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RUSH
HEMISPHERES


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


Une face A parfaite, une face B curieuse, mais loin d'être inintéressante. Un beau complément au précédent opus, le premier titre étant la suite du dernier titre de "A Farewell To Kings".
Quelle pochette atroce, par contre...





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 19 Février 2025 par NONO

@SEB : En effet, que de souvenirs de cette période new-beat 1988 / 1989 !! "Confettis", "Bassline Boys", "Amnesia", "Marrs"... et un peu plus tard "Technotronic" ou "Black Box"...
Sacrée époque !





RUSH
A FAREWELL TO KINGS


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


C'est le seul album du groupe que je noterai ainsi (et l'avant-dernier que je noterai et commenterai). Sans doute leur sommet, même si beaucoup de personnes citeraient sans doute "2112" à la place. Mais autant "2112" est inégal, autant cet opus 77 est une totale réussite. "Closer to the heart" et le morceau-titre sont géniaux.





RUSH
CARESS OF STEEL


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


Le long "Fountain of Lamneth" m'énerve un peu, trop longuet, mais "The Necromancer" vaut le coup, lui. Je préfère ne pas trop m'étendre sur le second morceau, au titre ridicule. "Lakeside park" et "Bastille day" sont très bonnes. Mais cette voix, put*in de b*rdel de...





RUSH
FLY BY NIGHT


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


"By-Tor...", "Rivendell", "In the end", sont de très bons morceaux. J'aime la pochette, aussi. Un bon cru qui marque l'arrivée de Neil Peart à la batterie et bientôt à la "direction" globale du groupe.





RUSH
RUSH


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


Pas fanatique de Rush, je vais quand même en parler. Pas obligé, mais je vais quand même en parler.
Ce premier album offre "Here again" et "Working man", les deux plus longs morceaux, et les plus réussis (sans qu'il y ait de lien entre les deux faits). Le reste est plutôt pas mal du tout, mais je pense que le groupe fera nettement mieux dès l'album suivant.
J'ai toujours autant de mal avec le timbre de voix "sorcière hystérique en manque de psylocybine" de Geddy Lee. Trop aigu.





David BOWIE
TONIGHT


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


Tout, tout, TOUT, tout-tout-tout, est atroce dans cet album.
- La pochette (si. Parce que Bowie en Schtroumpf peroxydé sur fond de vitraux gerbants, non merci).
- La production (welcome dans le merveilleux monde des cuivres à gogo et des synthés puants).
- Les chansons (reprises honteuses d'Iggy, des Beach Boys, d'Elvis, et morceaux originaux atroces). Enfin, sauf "Loving The Alien", celle-là, OK. Et encore, le réarrangement sur le live "A Reality Tour" est meilleur.
- L'année (1984. Tout est dit).





David BOWIE
TONIGHT


Le 19 Février 2025 par NONO

@Masterfan : "Une jolie pochette" ? Ah bon.... Pas pour moi en tout cas ! Un schtroumpf péroxydé sur fond de vitraux tape à l'oeil est pour moi d'un criard abyssal, pour rester poli.
On dit souvent que la qualité d'un produit transparaît par son emballage. Ici c'est particulièrement gratiné ! :-))
Pour le reste, j'avais déjà commenté l'album. Une note très faible, assurément.





Kanye WEST
THE COLLEGE DROPOUT


Le 19 Février 2025 par BLUEMASK


En 2025, Kanye West est perçu comme une boursouflure aussi inquiétante que ridicule, dont les fruits musicaux sans saveur pourrissent au fond du cageot d'un star system vide. Et la réalité est ... que Kanye West est une boursouflure aussi inquiétante que ridicule, dont les fruits musicaux sans saveur pourrissent au fond du cageot d'un star system vide.
Mais en 2004, c'était autre chose. Kanye West était jeune, affûté, avait une plume mainstream qu'il trempait dans l'encre de l'exigence du hardcore des aînés. Le disque est trop long, 95% des disques de rap sont trop longs, et donc ne frise que seulement la perfection, de ce fait.





