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GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par JOVIAL


@SB

Merci pour ton avis, ça fait toujours plaisir.

Flying Teapot est très bon album, et personnellement je le trouve meilleur qu'Angel's Egg. Toujours aussi délirant, mais un peu moins que Camenbert Electrique, assez proche d'Angel's Egg et de You, mais à mon avis bien moins décousu.

Je me chargerai de la chronique, un jour ...





GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par SB


J'aime vraiment beaucoup cet album. Je l'ai découvert après You, que je trouvais ultime. En fin de compte je pense que j'ai une préférence pour ce Angel's Egg.
J'aime beaucoup ce mélange de styles et les passages plus planants sont jouissifs.

Bref une très bonne surprise.

Je ne connais pas encore le 1er opus "The flying Teapot", comment est-il par rapport aux deux suivants ?





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 11 Mars 2012 par FRANCK


Pas du tout d'accord avec la chronique.
Cet album est très bon et casse la baraque bien plus que bon nombre de ceux qui ont été enregistré avec Samy Hagar. Du Van Halen old school non seulement mais d'une fraicheur certaine tant David semble renaître de sa voix chaude et méga puissante sur cet album.
Je ne pense pas qu'il n'y aura que les puristes de la premières heure qui aimeront.
Jetez-vous sur " A Different Kind Of Truth " !!!





EMERSON, LAKE & PALMER
WELCOME BACK MY FRIENDS TO THE SHOW THAT NEVER ENDS


Le 11 Mars 2012 par TERRY


Long, très long, trop long, même, probablement... Mais quel live, sinon !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par ALBIRéO


Tel titre est une ressuçée, tel autre un fond de tiroir et celui-là fleure trop le big rock californien....

ET ALORS ?!

M'en tape : pour moi, la mayonnaise VH 80' sur la forme, mélodies bien senties et (surtout) plaisir procuré est carrément enthousiasmant !! Les considérations comparatives et étiquetantes m'ont toujours ennuyé.

Chaque titre possède son identité, sa surprise, son petit plus. Un jeu de guitare carrément intergalactique et un rien barré, un chant somptueux, une rythmique basse/batterie vraiment bandante et, sur le fond, des compos bien fichues, même si elles ne sont pas, c'est vrai, toutes au diapason.

Mes préférées : "You and your blues", "As is", "Stay frosty".





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
BAYOU COUNTRY


Le 10 Mars 2012 par TONTON CLEM


CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL, c'est l'essence même du vrai rock américain. Bien sûr, d'autres grands groupes de l'époque tels que les DOORS ou les STOOGES pourraient aisément rivaliser, l'un dans un style plus psychédélique et l'autre dans une approche plus punk. Mais j'accorde une affection plus particulière à ce quartette de Berkeley, faiseur d'albums devenus cultes et de tubes incontournables.

J'ai découvert ce groupe un peu sur le tard par le biais de "Bayou Country", leur deuxième album. Il fait chaud, l'atmosphère devient oppressante, la moiteur envahit la pièce lorsque les premières notes de "Born On The Bayou" se font entendre. Quand j'entends pour la première fois la voix puissante de John Fogerty, je n'en reviens pas. Moi qui craignais quelque chose de trop mâtiné de blues (car susceptible de me casser les coucougnettes), me voilà rassuré. Fogerty a un timbre de voix qui en jette véritablement. Ce riff hypnotique et cette rythmique sans relâche, bref, tout d'un futur classique. Juste énorme.

"Bootleg" qui suit n'a rien de tellement extraordinaire, on relèvera juste une session guitaristique efficace. "Graveyard Train", titre bluesy aussi long qu'une ligne de chemin de fer s'étirant sur toute la surface Est-Ouest des Etats-Unis, est une bonne dose de repos avec ses accords à 6 notes qui s'enchaînent et son petit harmonica qui fait toute la différence. On revient à du survitaminé avec une reprise jouissive de Little RICHARD ("Good Golly Miss Molly") qui donne furieusement envie de taper du pied. En plus, Fogerty nous sert des soli ébouriffants sur ce morceau.

