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The SUITE UNRAVELING
THE SUITE UNRAVELING


Le 03 Mars 2015 par LE ZORNOGRAPHE

Salut,
Petite correction : contrairement à ce que leur nom pourrait laisser croire, Les Rhinicéros ne sont pas un groupe français mais bien américain, originaire de Washington plus précisément.
lesrhinoceros.com/

Ceci dit, bonne chronique !

Le Zornographe





ELECTRIC WIZARD
TIME TO DIE


Le 03 Mars 2015 par MALEFICS


Ha enfin une personne avec un avis positif sur cet album!!! Parce que quasiment partout j'ai vu des avis négatifs sur la toile. Mais merde à la fin c'est un bon album quoi! (voire très bon si vous aimez ce genre d'expérience) Je trouve même que cet album renoue un peu avec ce que fessait le Magicien électrique avec son trône de dope ou il posait ses fesses pour appeler ses fanatiques foncedé au T.H.C. . Et bin maintenant ça rigole plus il est temps de crever, crever quoi?!?!? désolé je vous entends mal, je crois avoir abusé sur cet album, bin pardi il est temps de crever vos putains de tympans!!!!!! En gros si vous aimez dopethrone et ...come my fanatics comme une drogue bein courez comme un zombie chez votre disquaire le plus proche. Donc je mets 3,5/5 parce que c'est vrai que ce n'est pas non plus l'album de l'année et qu'en vrai ça mérite qu'un 3 mais mince quoi moi j'ai envie de lui mettre 4 mais nan je fais le gars objectif et mettre 3 loupiote mais ne vous méprenez pas je le conseille grandement. PS: comment ça se fait que sa apparaît sur Forces parallèles avant Nightfall? comprend pas?





The STRANGLERS
THE RAVEN


Le 03 Mars 2015 par ZVLORG


Étrange de voir tant de monde associer The Raven avec La Folie ou Feline, les ambiances kraftwerkiennes du premier et le son plus poli du second les éloignent assez radicalement du style de The Raven. Le seul album qui s'en rapproche est Black And White, bien qu'il soit moins varié.
Enfin c'est un détail, pour ce qui est de l'album, le groupe arrive à maturité et offre à la planète un album fabuleux, s'appuyant sur l'évolution new wave de Black And White, ne retenant de sa hargne d'origine que le nécessaire et passant maître dans sa capacité à pondre des mélodies simples mais terriblement séduisantes.
Dès les premières notes de The Raven (le morceau), pas de doute on est en terrain connu, la bass bondissante de Burnel, le synthé futuriste de Greenfield dans la lignée de Curfew sur l'album précédent, une excellente entrée en matière! Ailleurs, la recette traditionnelle du groupe fait encore son effet avec Dead Loss Angelese, le très punk dans l'âme Nuclear Device, le sublime Duchess ou le sombre et délicieux Don't Bring Harry. Quelques morceaux originaux jalonnent aussi ce disque, comme le plus froid Ice (comme son nom l'indique), qui annonce le style electronique kraftwerkien de La Folie, la merveilleuse ballade valsante Baroque Bordello, sans doute mon morceau préféré de l'album, ou Shah Shah A Go Go et son subtil mélange entre sonorités orientales et électoniques! J'accroche beaucoup moins avec Meninblack, ce titre ne va nulle part avec ses voix traffiquées et annonce un peu les délires de l'album suivant, dans le style déroutant Genetix est meilleur, même si ce n'est pas ce que je préfère du groupe.
The Raven conclut parfaitement la première époque des Stranglers et s'impose comme le plus mature jusqu'alors, même si je le mets sur un même pied d'égalité en terme de qualité avec les trois précédents. Comme Black And White, il symbolise parfaitement la transition entre le punk à tendance moins abrasive et la new wave, une transition également très audible sur la trilogie mythique Pink Flag-Chairs Missing-154 de Wire. Bien que les Stranglers soient difficilement assimilables à la new wave au sens strict, leur contribution à ce genre et au rock alternatif est indéniable et leurs 4 premiers albums restent des références de ce que la fin des années 70 avait de meilleur (et pourtant mon préféré est La Folie!).





Les WAMPAS
LES WAMPAS VOUS AIMENT


Le 03 Mars 2015 par TERRY


"Gnia gnia gnia gnia gnia gnia gnia gniaaaaaaa c'est facile de se moqueeeeerrrrrr"
Une barre absolue pendant toute l'écoute, cet album ! sans doute le meilleur opus des Wampas. Pas très subtil, pas le disque le plus musicalement parfait, mais que c'est fendard !





YES
ANDERSON BRUFORD WAKEMAN HOWE


Le 02 Mars 2015 par GURTU


Personne n'a noté cet album,je m'y colle avec modestie.

