Le 10 Décembre 2014 par ZEKIKI

Personnellement, je trouve cet album vraiment génial ( à part peut-être Nutrocker ), très complet, très puissant, avec beaucoup de prestance. J'éprouve donc un petit pincement au cœur quand à ce 1/5 de la critique... Mais bon, c'est mon avis, je n'empêche personne d'avoir le sien.
Très bon album en définitive, je pense.

Le 08 Décembre 2014 par LEO

Que peut on attendre d'un album de PINK FLOYD en 2014 ?
Rien. tout comme on ne pouvait rien en attendre en 1994 ni dans les années 80.
Ce groupe (ou ce qu'il en reste) appartient définitivement aux 60's et aux 70's.
J'ai lu ici et là que The Endless River pouvait s'apparenter à de la musique ambient... !!! ben franchement, je ne trouve pas du tout ça proche de ce courant musical.
Si j'ai envie d'écouter de l'ambient, je vais pas me taper cet insipide machin mollasson, mais plutôt me passer du Steve Roach ou du Brian Eno (là au moins, j'aurai vraiment la sensation de planer, au lieu de m'emmerder tout du long !).

Le 07 Décembre 2014 par HUGO

Je serais bien incapable de donner une note à cette BO puisque je ne l'ai entendu qu'une seule et unique fois : pendant le film.
Le souvenir que j'en garde reste cependant assez extraordinaire puisqu'il me semblait que chaque musique collait parfaitement à la situation présente à l'écran alors quand j'ai vu que Zimmer avait composé tout ça sans voir une minute du film, j'avoue avoir été assez impressionné.
Et puis le film était cool aussi :)

Le 07 Décembre 2014 par DJINN

La musique est vraiment très très bonne. Mais contrairement à la plupart des fans de dinosaures 70's je ne pense pas que le live transcende les versions studio. Les parties instrumentales de Child in Time (même si... plagiées) sont très écrites et font que le titre est si fort. Les détourner pour faire free ne m'intéresse pas du tout. Et du solo improvisé y en a un peu partout sur ce disque.

J'aurais adoré être dans la salle, on prend son pied, mais je donne la priorité aux albums studio concernés.

Le 06 Décembre 2014 par EL PACHENKA

Ecouté que deux fois ! Ni bon ni mauvais ! Disque d'une saveur inexistante qui n'encourage pas à renouveler une prochaine écoute. Disponible dans tous les supermarchés.

Le 05 Décembre 2014 par HXC

Quant on sait comment ce groupe s'est lamentablement vendu, surtout à partir de leur 3ème album, au Thrash METAL (!!) le plus commercial et putassier, on se dit que ce groupe n'avait rien de Punk, ni surtout de sincère.
Cet album, de surcroit, n'est qu'à peine un honnête album de HxC, loin, très loin des véritables pointures du genre, MINOR THREAT, BLACK FLAG où les très originaux BAD BRAINS, entre autres...

Le 05 Décembre 2014 par DR JACK'ILL

Définitivement romantique et nostalgique, ce CD présente une Annie que je ne connaissais pas. Regardez la pochette, elle semble dire : salut les filles, vous voulez vous la jouer diva, ok on y va, mais pas sans moi… et voilà « bim » d’un revers de main, euh pardon, de voix, j’te balaye, les Mélodie, Diana et consorts. Une excellente surprise donc ! A écouter d’urgence ! Toutefois je milite pour une suite plus créative… Allez Annie, t’es cap, on le sait !

Le 04 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

C'est l'un des plus beaux albums de pop music qu'il m'ait été offert d'écouter. Une merveille.

Le 04 Décembre 2014 par THIERRY RAOULT

Goldman avait déjà proposé la musique de "Je t'attends" au groupe TRUST l'année précédente (1984). Ecoutez "Serre les poings" pour comparer.
Identique? Non?!

Le 04 Décembre 2014 par RAMON

Ce disque (quasi) instrumental me fait penser directement à "Obscured by clouds", lequel avait servi à l'époque de laboratoire aux futurs "Dark side…" et "Wish…", tout en étant ancré dans la musique qu'avait composé le groupe depuis l'arrivée de Gilmour.
A cela on ajoutera une grosse pincée du "Wall", le guitariste ne s'étant jamais vraiment remis de "Comfortably Numb" nous re-propose une entame de solo calquée sur ce modèle pendant que les claviers jouent des arpèges similaires aux originaux et cela à le don de m'agacer quelque peu, il faut bien l'avouer.

Si on ajoute à cela que le trio final est resté scotché à "Shine on you…", on obtient une description un peu plus proche de la réalité de la musique proposée.
Et puis les séances s'étant déroulés pendant l'enregistrement de "The Division bell", on retrouve naturellement la substantifique moelle de ce qui avait fait cet opus en demi-teinte.
Du labo, on récupère quatre titres d'une durée comprise entre dix et quinze minutes pour un album au format qui échappe aux formats simple ou double puisqu'il se situe entre deux. En revanche on n'espère rien à venir tant que Rick Wright restera mort.
Le risque d'un tel objet étant de livrer une musique d'ambiance telle qu'on peut en trouver dans les magasins Bio avec mention "relaxation" sur l'étiquette et garantie que l'énergie fournie pour alimenter la console était d'origine entièrement renouvelable, soit qu'on ait pédalé pendant les séances, soit que les éoliennes toutes proches aient fonctionné grâce aux tempêtes qui ont balayé le sud de l'Angleterre à ce moment.
Heureusement, il n'en est (presque) rien.

