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SKINNY PUPPY
VIVISECTVI


Le 30 Novembre 2024 par BLUEMASK


Un disque un peu difficile. Skinny Puppy restera difficile, mais ici tout n’est âpreté, raideur, froideur, disonnance et cris. ‘Too dark park’, par exemple, sera du même métal froid, mais plus groovy et mieux écrit globalement. Ici, les sonorités EBM 80’s battent leur plein et sur plus d’une heure, personnellement, je sature un brin. C’est dommage, amputés de quelques titres franchement minimalistement chiants, tel ‘Yes she ran’, on aurait eu un excellent disque malade.





Michel LEGRAND
LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT


Le 30 Novembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


J'aime la musique de Michel LEGRAND

MAIS

il ne sort pas grandi à mes yeux lorsqu'il blâma Pierre BOULEZ et qu'il considérait que le compositeur de " Rituel in memoriam BRUNO MADERNA" avait "agi comme un fasciste" pour avoir selon lui " fermé toutes les possibilités pour les compositeurs d'être joués". Je dis que Le compositeur de "Peau d'âne" faisait la bête quand il affirmait : " les compositeurs comme moi ne pouvaient pas vivre..."

Laissez moi sourire quand on sait que BOULEZ engagé dans divers combats politiques signa en 1960 "Le manifeste des 121" avec des personnalités tel que Vercors, Sartre, Beauvoir, C. Lanzmann, Breton et tant d'autres.

HEUREUSEMENT

que Daniel BARENBOIM est encore présent avec "Un cœur gros comme ça" pour nous assurer que BOULEZ était "... un homme d’une grande culture : nous avons parlé politique, art, philosophie, musique aussi. C'est un homme d'éthique, en tant que musicien, mais surtout en tant qu'homme, et il est très vite devenu un exemple pour moi dans beaucoup de choses, autant dans la musique, que par son engagement dans la société."

Malgré ma déception après ses propos tenus contre BOULEZ je dois avouer que j'apprécie depuis mon enfance la musique de Michel LEGRAND

ps: "Un cœur gros comme çà" est une composition de M. LEGRAND







CHICAGO
THE CHICAGO TRANSIT AUTHORITY


Le 30 Novembre 2024 par LE MERLE MOQUEUR


Le seul CHICAGO qui ait sur moi quelque "autorité".





The DOORS
THE DOORS


Le 29 Novembre 2024 par MASTERFAN


L’oeuvre des Doors a été remastérisée il y a quelques années et seuls certains morceaux de THE SOFT PARADE (comme « Tell all the people » et « Touch me »), débarrassés de la lourdeur des leurs cuivres, ont pu en tirer profit. Pour le reste, ce fût un avis d’aseptisation quasi-générale. La voix de Jim qui vous pétait à la tronche, vous faisait frissonner, les solos d’orgues de Ray ou de guitare de Robby mis furieusement mis en avant, tout cela terminé, nada. Tout le travail de Bruce Botnik et Paul Rothchild réduit à néant.

Les amateurs potentiels de la nouvelle génération pourront donc aller se faire voir, ils auront droit à une production lisse et déprimante, tout ramené au même niveau avec une rigueur mathématique dénuée d’émotion. En attendant une future livraison qui offrira un de ces jours en coffret la version d’origine, en plus de la nouvelle, au prix évidemment prohibitif. A défaut, il ne reste plus qu’à aller écumer les rares derniers magasins de CD d’occase…‘Rock‘n roll is dead’ chantait Lenny Kravitz. Pas encore tout à fait mais parfois, on l’aide bien à mourir.

Ce triste constat ne peut évidemment faire oublier la valeur intrinsèque de THE DOORS l’éponyme, lequel fait à mon sens partie du Top 10 « pop-rock » de tous les temps. Textuellement, ce n’est pas obladi-oblada » ou « Hello Goodbye » puisqu’on a affaire à un esthète de la poésie en la personne de Jim Morrison, double demi-Dieu mi-Apollon mi-Bacchus qui vocalement fascine à lui seul les foules. Second atout, l’homme aux lunettes, le génial Ray Manzarek et son orgue si caractéristique, qui assure en plus la basse les doigts dans le nez avec l’autre main, impressionnant. Robby Krieger n’étant pas un manche à la guitare, cette affaire-là ne pouvait que fonctionner, même avec l’effacé John Densmore aux fûts.

