Le 30 Avril 2021 par GOLGOTH 68

Un disque que je prends plaisir à écouter (j'appréciais déjà les premiers albums de GVF mais aux premières écoutes, celui-ci me semble au dessus) et un final vraiment très réussi

Un voyage dans le temps par certains cotés...


Le chanteur a effectivement une voix proche de celle de Robert Plant mais d'une part, je ne crois pas qu'il soit un imitateur genre Nicolas Canteloup qui modifie sa voix pour prendre celle d'un autre et d'autre part, cela serait dommage de ne pas utiliser cette voix parce qu'elle ressemble à celle d'un -très- grand quand on a la chance de la posséder.

Le 30 Avril 2021 par RICHARD

Rare qu'un live devienne un quasi classique. C'est assurément le cas ici avec les Anglais. Entre l'ambiance, les titres et Gahan qui devient de plus en plus charismatique, rien à redire. Superbe !

Le 29 Avril 2021 par NONO

HOT DOG est EXCELLENT, et je le revendique ! Bon... bizarrement, c'est peut-être Page qui est à la ramasse dans son solo ici (quelle ironie !). Mais j'adore ce titre, punaise ! Bon, c'est pas Stairway, c'est vrai mais quand même !...

Le 29 Avril 2021 par LAURENT

Cet album a la faculté de me replonger dans l'année 1986.
Il suffit que j'en écoute les premières mesures et j'ai l'impression d'avoir 17 ans à nouveau (et que Morrissey, qui était à l'époque une voix des artistes de gauche anglais, n'est pas encore devenu un vieux réac pro-UKIP).
Pour l'adolescent timide et complexé que j'étais, et qui se cherchais pas mal, les Smiths c'était la main sur l'épaule du frère aîné que je n'ai pas eu et qui me disait: "Je sais ce que tu éprouves, mais n'aies pas peur, la vie est devant toi. Ose être ce que tu es".
Bref, le propre d'un chef d'œuvre, c'est de pouvoir traverser le temps en provoquant toujours la même émotion.

Le 29 Avril 2021 par JERRY

Il fut un temps pas si éloigné où il était de bon ton de se livrer à un GRETA VAN FLEET "bashing", Steven WILSON y étant allé, lui aussi, de sa petite missive (peu argumentée, soit-dit en passant), assimilant le groupe des frères KISZKA à une version "boys band" de LED ZEPPELIN. Il est vrai que la texture vocale de Josh ressemblait à s'y méprendre à celle de "Percy" (alias Robert PLANT) et qu'elle fut la porte d'entrée à un quasi-lynchage en règle de GVF, faisant quasiment passer au dernier plan une certaine maîtrise mélodique du quatuor ("Highway Tune" sur leur EP de 2017 et "Lover, Leaver (Taker, Believer)" sur "Anthem Of The Peaceful Army" sont là pour en témoigner).
Avec "Battle At The Garden's Gate", le son de GVF s'est enrichi de claviers qui élargissent avec bonheur leur spectre musical et, en même temps, introduisent une diversité bienvenue qui rendent l'écoute de cet album moins "monocorde" que sur les précédents. Difficile de ne pas rester insensible au chant de Josh dès l'intro de "Broken Bells" et à sa montée dans les aigus sur "Tears of Rain", ainsi qu'au sublimissime solo de Jake sur "The Weight of Dreams" qui suffit à mon bonheur... en attendant des jours meilleurs et une éventuelle tournée dans nos contrées (le souvenir enthousiasmant de leur passage au Zénith de Paris à l'automne 2019 demeurant encore bien vivace) ? Et merci à NESTOR de pointer la "sincérité de ce jeune quatuor" !

Le 29 Avril 2021 par GéRALD

B.O.F vraiment bof.
Le film est un pur nanard, et on se demande comment Belmondo, après des débuts fracassants, a pu à tel point s'enliser dans le ridicule, surtout dans les années 80. C'est simple : je me suis infligé la quasi intégrale des Bébels sur une chaine qui commence par N et fini par X. Verdict : "au secours!". C'est même carrément la honte pour lui.
Ce film est à l'avenant : grotesque et même pas marrant, juste ridicule, avec ses caricatures de vilains Allemands très méchants et très cruels et très bêtes et tout et tout. Ach, achtung bisiklete, kartofell, ach so, et tutti quanti... snif!

Le 29 Avril 2021 par RICHARD

A l'image de Crystal Ball, c'est guimauve à fond, mais l'arrière goût en bouche sans être sensationnel n'est pas désagréable non plus. De la pop anglaise typique aussi bien pour pousser son caddie chez Tesco que pour laver les carreaux de son bow-window.

Le 29 Avril 2021 par H.

Mon premier Black Flag (un peu par hasard), c'est consternant de médiocrité. Le 3è titre est écoutable, mais c'est loin d'être suffisant...

Le 28 Avril 2021 par JASPER LEE POP

Pour ceux qui seraient intéressés, l'inénarrable Ramon Pipin distille avec générosité sa bonne humeur dans de courtes vignettes visibles chez le dealer de vidéos habituel (voir les séries "Les excellents", ou "Les chefs d'œuvre du Rock massacrés par nos soins" par exemple). Certaines valent leur pesant d'or.

Le 28 Avril 2021 par BAKER

Je confirme que ce film a été un succès de salles mais aussi d'autres médias immense. C'est, avec Tron, Massacre à la Tronçonneuse et autres Indiana Jones 1, un des plus énormes succès de location vidéo au début de cette spécialisation.

