Le 22 Décembre 2011 par RED ONE

@ LEO :

Même si tu n'es pas d'accord avec l'avis d'une chronique, ce n'est pas une raison pour tenir des propos quelque peu vexants à l'encontre du chroniqueur qui l'a écrite.
Je rappelle en outre que les commentaires sont là uniquement pour évoquer l'album en lui-même et non le soi-disant manque de discernement de ceux qui en parlent au nom du site.

Pour revenir sur l'album en question, sache que j'écoute Deep Purple et WDWTWA depuis maintenant plusieurs années, et que j'assume totalement ma note. Je pense sincèrement qu'il s'agit d'un album moyen, bâclé, mais si tu relis bien ma chronique, tu verras que je n'en dis pas que du mal. Par ailleurs, mes très valeureux collègues Gegers et surtout Mastcard n'ont pas le même avis que moi et l'ont exprimé ouvertement dans leurs kro-express. Donc comme quoi tu peux aussi trouver des gens pour te rejoindre.

C'est aussi moi qui me suis chargé d'écrire les kro de Burn et de Stormbringer (qui vont paraitre sous peu), et si ça peut te rassurer, j'ai mis 3 à Stormbringer (j'étais même parti pour lui mettre 4), comme quoi je n'ai pas forcément non plus un avis "manquant de façon flagrante d'imagination" et "qui ressort toujours la même rengaine" ...

Modère un peu tes propos la prochaine fois quand tu n'es pas d'accord avec le chroniqueur ...

Le 22 Décembre 2011 par JF LE COAD

C'est bien mais quand on l'a écouté plusieurs fois, on trouve ça vite répétitif, boursouflé et ça traîne en longueur. Les morceaux ne se démarquent pas vraiment des versions studio, même si elles sont parfois meilleures.

Le 22 Décembre 2011 par IEN

?? !! Mais il est génial cet album !!
Peut être moins rentre dedans et direct que "Machine Head" et "in Rock", mais quand même certaine compos sont super bien faites. "Our Lady" est particulièrement sympathique.

Le 22 Décembre 2011 par BODU

Une traduction (gratos of course) de "Still life" ?
Par une ancienne étudiante en anglais reconvertie dans le journalisme puis dans plein de trucs honorables mal payés

NATURE MORTE

(l’expression « Still life » est très polysémique : c’est aussi « grand calme », celui de l’être ou des eaux profondes)

La citadelle* résonne de mille voix, maintenant éteintes,
« Que sommes-nous devenus ? Qu’avons-nous choisi d’être ?
Maintenant, toute histoire est réduite aux lettres de nos noms
— rien ne pourra jamais être pareil
Maintenant les Immortels sont là.

A l’époque le choix semblait pourtant raisonnable,
d’exploiter toute l’énergie vitale
sans la peur de la mort,
Mais bientôt nous avons compris que l’ennui et l’inertie n’étaient pas négatifs,
simplement la seule loi à notre portée,
et que les morts sont volonté et mots, comme les vivants.

Parvenir à être immunisé contre l’âge, la peur, la fin —
oh pourquoi fais-je semblant ?
notre essence se distille
et toutes les saveurs familières s’écoulent,
et même si notre intégrité est préservée,
nous voici nus,
traversant les millions d’années,
aussi près du rire que des larmes…
La vie, si l’on conçoit qu’elle n’est faite que de respiration, d’alimentation, de défécation, de baise,
et boire, vomir, dormir, s’enfoncer de plus en plus,
et en fin de compte tuer le temps -—
lequel n’a plus aucun sens.

Retirez la peur de la mort, et tout ce qu’il nous reste est un cercle d’illusions
Maîtrisons chaque souffle monotone, et même si on est finalement assommé par cette extase interminable,
C’est toujours l’anneau par lequel on espère s’engager
À épouser la fille qui nous donnera tout, à jamais
C’est fou, et tout simplement
Cela ne suffit pas

Quelle est cette douleur si sourde et diffuse
Au point que jamais mes yeux ne se ferment sans ressentir sa présence ?
Quel noir désespoir réclame des limites aux éléments de l’infini ?
Si nous avons tiré profit, comment maintenant payer le prix ?
Qu’avons-nous marchandé, qu’avons-nous perdu ?
Qu’avons-nous laissé à l’abandon, sans même se rappeler son existence ?