Il y avait assez peu de boîtes de nuit qui disposaient de scènes annexes pop-rock au début des 90’s (encore moins aujourd’hui je suppose), mais « Break on through » était invariablement un des trips qui permettait de sauver mes soirées ‘étudiant’. Le second titre « Soul kitchen » reflète bien l’état d’esprit de Mr Morrison, avide de cuisiner les esprits, d’expérimenter tout à l’extrême. Ensuite l’un des morceaux les plus sublimes des Doors, « The crystal ship », si vos sens ne se dressent pas à l’écoute de cette magistrale compo, inutile d’aller plus loin, ce groupe n’est pas votre truc.

« Twentieth Century Fox » est un autre morceau pilier de cette première galette, que du bonheur. Un classique ensuite. Reprendre un morceau des années 30 est casse-gueule, ça passe ou ça casse. Sous cette version, « Alabama song » (Whisky bar) passe avec magie, les diverses reprises qui suivront ayant du mal à soutenir la comparaison.

Les Doors n’étaient pas que Jim. L’intro mythique est de Ray, le morceau est de Robby, c'est « Light my fire », le premier tsunami de 1967. La seconde reprise « Back Door man » est un peu moins mon truc.
Les trois morceaux suivants sont parfois qualifiés de remplissage, je ne suis pas de cet avis. « I looked at you » met de bonne humeur, « End of the night » redonne sa définition au mot « beau » et « Take it as it comes » emporte l’auditeur dans son tourbillon.

Bien sûr il y a le « The end » des Beatles, mais que dire de ce « The end » des Doors ? A l’origine simple morceau de rupture, Jim lui rajoute sa dimension oedipienne une nuit de 1966 pour en faire l’un des plus grands trips de l’histoire de la pop-music.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : The crystal ship, The end. DELECTABLE (4,5) : Break on through, Twentieth Century Fox, Alabama song, Light my fire, I looked at you, End of the night, Take it as it comes. SEDUISANT (4) : Soul kitchen. PLAISANT (3,5) : Back door man. Bilan 4,70 et Top 5 à 4,45 : THE DOORS album éponyme cote pour moi 4,58 soit 18,32 /20.

Ce premier album des Doors est une bombe et c’est d’ailleurs l’un des rares albums qui fasse l’unanimité dans la pop-rock. Il est systématiquement présent dans les best of, je ne suis même pas sûr d’avoir déjà vu une critique négative à son égard. Un vrai 5, pas galvaudé.





DEEP PURPLE
= 1


Le 29 Novembre 2024 par PSEUDO ALéATOIRE


waaah ! ça c'est de la pochette, j'espece qu'elle a pas couté trop cher 🤣🤣🤣
concernant l'album, bah, "la force tranquille" comme toujours pour le groupe depuis plus de 10 ans ...





ZUCCHERO
DISCOVER II


Le 29 Novembre 2024 par VRAI OU FAUX

Sucre ne fait plus succès depuis qu'il s'est séparé de son épouse qui composait ses meilleurs chansons. hé oui ...





SEPULTURA
MACHINE MESSIAH


Le 29 Novembre 2024 par BAKER

Vous n'aimez pas SEPULTURA ?

Moi non plus.

Alors écoutez derechef cet album. Et prenez-vous une baffe XXL dans le groin. A tous les niveaux. C'est quasiment une métamorphose. Ce n'est plus le même groupe, du tout. Et putain que c'est bon !

Ah et si vous avez aimé cette séance SM, hein dis-le que t'aimes ça petite cochonne, il y a un certain "QUADRA" qui vous attend à la caisse principale. Attention, faire bilan sanguin et relecture du testament avant le premier contact.





David BOWIE
DAVID BOWIE


Le 28 Novembre 2024 par MASTERFAN


Par où aborder Bowie ? Question complexe car Bowie n’est pas un artiste, Bowie est une demi-douzaine d’artistes à lui seul, autant de sensibilités et de types d’albums différents dans une discographie de 24 albums, 27 si on inclue le disque de reprise PIN UPS, la B.O de THE BUDDHA OF SUBURBIA et la compil posthume revisitée TOY (je passerai les deux Tin Machine).