Et d'ailleurs, le sport régional était de trouver une VHS de location de l'As des As intacte, et qui ne soit pas une copie et blanc entrecoupée d'une publicité pour un groupe de hard rock local de l'époque.

Autre temps, autre moeurs.

Le 28 Avril 2021 par GARY MOOR’

Il y a une différence entre s’inspirer de l’esprit 70' et singer un groupe des années 70. Alice in chain, Opeth, Mastodon sont à mon avis les dignes successeurs de Led Zep, Black Sabbath ou Thin Lizzy, car ils se sont inspirés du contenu, de l’attitude, des recherches mélodiques et rythmiques pour les pousser un peu plus loin et prendre des risques. Singer le passé, c’est nous affliger de mauvaises grimaces.

Le 26 Avril 2021 par NONO

Rien que pour "# 9 Dream", cet album est une merveille.
Et ce titre... Bon Dieu, ce titre... parler de merveille exceptionnelle serait bien en-deçà de la vérité.

Le 24 Avril 2021 par FEELGOOD

Sortie quelques mois à peine après le succès inattendu de "Trash", cette compil' n'est rien d'autre que la tentative de l'ancienne maison de disques du Coop' de se faire un peu de pèze sur le dos de l'artiste revenu au premier plan.
On admirera la capacité de ces gens à faire du neuf avec du vieux, en reprenant le contenu du "Greatest Hits" de 74, après en avoir modifié le track-listing et y avoir ajouté deux extraits de "Welcome To My Nightmare", et en emballant le tout sous des oripeaux différents. On se demande effectivement ce que viennent faire ici les clins d'œil à "Goes To Hell" et "From The Inside".
En 1989, il n'était pas facile de dégoter le back-catalogue des "vieux" groupes en CD, ce qui explique pourquoi les compilations étaient très populaires. Celle-ci s'est relativement bien vendue, d'autant plus qu'elle n'a pas dû nécessiter un investissement considérable à la base.

Le 24 Avril 2021 par LONG JOHN SILVER

@Djinn
Si aucune chronique de Dada n'a été publiée à ce jour, c'est parce que je dois m'en charger prochainement, bien à toi.

Le 24 Avril 2021 par JASPER LEE POP

Effectivement, un foutage de gueule doublé d'une tromperie sur la marchandise puisque ne figure sur cette compile aucun titre des albums Goes to Hell et de From the Inside figurant pourtant sur la pochette.

Le 24 Avril 2021 par DJINN

Je n'avais pas conscience que ce best of, que j'ai acheté à l'époque, était incomplet. Et j'avais déjà "Trash". Donc en 1989, ça le faisait pour moi, puisque je découvrais rapidement la première carrière d'ALICE COOPER, centrée sur la période faste. ll faut bien dire que de 76 à86, tout ce que le groupe sortait n'était pas formidable. J'aime bien "DaDa" (qui n'est d'ailleurs pas chroniqué à ce jour).

Et comme je suis loin d'être un fan, cette compilation me suffit encore aujourd'hui.

Le 24 Avril 2021 par MAGNU

Psychotique et anxiogène. Leur meilleur album sans doute, même si je place à égalité "Rabies"

Le 23 Avril 2021 par BAAZBAAZ

Camarades ! La vraie polémique dans cette chronique est pour le moment passée inaperçue ! Le Smooth Jazz, un genre honni ? Allons allons... L'eau a coulé sous les ponts, faut-il raviver ces vieilles antiennes puristes ?

A ce tarif là, autant citer son Panassié sur Charlie Parker.

Aux autres, je recommande le délicieux et récent "In Vacation" de TILL BRONNER et BOB JAMES (l'un des initiateurs du genre en 1974). Un peu Jazz, un peu Bossa Nova, très Smooth. Mon cadeau pour l'été.

Et sinon "Court & Spark" n'est pas loin d'être mon MITCHELL favori, avec le premier. Mais j'ai toujours du mal avec la voix.

Le 23 Avril 2021 par CLANSMAN57

Dans le livret, on peut lire qu'un certain Andrew Sandoval s'était procuré une compilation de Love dans un premier temps.
Lorsqu'il jeta son dévolu sur leur pièce maîtresse, "Forever Changes", il précise que le coup de coeur n'a pas été immédiat. Les écoutes suivantes lui auront permis de constater la beauté de ce disque, tout devint plus clair.

C'était pareil en ce qui me concerne. Bon, j'ai découvert le groupe avec leur premier opus contrairement à lui. Durant les trois premières écoutes, j'ai trouvé ça pas mal du tout, mais je ne comprenais pas trop son statut de chef d'oeuvre, ni le fait qu'il soit listé parmi les meilleurs disques de Rock.
A la quatrième, tout se clarifie en effet.

Je n'en dis pas plus.

Le 23 Avril 2021 par CLANSMAN57

C'est très beau, tous les thèmes sont superbes.
L'alternance Classique/Jazz est plutôt réussie, ce qui n'était pas gagné me concernant.
Jusqu'à "Childhood Poverty" comprise, c'est top. Ensuite, je dois avouer que je trouve ça un peu redondant, malgré les thèmes remodelés et la fusion entre deux thèmes pour certains.
La petite soeur de "Friends" est moins séduisante que son aînée, à cause de sa trompette bouchée, je la zappe.
J'ai adopté "Prohibition Dirge", malgré mes réticences envers le style.
Par contre, sa cadette, "Speakeasy" est restée à l'orphelinat, elle braille de trop.
La conclusion referme le disque sur une note positive.