Sans rejoindre les chefs d'oeuvre des débuts,je trouve cet opus excellent avec la réunion des musiciens du vrai "Yes"...

Quelques facilités et un peu d'emphase musicale parfois,mais vraiment une trés belle galette.





BLACK STAR RIDERS
THE KILLER INSTINCT


Le 02 Mars 2015 par RéPLICANT


Note un peu sèche mais dans l'ensemble la chronique met bien en valeur les faiblesses de cet album. Je dirais pour ma part que le chanteur chante trop, que la basse se fond trop dans le tout, que le batteur 'est trop carré et que le seul vrai point fort du groupe, Gorham, est trop en retrait. Cela donne un album pas assez bon. Don't ask me why Jack ...





John MELLENCAMP
SCARECROW


Le 02 Mars 2015 par ZVLORG


En grand amateur de Bruce Springsteen je ne pouvais qu'apprécier un tel album, symbole de ce bon rock américain qu'on souhaiterait voir demeurer intact au fil des époques!
Après un Uh-huh assez hard rock 'n' roll, John Mellencamp prend clairement le virage heartland avec Scarecrow, moins d'énergie (en dehors de Rock In The USA qui évoque le style de l'album précédent) mais bien plus d'émotion! Le "tube" Small Town est réussi, plein à craquer de ces belles mélodies springsteeniennes, tout comme Rain On The Scarecrow, et ailleurs Minutes To Memories, Justice And Independance ou Lonely Ol Night font également forte impression dans un style plus enjoué!
En cette année 1985, difficile de ne pas rapprocher ce très bon album de John Mellencamp avec le récent succès de Born In The USA, les deux albums jouent en effet dans le même registre, Scarecrow réussissant même à sonner plus fidèle aux sources en raison de l'absence de synthétiseurs. En tout cas, si le boss reste maitre en la matière, Mellencamp s'impose comme l'une des figures de proue du rock à la sauce américaine, étalant son talent pour la mélodie touchante et les textes sincères, le tout jouissant d'un constant et imparable entrain, une référence incontestable du genre!





The BYRDS
SWEETHEART OF THE RODEO


Le 02 Mars 2015 par ZVLORG


Chronique un peu dure, certes l'audace de 5th Dimension est bien loin, l'absence de David Crosby est pesante, mais Sweetheart Of The Rodeo réserve des moments très agréables. Bien entendu, pour cela il faut aimer la country, et en bon amateur de country je prends un vrai plaisir à savourer des morceaux comme I Am A Pilgrim ou You're Still On My Mind.
Cependant, je ne montrai pas au dessus de 3/5, car la prise d'initiative est quasi absente et le groupe ne fait que répéter ses gammes dans un style vieux comme la guerre de sessession, mais pour passer un bon moment et oublier qu'on s'ennuie ferme en 2015, Sweetheart Of The Rodeo est parfait! Après je comprends qu'un album aussi rétro suscite la déception, il y avait clairement mieux à faire en 1968 au moment où l'effervescence psychédélique de 66-67 commençait à être digérée et où les grands courants de la décennie suivante prenaient forme (hard rock, heavy metal, progressif, expérimental...)
PS: la country n'est pas née aux États-Unis au sens strict mais en Irlande, et elle a été amenée en Amérique par les nombreux immigrés irlandais au 19ème siècle, d'ailleurs la folk irlandaise et la country américaine ont beaucoup de points communs, sans doute pour ça que les Irlandais sont les seuls en Europe à raffoler massivement de country.





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 02 Mars 2015 par ZVLORG


Yes en pleine gloire, Yes peut tout se permettre! Seulement trois titres composent ce Close To The Edge, un pari risqué mais réussi!
Le morceau-titre Close To The Edge est juste l'un des meilleurs morceaux jamais écrit par le groupe, absolument chaque passage est renversant, l'intro complètement barré ultra-technique, les douces mélodies qui viennent ensuite, ce sublime passage à l'orgue, et surtout en point d'orgue (oui) ce solo monstrueux de Rick Wakeman, bien épaulé par le reste de l'orchestre. And You And I de son côté fait partie de cette catégorie de ballades rêveuses dont Yes a le secret, un poil gnagn-gnan mais tellement magnifique! Et pour finir, Siberian Khatru nous permet de resavourer le Yes groovy tant apprécié sur Roundabout, Steve Howe se déchaine littéralement sur ce morceau, emplissant de complexité un morceau a priori plus accessible.
Yes est donc au sommet de son art avec Close To The Edge, certes le côté attendrissant du Yes Album ou les riffs tranchants que contenait Fragile sont absents, mais Yes comble le manque avec un style ambitieux et en tous points jouissif. Dommage que le groupe se soit laissé emporter par son ambition sur l'album suivant, nettement moins digeste malgré plusieurs passages de qualité.





