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BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par FEELGOOD


Headless Cross, c'est une évidence universellement partagée, constitue l'une des pièces maîtresses de Black Sabbath, et même l'une des pierres angulaires du Metal, au même titre que Paranoid, Master Of Reality et Heaven And Hell.
Digne successeur des chefs-d'oeuvre d'antan, il relança brillamment la carrière du groupe et lui permit d'aborder la nouvelle décennie avec toute la sérénité requise. Surtout, il réinstalla le Sab' au sommet, sur le trône qu'il n'aurait jamais dû quitter.
Un accueil critique dithyrambique et un affolant succès commercial écrasèrent irrémédiablement la misérable concurrence. La triomphale tournée américaine qui suivit enfonça majestueusement le clou.
Quant à Tony Martin, il demeurera pour beaucoup le chanteur ultime du Sabbath Noir, le seul d'ailleurs à pouvoir ressusciter sans ridicule aucun aussi bien les titres de la première période que ceux des années Dio, faisant par là la démonstration incontestable de son éclatante supériorité...


Par Forces Parallèles

Tous les goûts sont dans la nature, cher ami.
Je positionne moi-même "Headless cross" au sommet de la hierarchie des disques du SAB, juste derière "Sabotage"...
Merci pour ta fidélité et ton humour.
Erwin





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par POWERBEAUF

Disons qu'au-delà du fait que l'album soit court ("Tyr" fera la même longueur, et "Forbidden" 2 malheureuses minutes de plus), c'est surtout le fait qu'il n'y ait que 22 ou 23 minutes de très bonne musique. Cela fait maigre, surtout vu la concurrence de l'époque.

Merci du tuyau pour "Cloak and Dagger". Je viens de l'écouter sur youtube. C'est un bon titre. Bizarrement, il sonne comme une chute de studio de "The Eternal Idol". A plusieurs endroits, la ressemblance avec des parties de guitares de "The Shining" et de "Glory Ride" est troublante. De même, l'ambiance est plus proche de cet album que de "Headless Cross".

En tous cas, j'attends avec impatience la réédition pour pouvoir ré-entendre ce disque sur un support original (l'édition originale est épuisée depuis longtemps et ne se trouve qu'à prix d'or en occas'). Il y a quelques semaines, je suis tombé sur un exemplaire en vinyl à un prix raisonnable dans une convention, mais l'état du 33T ne m'a pas inspiré confiance. Espérons que les bonus vaudront le coup, car le moins que l'on puisse dire, c'est que les CD bonus de cette vague de réédition sont d'intérêt très inégal...





BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par RED ONE

@ POWERBEAUF :

Il est vrai que cet album est malheureusement trop court pour l'époque, je comprends la critique. Les albums de BLACK SABBATH suivants corrigeront quelque peu le tir en termes de longueur ...

Pour info, il existe une neuvième chanson issue des sessions d'Headless Cross, "Cloak And Dagger", qui n'était disponible que sur la version picture vinyle de l'album. Il n'est pas impossible qu'elle soit incluse sur la future édition deluxe de l'album, dont la sortie est toujours attendue pour l'année prochaine ...






BLACK SABBATH
HEADLESS CROSS


Le 13 Mars 2012 par POWERBEAUF


Que n'avais-je lu d'inepties au sujet de cet album avant qu'un copain me prête ce CD, en 94 ! A se demander si les journalistes de la presse spécialisée avaient des oreilles ou un minimum d'honnêteté... Alors, certes, Tony Iommi avait tout fait pour faire fuir la presse et décrédibiliser le nom de BLACK SABBATH (notamment en allant jouer en Afrique du Sud, alors que ce pays était considéré comme infréquentable pour d'évidentes raisons, à l'époque), mais quand même !

Après une intro brève et inintéresante, on a droit à 4 titres fabuleux : l'immédiat "Headless Cross", porté par un riff d'anthologie et un superbe solo de Sir Iommi, ainsi que par la voix d'or de Tony Martin ; l'immédiat "Devil & Daughter ; le génial et épique "When Death calls" (quelle ambiance et quel solo !) ; et le mésestimé "Kill in The Spirit World", au break splendide débouchant sur un solo lumineux...