A ce prix-là, les fans de Bowie ‘intégraux’ sont rares (j’en ai rencontrés, mais très peu) et espérer que quelqu’un puisse kiffer l’intégralité de son oeuvre, c’est un peu comme sonder au hasard une personne dans la rue en espérant qu’elle apprécie cinq artistes ou groupes différents choisis aléatoirement, la probabilité est donc faible (je n’échappe pas à la règle, certains albums ne m’enthousiasment pas particulièrement).

A l’inverse, il est rare de trouver quelqu’un - en dehors évidemment de ceux qui ne se sont jamais intéressés à l’artiste - qui ne soit pas sensible à AU MOINS une des périodes de sa longue carrière (traduction, une moitié de la planète ne connaît et n’apprécie certainement que la chanson ou le seul album « Let’s dance »).

Pour se repérer dans une oeuvre aussi pléthorique, il faut commencer par poser les balises : un album de variété anglaise, sept de pop « chaude » flamboyante tirant à l’occasion sur le glam, un de soul, cinq de pop plus « froide » (Bowie précédait les modes et faisait déjà du post-punk déjà au moment du punk), quatre de pop commerciale (de la séduction jusqu’à l’aseptisation), trois de pop expérimentale à diverses ambiances, pour finir sur six albums de pop-rock plus classique. Quelles sont les pépites à retenir là-dedans ? Si les avis sont partagés, des constantes se dégagent généralement.

Ce premier album de 1967 diffère de la pop-rock qu’il faisait avec ses groupes précédents, à l’époque de « Can’t help thinking about me » (4), le premier morceau vraiment séduisant de Bowie qui avait déjà tapé dans l’oeil des premiers initiés. Cette première balise (avant mutation) est un album de variété ‘anglaise’ marqué par le music-hall, soit le truc en général complètement incompréhensible pour le commun des mortels français. Dans l’esprit, je vois très peu d’albums qui se rapprochent de genre de trip, peut-être de très loin (et donc toute proportion gardée) l’album IT de Pulp, ou certains albums de Scott Walker.

Une chose est sûre, mieux vaut éviter d’escalader la montagne Bowie par ce premier versant, vu que les 14 titres ici ne passeront pas à la postérité. Deux d’entre eux annonçaient un avenir déjà mélodiquement prometteur, « Rubber band » et peut-être « Uncle Arthur », pas dénués de charme et dont la mélodie se retient aisément.

« Sell me a coat » aurait pu donner quelque chose mais accuse un refrain bien trop faiblard. On ressent des premières influences : « Love you till tuesday » est une version easy-listening du style kinksien, le phrasé de « There’s a happy land » (comme celui de « Uncle Arthur ») montre déjà que Bowie admire Jacques Brel, et le refrain de « She’s got medals » fait un peu Syd Barrett du pauvre.

« We are hungry men » est un mix curieux entre de la fanfare et de la pop, les cuivres n’ont pas le meilleur effet. « When I live my dream » est un autre exemple de pop ‘naïve’ non exempte de belles envolées mélodiques. « Little bombardier » évoque la musique d’après-guerre, sans qu’on arrive même à déterminer laquelle des deux guerres il s’agit. « Silly boy blue » est réputé tirer son épingle du jeu sur cet album, je ne suis qu’à moitié convaincu...

« Come and buy my little toys » dévoile une jolie guitare sèche mais un enrobage assez fruste. « Join the gang » promène ses guêtres du côté du music-hall, tout cela n’est guère passionnant, idem pour le côté variété de « Maid of bond street ». Le summum de la bizarrerie est atteint sur « Mr Gravedigger », le pluvieux a cappella funéraire au cours duquel Bowie trouve le moyen d’éternuer deux fois, à tes souhaits. Comme disait cette pub que les moins de 45 ans ne peuvent pas connaître, ce n’est pas comme ça que vous réussirez dans la vie, Monsieur David Bowie.

Mon ressenti 2024 : TRIPPANT (5) : Néant. DELECTABLE (4,5) : Néant. SEDUISANT (4) : Néant. PLAISANT (3,5) : Uncle Arthur, Rubber band. INTERESSANT (3) : Love you till tuesday, There ‘s a happy land, When I leave my dream, Silly boy blue. She’s got medals. EMOTION LIMITEE (2,5) : Sell me a coat, We are hungry men, Little bombardier, Come and buy me toys AUCUNE EMOTION (2) : Join the gang, Maid of Bond street, Please Mr Gravedigger. DEPLAISANT (1,5) : Néant. PENIBLE (1) : Néant. Bilan 2,72 et Top 5 à 3,20 : DAVID BOWIE album éponyme cote pour moi 2,96 soit 11,84 /20.