The STRANGLERS
BLACK AND WHITE


Le 02 Mars 2015 par ZVLORG


Un album de transition effectivement, les Stranglers modèrent leur recette punk baroque des deux splendides premiers albums et introduisent des sonorités plus fururistes qu'on peut assimiler à de la new wave (Curfew, Toiler On The Sea), tout en gardant une partie de leur pêche habituelle (Tank, Sweden) et aérant le tout avec quelques surprises bienvenues comme le presque reggae Nice 'n' Cleazy ou la sublime ballade Outside Tokyo, évoquant ce que le groupe fera par la suite. Certains préféreront le chant plus gueulard et les claviers manzarekiens de Rattus et No More Heroes au chant plus feutré et aux synthés pré-80s de Black And White ou The Raven, mais force est de constater que le quattuor tire son épingle du jeu dans les deux cas. Toujours aussi imprévisible, son style à part lui a permis de rester en marge des grandes vagues, punk d'abord puis new wave, et demeure aujourd'hui comme l'une des formations les plus fascinantes de cette période charnière fin 70-début 80.





PJ HARVEY
RID OF ME


Le 01 Mars 2015 par LONG JOHN SILVER


Excellente chronique. C'est vrai que Polly Jean possède un talent fou.
Dry est excellent, j'aime moins celui-ci, je suis moins séduit que secoué, mais c'est le haut du panier. Et c'est vrai que c'est dur dur d'être une "meuf" dans ce cirque.
Perso, mes préférences vont vers ce qui est le plus controversé chez la dame,plus vers l'an du bug en gros.





Diana KRALL
WALLFLOWER


Le 28 Février 2015 par JF LE COAD

mouais ! bien décevant en comparaison des albums comme "When I look in your eyes" , "The look of love" "live in Paris " ou "The girl in the other room" ( tous très différents). Sans doute il y avait-il des contrats à honorer ?





The GATHERING
MANDYLION


Le 28 Février 2015 par DJINN


Il y a bien un parallèle à faire avec PARADISE LOST, tant sur les débuts doom/death que sur la transition métal gothique. Les deux groupes s'essaieront aussi plus tard à des choses plus pop. Les autres références données ne sont soit pas death, soit pas doom.
Tarja est une chanteuse d'opéra professionnelle, et Sharon n'est pas une chanteuse d'opéra. Est-il besoin de les abaisser pour souligner les qualités vocales d'Anneke ?

Pour ma part, c'est le sommet du groupe, et le seul disque de THE GATHERING que j'écoute. La lourdeur très particulière des guitares disparaîtra avec Nighttime Birds et la suite n'a pas vraiment de lien avec le metal, ni beaucoup d'originalité.


Par Forces Parallèles

Hello,
Petit post pour rétablir certains petits détails : DEATH et MORBID ANGEL sont des groupes de death - c'est le moins qu'on puisse dire -, CANDLEMAS est indubitablement un des parrains du doom, et même si PARRDISE LOST a eu plusieurs carrières on peut toutefois les affilier sans problèmes aux deux scènes.

FP se situe dans une optique généraliste, notre propos n'est pas d'opposer les diverses églises constituant l'énorme édifice du Metal lourd, pour cela, NIME s'impose à la perfection comme le meilleur site Francophone. Donc Death, Doom, Thrash ou Black seront traités sous le genre "Heavy Metal" sans plus de distingo.

De plus je me permet de préciser que Tarja TURUNEN n'est pas une chanteuse professionnelle d'opéra, elle a eu une fromation classique, mais gagne sa vie comme chanteuse de rock, elle n'avait d'ailleurs que 19 ans lorsque NIGHTWISH s'est formé. Un album de chants de Noël n'est cependant pas un album opératique... Elle collaborre avec Tatgren de HYPOCRISY ou la metal queen DORO, elle est donc clairement affiliée à la scène metal, pas du tout classique.

Concernant les comparaisons, je ne vois pas en quoi Aigle Blanc manque de respect à Tarja ou Sharon dans sa chronique, je cite "Ses consoeurs bénéficient d'un organe vocal charmeur dont elles abusent sans grande originalité". Et quand bien même, il n'engage que son opinion.

Bien à toi
Erwin





TANGERINE DREAM
ALPHA CENTAURI


Le 27 Février 2015 par AIGLE BLANC


En ce qui me concerne, je trouve Alpha Centauri passionnant. Mais je suivrai le conseil de ARP2600 et je jetterai deux oreilles sur le Cluster 71 afin de comparer les deux œuvres.





DURAN DURAN
THE WEDDING ALBUM


Le 27 Février 2015 par ESKAPEESKAPE


J'ai découvert cet album à sa sortie et je l'ai trouvé très bon. En effet, il fédère parfaitement les différentes périodes de Duran Duran, de leurs débuts synthétiques à leur apogée brit pop. On est en terrain connu mais l'album est frais et étonnant.
Je trouve cet album beaucoup plus profond que ce que Duran Duran a pu produire précédemment.