18 ans après, je reste toujours admiratif à l'écoute de cette première moitié du disque. Le problème, c'est que le reste du CD est loin d'être du même calibre. Le dernier titre, avec ses paroles répétitives et ses solos multiples, sent carrément le remplissage et la volonté d'atteindre à tout prix les 40 minutes réglementaires de musique... 40 minutes, cela passait en 1983, mais plus en 1989 : avec l'essor du CD, la durée des albums s'est allongée et des tas de groupes proposaient des albums de Hard ou de Heavy d'excellente qualité de 50 minutes et plus, à cette période. De ce fait, et malgré un net mieux par rapport aux albums précédents de BLACK SABBATH, je ne peux pas mettre plus de 4/5 à cet album. Si seulement le groupe avait pris un peu plus de temps et essayé d'écrire 2 ou 3 superbes titres de plus pour ce disque...






Alan STIVELL
RENAISSANCE DE LA HARPE CELTIQUE


Le 12 Mars 2012 par WALTER SMOKE


En voilà un album magnifique ! Il faudrait être fada pour l'ignorer ! Mon seul regret concernant cet album, c'est que, à part Chemins de terre, c'est le seul album d'Alan Stivell que je connaisse...





SCORPIONS
MOMENT OF GLORY


Le 12 Mars 2012 par POWERBEAUF


Cet album est décevant. Réglons d'emblée la pseudo-polémique concernant le premier groupe de Hard ou de Metal ayant collaboré avec un orchestre : DEEP PURPLE l'a fait dès 1969... RAGE l'avait également fait dans la 2è moitié des années 90.

Concernant l'album en lui-même, pas grand chose d'inoubliable. Des classiques déjà entendus des milliers de fois, un medley sympa, une assez bonne surprise ("Crossfire"), et un immense moment de niaiserie (la plage titulaire)... Les arrangements de Kolonovits sont plutôt réussis, mais au final, n'apportent pas grand chose à des titres qui restent taillés pour les murs de Marshall des stades olympiques.

La version DVD est un peu plus intéressante, car un poil plus étoffée et rehaussée par la présence visuelle de l'excellent Ray Wilson et d'une chanteuse à la tenue fort affriolante...
Malheureusement, il faut aussi se fader 2 fois la chanson-titre...





GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par JOVIAL


@SB

Merci pour ton avis, ça fait toujours plaisir.

Flying Teapot est très bon album, et personnellement je le trouve meilleur qu'Angel's Egg. Toujours aussi délirant, mais un peu moins que Camenbert Electrique, assez proche d'Angel's Egg et de You, mais à mon avis bien moins décousu.

Je me chargerai de la chronique, un jour ...





GONG
ANGEL'S EGG


Le 11 Mars 2012 par SB


J'aime vraiment beaucoup cet album. Je l'ai découvert après You, que je trouvais ultime. En fin de compte je pense que j'ai une préférence pour ce Angel's Egg.
J'aime beaucoup ce mélange de styles et les passages plus planants sont jouissifs.

Bref une très bonne surprise.

Je ne connais pas encore le 1er opus "The flying Teapot", comment est-il par rapport aux deux suivants ?





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 11 Mars 2012 par FRANCK


Pas du tout d'accord avec la chronique.
Cet album est très bon et casse la baraque bien plus que bon nombre de ceux qui ont été enregistré avec Samy Hagar. Du Van Halen old school non seulement mais d'une fraicheur certaine tant David semble renaître de sa voix chaude et méga puissante sur cet album.
Je ne pense pas qu'il n'y aura que les puristes de la premières heure qui aimeront.
Jetez-vous sur " A Different Kind Of Truth " !!!