L'ensemble fonctionne, même si l'impression plus que mitigée par l'écoute radiophonique de "Louder Than Words" ne disparaît pas, les couplets sont sympas et le son passe beaucoup mieux qu'à la TSF, mais le refrain est d'une banalité accablante pour un groupe de cette envergure. Impossible de mettre ce titre sur un Best Of, à côté des "Money", "Another Brick...", "Wish you" et j'en passe et des "Arnold Layne". Pourtant, je trouve qu'il y avait matière à poser des textes sur d'autres plages du disque. Mais au final, on peut se féliciter d'avoir ici un album de meilleure tenue que les trois opus précédents.
Bon ce n'était pas trop difficile de faire oublier les jérémiades de Waters sur "Final Cut" et les horreurs 80's de "Momentary Lapse Of Reason"(lequel, pour le coup porte bien son nom), mais le malgré tout le mollasson "Division Bell" possédait des moments de grâce bien emballés.
Ici, on retrouve la religiosité de l'écoute qu'on accordait aux oeuvres du Floyd de la grande époque et même par instants la qualité des ambiances qui nous ont fait adorer le groupe.

Donc au final, on est plutôt satisfait que l'histoire (sans fin) ne se soit pas totalement achevée il y a vingt ans.
Note: 3,5/5 arrondie à 4 parce que comme on dit en Suisse, ce disque déçoit en bien :)

Le 04 Décembre 2014 par ARP2600

Il ne suffit pas à un morceau d'être bien construit ou d'avoir une bonne mélodie, Aigle Blanc. Je soulignais juste une qualité pour chacun de ces morceaux (qui permettent d'ajouter un demi-point), mais cela ne résout pas le problème fondamental de l'album : un son froid de 84 complètement inadapté pour des morceaux hermétiques de 73... ce disque me semblera toujours manquer de substance, surtout en comparaison avec le reste de leur discographie.

Le 04 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

Arp 2600 écrit : "Il reste une assez belle construction pendant les trois premiers quarts de la première face, une mélodie agréable sur «White Clouds» et le séquençage simple et fascinant d' «Astral Voyager», le dernier titre «Indian Summer» étant lui carrément mauvais."
Quand on sait que la première face dure environ 19 minutes, si les 3/4 sont intéressants, cela fait quand même 15 bonnes minutes à apprécier. Si la mélodie est agréable sur "White Clouds" qui dure 5 min et si "Astral Voyager" (7 min environ) est fascinant, alors cela fait environ 27 minutes sur 35 de fort écoutables. J'appelle cela un bon album pour ma part.

Le 03 Décembre 2014 par TRALALA

J'aime pas quand on classe cet album comme un "coup de pub" en justifiant que seul Rosana et Africa sont intéressantes. Certes ces 2 morceaux sont formidables, mais ce qu'il y a entre les deux l'est parfois tout autant. Ce qui dérange peut être c'est le fait qu'il sonne plus pop et soft que les autres. Le suivant démontre bien le contraste.
Aussi j'ai déjà lu des commentaires sur le son mauvais des albums de Toto, et le fait qu'on aime ou pas le IV peut jouer là dessus. J'avais déjà entendu l'album en CD, la version sortie dans les années 80, ça m'avait l'air moyen. Ensuite, j'ai écouté le vinyle et j'ai re-découvert l'album.

Le 03 Décembre 2014 par MARIE ALLOUX THONARD

Je suis pas d'accord quand on parle de rock progressif sur Hydra, même en influence. Le rock progressif est un style à part entière, c'est pas parce qu'une chanson est plus longue ou a une intro plus imposante que d'autres que c'est du rock progressif. Idem pour les chansons pompeuse comme Music de John Miles, là c'est longuet c'est pompeux, mais on est à des années-lumière du style.
Pour Hydra et St George c'est carrément l'amalgame à ne jamais faire.

Le 02 Décembre 2014 par LBY

Même si la BO d'Amélie Poulain est magnifique, ça fait du bien de voir qu'on ne connait pas Yann Tiersen que pour cela et qu'on l'aime pour autre chose! Elle est très étrange cette Rue des Cascades. On a tantôt l'impression que les musiques qui la sculptent viennent de très loin, d'une époque mi-enchantée mi oubliée; tantôt, elles sonnent comme sonne le présent. C'est à la fois le métal et le gris et à la fois l'eau qui ruisselle sur les galets et l'odeur de la mousse. Et dans cette rue là, on passe par la joie la plus sonore à la mélancolie la plus poignante... En fait, c'est "juste" un magnifique album...qui ne ressemble qu'à du Tiersen.

Le 01 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

Quel bel hommage tu rends Erwin à cette grande dame de la pop music ! Sa discrétion n'a d'égale que sa sincérité. Je m'en vais de ce pas me plonger dans l'écoute de ses albums solo que je ne connais pas encore.

Le 01 Décembre 2014 par AIGLE BLANC

Bienvenue à toi Nosferatu. Ta prose venimeuse m'a ensorcelé. Vivement le plaisir de lire tes prochaines chroniques.

Le 29 Novembre 2014 par AIGLE BLANC

Excellent commentaire. Qui me ferait presque acheter l'objet du délit... Euh... Je crois que je plaisante... Quoi !!! Père Noël a enregistré ma requête !!! Mince alors! Tant pis, j'offrirai la galette à certains morveux de mon collège.

Le 28 Novembre 2014 par MK

J'adore « Just A Fantasy », quelle réussite !

Le 28 Novembre 2014 par KINGKILLING

L'album parfait pour se défoncer la gueule.