MOTÖRHEAD
MOTöRIZER


Le 27 Février 2015 par LE OUISTITI


Grand merci Red One pour la petite histoire de la pochette, que je trouvais de prime abord assez faiblarde.

Ton commentaire me la fait voir sous un nouveau jour, et le disque est quoiqu'il en soit fort... vrombissant, comme tout bon disque du dieu Lemmy se doit d'être ;-)






ALICE COOPER
RAISE THE DEAD : LIVE FROM WACKEN


Le 27 Février 2015 par LE OUISTITI


Comme toujours l'on apprécie la prose piquante du pirate, pour un mort-vivant plus alerte que jamais, sacré Alice!

Je vous trouve bien frileux les "jeunes" devant certaines petites répliques grinçantes de cette chronique, faut-il donc désormais taire tout commentaire caustique, toute ironie, toute pique (in)volontaire contre tel ou tel genre afin de satisfaire vos (nos) petits cœurs tendres?

On parle de musique, pas de massacrer des ethnies minoritaires dans une dictature lointaine, cessez d'être aussi arc-boutés dans vos poses de fan-boys, et comprenez un poil le sens du texte et la volonté du chroniqueur de faire ressentir ses impressions en écoutant un disque.

Qui n'a jamais eu l'impression en se fadant une galette que cette dernière enfonçait - musicalement et artistiquement - tout ce qui l'a précédée?
Peu importe que ce soit vrai, vu que le chroniqueur n'est pas objectif (il chronique ce qu'il veut selon ses goûts, donc subjectivité donc mauvaise foi donc parti-pris, que nous lecteurs pouvons contrebalancer via les commentaires).

Par contre je suis outré/offusqué/au bord de vomir mes boyaux par la diatribe de fin concernant Tokio Hotel, c'est vraiment honteux de taper ainsi sur un groupe aussi essentiel et majeur à la musique rock contemporaine... frustré de pirate tiens, !!!





SUPERTRAMP
SUPERTRAMP


Le 26 Février 2015 par MR TINKERTRAIN


Entierement d'accord avec Buko, une certaine douceur triste se dégage de ce chef d'oeuvre Prog 70's. Pour moi il s'agit certainement d'un des 2 ou 3 meilleurs albums du groupe. Les musiciens sont au top, les compos aussi.





Diana KRALL
WALLFLOWER


Le 26 Février 2015 par TEEMO

Le temps où Diana Krall faisait de la musique intéressante est révolu depuis bien longtemps. Aujourd'hui, quand elle ne joue pas avec un orchestre chiant et mou au possible, elle se lance dans des compo pop sans aucune saveur...
Pourtant, quand on écoute le live à Montréal datant de 2004, on ne peut s'empêcher de penser qu'un sacré potentiel est exploitable. Des impro géniales presque digne du grand Nat "King" Cole, une voix vibrante, des accompagnateurs talentueux !
Mais ça, c'était il y a 10 ans. Le chemin qu'elle a emprunté propulse l'artiste dans le vaste monde de la musique-kleenex, de la soupe pour faire pleurer dans les chaumières... un schéma de carrière musicale qui n'a finalement rien d’inhabituel !
"Wallflower" s'inscrit complètement dans cette démarche easy-listening lisse et dénuée d'inspiration.





The BEATLES
THE BEATLES 1967/1970


Le 26 Février 2015 par MKR

LONG JOHN SILVER, un commentaire comme le votre me fait plaisir : exprimer son avis sans haine apparente est une des plus belles choses qu'une discussion puisse connaitre (ce n'est pas de l'ironie soyez en sur!).
Pour répondre à votre commentaire, vous dites que je me porte en fan de Zappa ou de Captain Beefheart. Ce n'est pas exactement le cas. Citer des albums ou phrases de ces artistes ne fait pas de moi un fan. J'ai cité Beefheart pour étayer mon propos et non pas pour créer une opposition.
Zappa aimait les Beatles mais disait aussi (et plutôt sérieusement d'ailleurs) que The Shaggs étaient meilleures que les Beatles. Mais n'allons pas sur le terrain de l'art brut, ce n'est pas le propos.
De plus, ce n'est pas parce que certains artistes aiment un autre artistes que ce dernier à une influence réelle sur lui. On le voit dans toute la sphère musicale et il serait idiot de le nier.
je ne partage pas une théorie de l'arnaque, c'est une réflexion mûrement menée et qui se veut plutôt objective à mon sens (bien que ma subjectivité aille aussi dans ce sens, je vous l'accorde).
Je ne vois rien d'autre à rajouter et je vous remercie de ce bref échange!








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