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MEDIAVOLO
AWAY WITHIN


Le 12 Décembre 2024 par RICHARD


Quelle anecdocte surréaliste que cette exposition involontaire sur Tik Tok quand même et tant mieux en même temps. Souvenirs, souvenirs, donc. J'avais acheté à sa sortie 'A Secret Sound' via le label féérique Prikosnovénie en 2006. Même si les effluves 80's sur cette nouvelle galette ne sont guère plus présents, il demeure toujours chez les Brestois cette douceur ouatée et ce léger ennui qui pointe le bout de son nez. C'est bien fait, propre, carré et net, mais je trouve toujours qu'il manque la petite étincelle pour que l'ensemble décolle réellement.





David BOWIE
HUNKY DORY


Le 11 Décembre 2024 par MASTERFAN


HUNKY DORY (‘Tip top’), c’est le Bowie n°4. Tout n’est pas encore ‘Tip top’ pour lui au moment de sa conception, courant 1971. Pour autant, David a de la suite dans les idées :

- Primo, travailler avec une équipe qui lui est toute acquise. Ken Scott à la production, un des lieutenants de George Martin pour le White album. Rick Wakeman aux claviers, futur Yes. Trevor Bolder à la basse, futur Uriah Heep. Et toujours Mick Ronson à la gratte et Woody Woodmansey aux fûts, qui font le pari de continuer l’aventure malgré les quelques petits couacs de l’album précédent.

- Secundo, après « Space oddity », associer son nom à un nouveau hit. C’est presque fait avec « Oh ! you, pretty things », dans un premier temps donné à Peter Noone, chanteur de l’inoubliable « No milk today » des Herman’s Hermits (très certainement un des titres les plus magiques des années 60), lequel entame une carrière solo.

- Enfin tertio, au moment où l'album précédent THE MAN WHO SOLD THE WORLD sort en Angleterre sans rencontrer le succès, élaborer un nouvel album, à mi-chemin entre les deux derniers opus, mais avec des titres plus travaillés et des arrangements soignés.

Le premier morceau donne le ton. Il y avait le cha-cha-cha, Bowie crée le che-che-che « Changes ». Le public boudera encore ce single-là, qui sera vengé par la postérité. « Oh ! you pretty things » est repris en piste deux. La version de Peter Noone était déjà intéressante, celle de Bowie la surpasse.

On ne dira pas que «Eight line poem » est le morceau le plus fou de l’album, mais dès la dixième écoute, il se fond idéalement entre ‘Pretty things’ et « Life on Mars », le chef d’oeuvre intemporel de HUNKY DORY, pour lequel l’artificier du riff Mick Ronson se mue (comme sur une partie de l’album) en subtil arrangeur de cordes. L’enregistrement se termine et un téléphone qui ne sonne jamais résonne dans la salle voisine, shit ! Au moment de l’écraser, plantage de quelques secondes, on entend non seulement encore le téléphone, mais aussi la fin de la précédente prise. Bon de la merde, on laisse comme ça.

Suivent deux morceaux pas forcément immédiatement accrocheurs mais garantis 100 ans en résistance à l’usure : « Kooks », à l’attention de Zowie qui vient de naître (mais sincèrement comment vas-tu faire avec des parents comme Angie et moi ?) et la pépite « Quicksand ». La reprise « Fill your heart » est légèrement en deçà, je l’aurais peut-être remplacé par une B-Side du style « Bomber » (4).

On arrive à la trilogie ‘hommage’. Bowie s’est pris un gros vent avec Andy Warhol qui n’a pas du tout aimé son morceau éponyme (il avait visiblement meilleur goût à l’époque du Velvet). « Song for Bob Dylan » est un faux hommage car Bowie n’a jamais trop apprécié Dylan, qu’il trouve le plus souvent chiant. Il fait pour autant un morceau ‘à la Dylan’ plutôt sympa. Et puis il y a le morceau ‘à la Lou Reed’, « Queen bitch », riff et couplet enthousiasmants, refrain un peu moins puissant.