"Penthouse Pauper", qui se veut moins rock 'n' roll que le titre précédent, demeure très sympathique. Et là, un sentiment de plénitude et de parfaite relaxation m'envahit à l'écoute de l'une de mes chansons préférées, tous styles confondus. "Proud Mary" est une composition magique, maintes fois reprise mais jamais égalée, ce grand standard à l'amour des bateaux voguant sur le Mississippi est un vrai régal car ultra-mélodique et entraînant. C'est que du bonheur. Enfin, l'énergique "Keep On Chooglin'" finit d'achever ce disque atypique en laissant place à un véritable marathon instrumental.

7 morceaux seulement, mais ce "Bayou Country" contient pléthore de tubes qu'il serait vache de laisser passer. En effet, CCR accouche là d'un album remarquable à l'ambiance très particulière, on a presque l'impression que le groupe s'est enregistré en extérieur... La pochette en témoigne, d'ailleurs je cherche toujours à reconnaître qui est qui sur cette photo zarbie. On est purement dans le Bayou, quoi !

Morceaux favoris : "Born On The Bayou", "Graveyard Train", "Good Golly Miss Molly", "Proud Mary".





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par STEF 15F


Album plutôt positif que négatif pour ma pomme !
Un disque dans la tradition et dans le style du groupe.
Le son est cependant un peu "saturé", ce qui attenue la guitare d'Eddy et l'ensemble des compos.
Un petit 4, ou un gros 3... de toute façon, à avoir dans sa collection de Van Halen !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 08 Mars 2012 par LEO


Moi je le trouve pas si mal que ça ce nouveau VAN HALEN!
Certes, il ne vaudra jamais les 4 grands premiers albums que le groupe a sorti entre 1978 et 1981, mais il est tout de même plusieurs crans au dessus du pitoyable "Diver Down" et a bien plus de pêche que le moyen "1984" (ce dernier, majoritairement englué de synthés).
Les points forts: le groupe semble avoir toujours la pèche après toutes ces décennies et a globalement choisi de repartir vers un son et des compos plus agressives et non sur la voie de la facilité pratiquée sur "Diver Down" et "1984" ou dans les albums de la période Hagar.
Les points faibles: un album qui aurait mérité d'être plus court (comme à l'époque du vinyl) en retirant certains titres plus faibles comme le peu palpitant Tattoo (bizarre d'avoir sorti ce morceau en single!) ainsi que les bouche-trou As Is et Honeybabysweetiedoll (trop bordéliques à mon goût et faisant office de remplissage!). je suis également partagé sur le final en demi-teinte, Beats Workin'. en revanche, et contrairement à GEGERS, je trouve que She's The Woman et Big River font partie des morceaux les plus réussis et accrocheurs de l'album! (et concernant ce dernier titre, je ne vois pas du tout de similitude avec Panama!!! si comparaison sonore il y avait à faire, elle aurait plus avoir avec le 1er album).
J'ai aussi le sentiment que pas mal de compos ne sont pas totalement abouties, comme si il manquait quelque chose au niveau des structures et des arrangements..... le bilan pour moi est donc mitigé mais penchant plutôt vers le positif même si je suis très loin dêtre emballé totalement!





CHEVEU
1000


Le 07 Mars 2012 par GG


Belle découverte. Un excellent album, sans fioritures, ça va droit au but tout en restant bien psyché. J'ai pas écouté le premier mais 1000 me semble imbattable.





GROUNDATION
HEBRON GATE


Le 07 Mars 2012 par KEULIN

Sacré bon album effectivement. Juste équilibre entre maîtrise du son et "fraicheur" de l'ensemble, ce qui n'est pas toujours le cas avec le mixage des albums de groundation, souvent un peu timides...