Quelle chance aujourd’hui de tenir fermement la corde
En défiant la mort et le temps ?
Tout ce que nous avions est parti,
Tout ce pourquoi nous avions peiné, et que nous avions préféré aux choses terrestres
Révèle maintenant les sons creux des faux espoirs et de la fausse délivrance

Mais maintenant le lit nuptial est fait, la dot est réglée
Les créatures de l’Eternité, édentées et hagardes
Me souhaitent la bienvenue entre les draps
Pour m’accoupler avec son corps desséché – ma femme
À elle pour toujours, à elle pour toujours, à elle pour toujours
Dans la vie immobile.


* Le terme désigne aussi le réduit d’un cuirassé, or la thématique sous-marine est très présente dans son œuvre – et l’enfermement d’une manière générale, en soi-même, dans la passion, la schizophrénie, la douleur d’être soi — ah ben il nous facilite pas les choses –. Finalement j’ai conservé le terme le plus courant (à prendre au sens propre ou figuré).

Le 22 Décembre 2011 par LEO

J'aime bien le manque d'imagination flagrant de la part des détracteurs de Fireball, Who Do We Think We Are et Stormbringer. Ils nous déballent toujours la même rengaine usée depuis des décennies!
Le premier album ne serait pas à la hauteur d'un In Rock, le second ne vaudrait pas Machine Head et le troisième serait indigne de Burn!!!
Que nenni!!! Tout ça c'est du pipeau car ces 3 albums mal-aimés sont bien au contraire au niveau de leurs mythiques et glorieux aînés, mais dans un tout autre genre. Car ce qui gêne avant tout ces messieurs-dames c'est le démarquage stylistique et l'audace dont font preuve ces 3 albums et de ne pas avoir collé aux standards habituels du groupe!
Ce qui me plaît justement dans Who Do We Think We Are (puisqu'il en est question ici), c'est l'aspect un peu progressif des morceaux, certes plus dans le fond que dans la forme puisque la structure des compos n'a rien à voir avec le genre. Il s'agit plutôt de la sonorité générale et de l'atmosphère distillée tout au long du disque qui me donne cette sensation.
Je trouve la production bien plus grosse par rapport à Machine Head. Ici la basse et la batterie sonnent plus grasse et grave, alors que dans l'album précédent elles avaient une tonalité bien plus médium (Paice et Glover ont mixé le 33t, ce qui expliquerait peut-être cela).
DSKE a assez bien résumé l'aspect des rapports humains chez PURPLE.
Depuis leurs débuts en 68, les non-dits sont la manière de fonctionner lorsqu'un problème survient. De plus, cette tête de lard de Ritchie aime avoir le dernier mot et lorsque ses plans sont contredits, il va dès lors, soit se désintéresser de ce que pourront dire ou faire ses collègues ou bien leur pourrir l'ambiance. C'est ce qui s'est passé lors de l'enregistrement de WDWTWA puisque Glover et Gillan racontent que Blackmore faisait bande à part lors des répètes et des enregistrements (et hors studio également!), et que les rares fois où il avait des idées de riffs et que les autres embrayaient pour jammer dessus, il leur rétorquait qu'il gardait ses idées pour un éventuel album solo mais pas pour PURPLE! (j'imagine l'atmosphère et la gueule des participants dans le studio!!!).
Malgré cette ambiance pourrie, les 4 autres vont se démerder pour pondre un super disque qui évidemment reflètera l'humeur massacrante lors de ces séances! (en témoigne, les paroles de "Smooth Dancer" directement adressées à Ritchie... qui n'y verra que du feu!). En un sens, la tension générée et qui a déteint sur les compos, n'a pas été un handicap pour ce disque, puisque le résultat est à la hauteur de ce que le groupe pouvait proposer habituellement. Juste que WDWTWA est un peu plus noir qu'à l'accoutumée et qu'il a simplement traîné une sale réputation tout à fait injustifiée. Il serait grand temps de le réévaluer!

Le 21 Décembre 2011 par RED ONE

@ TONTON CLEM :

Je te rassure, mon cher Clem, je pense également la même chose. J'ai aussi trouvé cette photo glauque, Bénabar ne donne pas du tout envie d'acheter son disque, qui par ailleurs est une véritable soupière aigre ...