Du même acabit que « Quicksand », la chute de HUNKY DORY est infiniment subtile, « The Bewlay brothers » (The Bowie - ou Jones - brothers aurait sûrement été trop personnel comme titre de chanson) touche en plein coeur, c’est superbe.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Life on Mars. DELECTABLE (4,5) : Changes, Oh you pretty things, Kooks, Quicksand, The Bewlay Brothers. SEDUISANT (4) : Andy Wahrol, Queen Bitch. PLAISANT (3,5) : Eight line poem, Fill your heart, Song for Bob Dylan. Bilan 4,18 et Top 5 à 4,60 : HUNKY DORY cote pour moi 4,39 soit 17,56 /20.

Construire une œuvre essentielle et voir tout me monde s’en foutre royalement à de quoi énerver. Mais Bowie, qui a quasiment déjà achevé ‘Ziggy’ dans la foulée, ne doute pas. Il sait qu’il deviendra une star, même s’il doit pour cela se transformer en extra-terrestre et débarquer sur les plateaux télé avec des potes de Mars.





VAN ZANT
ALWAYS LOOK UP


Le 11 Décembre 2024 par PSYCHODIVER

L'univers de LYNYRD n'a décidément pas fini de faire couler de l'encre.
De là à pouvoir répondre à la problématique "le rock est-il compatible avec la foi / le religieux ?", je peux juste apporter une contribution au débat plus qu'une solution. J'ignore si ce commentaire sera validé. Ces temps-ci : c'est aléatoire.

Que les frères Van Zant forcent le trait au niveau références christiques : quelle surprise. Les évangélistes US c'est quelque chose. Pas des mauvais bougres, mais quelle lourdeur dans le propos. Et souvent pour légitimer ce que Jésus lui-même a condamné (interventionnisme criminel, culte du fric, hypocrisie ...). Je n'ai pas écouté leur dernier opus, mais nous sommes à mon avis très loin de la classe et de la justesse (plutôt rassembleuse d'ailleurs) d'un "Simple Man".

Pour ce qui est de Jésus, le personnage et ses enseignements : je suis de ceux qui leur vouent un respect intégral (quand bien même mes goûts musicaux ne sont pas à proprement parler adaptés aux grenouilles de bénitier) et qui partent du principe que la récupération de la figure christique à toutes les sauces débouche en général (pas toujours mais assez souvent malheureusement) sur du rien ou du médiocre. SOUNDGARDEN avait d'ailleurs proposé un "Jesus Christ Pose" explosif et très intelligent à ce sujet sur leur "Badmotorfinger" de 1991. De même que lorsqu'un Al Jourgensen (probablement déchiré et bourré, d'autant que les faits remontent à 1990) hurle en concert "fuck the church, fuck Jesus, fuck the jews, fuck the buddhist ..." en conclusion du morceau "Stigmata" : il s'agit de comprendre que l'insulte s'adresse plus à la parodie commerciale du Christ qu'à sa figure authentique (Jourgensen a toujours été remonté contre les cultes organisés plus que contre les icônes). Et puis on parle des US : là où l'on vend des croix comme on vend dans nos contrées des tours Eiffel en plastique.

N'en demeure pas moins que face à des institutions (je parle ici des nôtres) qui s'échinent à corrompre et salir la foi de quiconque sur l'autel d'un ultra matérialisme débilitant et morbide : il est compréhensible que certaines personnes saturent et réagissent de manière épidermique à des papiers comme celui qui nous intéresse. De la même façon qu'en 1984, beaucoup n'avaient pas compris la tragique signification du "Blasphemous Rumours" du MODE. Terrible morceau, ni anti chrétiens, ni même une attaque contre la foi, juste un portrait viscéral de la dégueulasserie de l'existence (d'autant que nos "commissaires culturels " sont à des années lumières du talent de Martin Gore). Ce qui est bien dommage. Car si la plume d'Erwin est quelque peu désinvolte (je ne connais pas bien le boss de ces lieux, mais il m'a semblé avoir communiqué au téléphone avec un personnage décalé ET très sympathique) : elle ne l'est pas, à mon sens, du point de vue de la foi ou de Jésus, mais plus du délire en fin de compte peu spirituel que certains, involontairement ou non, bâtissent autour.





