Le 04 Décembre 2019 par CHRIS DEB

Oh que non elle me manque pas du tout cette chanson. Le top 50 mouais toujours méfiant du classement car à l'époque sans internet c'était à peu près du approximatif surtout dans les 30 dernières places. Faut jamais oublier les radios libres qui passaient de jeunes artistes et qui rentraient jamais au top... bizarre.

Le 04 Décembre 2019 par BIBI

Ouh ! on s'égare ici...
C'est vrai que cette chanson Besoin de toi, envie de rien, à l'époque me tapait grave sur le système et, ainsi que le dit Baker, rien n'a véritablement changé en France de ce côté-là, musicalement parlant.
Quoi qu'il en soit, la chronique est non seulement constructive, mais drôle.
Allez, tous en chœur : la lala lalala...

Le 04 Décembre 2019 par FRANçOIS

"Besoin d'un rein, envie d'un foie"... :-)
C'est pas plutôt Gildas, le Top 50 ?
Mon Dieu que cette époque me manque !

Le 04 Décembre 2019 par RICHARD

Je supplie expressément BAKER de réhabiliter Claude BARZOTTI.

Le 03 Décembre 2019 par LEO

@ NONO:

Les deux ne sont pas vraiment comparables. Diana Ross et Donna Summer ne font pas tout à fait dans le même style bien qu'il y ait une certaine convergence dans les années 80 plus uniformes. sinon dans les 70's la première versait plutôt dans la soul et le R&B classique quand la seconde donnait dans le disco electro futuriste en 77 (albums: I Remember Yesterday et Once Upon A Time) aux côtés de Giorgio Moroder et Pete Bellotte, anticipant tout le courant synth-pop et techno à venir. L'une et l'autre ont leur charme à un moment ou un autre.

Concernant ce Ross version '83, je suis d'accord avec DERWIJES, ça n'est pas un grand cru !
Le tonique "That's How You Start Over" démarre pourtant bien en ouverture, mais perso je m'emmerde ferme sur "Love Will Make It Right" qui sonne effectivement comme un morceau provenant de The Nightfly de Donald Fagen (album plutôt sympa mais un tantinet trop synthétique à mon goût).
"You Do It" est plus classique dans la forme et le fond mais fort convenu. j'ai l'impression d'avoir entendu cela un millier de fois. cela dit, je préfère encore ce titre à "Pieces Of Ice" qui est ultra synthétique une fois de plus ! et il y a beau avoir Joe Walsh et Larry Carlton aux guitares et Jeff Porcaro à la batterie, cela ne change rien à l'affaire. de plus cette dernière sonne comme de la boite à rythmes !!!
"Let's Go Up" n'est pas franchement mieux fagoté. je zappe.
Du même avis que le chroniqueur concernant les deux compos de Ray Parker Jr. qui s'en tire bien au milieu de ce naufrage. le mid-tempo "Love or Loneliness" se laisse écouter et "Up Front" donne un petit coup de fouet bienvenu.
"Girls" qui referme l'album, est lui en mode disco et permet de tenir l'auditeur en éveil un minimum.
Voilà, pour moi je ne retiendrai donc que "That's How You Start Over" et les trois derniers titres. ça fait quatre morceaux corrects sur huit. autrement dit, ça fait peu (une face de 33t quoi !).

Le 03 Décembre 2019 par FRANçOIS

@Nono
Je ne connais pas tout de ces deux très belles dames mais pour moi Donna mène 3 à 2 face à Diana ("I feel love", "Love to love you, baby" et "Hot stuff" contre "Love hangover" et "Upside down").

Le 03 Décembre 2019 par NONO

...pour compléter mon commentaire juste avant, une raison aussi pourquoi j'aime beaucoup Diana Ross : en plus de sa musique, c'est sa belle personnalité ! Oui, Diana Ross possède notamment un grand sens de l'humour en toutes circonstances... et ça on ne le mentionne pas malheureusement ! Une femme énergique, souriante et réellement très drôle. Un sacré caractère !

Le 03 Décembre 2019 par BAKER

J'ai eu l'occasion de réécouter plusieurs fois la version JONES et je confirme qu'elle est au même tempo, je me demande même si elle n'est pas 2 ou 4 BPM plus lente. Les arrangements étant très similaires, et la version JONES ayant même un ou deux petits défauts de justesse, je continue de me demander pourquoi c'est elle qui passe:)

Le 03 Décembre 2019 par NONO

@François : En tous cas moi j'ai toujours largement préféré Diana Ross à sa grande concurrente d'une époque : Donna Summer !
Je vais être dur, mais j'ai toujours considéré Donna Summer comme la "Diana Ross du pauvre".

Le 02 Décembre 2019 par BORIS LE BORGNE

Ici le terme "chef-d'œuvre" n'est pas galvaudé. Ahurissant et hypnotique à la fois.

Et Liebezeit impérial, monstrueux même !

Le meilleur.

Le 02 Décembre 2019 par BAAZBAAZ

Septembre 1989... KAOMA est n° 1 avec la Lambada devant PRINCE, François FELDMAN, CONFETTI'S... Et à la 12ème place du Top 50 il y a "The Look" de ROXETTE, ovni Pop-Rock à la fois très convenu et parfaitement original. Avec le recul : l'un des tous meilleurs singles de la fin des années 80.

Vu de France : on n'y comprend pas grand-chose. Un duo éphémère ? Ils disparaissent vite de notre horizon mais l'album suivant "Joyride" (sorte de virage Hard FM) se chargera de démontrer un talent inouï.