PS : j'ai aussi entendu des femmes dans un magasin de disques parisien mentionner le fait que Bénabar aurait du changer de coiffeur ...

Le 21 Décembre 2011 par PEINE à PART

Le single est une véritable tarte à la crème, c'est d'une nullité, ces paroles ! Il faut en plus supporter ces immenses affiches de l'intéressé placardées partout en ville. Insupportable !

Le 21 Décembre 2011 par TONTON CLEM

Je n'ai pas écouté l'album. Mais c'est moi, ou bien BENABAR se prend pour Malcolm McDowell dans "Orange Mécanique" sur la pochette de ses "Bénéfices du doute" ? A chaque fois que je m'arrête dessus, son regard me rappelle beaucoup l'intro du chef d'oeuvre de Kubrick. Il ne lui manque plus qu'une panoplie de droogie et un verre de Moloko... Mais peut-être que je suis le seul à le penser (arf).

Le 21 Décembre 2011 par LEO

Made In Japan est vraiment le meilleur album live enregistré par un groupe (tous styles et toutes périodes confondues), qui plus est en 1972 sur un 8 piste mobile à l'aspect 'épouvantable' selon les dires de Martin Birch qui ayant inspecté la bête avant le concert, n'espérait pas en tirer grand chose!
....et pourtant à l'arrivée, le son est impeccable et limpide sans sacrifier la puissance pour autant! (on entend parfaitement tous les protagonistes y compris le public qui manisfeste son enthousiasme bien légitime à la fin ou au début des morceaux)... et tout ça, sans retouches ultérieures!!!! (aucun overdubs!). qui dit mieux presque 40 ans plus tard???
Cet enregistrement en concert est franchement fantastique également quant à l'interprétation des titres! on sent que le groupe est toujours aussi fougueux malgré les mois passés en tournées à travers le globe (pourtant l'ambiance entre Blackmore et Gillan n'est déjà plus au beau fixe!).
Bon, je mettrais malgré tout un bémol à cet éloge!
La set-list est basée avant tout sur l'album Machine Head, qui est un très bon disque je ne le contesterais pas (bien qu'il ne soit pas mon favori), mais qui fait aussi l'impasse totale sur Fireball ("The Mule" sert ici plutôt de prétexte au solo de batterie de Ian Paice qu'à autre chose!) et 1 titre de In Rock est interprété (2 si l'on prend en compte le CD bonus qui contient le rappel avec "Speed King").
Secundo, cette propension chez PURPLE d'allonger démesurément leurs morceaux sur scène! cela peut être intéressant lorsque les musiciens ont des choses à exprimer, mais dans les cas de "The Mule" ou "Space Truckin'" je trouve ça tout à fait redondant, et pour tout dire, gonflant!
Ces quelques griefs me feront descendre ma note à 4, car malgré tout, ce live est exceptionnel et assez unique!

Le 21 Décembre 2011 par JF LE COAD

Un LP de led zep que j'ai beaucoup écouté lors de sa sortie et que je peux encore écouter maintenant contrairement aux autres Lp du groupe.
la voix de Plant moins haut perchée est nettement plus supportable et du coup la (les) guitare(s) descendent en tonalité prenant une sonorité plus grasse, plus épaisse. C'est du lourd et énergique , constant (moins basé sur le contraste explosif que le led zep I), ce qui est le domaine de prédilection du groupe; car dans d'autres( domaines) il y aura mieux ailleurs.
Titres préférés : "Achilles last stand" "Nobody's fault but mine" "tea for one" bon blues lent avec une superbe guitare (bon, on pourra dire que MC5 avec "motor city is burning" dans le live "kick out of the jams" déchire nettement plus dans le style blues lent).
2 titres moyens "royal orleans" et "Hots On For Nowhere" qui font que je ne mets "que" 4/5.

Le 21 Décembre 2011 par ISMA

Queen II constitue selon moi l'album de Queen le plus important.