RUSH
2112


Le 19 Février 2025 par FOUDROCK


L'exemple parfait de l'album inégal ("Tarkus" de ELP est pareil, d'ailleurs) : une face A qui est géniale, et une face B franchement en-dessous.
Enfin, pour le ELP, la face B est immonde. Le Rush, lui, offre de bons moments sur sa face B. Mais rien de comparable avec le génial morceau-titre de la face A.





Jean-michel JARRE
REVOLUTIONS


Le 19 Février 2025 par SEB


RÉVOLUTIONS !

Bon sang que ce titre était novateur pour l'époque. Sa lente montée en puissance, son mélange mélodique oriental et moderne, sa rythmique typée techno, cette sacrée techno qui commençait seulement à sortir des sphères musicales confidentielles. Et son vocoder, il a bien servi aussi. Souvenir...

En 1988, la new-beat, l'acid-house commençaient peu à peu à envahir nos discothèques ! Et pour ceux de la génération quinquas, le Vocoder qui scande "Révolutions" ils connaissent bien ! Allez vous n'avez pas pu passer à coté, rappelez-vous de Highstreet (avec le groupe The Maxx d'Eric Koloko) ! Ils détournèrent ladite chanson pour l'adapter à leur sauce. C'était bon et ça nous venait tout droit de Belgique (comme souvent à l'époque) ! Tant et si bien qu'ils ont pendant un temps fait oublier le morceau original de JMJ pour leur sample qui déchirait les jeunes sur les pistes, dont moi. Toute une époque ! Bien sûr ça ne dura qu'un temps.

Une preuve de plus que Jarre inspira à coup sûr la jeune génération... Cela dit c'est bien le seul titre, avec dans une moindre mesure "Révolution industrielle", que je sauve de cet album inégal. Un 3 pour le souvenir, mais 2,5 en note réelle...





David BOWIE
TONIGHT


Le 19 Février 2025 par MASTERFAN


Début septembre 1984, on y croyait encore. Oui, franchement. Il faut dire que « Blue jean » marchait sur les traces des trois singles de l’album ‘boxeur’, le 45 tours passait beaucoup sur ma platine. Il n’y avait donc aucune raison que Bowie ne continue pas à dominer les années 80, comme il l’avait fait pour la décennie 70.

Puis sort dans la foulée le nouvel album, TONIGHT. Le long « Loving the Alien », malgré quelques signes d’alerte sur le couplet notamment (quelques notes de synthé plutôt moches), se révèle convaincant au global, grâce à son refrain bien senti.

En revanche, la découverte du reste de la tracklist inquiète : tous les autres titres semblent être du réchauffé et/ou relever de l'aide sociale à son ami Iggy Pop… ça en bouche un coin quand même. La reprise de l’obscur « I keep forgettin’ » n’a aucun intérêt et celle des Beach Boys, « God only knows » est ratée, je suis bien d’accord qu’on reconnaît à peine le classique des garçons de la plage.

La relative qualité de « China girl » apparaît déjà un vieux souvenir puisque les morceaux 'iguaniens' sont ici également méconnaissables, en particulier ce « Tonight » défiguré sur lequel par dessus le marché, il faut se taper l’insipide Tina Turner. « Don’t look down », chouette morceau rock de l’album NEW VALUES, devient un reggae basique. De LUST FOR LIFE, on ne reconnaît que de loin « Neighborhood threat » qui s’en sort un peu mieux que les autres, si on n’est pas trop exigeant.

L’impression générale qui ressort de ces reprises est qu’elles sont trafiquées comme des voitures volées : presque autant de naturel là-dedans que dans le personnage de travelot de Christian Clavier dans ‘Le Père Noël est une ordure’. Chacun des intervenants semble avoir savamment placé sa touche pour ne rien oublier des tics de l’époque, production 80’s putassière, cuivres affreux et synthés pathétiques.

Et ce n'est pas fini, Iggy n'est encore pas loin sur « Tumble and twirl » et « Dancing with the big boys », autres condensés de mauvais goût et de musique vaine sous fond nauséabond de mauvais rock F.M (d'ailleurs ne serait-ce pas finalement un pléonasme ?)