EMERSON, LAKE & PALMER
WELCOME BACK MY FRIENDS TO THE SHOW THAT NEVER ENDS


Le 11 Mars 2012 par TERRY


Long, très long, trop long, même, probablement... Mais quel live, sinon !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par ALBIRéO


Tel titre est une ressuçée, tel autre un fond de tiroir et celui-là fleure trop le big rock californien....

ET ALORS ?!

M'en tape : pour moi, la mayonnaise VH 80' sur la forme, mélodies bien senties et (surtout) plaisir procuré est carrément enthousiasmant !! Les considérations comparatives et étiquetantes m'ont toujours ennuyé.

Chaque titre possède son identité, sa surprise, son petit plus. Un jeu de guitare carrément intergalactique et un rien barré, un chant somptueux, une rythmique basse/batterie vraiment bandante et, sur le fond, des compos bien fichues, même si elles ne sont pas, c'est vrai, toutes au diapason.

Mes préférées : "You and your blues", "As is", "Stay frosty".





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
BAYOU COUNTRY


Le 10 Mars 2012 par TONTON CLEM


CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL, c'est l'essence même du vrai rock américain. Bien sûr, d'autres grands groupes de l'époque tels que les DOORS ou les STOOGES pourraient aisément rivaliser, l'un dans un style plus psychédélique et l'autre dans une approche plus punk. Mais j'accorde une affection plus particulière à ce quartette de Berkeley, faiseur d'albums devenus cultes et de tubes incontournables.

J'ai découvert ce groupe un peu sur le tard par le biais de "Bayou Country", leur deuxième album. Il fait chaud, l'atmosphère devient oppressante, la moiteur envahit la pièce lorsque les premières notes de "Born On The Bayou" se font entendre. Quand j'entends pour la première fois la voix puissante de John Fogerty, je n'en reviens pas. Moi qui craignais quelque chose de trop mâtiné de blues (car susceptible de me casser les coucougnettes), me voilà rassuré. Fogerty a un timbre de voix qui en jette véritablement. Ce riff hypnotique et cette rythmique sans relâche, bref, tout d'un futur classique. Juste énorme.

"Bootleg" qui suit n'a rien de tellement extraordinaire, on relèvera juste une session guitaristique efficace. "Graveyard Train", titre bluesy aussi long qu'une ligne de chemin de fer s'étirant sur toute la surface Est-Ouest des Etats-Unis, est une bonne dose de repos avec ses accords à 6 notes qui s'enchaînent et son petit harmonica qui fait toute la différence. On revient à du survitaminé avec une reprise jouissive de Little RICHARD ("Good Golly Miss Molly") qui donne furieusement envie de taper du pied. En plus, Fogerty nous sert des soli ébouriffants sur ce morceau.

"Penthouse Pauper", qui se veut moins rock 'n' roll que le titre précédent, demeure très sympathique. Et là, un sentiment de plénitude et de parfaite relaxation m'envahit à l'écoute de l'une de mes chansons préférées, tous styles confondus. "Proud Mary" est une composition magique, maintes fois reprise mais jamais égalée, ce grand standard à l'amour des bateaux voguant sur le Mississippi est un vrai régal car ultra-mélodique et entraînant. C'est que du bonheur. Enfin, l'énergique "Keep On Chooglin'" finit d'achever ce disque atypique en laissant place à un véritable marathon instrumental.

7 morceaux seulement, mais ce "Bayou Country" contient pléthore de tubes qu'il serait vache de laisser passer. En effet, CCR accouche là d'un album remarquable à l'ambiance très particulière, on a presque l'impression que le groupe s'est enregistré en extérieur... La pochette en témoigne, d'ailleurs je cherche toujours à reconnaître qui est qui sur cette photo zarbie. On est purement dans le Bayou, quoi !

Morceaux favoris : "Born On The Bayou", "Graveyard Train", "Good Golly Miss Molly", "Proud Mary".