Bettye LAVETTE
I'VE GOT MY OWN HELL TO RAISE


Le 11 Décembre 2024 par BLUEMASK


Un honnête disque de soul à l'ancienne avec une production moderne.
La voix de Betty Lavette est effectivement bien âpre, bien éloignée d'une Candie Staton, c'est sa force mais peut-être aussi sa limite quand elle ne soutient pas de grandes chansons avec des mélodies fortes. Ainsi, un titre comme 'Joy' écrite par la formidable Lucinda Williams trouve un superbe écrin dans la rocaille de la chanteuse, qui rappe presque les couplets. Mais sur d'autres titres moins percutants, et c'est la ligne éditoriale de choisir des titres un brin obscur, parfois le besoin d'une approche plus soyeuse, ou au contraire d'aller carrément dans le funky se fait sentir. Bref, quelques titres un peu le cul entre deux chaises.





VAN ZANT
ALWAYS LOOK UP


Le 11 Décembre 2024 par MYCROFT

Bon, on comprend que ce qui pose problème au chroniqueur, c'est la dimension religieuse. La phrase conclusive est assez révélatrice à ce sujet. Pour ceux qui n'ont rien contre le fait qu'un groupe s'octroie la liberté d'exprimer sa foi, vous vous retrouverez face à un southern rock teinté d'americana, pas extraordinaire mais qui vaut définitivement plus que la malheureuse étoile décernée davantage par idéologie que par sensibilité artistique.





Joan BAEZ
GRACIAS A LA VIDA


Le 11 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


C'est l'époque des chants d'indignation , de combat et d'espoir. Rien à ajouter à cette chronique. Voilà une femme qui ne renie pas aujourd'hui son engagement passé, dénoncer l'oppression et la violence, bien qu'elle soit avec les conflits actuels... désarmée.

Elle cite Gandhi : s'il n'y a pas d'issue à la guerre, postulez pour devenir chauffeur d'ambulance.

Les Nation Unies donne un chiffre de 341 travailleurs humanitaires tués (02.12.24) depuis Octobre 2023 à Gaza. Il ne fait pas bon d'être ambulancier quand on est prit pour cible...
Qui nous fait une chanson de révolte et de dénonciation sur la mort des travailleurs humanitaires.

Passera ou no pasaran ce commentaire ?


Par Forces Parallèles

Le com est passé... évidemment les arts et le monde de la musique sont aussi liés aux engagements politiques, quels qu'ils soient, cela remonte déjà à l'Antiquité ! Mais pourquoi ne dénoncer la mort que des seuls travailleurs humanitaires ? Et pourquoi se limiter à Gaza ? Quand par exemple en ce moment de nombreux Syriens saluent le départ du boucher de Damas qui a gazé une partie de son peuple (dont aussi des sauveteurs civils) ?

Amicalement, Streetcleaner.

Ps : il n'y aura pas une file de discussions sur le sujet Gaza / Israël / Syrie / Ukraine / Russie etc, il existe de nombreux forums dédiés aux discussions politiques et géopolitiques.





Frédéric CHOPIN
LES NOCTURNES (RUBINSTEIN)


Le 11 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR

Pochette, j'arrive un peu tard, du peintre SALAMANCA ANTONIO né en 1926...

à ne pas confondre avec un graveur, cartographe et éditeur de livres et d'estampes d'origine espagnole du même nom et prénom qui fut un contemporain pour revenir vers la musique de JOSQUIN DES PRÉS qui brilla dans le domaine de la polyphonie vocale et mériterait bien une chronique sur Forces parallèles





The DOORS
WAITING FOR THE SUN


Le 10 Décembre 2024 par MASTERFAN


Comme SHEER HEART ATTACK de Queen, WAITING FOR THE SUN brouille les pistes. Ne pas mettre le morceau titre sur l’album, le procrastiner et le reporter sur un album ultérieur, c’est assez pénible pour le suivi, ça ouvre la porte aux quiproquos, mais passons. On a déjà la chance d’avoir échappé à la suite de ‘poèmes musicaux’ de 17 minutes, « The celebration of the Lizard » finalement absente. Seul son coeur « Not to touch the earth » (chanté de surcroît) sera conservé, ce dont on ne peut que se réjouir.