CREAM
ROYAL ALBERT HALL LONDON MAY 2-3-5-6 2005


Le 07 Mars 2012 par JF LE COAD


Dans un Cd de Cream on écoute en priorité spoonful; et là c'est le choc immédiat. Le premier roulement de batterie de Ginger Baker vous soulève le poussière de votre parquet . Le ton est donné , enregistré en 2005 , cet enristrement est d'une remarquable qualité . Un grave profond qui met en évidence la puissance de la batterie , avec les temps forts remarquablement bien marqués ( souvent la caractéristique des batteurs de jazz); une spatialité remarquable , on sent la salle dans sa réverbération ;une prise de son très informationnelle sans tomber dans le clinquant.
Au premier abord, le live de "wheels of fire" peut paraître un peu terne , souffrant de la comparaison en termes de qualité d'enregistrement. Mais il faut reconnaître qu'en 2005, Clapton et Bruce n'ont plus leur niveau de 1968.On ne sent pas la même hargne.
Le spoonful de "wheels of fire" est remarquable dans ses développements où Clapton et Bruce se" tire la bourre" à des niveaux phénoménaux.
Il est évidemment intéressant d'écouter les versions de "spoonful" de Ten years after, surtout celle du "live at the fillmore east", pour apprécier les différences de style des guitaristes respectifs.





THIN LIZZY
JAILBREAK


Le 07 Mars 2012 par JF LE COAD


j'ai essayé ... mais ce CD n'arrive pas à m'engendrer d'émotions particulières.
Peut-être que tout y est trop parfait techniquement , trop lisse.





BLUE ÖYSTER CULT
SPECTRES


Le 07 Mars 2012 par FEELGOOD


Tentative notoire de renouer avec le succès commercial de l'album précédent, ce Spectres, fort bon au demeurant, peine parfois à atteindre ses objectifs, à cause essentiellement d'une incapacité à surprendre son monde, le groupe commençant alors à donner dans une sorte de ronron FM.
Le disque se partage entre hymnes efficaces au potentiel commercial certain, censés séduire les radios américaines (Godzilla, R.U. Ready 2 Rock, Goin' Through The Motions, une collaboration avec Ian Hunter) et compositions plus atmosphériques et aventureuses ( l'apaisée Death Valley Nights, Celestial The Queen, la superbe I Love The Night et l'étrange Nosferatu).
Erwin insiste avec raison sur la qualité stupéfiante des interventions de Donald Roeser, toujours pertinentes et inspirées, jamais bavardes.
Je m'étonne cependant qu'il n'ait pas mentionné ce qui constitue à mon sens l'un des sommets du disque, l'halluciné Golden Age Of Leather, sorte d'hymne de bikers défoncés à la mescaline, où se côtoient les fantômes de Steppenwolf et du BÖC des premiers temps.
Un album de grande qualité qui aura cependant du mal à égaler le triomphe d'Agents Of Fortune, en dépit d'une promo conséquente axée sur les fameux lasers de la pochette et de la tournée qui suivit.

3,5 sur 5 (arrondis sans problème à 4).

Une question, pour finir: en quoi les membres du Cult seraient-ils des intellectuels, "toujours pusillanimes" ? J'avoue ne pas avoir compris ce passage.







Par Forces Parallèles

Merci pour ton analyse judicieuse Feelgood.
"Intellectuels pusillanimes" : cette appelation revêt pour moi la faculté des membres du groupe à savoir rebondir, changer de concepts, aborder des sujets souvent moins glamours que "Sex drugs and rock'n'roll", tout en ne se départissant pas d'une réelle qualité d'écriture tant au niveau des textes qu'au niveau des idées.
Et tu as rasion, j'aurai pu évoquer le paralléle -!!- entre le culte et STEPPENWOLF dont ils ont somptueusement repris le "Born to be wild".





PINK FLOYD
ECHOES: THE BEST OF PINK FLOYD


Le 06 Mars 2012 par POWERBEAUF


Une compilation forcément discutable, mais pas si mal foutue pour les néophytes, le grand public et les feignasses qui n'ont jamais eu l'audace de se faire leur best-of "maison".
Bien sûr, chacun regrettera de voir que tel titre a été oublié au profit de tel autre, mais bon, essayer de faire une compil' du FLOYD représente un sacré casse-tête. Pour tout dire, je me suis fait la même réflexion que Dark Panda la première fois que j'ai entendu l'enchainement "Learning to Fly"- "Arnold Layne", puis "Jugband Blues"-"High Hopes"-"Bike"...

