les parties parlées...
C'est parfois un poil lourd, car nombreuses, bien que j'admets qu'il possède une belle voix très grave qui me fait un peu penser à un gros nounours viril désireux de choper madame...
Malheureusement, je trouve cette ambiance un peu dépassée aujourd'hui.
Genre le mec qui passe en ville avec sa voiture, lunettes de soleil sur le pif, vitres baissées avec cette musique à fond les ballons, persuadé que les passantes vont tomber comme des mouches...
Alors qu'en réalité, ces demoiselles seraient plutôt mortes de rire et se diraient "C'est quoi ce gros ringos?"
Au feu rouge, il est fort probable qu'en jetant un coup d'oeil dans le rétroviseur, on aperçoive des petites mamies qui font une course en déambulateur, jusqu'à la source d'un violent désir subitement ressuscité.
On n'attendra même pas que ça passe au vert pour redémarrer...
M'enfin, vous je ne sais pas, mais moi je me casse!

Pour finir, je pense parfois aux crooneries de Mike Patton, ça ne m'étonnerait même pas qu'il s'en inspire.

PS: J'évoque les chansons présentes sur une compilation qui s'intitule "Let The Music Play".

Le 06 Août 2019 par JUDOBOY

2/5 ??? Sérieux. Le chroniqueur nous dit "j'aime pas la goa, j'y connais rien mais je donne mon avis quand même..." Après c'est un festival: album froid, ennuyeux, pas de refrain ??? Et gros, on est pas sur du rock ... Décidémment, c'est une vraie ribambelle de conneries.

Le 06 Août 2019 par BAKER

J'ai tapé porntoy sur youtube et j'ai trois agents du FBI qui sont venus fouiller chez moi !!!

;)

Plus sérieusement, j'aime bien le DT post-Portnoy mais son départ a effectivement changé quelque chose. J'en parlerai lors de kro-express à venir dans des dizaines d'années :D

Le 06 Août 2019 par FRANçOIS

"Teartear" ! Aphex Twin, Autechre, Plaid, Boards Of Canada, Squarepusher... Ces sons, ces agencements et enchevêtrements sonores, ces mélodies naïves sur des beats fracassés (et fracassants)... Des architectes, des magiciens.

Le 06 Août 2019 par FRED

Le plus ENO-esque des albums du Penguin, surtout avec la longue suite Zopf : univers onirique, étrangetés, tentatives de surprendre l'auditeur par un ton proche du pastiche musical.

Le (très) mélancolique "The Sound of Someone You Love Who's Going Away and It Doesn't Matter" est à écouter en boucle. Larme à l’œil assurée.

Le 06 Août 2019 par BLABLA

C'est là qu'on se rend compte de l'importance qu'avait Portnoy pour le groupe. Certes, ce n'est pas lui qui faisait tout, les autres musiciens sont très bons aussi, mais c'est lui qui a fait ce que Dream Theater a été depuis des années. Dommage que le groupe ait engagé un autre batteur au lieu d'attendre que Portnoy revienne. Il comptait revenir mais c'était trop tard : ils avaient déjà engagé l'autre, ils ont fait déjà une série d'albums loin d'être comme les precedents, ils ont perdu des fans et ne se sont jamais dit qu'il vaudrait mieux rappeler Portnoy.
En tout cas, c'est impossible de rester fan de ce groupe apres son départ. Maintenant, ça ne plait qu'à ceux qui n'aimaient pas le groupe auparavant, donc les anti-prog, ou ceux qui aiment quand a lancine. Le batteur techniquement n'a rien à envier à Portnoy, mais juste techniquement. Pour le reste, on est loin des envolées instrumentales bien garnies par Portnoy et sa monstrueuse batterie siamoise, qu'il utilisait à bon escient tout de même (regardons les video sur youtube de Porntoy en studio, c'est impossible de preferer Mangini en regardant ça). Porntoy, c'était comme Neil Peart pour Rush, c'était l'âme du groupe.