Le scandale a été évité de peu (ce ne sera que partie remise) avec « Hello, I love you ». Deux ans plus tard, George Harrison se prendra un éclat pour moins que ça avec « My Sweet Lord ». Rendons hommage à Ray Davies, grand seigneur sur ce coup-là, d’avoir renoncé aux poursuites envisagées par son éditeur pour plagiat, ce qui pouvait se comprendre car le « All day and all of the night » des Kinks n’est vraiment pas loin. ‘Hello’ est plutôt simpliste et tranche avec les exigences artistiques qui caractérisaient les œuvres des Doors jusqu’alors, mais cela reste un sacrifice rentable lorsqu’on veut atteindre la première place du billboard.

Autre sacrifice : la fin de l’album. L’abandon du ‘Lizard’ ayant contrarié les plans, le réservoir 1965-66 des chansons des Doors se vidant peu à peu, il reste un tiers de l’album à pourvoir. Il faut donc avoir recours aux fonds de tiroir (« We coold be so good together », aux impressions de redite), être pragmatique (la facile plaisanterie « My wild love ») ou se remettre à l’ouvrage vite fait - (pas forcément) bien fait. « Yes, the river knows » est loin d’être laid mais accuse un côté variété poussif tandis que « Five to one » accuse un côté blues suffisant pour faire baisser de deux crans mon intérêt.

Heureusement, une bonne partie de l’album répond aux standards habituels de qualité du groupe, à commencer par ce superbe « Love street », pop-song légère et raffinée qui a le don de toujours mettre de bonne humeur. « Not to touch the earth » renoue avec l’ambiance plus froide et envoûtante de STRANGE DAYS. Jim assure sur « Summer’s almost gone » : son chant fait largement passer l’émotion. Quant au court morceau de Robby, « Wintertime love », il s’en tire plutôt pas mal, le clavecin subtil de Ray n’y étant pas étranger.

Les deux principaux atouts de WAITING FOR THE SUN restent sans grande contestation possible « Unknown soldier » et « Spanish caravan ». Le titre anti-militariste s’écoute toujours avec délectation, et pour la caravane, l’idée d’adapter la suite 47 d’ASTURIAS d’Isaac Albéniz (c’est décidément la mode de cet été 1968 avec « Rain and tears » qui s’inspire du Canon de Pachelbel) est géniale. Le résultat est bluffant, l’effet est tout autre que pour les reprises basiques des Stones ou des Beatles que l’on peut retrouver par exemple ça et là sur les albums de Bowie.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : The spanish caravan. DELECTABLE (4,5) : Love street, Not to touch the earth, The unknown soldier. SEDUISANT (4) : Summer’s almost gone. PLAISANT (3,5) : Hello I love you, Wintertime love. INTERESSANT (3) : We coold be so good together, Yes the river knows. EMOTION LIMITEE (2,5) : Five to one. AUCUNE EMOTION (2) : My wild love. Bilan 3,64 et Top 5 à 4,50 : WAITING FOR THE SUN cote pour moi 4,07 soit soit 16,28 /20.

Sans atteindre le niveau des deux chefs-d'oeuvre précédents, WAITING FOR THE SUN des Doors reste un très bon album des années 60, injustement rabaissé ici.





Gary NUMAN
WARRIORS


Le 10 Décembre 2024 par PSYCHODIVER

Bien le bonjour Tartempion.

Nightfall allergique au funk ... Bon. Je suis à première vue mal placé pour vous répondre, étant donné que les musiques noires sont loin de peupler mes écoutes régulières. De là à dire que le site accorde peu de place aux genres funk ou disco. Non. Il me semble que, bien que pas forcément complètes, les discographies de Prince, James Brown, SLY & THE FAMILY STONE, FUNKADELIC, la fratrie Jackson, Herbie Hancock et autres IMAGINATION répondent présente. Quant aux légendes de KOOL & THE GANG, elles ne vont pas tarder à se faire une petite place sur le site. Patience donc.