Mon ressenti 2025 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Loving the Alien, Blue jean. PLAISANT (3,5) : Néant. INTERESSANT (3) : Neighborhood threat. EMOTION LIMITEE (2,5) : Don’t look down, God only knows, Tonight. AUCUNE EMOTION (2) : Tumble and twirl,  I keep forgettin’, Dancing with the big boys. Bilan 2,72 et Top 5 à 3,20. TONIGHT cote pour moi 2,96 soit 11,84 /20.

Il semble depuis toujours y avoir quasi-consensus autour de cet album sur ce qu’il y a à en retirer, c’est assez rare pour le signaler. Deux belles réussites et une jolie pochette font éviter à ce 16ème album l'incompréhension totale, c’est déjà ça, Bowie ne sera pas 'Fanny'. Par contre, il rentre définitivement dans la période la plus compliquée de sa carrière, artistiquement parlant tout du moins. Eval précise à 1,5 pour respecter les critères bas du site.





The STRANGLERS
NO MORE HEROES


Le 18 Février 2025 par PSYCHODIVER


Peu importe que le seul contempteur actuel de ce deuxième opus des Étrangleurs soit un simili troll : moi non plus je n'ai jamais aimé ce "No More Heroes". Je le considère même comme l'un des pires disques existants. Ce pour une bonne raison : l'estime que je porte aux STRANGLERS de l'âge d'or est trop haute pour que je tolère la quasi glorification d'une auto parodie même pas drôle de leur œuvre. Car "No More Heroes" n'est que ça. Surjeu. Lourdeur. Beaufitude.

Tout amateur de punk redoute la fameuse malédiction du deuxième album raté dont l'échec ira torpiller le groupe concerné voire le damner*. Cet opus funèbre en est un bien atroce exemple (malgré les louanges incessantes qu'il génère). Il est l'antithèse de "Rattus Norvegicus", son dangereux aîné dont la violence crue et l'humour cinglant noirissime n'avaient d'égal que la classe baroque comme de son successeur cold, expérimental, acéré et cérébral qu'est "Black And White". Là : zéro classe, zéro cervelle. À se demander si les quatre dingos en noir ne se sont pas lancés dans un pari suicidaire façon "on va jouer à paraître encore plus salopards que la fois précédente". Dans cet exercice périlleux qu'est celui de succomber davantage à l'agressivité comme à une posture intimidante albums après albums : peu s'en sont bien sortis en évitant toute caricature (PIL, MAGAZINE, CURE, WIRE). Ici, JJ, Dave & Co' se vautrent littéralement dans la vulgarité gratuite et la fange la plus basse du punk. Niveau textes, on est jamais très loin des exactions sodomites bientôt pratiquées par ces dégénérés de l'ANTI NOWHERE LEAGUE sur des caprins. Le trait est forcé de partout. Vocaux que l'on croirait issus d'un micro donné à l'idiot du village défoncé. Musique dont la puissance et la saturation ne font jamais oublier l'aspect quelconque voire pauvre de l'ensemble. Rien ne retient mon attention. On passe du trop facile morceau éponyme (sauvé par un mémorable playback dévastateur en direct à la télé hollandaise, parfaitement décrit plus bas par MASTERFAN**) à l'indigeste ("I Feel Like A Wog", "Bring On The Nubiles", "Peasant In The Big Shitty") jusqu'à l'ampoulé absolu avec la conclusion interminable "School Mam". Échec total.

Les STRANGLERS sont avec les DAMNED, les RAMONES, BLUE ÖYSTER CULT et KILLING JOKE les groupes que j'ai le plus écouté à une certaine époque, afin de m'ouvrir à d'autres horizons au-delà des sphères hard / heavy / old thrash par lesquelles j'ai débuté ma passion actuelle pour nos sons de références (HAWKWIND, le FLOYD et PIL plus en profondeur, le prog crimsonien, la new wave, le krautrock et l'alternatif, c'est venu un peu plus tard). Le recul veut désormais que ces cinq formations ne touchèrent au sublime qu'à quelques exceptions, mais rarement le temps d'une continuité solide. N'en demeure pas moins que je dois pas mal de choses aux Étrangleurs. JJ est un modèle de rockeur, intelligent et plus subtil qu'on le pense. Les disparitions de Dave et Jet m'avaient foutu de sacrés coups. Aussi et au risque de radoter, outre pléthore d'excellents tubes et autres pépites dispersées ça et là entre 1977 et 1986 (au pif "Duchess", "Bear Cage", "La Folie", "Skin Deep", "Laughing", "Nice In Nice") : les STRANGLERS auront proposé seulement deux 33 tours réellement incontournables, les déjà évoqués "Rattus" et "Black And White". Mais sûrement pas ce "No More Heroes" qui résulte plus d'un excès de provoc mal canalisé que d'une ambition artistique intègre.