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 10 Mars 2012 par STEF 15F


Album plutôt positif que négatif pour ma pomme !
Un disque dans la tradition et dans le style du groupe.
Le son est cependant un peu "saturé", ce qui attenue la guitare d'Eddy et l'ensemble des compos.
Un petit 4, ou un gros 3... de toute façon, à avoir dans sa collection de Van Halen !





VAN HALEN
A DIFFERENT KIND OF TRUTH


Le 08 Mars 2012 par LEO


Moi je le trouve pas si mal que ça ce nouveau VAN HALEN!
Certes, il ne vaudra jamais les 4 grands premiers albums que le groupe a sorti entre 1978 et 1981, mais il est tout de même plusieurs crans au dessus du pitoyable "Diver Down" et a bien plus de pêche que le moyen "1984" (ce dernier, majoritairement englué de synthés).
Les points forts: le groupe semble avoir toujours la pèche après toutes ces décennies et a globalement choisi de repartir vers un son et des compos plus agressives et non sur la voie de la facilité pratiquée sur "Diver Down" et "1984" ou dans les albums de la période Hagar.
Les points faibles: un album qui aurait mérité d'être plus court (comme à l'époque du vinyl) en retirant certains titres plus faibles comme le peu palpitant Tattoo (bizarre d'avoir sorti ce morceau en single!) ainsi que les bouche-trou As Is et Honeybabysweetiedoll (trop bordéliques à mon goût et faisant office de remplissage!). je suis également partagé sur le final en demi-teinte, Beats Workin'. en revanche, et contrairement à GEGERS, je trouve que She's The Woman et Big River font partie des morceaux les plus réussis et accrocheurs de l'album! (et concernant ce dernier titre, je ne vois pas du tout de similitude avec Panama!!! si comparaison sonore il y avait à faire, elle aurait plus avoir avec le 1er album).
J'ai aussi le sentiment que pas mal de compos ne sont pas totalement abouties, comme si il manquait quelque chose au niveau des structures et des arrangements..... le bilan pour moi est donc mitigé mais penchant plutôt vers le positif même si je suis très loin dêtre emballé totalement!





CHEVEU
1000


Le 07 Mars 2012 par GG


Belle découverte. Un excellent album, sans fioritures, ça va droit au but tout en restant bien psyché. J'ai pas écouté le premier mais 1000 me semble imbattable.





GROUNDATION
HEBRON GATE


Le 07 Mars 2012 par KEULIN

Sacré bon album effectivement. Juste équilibre entre maîtrise du son et "fraicheur" de l'ensemble, ce qui n'est pas toujours le cas avec le mixage des albums de groundation, souvent un peu timides...





CREAM
ROYAL ALBERT HALL LONDON MAY 2-3-5-6 2005


Le 07 Mars 2012 par JF LE COAD


Dans un Cd de Cream on écoute en priorité spoonful; et là c'est le choc immédiat. Le premier roulement de batterie de Ginger Baker vous soulève le poussière de votre parquet . Le ton est donné , enregistré en 2005 , cet enristrement est d'une remarquable qualité . Un grave profond qui met en évidence la puissance de la batterie , avec les temps forts remarquablement bien marqués ( souvent la caractéristique des batteurs de jazz); une spatialité remarquable , on sent la salle dans sa réverbération ;une prise de son très informationnelle sans tomber dans le clinquant.
Au premier abord, le live de "wheels of fire" peut paraître un peu terne , souffrant de la comparaison en termes de qualité d'enregistrement. Mais il faut reconnaître qu'en 2005, Clapton et Bruce n'ont plus leur niveau de 1968.On ne sent pas la même hargne.
Le spoonful de "wheels of fire" est remarquable dans ses développements où Clapton et Bruce se" tire la bourre" à des niveaux phénoménaux.
Il est évidemment intéressant d'écouter les versions de "spoonful" de Ten years after, surtout celle du "live at the fillmore east", pour apprécier les différences de style des guitaristes respectifs.