Le 20 Décembre 2011 par LEO

Vrai, ce dernier LED ZEP n'est pas une totale réussite mais rien de honteux non plus!
En fait, même si je ne suis pas friand de "South Bound Saurez" et "Fool In The Rain", il n'y a vraiment que "Hot Dog" qui est totalement râté. Non pas forcément à cause du style rockabilly de la chanson et du chant de Plant plutôt bien senti, mais la faute à un Jimmy Page complètement à la ramasse quant à son jeu guitaristique hyper bâclé, autant en rythmique que sur le solo catastrophique!!! (bizarre que ce type pourtant réputé perfectionniste, ait laissé passé ça.... mais bon, à l'époque il était en pleine descente aux enfers avec la came et la tête ailleurs, donc rien d'étonnant finalement!).
Le mix de certains titres et surtout les claviers sont également un point faible sur cet album. John-Paul Jones a choisi des sonorités pour le moins étranges et incongrues, qui ne conviennent pas forcément aux morceaux! ("Carouselambra" et "All My Love" pourtant très réussis, sont entâchés par ses synthés vieillots).
Malgré ces quelques réserves qui auraient pu lui être fatales, In Through The Out Door n'est pas un mauvais disque au final, puisque 4 titres sur 7 retiennent mon attention (c'est plutôt une bonne moyenne).
"In The Evening" (avec son intro fantomatique et son mix cotonneux), "Carouselambra", la jolie ballade "All My Love" et l'excellent blues "Im' Gonna Crawl".

Le 20 Décembre 2011 par TERRY

Si on excepte "CODA", c'est probablement le moins bon Led Zep. Mais même s'il offre de vraies merdes ("Hot Dog", "Fool In The Rain"), ce disque reste quand même très bon. "I'm Gonna Crawl", "Carouselambra", "In The Evening" sont d'excellentes chansons. Le son est un peu daté, avec ces synthés qui sonnent un peu ringards désormais, mais dans l'ensemble, "ITTOD" est nettement meilleur que ce que l'on en pense généralement. J'hésite entre 3 et 4/5, ça sera 3,5/5 en réalité.

Le 20 Décembre 2011 par WALTER SMOKE

Ah, mon premier Depeche Mode...bon, comme bien des gens que je connais, j'avais entendu et archi-entendu Enjoy The Silence, mais Black Celebration fut ma vraie immersion dans la musique du groupe, et je n'ai pas été déçu, loin de là !!!

Sur la face A, les cinq morceaux sont mythiques, surtout l'ouverture éponyme, que je considère comme le meilleur morceau de DM (si l'on ne compte pas les neuf tueries de Violator, héhé); seul A Question Of Lust pêche un peu niveau qualité, mais il reste excellent.

Et la face B, alors ? Elle est encore plus géniale, ça c'est sûr ! Le trio A Question Of Time - Stripped - Here Is The House est à mon sens cultissime, et les trois dernières chansons ne déméritent pas, oh non !!!

Album culte, et conseillé pour découvrir Depeche Mode.

Le 20 Décembre 2011 par LEO

Presence est mon autre album favori de LED ZEP avec Houses Of The Holy.
Tout comme le cru 72-73, cette cuvée 75-76 est d'égale qualité tout du long et je ne retirerai aucun titre à ce superbe monolithe.
Dès "Achilles Last Stand", on s'aperçoie que le son et la production sont nettement meilleures et plus puissantes par rapport à "Physical Graffiti", qui pour le coup, donnait l'impression d'avoir été enregistré en direct avec très peu d'overdubs (ce qui n'était pourtant pas le cas!).
Autre point notable, Presence est le seul album du ZEP sans claviers ni guitare acoustique et mettant principalement l'accent sur l'électricité et la spontanéité du début à la fin, ce qui lui donne sans doute un peu moins de diversité et fait de ce disque un cas à part dans la discographie du groupe.
J'aime tout particulièrement "Royal Orleans" qui voit la formation revenir à des sonorités un peu funky tout comme "The Crunge" tutoyait l'esprit de James Brown sur "Houses Of The Holy".
Le très rock'n'roll "Candy Store Rock" sur lequel la reverb sur le chant de Robert Plant évoque Elvis Presley est également très réussi.
"Tea For One" rappelle le blues "Since I've Been Loving You" sur le 3ème album, mais je préfère encore ce morceau qui clôt Presence, pour sa sobriété guitaristique et vocale, sa constance instrumentale et, cerise sur le gâteau.... sa très courte intro de 20 secondes en complète opposition avec ce qui va suivre, mais tellement bien ammenée qu'elle procure encore son p'tit effet sur moi après toutes ses années!
Les excellents "Nobody's Fault But Mine" et "Achilles Last Stand" sont curieusement les 2 seuls titres de cet album à avoir été interprétés sur les tournées de 77 à 80, alors que les autres compos auraient pu s'intégrer avec bonheur dans la set-list (peut-être le manque de temps ou d'envie pour répéter les morceaux......)