Et pourtant, la matière est de telle qualité, et l'égalisation du son a été tellement travaillée qu'au final, l'ensemble s'écoute plutôt bien. L'amputation de certaines oeuvres peut faire râler, mais comme ce best-of a été réalisé avec la bénédiction du groupe... En fait, le plus incompréhensible est peut-être la présence d'un "Marooned" châtré et réduit à un simple rôle d'interlude. Pour le reste, pas grand chose à redire, à part un choix de titres qui différerait de mon best of idéal. Mais là, c'est évidemment subjectif. Ainsi, cela ne me gêne pas du tout qu' "Ummagumma", "More" et "Obscured by Clouds" aient été "oubliés"... J'aurais également volontiers troqué un "Jugband Blues" contre un titre de l'ère post-Barrett. Mais bon, quand on est au volant, ce double CD fait très bien l'affaire.





PLACEBO
WITHOUT YOU I'M NOTHING


Le 06 Mars 2012 par EL PACHENKA


Le passage régulier de "Every You Every Me" à la radio a fait que ce deuxième album s'est finalement trouvé dans la discothèque. J'aime également "You Don't Care About Us". Il y a plein d'autres titres mélancoliques et qui claquent aussi. Dans son ensemble, c'est un bon album qui claque mieux et qui est bien meilleur que le premier éponyme.





RUSH
2112


Le 06 Mars 2012 par WALTER SMOKE


Merci, Arp2600; Mille fois merci. En lisant cette chronique, ma curiosité a été piquée, et je me suis procuré 2112. Et là...wouah, jamais pris une telle claque dans ma vie musicale, depuis Discipline de King Crimson. Franchement, que ce soit du prog ou du hard, rien à foutre, 2112 fait partie des albums ultimes de rock depuis que le monde est monde.

Rien que la face A, est mythique. Surtout les six premières minutes, même King Crimson et Yes réunis auraient du mal à créer un tel chef-d’œuvre : sérieusement, qui a entendu une ouverture aussi grandiose ? Cultissime, je vous dis ! Et le reste du morceau ne démérite pas, il...oh là la, je ne trouve plus les mots tellement c'est grandiose !!!

Et cette face B...plus que du remplissage bien ficelé, Rush nous montre à quel point il est doué, avec ses chansons construites de manière intelligente et magnifiques !!!!

2112, album mythique des années 70, sommet du rock, à mettre entre TOUTES les oreilles.

Et, encore une fois, merci Arp2600





Ringo STARR
RINGO 2012


Le 05 Mars 2012 par STOPCHUTE

Quelle idée d'aller écouter ce disque... J’imagine que c'est pochette qui vous a fait de l'oeil !!!





Erik TRUFFAZ
ARKHANGELSK


Le 05 Mars 2012 par SHIRIU


Marrant ça, les 2 albums chroniqués ici sont mes 2 préférés de ce maître de la fusion qu'est Truffaz. Bien que cet album soit très Pop, et donc très easy-listening, le talent de composition et le plaisir qu'on a à écouter ce CD sont indéniables. Je ne mettrais pourtant que 4,5/5 car le titre chanté par Christophe est simplement atroce, et qu'il casse le rythme de tout l'album...





GENESIS
GENESIS


Le 05 Mars 2012 par WALTER SMOKE


Waouh !!! L'éponyme de Genesis est formidable, extraordinaire, rien à dire...euh, oui mais non, en fait.

Si j'aime ce disque, c'est avant tout pour sa face A, quasiment parfaite : Mama est la meilleure ouverture que le trio Banks-Collins-Rutherford ait jamais faite; That's all est tellement entraînante, et surtout, je ne peux que m'incliner devant la puissance dévastatrice de Home by the sea/Second home by the sea, mouvement de prog à ranger à côté des plus grands.