Concernant "Warriors", c'est pas nul, loin de là (ce qui suivra en revanche ...) mais ce n'est pas non plus de l'or en barre. En white funk ou funk rock capable de fédérer blancs et noirs, Gary fut bien plus inspiré le temps d'un morceau ("I Dream Of Wires") et d'un album entier ("I Assassin"). Ici, il commence à s'embourber dans du mainstream peu fameux. N'est pas Prince, TALKING HEADS ou le KING CRIMSON 80's qui veut.

Amicalement.





Bob DYLAN
OH MERCY !


Le 10 Décembre 2024 par BLUEMASK


5/5 pour 'Oh mercy', je ne suis pas complètement dans une telle transe, mais quel plaisir après 10 ans d'albums oscillant entre le pathétique et le moyen, de voir Dylan bander de nouveau!
Au chapitre des choses positives - c'est un long chapitre - : un songwriting retrouvé sur la longueur plutôt qu'accidentellement, la fin de ces productions 80's bodybuildées qui vont à Dylan comme un jupe en cuir va à Gerard Larcher, des textes de nouveaux forts, et quelques uns de ses plus grands titres post 1975.
Au chapitre des choses négatives: une production certes bien meilleure, mais Daniel Lanois fera tellement mieux sur le sensationnel 'Times out of mind' de 1997, et un 'Political World' d'ouverture qui commence par faire peur, musique et texte.





GENESIS
AND THEN THERE WERE THREE...


Le 10 Décembre 2024 par PROGJE


****.
Alors que vaut vraiment cet album de Genesis, le mal aimé ? C'est vrai qu'avec une note moyenne de 2 sur 5 sur votre site ( site très précieux, aucun problème là-dessus) on se pose la question...
C'est vrai que sa pochette peu engageante et sa réputation m'en avaient toujours un peu éloigné. Je l'avais même acheté pour le revendre assez rapidement, n'ayant pas trop creusé son écoute.
Déjà, son remastéring de 2007 le rend beaucoup plus séduisant, même si certains choix que l'on peut regretter de synthé particulièrement et de batterie très en avant sont donc accentués. Cet album tout comme Lamb Down on Broadway sont des albums un peu à part dans la discographie de Genesis car, par exemple, trick or Tail au Wind and Wuthering sont unifiés par le splendide Live Seconds Out, idem de Duke et Abacab unifiés par Three Size Live (sauf erreur aucun morceau de And There Were Three).
Nous avons au programme une entame dynamique "Down and Out" un magnifique slow "Undertow", la ritournelle digne d'Anthony Philips "Snowbound", des moments épiques comme "Burning Rope " et "The Lady Lies", du pop rock sympathique "Scene from...", "Many to Many", "Say It's Alright Joe" ect.

Bref, un long disque avec de quoi contenter tout le monde ou personne justement. C'est peut-être là que le bât blesse.
Le solo de Rutherford sur Burning Rope, justement, je le trouve superbement amené sans évidemment avoir la technicité de Hackett, mais qu'importe ! L'émotion est là, c'est réussi !
Honnêtement, c'est un disque où l'on ne s'ennuie pas. Contrairement aux 3 prochains disques avec des morceaux grandioses mais beaucoup de déchets aussi.

4 sur 5 sans sourciller dans la fantastique discographie d'un groupe hors du-commun.





Gary NUMAN
WARRIORS


Le 10 Décembre 2024 par TARTEMPION 55

Curieux comme ce site est allergique au funk : aussitôt que ça sonne legerement funk, c'est 2 étoiles à chaque fois. Ok ça ne vaut pas ses grands albums, mais ça reste agréable à écouter.





Tom WAITS
BAD AS ME


Le 10 Décembre 2024 par PETER STEEL


Ok le mec a une voix assez géniale mais c'est pédant et chiant au possible. Je préfère m"écouter n'importe quel Supertramp où on s'emmerde pas au moins...