Je me posais la question de savoir si ce premier Bowie était encore plus dispensable dans une discothèque que le premier Neil Young (lequel semble avoir plus d’arguments à faire valoir et contient même « I’ve been wainting for you », repris sur HEATHEN), et je pense que oui. Néanmoins, il n’est pas inutile pour comprendre la Genèse de l’artiste de porter une oreille sur au moins deux ou trois titres de ce premier opus., avant de vite passer à la suite.





Lara FABIAN
LARA FABIAN


Le 28 Novembre 2024 par SEB


"Uw aandacht alstublieft". Oh pardon traduction "Votre attention s'il vous plaît", commentaire sur un disque d'une fille du Plat Pays.

Lara Fabian au départ c'est une histoire de travail acharné, de chance, de rencontres, d'amour aussi, bref un petit conte de fées Belge ! Je l'avais découverte, comme beaucoup je pense en 1997 lorsqu'elle explosa en France, fracassant tout avec son album "Pure". Elle était aux antipodes de ma came musicale d'alors. En gros j'aimais po ! C'est ma chérie de l'époque qui m'a un peu (beaucoup !) converti. Ce serait mentir de ma part de dire que j'ai accroché de suite à son univers. Mais peu à peu j'ai tendu l'oreille droite (non ce n'est pas de l'humour Belge), découvrant au fil du temps une personne, une voix, une sensibilité, une plume et qu'en fait elle était bien loin de sa caricature d'époque des "Guignols de l'Info"...

Sa carrière démarre avec cet album fait maison "Lara Fabian", sorti en 1991. Époque importante pour la Belge c'est sûr, expatriée alors au Canada dont elle deviendra par la suite citoyenne. À l'origine la galette est née d'une rencontre. Resituons le contexte :

Lara (Crokaert) Fabian, de père Belge et mère Sicilienne tout un programme, se destine à être chanteuse très jeune, encouragée par ses parents. En particulier son père ancien guitariste et choriste, qui décèlera son potentiel dès son enfance. Déjà à 14 ans avec son papa à la guitare, profitant des Huitantes (80's) insouciantes, Lara écumait les piano-bars, les radios-crochets amateurs de Belgique avec notamment des reprises de John Denver, le tout en menant sa scolarité, plus des cours de chants et de piano dès l'âge de 5 ans durant une dizaine d'années. Enfance chargée quand même ! Au hasard d'une rencontre en 1986 avec le pianiste Marc Lerch sortent des singles passés sous les radars, dont un hommage au regretté Daniel Balavoine. Mais cet hommage n'aura pas été vain, car la suite on la connaît : remarquée grâce à lui par un producteur Belge elle se voit choisie pour représenter (bizarrement) le Luxembourg à l'Eurovision 1988 avec la sublime chanson "Croire". Mais le concours fut gagné par la future Madame Angelil, Céline Dion. Malgré 400000 singles de "Croire" vendus en Europe, un bon début, Lara va encore en manger de la vache enragée...

2 années passent. Tout change en 1990. Lara étudie alors le Droit quand un jour elle fréquente un piano-bar "Le Crescendo" à Bruxelles, poussée par sa meilleure amie Nathalie Slachmuylders. Elle y fait un boeuf et rencontre l'homme qui changera définitivement sa vie, Rick Allison, alors barman et pianiste du Crescendo. Coup de foudre. À l'instar de René Angelil pour Céline Dion, Rick devient son amoureux mais aussi son producteur, son pygmalion, son mentor... Ah l'amour ! C'était une histoire Belge ? Non une histoire entre Belges. L'origine du succès, c'est lui ! Il aura eu la force pour 2 et l'amour de suivre sa chérie au Canada (que Lara connaissait déjà, un Eldorado pour peu qu'on ait la niaque, qui donne le droit à l'erreur), confortant l'ambitieuse Lara dans l'idée de tout plaquer pour y démarrer son rêve de carrière. Avec juste 1000 dollars en poche !