*Il est de bon ton de massacrer "Music For Pleasure" des DAMNED, le citant comme la quintessence du second opus à bannir de par son handicapante nullité. Or, c'est bien "No More Heroes" qui mériterait ce titre, tandis que l'opus du gang de Croydon devrait être réhabilité sur le champ.

**Même si, à mon sens, ça ne vaut pas les DAMNED au Old Grey Whistle Test (1979).





Jean-jacques PERREY
PRéLUDE AU SOMMEIL


Le 18 Février 2025 par DEJAVU


Je ne connaissais absolument pas cet artiste et ses oeuvres, j'ai écouté l'album sur YouTube, j'ai été quelque peu destabilisé à la première écoute, en cherchant sur ce même site, j'ai fait connaissance avec l'Ondioline, quelle découverte, j'attends encore avant de télécharger l'album mais je suis tenté. Verra-t-on un jour une chronique sur notre compatriote Eliane Radigue et de son œuvre "Trilogie de la mort" par exemple ? Je possède cet album.





THIN LIZZY
LIFE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Plus généreux en durée que le précédent live, plus axé sur la période allant après celui-ci (mais on n'évite pas des doublons de setlist, 7 au total, entre les deux albums ; contrairement à Scorpions qui avait su éviter à 100% les doublons entre "Tokyo Tapes" et "World Wide Live"). Plus féroce que l'autre, moins immense, mais tout de même très réussi. Un beau testament.





THIN LIZZY
VAGABONDS OF THE WESTERN WORLD


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Premier gros classique, "The Rocker" (et, absent de tout album mais datant de la même année et présent en bonus-track, "Whiskey in the jar" ; ahurissant que ce morceau ne figure pas sur "Live and Dangerous" quand on y pense). Première pochette signée Fitzpatrick.
L'album est, ma foi, très sympathique.





THIN LIZZY
SHADES OF A BLUE ORPHANAGE


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Premier morceau du nom de "Sarah" (il y en aura un autre sur "Black Rose : A Rock Legend") pour Thin Lizzy qui se cherche encore. Musicalement, c'est aussi correct, mais peu mémorable dans l'ensemble, que pour le premier opus éponyme. Même note donc, de 2.5/5.





THIN LIZZY
THIN LIZZY


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Un premier album assez curieux de hard-folk-celtique un peu bluesy, clairement le groupe (fondé sur les cendres d'un groupe du nom de Skid Row, pas le même groupe que celui, ricain, des années 80/90 et qui leur piquera le nom d'ailleurs) se cherche et ne s'est pas encore trouvé. Ca reste intéressant, plus que la pochette en tout cas. Mais rien de mémorable. Note réelle : 2.5/5.





THIN LIZZY
THUNDER AND LIGHTNING


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


Une vraie réussite de hard-rock teigneux, le plus violent des albums du groupe qui s'essaie enfin au metal, personne ne pouvait prévoir qu'il s'agirait de leur dernier album.
"The Holy war" est une tuerie totale.





NAZARETH
HAIR OF THE DOG


Le 18 Février 2025 par FOUDROCK


En effet, un grand cru de hard-rock bien velu. Le chanteur a des accents Axl Rose avant l'heure (et d'ailleurs, les Guns ont repris le morceau-titre). Un disque qui offre du lourd, et je pense surtout au démentiel final de presque 10 minutes, "Please don't Judas me", qui prend son temps pour installer une ambiance bien pesante et trippante.







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