Le 20 Décembre 2011 par DSKE

Le gros point faible de Deep Purple est non pas le talent ni les musiciens, c'est les rapports entre les membres ...
J'ai entendu dans des émission avec des interviews des membres, pour les chroniques de certains album, la façon dont Coverdale était entré dans le groupe, il était selon Ian Paice déja candidat lors du départ de Rod Evans, pas de chance, Ian Gillan lui était passé devant, et selon ses souvenirs il disait que Blackmore lui avait dit alors quelque chose comme "Je prends Ian, si il convient pas je te rappelle" ...
Et plein d'anecdotes du même style ou Blackmore traçait à la craie une ligne que le reste du groupe ne pouvait pas dépasser, ou bien ses dispute en plein live, etc ...
Sans compter les jongleries avec les différents membres du groupe, avec les fameuses nomenclatures uniquement pour Deep Purple les Mark I, II, III, puis allons y Ia, IIc, etc ... une vraie gare ce groupe ... il ne reste en fin de compte que Ian Paice comme membre d'origine ...

Donc évidement cet album-là enregistré en pleine tension entre Blackmore, Gillan et le reste du groupe, les problèmes de drogue et d'alcool de John Lord et les autres n'encourageant pas les projets de paix entre les membres, en plus ce stress classique de l'album suivant le "chef d'oeuvre" ... ou " il faut faire aussi bien voire mieux mais attention pas se répéter sinon ça fait réchauffé ..."

Donc c'est clair que cet album-là est loin d'être le résultat d'un groupe s'investissant à fond dans ses projets musicaux ...

Cela dit c'est pas vraiment un échec, en gros l'album est homogène, le son est très ressemblant à Machine head, juste le style est un peu plus léger et beaucoup moins élaboré ... pas bâclé, mais simplifié volontairement pour aller le plus vite possible entre 2 disputes ...

Le 18 Décembre 2011 par FRANCK

Cet album est le meilleur deuxième album d'un groupe, y'a pas photo. Je propose à l'auteur de la chronique de réécouter "Queen II " dans de meilleures conditions.

Le 18 Décembre 2011 par FRANCK

Je ne suis pas d'accord avec l'ensemble de la chronique pour cet album. Début des années 80, Queen sort plus que largement son épingle du jeu. L'arrivée des synthés en gêne beaucoup, qu'importe ! A sa sortie, il est bien reçu car les compos sont différentes de tout ce qui a été fait jusqu'à présent et ça sent le nouveau puisque Queen vit toujours aussi vite et bien avec son temps. J'ai adoré la première période (classique) du groupe mais " The Game " m'a procuré du bonheur... Il m'en procure encore aujourd'hui.

Le 16 Décembre 2011 par LEO

Je ne reprocherai jamais à KATE BUSH de ne plus refaire la musique qu'elle faisait à ses débuts, je me moque également qu'il n'y ait pas de rythmique dans ses compos ou que celles-ci soient langoureuses et soft (après tout, j'apprécie les oeuvres Ambient d'ENO, donc une musique dépouillée et monolitique ne me dérange absolument pas).
Je suis simplement désolé qu'elle ne fasse plus de bons morceaux tout simplement et qu'elle s'enlise dans des compositions molles et sans relief, et malheureusement, ce nouvel album ne fait pas exception à la règle. Règle qui perdure depuis bientôt 20 ans! (ça empire même, d'années en années!!!). Je ne sauverai donc rien de ce disque!

Le 16 Décembre 2011 par CROQUIGNOL

Si jamais, il existe un article très éclairant sur cet album à cette adresse:
http://culturopoing.com/Musique/Bjork+Biophilia+-4368