Voilà le décor est planté. L'année suivante sort donc ce premier essai éponyme pratiquement inconnu en France durant quelques années. Une première galette avec ses faiblesses, assez hésitante. C'est aussi, ça se ressent, un album disons artisanal réalisé avec peu de moyens (ses parents y mettront toutes leurs économies, beau geste !) et l'aide de quelques amis, dont Rick Allison en homme-orchestre et Nathalie Slachmuylders parmi les choeurs... Qu'en sort-il ? Un album imparfait mais sincère selon moi, destiné au public du Canada où il s'est d'ailleurs bien vendu (120000 copies, ça va pour un premier jet !). Pas de mauvais titres je trouve, l'ensemble s'avère moyen mais agréable. Mes préférences : "Qui pense à l'amour ?" et le superbe "Croire". "Le jour où tu partiras", "Je m'arrêterai pas de t'aimer" et "Réveille-toi brother" se laissent écouter aussi sans problème...

Je sors un 2,5 haussé à 3 pour ce premier galop plutôt prometteur dans la Cour des Grandes, en faisant un coucou au passage à cette Belgique accoucheuse de grands talents.





MARILLION
SCRIPT FOR A JESTER'S TEAR


Le 28 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Je vais être un peu moins enthousiaste que la majorité en jugeant cet album intéressant mais pas davantage. La faute à un son de batterie atroce, à un Mick Pointer très scolaire dans son jeu et des compos moins abouties que celles, par exemple, du sublime "Misplaced Childhood".





Les WAMPAS
SIMPLE ET TENDRE


Le 28 Novembre 2024 par BLUEMASK


Je viens de terminer 'Punk ouvrier' le livre de Didier Wampas. Parfois intéressant surtout au début, il devient assez rapidement une liste de chansons et de paroles avec des commentaires lapidaires sans grand intérêt. Dommage, l'artiste n'entre pas dans sa vie, ni publique, ni privée, dans les relations de groupe. Trop m'en-foutiste ?
Toujours est il qu'en lisant le chapitre consacré à 'Simple & tendre', j'ai réalisé que cela faisait un bail que je ne l'avais pas écouté. Dont acte.
Le disque est un peu bancal. De par la production, qui se voudrait plus mature mais manque d'impact, et par la présence d'un nombre finalement conséquent de titres en deçà. Il y en a toujours dans un disque des Wampas, mais ici, le ratio est un peu élevé, avec "Wibration", "Euroslow", 'Le ciel est un océan', "Les anges'". Le ton est également plus posé avec finalement peu de décharges punk garage grandioses, "Alisson" étant le meilleur missile.
Attention néanmoins, de gros et grands morceaux. "Les bottes rouges", tube intemporel, drôle, mélancolique et à la profondeur inespérée sous ses aspects de grosses blague enfantine. "Comme un ange qui pleure", ballade variétoche où Didier se déchire la voix en n'ayant jamais aussi bien mal chanté.
Bref, un disque des Wampas, même très inégal, reste un régal

Mais 'Punk ouvrier' est une vraie déception.





KING CRIMSON
IN THE COURT OF THE CRIMSON KING


Le 28 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Croyez le ou non, je n'ai découvert ce disque que récemment. Sa pochette me fascinait mais je n'avais jamais "osé" franchir le pas. J'ai eu tort d'attendre aussi longtemps car ledit disque donne de belles choses à entendre. Rien que l'impressionnant "21st century" d'ouverture a suffi à me convaincre. J'aime aussi le côté bucolique de "I talk to the wind" et même "Moonchild" dont la folie me ramène vers le "Ummagumma" de PINK FLOYD. Il n'y a guère que les 'fills' de batterie que je trouve un peu bizarres sur le titre final. Pour le reste, je suis conquis.





Christina AGUILERA
STRIPPED


Le 27 Novembre 2024 par STONE ALONE

Je constate que le lien amène sur le channel et pas sur la vidéo qui m'avais particulièrement intéressé.

Mais les autres vidéos sur la même question sont toutes très bien aussi.

Le titre de la vidéo spécifique est celui-ci :

"Artists and labels are scared. This is the reality of singing in 2024"





MARILLION
HOLIDAYS IN EDEN


Le 27 Novembre 2024 par PILGRIMWEN

J'ai entamé cette année 2024 une réelle découverte de MARILLION. Jusqu'ici, je connaissais un titre ici ou là, sans guère m'aventurer plus dans la discographie des britanniques. Et puis, il y eut "Dry Land", LA chanson. Ce déclic qui, lorsqu'il survient, me pousse à décortiquer la plupart des disques d'un groupe. "Holidays In Eden" est foncièrement Pop, avec touches Prog et Rock. J'estime fortement cet opus car il est ma porte d'entrée dans l'univers MARILLION et un énorme coup de coeur musical. Par effet ricochet, j'ai fondu aussi pour "Seasons End".