Mais la face B...pfff, si c'était pour nous "offrir" ça, eh bien, un EP se contentant de la face A serait mieux. Le plus désepérant reste Illegal Alien, avec son humour mal trasncrit; seul Just a job to do reste correct, et encore...

Bref, un album à moitié excellent, à moitié médiocre. C'est dommage, quand même, mais bon, peut-être qu'il faut l'écouter encore plus de fois, allez savoir





BLACK SABBATH
THE ETERNAL IDOL


Le 05 Mars 2012 par DARK SCHNEIDER


En 1987 BLACK SABBATH était devenu en quelque sorte la risée du metal. Cela peut surprendre alors qu'aujourd'hui le groupe conserve pleinement son statut de légende, mais suffit d'écouter The Eternal Idol pour comprendre cette réputation bien méritée.

Le grand n'importe quoi commence pour BLACK SABBATH en 1983 : Born again, un bon album au demeurant, est plombé par une production indigne de ce groupe, et si Ian Gillan fait un bon job, sa présence dans le groupe ne peut qu'être incongrue et condamnée à court terme (on se rappellera du ridicule enchaînement live Paranoid-Smoke on the water)... Logiquement, tout le monde se barre, le groupe a plus ou moins splitté mais non, il fallait que la maison de disque fasse des siennes en imposant que l'album solo de Tony Iommi sorte sous le nom de BLACK SABBATH... Seventh Star est un bon disque au demeurant, avec un excellent chanteur charismatique, mais ce n'est pas un album de BLACK SABBATH, et musicalement la différence est très nette. Malheureusement Tony Iommi comprend qu'à cette époque il ne peut pas se séparer du nom de BLACK SABBATH, d'où la triste sortie de The Eternal idol et son line-up qui ne ressemble à rien (comme l'explique très bien la chronique).
Tony Martin est un bon chanteur, une voix agréable, un timbre pas si éloigné de celui de Dio mais en plus FM. Mais il y a une faille de taille : il n'a aucun charisme! et ce à tous les niveaux. Sa voix se noie complètement dans les productions de l'époque, car il faut rappeler qu'en 1987, les chanteurs de talents pullulent dans le metal et Tony Martin fait bien pâle figure... Recruter ce chanteur fut un choix catastrophique pour le groupe qui s'enfonce complètement dans un heavy mélodique de seconde zone. Si l'album commence fort bien avec un très bon "The shining", le reste est bien loin de se maintenir à ce niveau. On navigue dans un heavy mélodique lorgnant parfois vers le hard FM d'un niveau totalement anecdotique où la patte de Tony Iommi est à peine reconnaissable! Sortir un album aussi anecdotique pour un groupe comme BLACK SABBATH qui avait fait preuve d'une personnalité extrêmement forte dans les 70's, qui avait su se montrer très novateur, est un comble qui ne pouvait que les mener à un échec retentissant.

Quand l'on voit les sorties de l'époque, des groupes comme IRON MAIDEN, JUDAS PRIEST, WHITESNAKE, etc qui sont à leur sommet, BLACK SABBATH parait totalement largué : complètement dépassé sur le plan du heavy metal pur et dur, largué aussi par la jeune garde du doom metal, pas du tout crédible quand il tape dans le FM...The Eternal idol ne pouvait qu'engendrer moqueries et sarcasmes. Et le temps n'y fait rien : quand l'on replace cet album dans son contexte, il ne peut que souffrir de la comparaison, et même en faisant fi de ce contexte, force est de constater que les compositions n'ont rien de bien extraordinaire, tout au plus agréable...c'est à peine si l'on reconnaîtrait que c'est du BLACK SABBATH.

Et cette période sombre durera bien trop longtemps : The Headless cross lui est un peu supérieur mais de pas beaucoup, seul l'album Tyr, grâce à son souffle et à son caractère épique apporte quelque chose de réellement intéressant, le groupe s'enfoncera ensuite avec les pauvres Cross purpose et Forbidden. (quant à la parenthèse Dehumanizer, je n'ai jamais trouvé cet album extraordinaire mais le Sab retrouvait quand même un peu de son superbe avec cet album très doom).







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