Quant à cet album... Je ne l'ai acheté qu'une dizaine d'années plus tard, autant dire qu'un siècle s'était écoulé sur le plan musical. J'avais bouffé une décennie de Grunge, d'Indus, de Techno... Mais la Pop de ROXETTE m'a immédiatement replongé dans un monde intemporel où chaque chanson est parfaitement ciselée et minutieusement interprétée.

Le génie (mineur) de Gessle, la voix superbe et souvent émouvante de Fredriksson... Un grand disque oublié.

Le 02 Décembre 2019 par DERWIJES

Je te rejoins là-dessus François ! Je n'ai pas encore vu le doc mais je fais confiance à Arte pour qu'il soit bien.
Ce qui la sépare aussi des autres divas est son intégrité : elle n'a pas fait de chirurgie esthétique (ou en tout cas c'est discret), et elle n'a jamais changé de style à 180° pour suivre ce qui se faisait, et elle s'est arrêtée quand elle n'a plus eu envie de tourner et d'enregistrer, contrairement à d'autres dont je ne citerai pas le nom ("cough" Cher "cough").

Je ne suis pas non plus un fan, mais je respecte son héritage musical et c'est cette différence avec la concurrence qui a fait que j'ai eu envie d'écrire sur elle. Mais spoiler alert, je vais sacquer ses prochains albums...

Le 01 Décembre 2019 par BAKER

Un de ces jours, je me fendrai d'une kro express de cette calamibouse honteuse.

En attendant, je passe juste dans le coin pour rappeler que le dernier album vient de sortir et que, je cite, "cette fois la voix n'a pas été trafiquée".

J'en ris encore.

Putain, j'ai pourtant tellement aimé Renaud de son vivant...

Le 01 Décembre 2019 par PILGRIMWEN

Oh ce disque-ci, je l'ai poncé !!! Découvert à l'adolescence, "Heaven Tonight" me faisait l'effet d'un ovni dans mon monde musical conventionnel qu'est le Hard Rock. CHEAP TRICK, à travers cet album, me fascinait. Si j'ai bien un opus du groupe à recommander chaudement aux curieuses-curieux, c'est bien "Heaven Tonight". Ca flirte tantôt avec la Pop (parfois Variété), tantôt avec le Rock (parfois Hard)... Curieux mélange cependant réussi.

Ma note (exceptionnellement !) : 5 étoiles/5
Ma note de coeur : A écouter au moins une fois dans son existence !/5

Le 01 Décembre 2019 par MR TINKERTRAIN

Celui-ci, à part un ou deux titres moyens, c'est un vrai bonheur de Rock...et de Funk! (Bring me the Funk est une tuerie sans nom). A écouter et / ou posséder.

Le 01 Décembre 2019 par MR TINKERTRAIN

On peut crier au génie.... moi ça me donne un sérieux coup de fatigue...ou une envie de zapper rapide!

Le 01 Décembre 2019 par PILGRIMWEN

Quand j'ai écouté ce disque, j'ai effectivement pensé qu'il ne se laisserait apprivoiser qu'au prix de longues et patientes écoutes. Au final, il est vrai que "Neighborhoods" est un bon album. Le "fun", la déconne ont laissé place à une ambiance plus mature. C'est surprenant de noter que d'autres groupes de cette veine-là ont évolué de manière sensiblement similaire. L'âge aidant sûrement.

Le 01 Décembre 2019 par RICHARD

L'un des meilleurs albums d'Indo...eh oui, rien que ceci. J'ai acheté cet album lors de sa sortie, bien seul à l'époque où les copains de lycée n'en avaient que pour NIRVANA ou IAM. C'était avec du recul quasiment un acte militant :) Creux de la vague pour le succès mais haut de la vague pour l'inspiration. On tient là les meilleurs textes de Sirkis qui bien que sombres ne tombent pas encore dans le pathos opportuniste sans fin qui débutera avec l'indigeste Paradize. Les mots sont trempés dans une encre noire qui se teinte parfois d'un érotisme troublant comme sur le très beau Savoure le Rouge. Comme d'habitude, les compositions de Dominik sont variées, riches et addictives. C'est drôle de penser qu'à l'exception du futur et magistral Dancetaria, Un Jour Dans Notre Vie est le dernier album d'Indo qui tient sur la longueur et qui possède ce petit supplément d'âme alors que l'Indobashing était devenu un sport national. Pépite pop.

Le 01 Décembre 2019 par PILGRIMWEN

J'ai eu cet album en format K7. J'étais encore enfant à la sortie de "Panique Celtique". Un groupe tombé depuis dans l'oubli, en Bretagne. Il y a bien eu un récent reportage FR3 Bretagne au sujet de leur "retour", cependant ça m'a touché l'une sans toucher l'autre... Ca fait - au même titre qu'ARSENIC, I AM, PASSI et autres joyeusetés Rap francophone - parti de ma brève incursion dans le monde du Rap.

Le 01 Décembre 2019 par GRAND PA'

D'accord avec la chronique. Je dirai que "Gratte Poil" est le plus "mainstream", le plus évident des albums des Têtes Raides. Un défaut ?
Non, c'est déal, je trouve, pour nous introduire dans leur monde, ce que j'ai expérimenté le soir d'un concert en 2001. Des textes ciselés au couteau, emplis de cadavres vraiment exquis, une instru de fanfare qui enlace. Les chansons sont entraînantes : "Les poupées", "Dépêche-toi", "L'iditenté", "Ennemis", "Patalo" ou "Gratte Poil" (ça fait beaucoup déjà, non). Et quand elles ne le sont pas, entraînantes, ce sont des petits bijoux de délicatesse. J'en retiens une, qui revient tout le temps, comme une vague : "Les choses".