Nick CAVE & THE BAD SEEDS
WILD GOD


Le 27 Novembre 2024 par LE STO


Pour ma part, je trouve cet album un peu bancal. Certains titres sont bons en effet ("Final Rescue Attempt", "Wild God" voire "O Wow O Wow"), mais Frogs ou Joy sont loin d'être du grand Nick Cave, plutôt dans son registre casse burnes.

Je ne regrette pas l'ancien Nick Cave, je ne dis pas que Murder Ballads est un sommet ou autres considérations du type "c'était mieux avant". J'ai beaucoup aimé Skeleton Tree ou Carnage, je n'ai pas du tout aimé les longes plages de Ghosteen. Bref, ce n'est donc pas le temps qui passe ou la nostalgie, c'est uniquement que ce Wild God n'est pas si bon pour moi dans la discographie du grand Homme. Au vu de son oeuvre, 3 étoiles me semble largement suffisantes.

PS : je crois que votre chronique est la seule qui ne fait pas référence à son enfant mort, depuis 10 ans, chaque chronique d'un Nick Cave, tout support confondu, débute en parlant de cet évènement. C'est relou.


Par Forces Parallèles

"PS : je crois que votre chronique est la seule qui ne fait pas référence à son enfant mort, depuis 10 ans, chaque chronique d'un Nick Cave, tout support confondu, débute en parlant de cet évènement. C'est relou."

Je crains de l'être aussi (relou) car si, j'en parle, mais c'est noyé au milieu de la chro :-)





Christina AGUILERA
STRIPPED


Le 27 Novembre 2024 par PILGRIMWEN

@STONE ALONE : Merci pour le lien vidéo. Instructive et pertinente. Comme le souligne si bien le vidéaste, il est impossible d'attendre les notes vocales de nos chanteurs, de manière naturelle.





MAGMA
ZëSS


Le 27 Novembre 2024 par SWISSIDOL


Je ne suis la carrière de MAGMA que de très loin et j'ai toujours eu un rapport flou avec sa musique. Certains jours, j'ai envie de crier au génie et, à d'autres moments, au foutage de gueule. Ce "Zëss" n'échappe pas à la règle avec ses plans (de clavier ou autre) répétés jusqu'à plus soif, ses onomatopées (pardon, son kobaïen) dites 253 fois avant de passer à la suite, etc. Je serai donc moins enthousiaste que les commentaires précédents même si je reconnais l'originalité du groupe.





CHICAGO
THE CHICAGO TRANSIT AUTHORITY


Le 27 Novembre 2024 par TRALALA COIN COIN

On parle toujours d'innovation quand on parle de cet album, mais le premier Blood Sweat and Tears n'est pas en reste non plus, sorti l'année précédente.





Christina AGUILERA
STRIPPED


Le 26 Novembre 2024 par MARCO S.

Alors, autant les goûts et les couleurs etc c'est une chose (comme les coups et les douleurs, l'égout et l'écouleur aussi), et il est certain qu'il y a une uniformisation des vocaux à l'ère moderne, qui va de pair avec le retrait des instruments solistes, instruments tout court souvent même.
Mais que pour cela, des chanteuses comme Christina AGUILERA seraient 'fausses' (pas d'un point de vue 'clavier bien tempéré' à la BACH, mais d'un ressenti qui ne l'est point), ça devient un peu dur.
Parce que ça voudrait dire ne plus faire de différence avec l'utilisation d'un correcteur à tout bout de champ.
Dans ce cas, Whitney HOUSTON portant tous les tics de la chanteuse à voix, minaudant ou hurlant, ne serait pas une vraie chanteuse non plus alors ?





Christina AGUILERA
STRIPPED


Le 26 Novembre 2024 par STONE ALONE

Une intervention passionnante, en anglais, avec sous titrage disponible, sur le calibrage de la musique contemporaine, particulièrement les vocaux.

www.youtube.com/watch?v=OTeFqEbYgJs&ab_channel=WingsofPegasus








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