THIN LIZZY
JAILBREAK


Le 07 Mars 2012 par JF LE COAD


j'ai essayé ... mais ce CD n'arrive pas à m'engendrer d'émotions particulières.
Peut-être que tout y est trop parfait techniquement , trop lisse.





BLUE ÖYSTER CULT
SPECTRES


Le 07 Mars 2012 par FEELGOOD


Tentative notoire de renouer avec le succès commercial de l'album précédent, ce Spectres, fort bon au demeurant, peine parfois à atteindre ses objectifs, à cause essentiellement d'une incapacité à surprendre son monde, le groupe commençant alors à donner dans une sorte de ronron FM.
Le disque se partage entre hymnes efficaces au potentiel commercial certain, censés séduire les radios américaines (Godzilla, R.U. Ready 2 Rock, Goin' Through The Motions, une collaboration avec Ian Hunter) et compositions plus atmosphériques et aventureuses ( l'apaisée Death Valley Nights, Celestial The Queen, la superbe I Love The Night et l'étrange Nosferatu).
Erwin insiste avec raison sur la qualité stupéfiante des interventions de Donald Roeser, toujours pertinentes et inspirées, jamais bavardes.
Je m'étonne cependant qu'il n'ait pas mentionné ce qui constitue à mon sens l'un des sommets du disque, l'halluciné Golden Age Of Leather, sorte d'hymne de bikers défoncés à la mescaline, où se côtoient les fantômes de Steppenwolf et du BÖC des premiers temps.
Un album de grande qualité qui aura cependant du mal à égaler le triomphe d'Agents Of Fortune, en dépit d'une promo conséquente axée sur les fameux lasers de la pochette et de la tournée qui suivit.

3,5 sur 5 (arrondis sans problème à 4).

Une question, pour finir: en quoi les membres du Cult seraient-ils des intellectuels, "toujours pusillanimes" ? J'avoue ne pas avoir compris ce passage.







Par Forces Parallèles

Merci pour ton analyse judicieuse Feelgood.
"Intellectuels pusillanimes" : cette appelation revêt pour moi la faculté des membres du groupe à savoir rebondir, changer de concepts, aborder des sujets souvent moins glamours que "Sex drugs and rock'n'roll", tout en ne se départissant pas d'une réelle qualité d'écriture tant au niveau des textes qu'au niveau des idées.
Et tu as rasion, j'aurai pu évoquer le paralléle -!!- entre le culte et STEPPENWOLF dont ils ont somptueusement repris le "Born to be wild".





PINK FLOYD
ECHOES: THE BEST OF PINK FLOYD


Le 06 Mars 2012 par POWERBEAUF


Une compilation forcément discutable, mais pas si mal foutue pour les néophytes, le grand public et les feignasses qui n'ont jamais eu l'audace de se faire leur best-of "maison".
Bien sûr, chacun regrettera de voir que tel titre a été oublié au profit de tel autre, mais bon, essayer de faire une compil' du FLOYD représente un sacré casse-tête. Pour tout dire, je me suis fait la même réflexion que Dark Panda la première fois que j'ai entendu l'enchainement "Learning to Fly"- "Arnold Layne", puis "Jugband Blues"-"High Hopes"-"Bike"...

Et pourtant, la matière est de telle qualité, et l'égalisation du son a été tellement travaillée qu'au final, l'ensemble s'écoute plutôt bien. L'amputation de certaines oeuvres peut faire râler, mais comme ce best-of a été réalisé avec la bénédiction du groupe... En fait, le plus incompréhensible est peut-être la présence d'un "Marooned" châtré et réduit à un simple rôle d'interlude. Pour le reste, pas grand chose à redire, à part un choix de titres qui différerait de mon best of idéal. Mais là, c'est évidemment subjectif. Ainsi, cela ne me gêne pas du tout qu' "Ummagumma", "More" et "Obscured by Clouds" aient été "oubliés"... J'aurais également volontiers troqué un "Jugband Blues" contre un titre de l'ère post-Barrett. Mais bon, quand on est au volant, ce double CD fait très bien l'affaire.







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