DOGS
TOO MUCH CLASS FOR THE NEIGHBORHOOD


Le 10 Décembre 2024 par BLUEMASK


Ce disque a longtemps été considéré comme le diamant du rock français, c'est tellement confortable de considérer Dogs comme le plus grand groupe de rock français. Groupe lettré, aux influences élégantes, facile d'accès et surtout sans vraiment de succès grand public, c'est idéal.
Pourtant, l'écoute donc de cet acmé refroidit un brin l'enthousiasme... On y entend du rock 60's, du garage, de la pop, de la new-wave, du rythme n' blues, du punk, Dr Feelgood, du doo-wop, certes, mais dans une version vraiment inoffensive. Musique en ligne claire, distorsion minimale, chanteur sans grande personnalité, production légère, 'TMCFTN' se voudrait synthèse rock, n' atteind pas son but, mais manque de talent mélodique pour être pop. Le titre éponyme illustre cela parfaitement, il ressemble à du Stooges période 'Raw Power' mais jouer par des Beatles sans conviction.
Dure constat, alors que finalement le disque reste agréable. Mais attend on d'un prétendant au trône d'être agréable ?
2.5





Claude NOUGARO
SOEUR AME


Le 09 Décembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


Difficile exercice frisant l'exorcisme que de parler du toulousain. Ce sculpteur de la langue française aimait les mots lui qui collectionnait les maux intérieurs et qui affirmait le sens est aussi du son.

SOEUR AME, c'est de la poésie pure pour lui que se ré-clamait en incognito (bien avant ce vinyle) ART.DISQUE...

Cette frangine qu'il nous offrit en marbre lui qui avait mis ses mains dans la glaise est une réussite poétique chantée...
Sachons que Ronsard lui aussi écrivit des "textes" qui le révélèrent au public et que ses textes furent mis en son temps... en musique.

Poète le CLAUDE, c'est certain !





Gabriel KELLER
HOPE DESPITE EVERYTHING


Le 09 Décembre 2024 par DP-WT


Très bon album de rock prog. Mention spéciale à l'interprétation et l'expressivité des chanteuses. L'album est aussi captivant musicalement du début à la fin.





Claude NOUGARO
AMI CHEMIN


Le 09 Décembre 2024 par POPOLOUTCHO


Pour cet album de NOUGARO, j'alignerais plutôt mon avis sur celui de la chronique. Effectivement, le traitement de la chanson titre, ses arrangements n'aident pas à l'apprécier à sa juste valeur. En plus elle est placée en tout début album. Ça surprend ! On peut encore dire la même chose pour d'autres moments et être gêné à l'écoute des sons décidément très 80's. Mais il y a quand même: "Muses", "Allée des Brouillards", "Very Nice"... De très belles chansons.





Nana MOUSKOURI
COULEUR GOSPEL


Le 09 Décembre 2024 par SEB

Un com en passant pour rendre un petit hommage à la grande dame grecque Nana Mouskouri dont on ne parle pas assez, à l'image par exemple d'un autre monstre de la chanson française Mireille Matthieu. Ces 2 monuments (mais il y en a d'autres) ont fait rayonner la chanson à travers le Monde entier.

Hommage donc disais-je à Nana qui prend une nouvelle fois sa retraite à... 90 ans, après 65 ans de carrière et 400 millions d'albums, interprétés en 12 langues, vendus de part la planète ! Faut le faire quand même, peu d'artistes peuvent se vanter d'un palmarès aussi impressionnant... Je n'aime pas cette chanteuse, mais juste pour la nostalgie de "l'enfant au tambour" qu'on m'a bourré dans le crâne à l'école quand j'étais gosse, je m'incline ainsi que sur son immense carrière... Madame, mes respects !





Tom WAITS
BAD AS ME


Le 08 Décembre 2024 par BLUEMASK


Que devient Tom Waits? Actif régulièrement de ses débuts jusqu’en 2011, silence radio depuis et il me manque. We wait…
Ce dernier disque n’est pas grandiose dans sa grandiose discographie, business as usual, mais mieux vaut un seulement bon TomWaits que de devoir écouter Supertramp.





Claude NOUGARO
AMI CHEMIN


Le 08 Décembre 2024 par FOUDROCK


Le Nadir de Nougaro. Le morceau-titre sonne comme de la mauvaise musique de générique d'émission de variétés du samedi soir des années 80, en pire. Le reste ne vaut měme pas le prix de revient de la cellophane emballant un CD.







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